Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 mai 1922 01 mai 1922
Description : 1922/05/01 (T21,N2042). 1922/05/01 (T21,N2042).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217009v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2042
Lundi 1er mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : la première quinzaine (Hanno-
verscher Kurier) ; le projet de confé-
rence des puissances signataires (Tag,
Berliner Tageblatt, Frankfurter Zei-
tung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Le Mexique : un
projet de réhabilitation par les Etats-
Unis ( New York Times).
PRESSE ANGLAISE. — La délégation française
à Gênes : « M. Barthou et M. Poincaré
(Daily Telegraph). r- Le discours de M.
Lloyd George au dîner de la presse
anglo-américaine (Wickham Steed dans
Times ; Daily Telegraph ; Wesminster
Gazette ; Daily Herald): - Le pacte de
non-agression (Manchester Guardian,
Daily Chronicle).
PRESSE ITALIENNE. — La position de l'Italie
à Gênes (Goffredo Bellonci dans Epoca);
l'attitude envers les Soviets (Leonardo
Vitetti dans Idea Nazionale).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA PREMIERE QUINZAINE. — Sous le
titre : « SAINT-GEORGES ET LE DRAGON ». —
De Gênes, 25 avril : A considérer le procès-
verbal de la Première quinzaine de la con-
férence, on pourrait estimer que le temps a
été perdu. Mais si on se porte sur la hau-
teur de, laquelle on découvre l'avenir de
l'histoire, on se rend compte que ce résul-
tat négatif est en réalité une force puis-
sante appelée, précisément par la loi de
] inertie ,à. jouer un grand rôle dans l'orien-
tation des choses. - Ces deux premières se-
7n î es de la conférence n'ont apporté aucun
fait nouveau, en dehors du traité germano-
russe, qui aurait d'ailleurs été conclu sans
la conférence. Mais ce qui n'était jusqu'ici
vafuerrîent pressenti, dont on n'osait
parler à voix haute, s'est réalisé et appa-
rait en toute clarté: l'isolement du plus
puissant elat Militaire, l'isolement de la
France, Or puissance et isolement sont
deux pôles qui ne peuvent se joindre sans
, explosion..
.Déjà se lèvent les oiseaux précurseurs
de l'orage. Troi f les oiseaux précurseurs
de l'orage. Trois fois, au cours de cette se-
maine critique, la POIOIIne a renié son maî-
tre. trois fois la Petite Entente a refusé de
suivre. L'ombre du colosse russe commence
de nouveau à se projeter, elle recommence
à inspirer de la crainte, crainte qui peut
amener plus de défections que les promes-
ses de montagnes d'or ne peuvent acheter
de concours. -
Et surtout l'Angleterre ! On peut dire, en
considérant le résultat négatif de ces deux
semaines : l'Entente a vécu, l'Alliance s'est
effondrée. En lettres énormes, l'affiche d'un
grand journal anglais annonçait ces jours-
ci : The unholy Alliance. Les Génois n'ont
pas eu de peine a comprendre, et ils ont.
hoché la tête. Lloyd George a dit nette-
ment à Barthou, qui n'est que le porte-pa-
role de Poincaré : Le point de vue anglais
n'est pas le point de vue français. C'est
Lloyd George qui, quelle que soit l'opinion
qu'on ait par ailleurs de lui, tient la lance
du chevalier de Gênes. Si le navire chargé
des espoirs de l'humanité pacifique n'a pas
encore échoué, c'est à lui seul qu'en revient
le mérite ; car, si on peut dire que nos
hôtes italiens sont animés de la meilleure
volonté, c'est lui seul qui est la force.
Toutes les difficultés, a dit Rathenau, se
sont trouvées aplanies dès qu'une main ita-
liene est intervenue. Il faut dire aussi qu'il
est heureux que, cette fois, le bras britan-
nique soit intervenu.
L'aosence de résultats de la conférence
de Gênes n'est qu'apparente. En réalité, la
conférence a accéléré la marche de l'évolu-
tion, elle a mis en lumière des voies jus-
qu'ici dans l'ombre et corrigé maints dérail-
lements.
