Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 avril 1922 20 avril 1922
Description : 1922/04/20 (T20,N2033). 1922/04/20 (T20,N2033).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62534026
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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MINISTÈRE
>ÏA. DES
ÉTRANGÈRES
N° 2033
Jeudi 20 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
^ESSE ALLEMANDE. — Le traité germano
; russe (Th. Wolff dans Berliner Tage-
( blatt, ; Kôlnische Zeitung ; Frankfurter
f Zeitung ; Vorwaerts). — La réponse de
la commission des réparations à l'Alle-
magne (Georg Bernhard dans Vossische
Zeitung ; Deutsche Allgemeine Zeitung;
Berliner Lokal-Anzeiger).
* RESSE AMÉRICAINE. — Les frais d'occupation
des Etats-Unis (Public Ledger). — L'en-
registrement des- étrangers (Washiny
ton Post).
PftErSSE ANGLAISE. — Le traité germano-russe
,~ (Daily Chronicle, Morning Post, West-
11 ùnser Gazette). - Les réparations: les
projets d'emprunt international (Daily
Telegraph, H. Wilson Harris dans Daily
Atetes).
P"u't--SSE HOLLANDAISE. — Le traité germano-
russe (Telegraaf, Volk).
^ESSE ITALIENNE. — Le traité germano-russe
(Goffredo Bellonci dans Epoca; Mario
Borsa dans Secolo ; Filippo Sacchi dans
i Corriere della Sera ; G. Sprovieri dans
3 Monda; Stampa).
POLITIQUE GENERALE
f ——
f-
, LA CONFÉRENCE DE GÊNES
Lt TRAITE GERMANO-RUSSE. —
d nEs SE ALLEMANDE. — De Gênes, dimanche
Pâqu'es - On se montre toujours très ai-
'l,lbl-e avec nous. Les chefs de la délégation
ollfrnande, le Dr Wirth et le Dr Rathenau
Il,'' reçu la visite d'hommes d'Etat qui
3V ai. ent * témoigné jusqu'ici d'une attitude
Ut autre et ils reçurent des serrements
e ^aiins tout à fait surprenants.
Co lotis ceux qui avaient assisté cj. d'autres
nférenoeis d'après-guerre disaient : « Le
s est énorme ». Notamment les prin-
litaux personnages italiens, les personna-
h es dominantes du libéralisme anglais et
^Ueoup d'Américains dépassèrent les li-
jt-s d'une aimable courtoisie. La presse
itar lefnne s'est vivement élevée contre cer-
u.
tains informateurs français qui préten-
(la, s leur mauvaise humeur, qu'on
a it mal reçus et qui décriaient la
il ^tigieuse Gênes. Ces plaintes sont tout
incompréhensibles, car la population
jjJp ieriaie a eu une conduite exemplaire vis-
ls de tous ses hôtes. Les correspondants
français ont convenu, d'ailleurs, qu'ils
étaient bien traités. Pour nous aussi, l'im-
prossion est pleinement satisfaisante. Mais
la chaleur de ces manifestations ne se
laisse pas transporter et elle ne peut servir
à chauffer le foyer de l'Allemagne. Le ther-
momètre monte et le zéro est de beaucoup
dépassé ; mais nous avons besoin aussi
d'un mark qui monte. Il faut dire aussi
que parmi les grands alliés il y a quelques
retours à l'ancienne méthode.
Par exemple, le fait que les Allemands
ne participent pas aux négociations avec
les délégués russes. Sans doute, l'éloigne-
ment de ces débats critiques peut présen-
ter des avantages pour l'Allemagne sous
maints rapports. On verra peut-être bientôt
qu l'on n'est, pas complètement exclu pour
n'avoir pas pu s'asseoir à la table des déli-
bérations. En tout cas, l'Angleterre, la
France, l'Italie et la Belgique, en négociant
avec les Russes sans les Allemands ont
donné une entorse aux principes proclamés
par Lloyd George et Facta et tenté de res-
susciter le conseil suprême. L'étonnement
provoqué partout par ce procédé fut très
flatteur pour nous.