HANNOVERSCHER KURIER,
28.4., matin.
LE PROJET DE CONFERENCE DES
PUISSANCES SIGNATAIRES. - Sous le
titre : « LE JJOUR DU JUGEMENT ». — La pro-
position surprenante de Lloyd George de
rassembler à Gênes en une conférence par-
ticulière tous les signataires du traité de
Versailles et de discuter devant eux les
plans français, n'équivaut nullement à une
mesure d'inimitié envers la France. Il veut
éviter la rupture avec les Français mais il
espère que la pression d'une écrasante ma-
jorité des états alliés dans la guerre, ma-
jorité dont il semble être certain, suffira
par elle-même pour entraîner Poincaré et
Millerand dans les tendances de la politi-
que mondiale de la Grande-Bretagne, ou
bien influera si fortement sur l'opinion pu-
blique en France, qu'elle réclamera un
changement du système et en même temps
la retraite de Poincaré. La lutte diploma-
tique entre les deux personnalités les plus
fortes de la politique mondiale est entrée
dans un stade décisif, car Poincaré a re-
connu le danger dans toute son ampleur,
pour lui et pour sa politique, et il a mis en
J.tIVV l'
mouvement tout l'appareil de la diplomatie
et de la presse mondiale pour--ooiïiproniet-
tr £ et abattre son grand adversaire. L'or-
gane officieux du gouvernement français, le
Temps, attaque Lloyd George avec une ani-
mosité plus vive qu'au temps même de ses
discours sur la Haute-Silésie. La campagne
toujours plus manifeste et plus brutale de
la presse Northcliffe qui possède de nom-
breux lecteurs et exerce une grande. in-
fluence en Angleterre, constitue un péril
plus grave pour le cabinet anglais. Nous
avions déjà assisté à des luttes âpres entre
Lloyd George et les Français et chaque
fois cette lutte se termina par une retraite
britannique. Cette fois encore, cette issue
est possible, bien qu'on ne doive pas né-
gliger le fait que l'Angleterre, en convo-
quant les puissances signataires du traité
de Versailles a limité sa propre liberté
d'action. Ce projet différencie l'épisode pré-
sent des phases antérieures de la compéti-
tion anglo-française.
Il n'y a aucune doute sur la légalité de
l'acte de Lloyd George selon la lettre et
l'esprit du traité de Versailles. Tandis
qu'en de nombreux passages du traité, la
décision concernant l'exécution oui la non-
exécution est confiée aux principales puis-
sances ou bien au conseil suprême, le traité
prévoyant le cas de mesures de contrainte
à prendre contre l'Allemagne, réclame for-
mellement la décision dies « puissances
alliées et associées ». En d'autres termes:
seule une conférence générale de tous les
signataires du traité ce Versailles peut dé-
cider des mesures de contrainte à prendre
et leur exécution ne peut être entreprise
de même que par l'ensemble de ces puis-
sances. La - conception opposée de Poincaré
est absolument insoutenable. Si le prési-
dent du conseil français doit ainsi paraître
personnellement devant le forum des puis-
sances alliées et associées assemblées, il
aura tout de suite une situation diiffcile et
courra le danger d'isoler complètement la
France. En outre, il faut bien se rappeler
que ce n'est pas le juriste mais le politi-
cien qui a le dernier mot. Le grand tri-
bunal de Gênes pourra ne pas se borner
à définir la situation juridique qui est
claire d'ores et déjà, mais décider si la
France en poursuivant sa politique se heur-
tera à l'opposition armée de toute l'Europe
et peut-être même des Etats-Unis, ou bien
si elle préfère subordonner ses aspirations
particulières au désir général de paix et
de reconstruction. Il se peut aussi que les
Français, se ruant sur les débris de la paix
mondiale, en viennent à 'la force et aux con-
quêtes. Ce ne serait pas la première fois
dans l'histoire du monde, mais ce serait
pour le monde une catastrophe pire que
jamais. — Hbg. TAG, 28.4.
TAG, 28.4.
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2042
Lundi 1er mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : la première quinzaine (Hanno-
verscher Kurier) ; le projet de confé-
rence des puissances signataires (Tag,
Berliner Tageblatt, Frankfurter Zei-
tung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Le Mexique : un
projet de réhabilitation par les Etats-
Unis ( New York Times).
PRESSE ANGLAISE. — La délégation française
à Gênes : « M. Barthou et M. Poincaré
(Daily Telegraph). r- Le discours de M.
Lloyd George au dîner de la presse
anglo-américaine (Wickham Steed dans
Times ; Daily Telegraph ; Wesminster
Gazette ; Daily Herald): - Le pacte de
non-agression (Manchester Guardian,
Daily Chronicle).
PRESSE ITALIENNE. — La position de l'Italie
à Gênes (Goffredo Bellonci dans Epoca);
l'attitude envers les Soviets (Leonardo
Vitetti dans Idea Nazionale).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA PREMIERE QUINZAINE. — Sous le
titre : « SAINT-GEORGES ET LE DRAGON ». —
De Gênes, 25 avril : A considérer le procès-
verbal de la Première quinzaine de la con-
férence, on pourrait estimer que le temps a
été perdu. Mais si on se porte sur la hau-
teur de, laquelle on découvre l'avenir de
l'histoire, on se rend compte que ce résul-
tat négatif est en réalité une force puis-
sante appelée, précisément par la loi de
] inertie ,à. jouer un grand rôle dans l'orien-
tation des choses. - Ces deux premières se-
7n î es de la conférence n'ont apporté aucun
fait nouveau, en dehors du traité germano-
russe, qui aurait d'ailleurs été conclu sans
la conférence. Mais ce qui n'était jusqu'ici
vafuerrîent pressenti, dont on n'osait
parler à voix haute, s'est réalisé et appa-
rait en toute clarté: l'isolement du plus
puissant elat Militaire, l'isolement de la
France, Or puissance et isolement sont
deux pôles qui ne peuvent se joindre sans
, explosion..
.Déjà se lèvent les oiseaux précurseurs
de l'orage. Troi f les oiseaux précurseurs
de l'orage. Trois fois, au cours de cette se-
maine critique, la POIOIIne a renié son maî-
tre. trois fois la Petite Entente a refusé de
suivre. L'ombre du colosse russe commence
de nouveau à se projeter, elle recommence
à inspirer de la crainte, crainte qui peut
amener plus de défections que les promes-
ses de montagnes d'or ne peuvent acheter
de concours. -
Et surtout l'Angleterre ! On peut dire, en
considérant le résultat négatif de ces deux
semaines : l'Entente a vécu, l'Alliance s'est
effondrée. En lettres énormes, l'affiche d'un
grand journal anglais annonçait ces jours-
ci : The unholy Alliance. Les Génois n'ont
pas eu de peine a comprendre, et ils ont.
hoché la tête. Lloyd George a dit nette-
ment à Barthou, qui n'est que le porte-pa-
role de Poincaré : Le point de vue anglais
n'est pas le point de vue français. C'est
Lloyd George qui, quelle que soit l'opinion
qu'on ait par ailleurs de lui, tient la lance
du chevalier de Gênes. Si le navire chargé
des espoirs de l'humanité pacifique n'a pas
encore échoué, c'est à lui seul qu'en revient
le mérite ; car, si on peut dire que nos
hôtes italiens sont animés de la meilleure
volonté, c'est lui seul qui est la force.
Toutes les difficultés, a dit Rathenau, se
sont trouvées aplanies dès qu'une main ita-
liene est intervenue. Il faut dire aussi qu'il
est heureux que, cette fois, le bras britan-
nique soit intervenu.
L'aosence de résultats de la conférence
de Gênes n'est qu'apparente. En réalité, la
conférence a accéléré la marche de l'évolu-
tion, elle a mis en lumière des voies jus-
qu'ici dans l'ombre et corrigé maints dérail-
lements.