Sous cette première dépêche paraît, dans le
même numéro, la suivante:
De Gênes, lundi de Pâques : Les consi-
dérations du dimanche de Pâques deman-
dent, à être complétées aujourd'hui, car un
fait très important est intervenu. Un traité
a été conclu ici entre l'Allemagne et la
Russie ; il sera signé demain. Cet événe-
ment se préparait déjà à Berlin lorsque
Tchitcherine y séjourna. On peut penser
qu'il ne surprend pas toutes les autres
puissances. Aucun droit, aucune prescrip-
tion de la conférence ne sont violés et seuls
des critiques aveugles ou mal intentionnés
pourraient tenter de travestir les faits. Si
l'Allemagne s'entend avec les Russes, les
autres puissances voudront aussi s'enten-
dre avec eux, et ainsi on sert le principe
de la conférence et l'idée européenne. Tan-
dis que les hommes d'Etat des puissances
alliées soutiennent, comme bon leur sem-
let, leurs intérêts dans leurs négociations
avec les Russes, les chefs de la délégation
allemande ont défendu les intérêts alle-
mands comme c'est également leur droit. —
Th. Wolff.
BERLINER TAGEBALTT, 18. 4. matin.
, — De Gênes, 17 avril : L'impression faite
par le traité germano-russe s'accuse d'heure
en heure. Toute la journée on s'est de-
mandé qu'elle attitude les Français pren-
draient au sujet de ce traité. L'effet le plus
sensationnel est produit par le renonce-
ment de la Russie aux droits que lui ac-
corde le paragraphe 116 du traité de Ver-
sailles. On parle d'un succès extraordinaire
de la diplomatie, allemande et d'un succès
personnel du chancelier. Les neutres, les
Anglais et les Italiens célèbrent l'habileté
de la délégation allemande qui s'est tenue
à l'arrière plan bien qu'elle eût déjà son
succès, le traité, en poche. On dit de Wirth
et de Rathenau qu'ils dépassent pour le
tact et le talent diplomatique toute la diplo-
matie alliée. Il est caractéristique, dit-on,
que le premier grand succès de la confé-
rence ait été obtenu par les Allemands mis
en état d'infériorité. Les petits états écartés
des délibérations adressent en première
ligne leurs reproches aux Français et aux
Anglais et se sentent subitement attirés
vers les états vainqueurs pour des raisons
purement psychologiques.
KOELNISCHE ZEITUNG, 18. 4. soir.
— Le reproche de déloyauté à l'égard de
la conférence, reproche formulé par les al-
liés, manque de fondement. Les alliés ont.
entamé des négociations particulières avec
les Soviets sans inviter les autres puissan-
ces à y participer. C'était déjà un coup porté
à la souveraineté de la conférence dont le
but essentiel était de ménager une issue
au maquis de Versailles. Ou bien on invite
l'Europe et ou la laisse parler, ou bien ou
ne l'invite pas. Les alliés étaient en train
de conclure un accord particulier avec les
Russes. Ce n'eût pas été un traité formel.
Mais on voulait forcer les Soviets dans des
entretiens officieux à reconnaître les con-
ditions des alliés dans les réunions offi-
cielles. Les autres participants, invités sur
pied d'égalité n'eussent eu qu'à approuver
ou s'en aller. On peut encore poser cette
question : les alliés ont-ils la même attitude
vis-à-vis de la Russie des Soviets ? L'An-
gleterre et l'Italie, divers neutres ont déjà
pris la liberté de conclure des accords com-
merciaux avec la Russie. Et si la France
n'a encore rien conclu, ce n'est pas faute
d'avoir pris contact. Les alliés ont donc, en
pratique, adopté la méthode que l'on re-
proche maintenant à l'Allemagne. Tout cela
ne change rien au fait que le nouveau traité
de Rapallo a créé à Gênes des difficultés qui
devront être surmontées. Car une question
plus importante que la question russe se
pose, la grande question de savoir si l'Eu-
rope discutera enfin sérieusement de ses af-
faires ou bien se laissera dicter sa conduite
par l'interdit de M. Poincaré.