HANNOVERSCHER KURIER,
28.4., matin.
LE PROJET DE CONFERENCE DES
PUISSANCES SIGNATAIRES. - Sous le
titre : « LE JJOUR DU JUGEMENT ». — La pro-
position surprenante de Lloyd George de
rassembler à Gênes en une conférence par-
ticulière tous les signataires du traité de
Versailles et de discuter devant eux les
plans français, n'équivaut nullement à une
mesure d'inimitié envers la France. Il veut
éviter la rupture avec les Français mais il
espère que la pression d'une écrasante ma-
jorité des états alliés dans la guerre, ma-
jorité dont il semble être certain, suffira
par elle-même pour entraîner Poincaré et
Millerand dans les tendances de la politi-
que mondiale de la Grande-Bretagne, ou
bien influera si fortement sur l'opinion pu-
blique en France, qu'elle réclamera un
changement du système et en même temps
la retraite de Poincaré. La lutte diploma-
tique entre les deux personnalités les plus
fortes de la politique mondiale est entrée
dans un stade décisif, car Poincaré a re-
connu le danger dans toute son ampleur,
pour lui et pour sa politique, et il a mis en
J.tIVV l'
mouvement tout l'appareil de la diplomatie
et de la presse mondiale pour--ooiïiproniet-
tr £ et abattre son grand adversaire. L'or-
gane officieux du gouvernement français, le
Temps, attaque Lloyd George avec une ani-
mosité plus vive qu'au temps même de ses
discours sur la Haute-Silésie. La campagne
toujours plus manifeste et plus brutale de
la presse Northcliffe qui possède de nom-
breux lecteurs et exerce une grande. in-
fluence en Angleterre, constitue un péril
plus grave pour le cabinet anglais. Nous
avions déjà assisté à des luttes âpres entre
Lloyd George et les Français et chaque
fois cette lutte se termina par une retraite
britannique. Cette fois encore, cette issue
est possible, bien qu'on ne doive pas né-
gliger le fait que l'Angleterre, en convo-
quant les puissances signataires du traité
de Versailles a limité sa propre liberté
d'action. Ce projet différencie l'épisode pré-
sent des phases antérieures de la compéti-
tion anglo-française.
Il n'y a aucune doute sur la légalité de
l'acte de Lloyd George selon la lettre et
l'esprit du traité de Versailles. Tandis
qu'en de nombreux passages du traité, la
décision concernant l'exécution oui la non-
exécution est confiée aux principales puis-
sances ou bien au conseil suprême, le traité
prévoyant le cas de mesures de contrainte
à prendre contre l'Allemagne, réclame for-
mellement la décision dies « puissances
alliées et associées ». En d'autres termes:
seule une conférence générale de tous les
signataires du traité ce Versailles peut dé-
cider des mesures de contrainte à prendre
et leur exécution ne peut être entreprise
de même que par l'ensemble de ces puis-
sances. La - conception opposée de Poincaré
est absolument insoutenable. Si le prési-
dent du conseil français doit ainsi paraître
personnellement devant le forum des puis-
sances alliées et associées assemblées, il
aura tout de suite une situation diiffcile et
courra le danger d'isoler complètement la
France. En outre, il faut bien se rappeler
que ce n'est pas le juriste mais le politi-
cien qui a le dernier mot. Le grand tri-
bunal de Gênes pourra ne pas se borner
à définir la situation juridique qui est
claire d'ores et déjà, mais décider si la
France en poursuivant sa politique se heur-
tera à l'opposition armée de toute l'Europe
et peut-être même des Etats-Unis, ou bien
si elle préfère subordonner ses aspirations
particulières au désir général de paix et
de reconstruction. Il se peut aussi que les
Français, se ruant sur les débris de la paix
mondiale, en viennent à 'la force et aux con-
quêtes. Ce ne serait pas la première fois
dans l'histoire du monde, mais ce serait
pour le monde une catastrophe pire que
jamais. — Hbg. TAG, 28.4.
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