FRANKFURTER ZEITUNG, 18.4, soir.
— Voici maintenant la question : quelle
répercussion aura la conclusion du traité ?
Les droits d'aucun état ne sont lésés par
la. signature de ce traité, et l'Allemagne,
loin de s'immiscer dans les affaires écono-
miques et sociales de la Russie, se borne
MINISTÈRE
>ÏA. DES
ÉTRANGÈRES
N° 2033
Jeudi 20 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
^ESSE ALLEMANDE. — Le traité germano
; russe (Th. Wolff dans Berliner Tage-
( blatt, ; Kôlnische Zeitung ; Frankfurter
f Zeitung ; Vorwaerts). — La réponse de
la commission des réparations à l'Alle-
magne (Georg Bernhard dans Vossische
Zeitung ; Deutsche Allgemeine Zeitung;
Berliner Lokal-Anzeiger).
* RESSE AMÉRICAINE. — Les frais d'occupation
des Etats-Unis (Public Ledger). — L'en-
registrement des- étrangers (Washiny
ton Post).
PftErSSE ANGLAISE. — Le traité germano-russe
,~ (Daily Chronicle, Morning Post, West-
11 ùnser Gazette). - Les réparations: les
projets d'emprunt international (Daily
Telegraph, H. Wilson Harris dans Daily
Atetes).
P"u't--SSE HOLLANDAISE. — Le traité germano-
russe (Telegraaf, Volk).
^ESSE ITALIENNE. — Le traité germano-russe
(Goffredo Bellonci dans Epoca; Mario
Borsa dans Secolo ; Filippo Sacchi dans
i Corriere della Sera ; G. Sprovieri dans
3 Monda; Stampa).
POLITIQUE GENERALE
f ——
f-
, LA CONFÉRENCE DE GÊNES
Lt TRAITE GERMANO-RUSSE. —
d nEs SE ALLEMANDE. — De Gênes, dimanche
Pâqu'es - On se montre toujours très ai-
'l,lbl-e avec nous. Les chefs de la délégation
ollfrnande, le Dr Wirth et le Dr Rathenau
Il,'' reçu la visite d'hommes d'Etat qui
3V ai. ent * témoigné jusqu'ici d'une attitude
Ut autre et ils reçurent des serrements
e ^aiins tout à fait surprenants.
Co lotis ceux qui avaient assisté cj. d'autres
nférenoeis d'après-guerre disaient : « Le
s est énorme ». Notamment les prin-
litaux personnages italiens, les personna-
h es dominantes du libéralisme anglais et
^Ueoup d'Américains dépassèrent les li-
jt-s d'une aimable courtoisie. La presse
itar lefnne s'est vivement élevée contre cer-
u.
tains informateurs français qui préten-
(la, s leur mauvaise humeur, qu'on
a it mal reçus et qui décriaient la
il ^tigieuse Gênes. Ces plaintes sont tout
incompréhensibles, car la population
jjJp ieriaie a eu une conduite exemplaire vis-
ls de tous ses hôtes. Les correspondants
français ont convenu, d'ailleurs, qu'ils
étaient bien traités. Pour nous aussi, l'im-
prossion est pleinement satisfaisante. Mais
la chaleur de ces manifestations ne se
laisse pas transporter et elle ne peut servir
à chauffer le foyer de l'Allemagne. Le ther-
momètre monte et le zéro est de beaucoup
dépassé ; mais nous avons besoin aussi
d'un mark qui monte. Il faut dire aussi
que parmi les grands alliés il y a quelques
retours à l'ancienne méthode.
Par exemple, le fait que les Allemands
ne participent pas aux négociations avec
les délégués russes. Sans doute, l'éloigne-
ment de ces débats critiques peut présen-
ter des avantages pour l'Allemagne sous
maints rapports. On verra peut-être bientôt
qu l'on n'est, pas complètement exclu pour
n'avoir pas pu s'asseoir à la table des déli-
bérations. En tout cas, l'Angleterre, la
France, l'Italie et la Belgique, en négociant
avec les Russes sans les Allemands ont
donné une entorse aux principes proclamés
par Lloyd George et Facta et tenté de res-
susciter le conseil suprême. L'étonnement
provoqué partout par ce procédé fut très
flatteur pour nous.
Sous cette première dépêche paraît, dans le
même numéro, la suivante:
De Gênes, lundi de Pâques : Les consi-
dérations du dimanche de Pâques deman-
dent, à être complétées aujourd'hui, car un
fait très important est intervenu. Un traité
a été conclu ici entre l'Allemagne et la
Russie ; il sera signé demain. Cet événe-
ment se préparait déjà à Berlin lorsque
Tchitcherine y séjourna. On peut penser
qu'il ne surprend pas toutes les autres
puissances. Aucun droit, aucune prescrip-
tion de la conférence ne sont violés et seuls
des critiques aveugles ou mal intentionnés
pourraient tenter de travestir les faits. Si
l'Allemagne s'entend avec les Russes, les
autres puissances voudront aussi s'enten-
dre avec eux, et ainsi on sert le principe
de la conférence et l'idée européenne. Tan-
dis que les hommes d'Etat des puissances
alliées soutiennent, comme bon leur sem-
let, leurs intérêts dans leurs négociations
avec les Russes, les chefs de la délégation
allemande ont défendu les intérêts alle-
mands comme c'est également leur droit. —
Th. Wolff.
BERLINER TAGEBALTT, 18. 4. matin.
, — De Gênes, 17 avril : L'impression faite
par le traité germano-russe s'accuse d'heure
en heure. Toute la journée on s'est de-
mandé qu'elle attitude les Français pren-
draient au sujet de ce traité. L'effet le plus
sensationnel est produit par le renonce-
ment de la Russie aux droits que lui ac-
corde le paragraphe 116 du traité de Ver-
sailles. On parle d'un succès extraordinaire
de la diplomatie, allemande et d'un succès
personnel du chancelier. Les neutres, les
Anglais et les Italiens célèbrent l'habileté
de la délégation allemande qui s'est tenue
à l'arrière plan bien qu'elle eût déjà son
succès, le traité, en poche. On dit de Wirth
et de Rathenau qu'ils dépassent pour le
tact et le talent diplomatique toute la diplo-
matie alliée. Il est caractéristique, dit-on,
que le premier grand succès de la confé-
rence ait été obtenu par les Allemands mis
en état d'infériorité. Les petits états écartés
des délibérations adressent en première
ligne leurs reproches aux Français et aux
Anglais et se sentent subitement attirés
vers les états vainqueurs pour des raisons
purement psychologiques.
KOELNISCHE ZEITUNG, 18. 4. soir.
— Le reproche de déloyauté à l'égard de
la conférence, reproche formulé par les al-
liés, manque de fondement. Les alliés ont.
entamé des négociations particulières avec
les Soviets sans inviter les autres puissan-
ces à y participer. C'était déjà un coup porté
à la souveraineté de la conférence dont le
but essentiel était de ménager une issue
au maquis de Versailles. Ou bien on invite
l'Europe et ou la laisse parler, ou bien ou
ne l'invite pas. Les alliés étaient en train
de conclure un accord particulier avec les
Russes. Ce n'eût pas été un traité formel.
Mais on voulait forcer les Soviets dans des
entretiens officieux à reconnaître les con-
ditions des alliés dans les réunions offi-
cielles. Les autres participants, invités sur
pied d'égalité n'eussent eu qu'à approuver
ou s'en aller. On peut encore poser cette
question : les alliés ont-ils la même attitude
vis-à-vis de la Russie des Soviets ? L'An-
gleterre et l'Italie, divers neutres ont déjà
pris la liberté de conclure des accords com-
merciaux avec la Russie. Et si la France
n'a encore rien conclu, ce n'est pas faute
d'avoir pris contact. Les alliés ont donc, en
pratique, adopté la méthode que l'on re-
proche maintenant à l'Allemagne. Tout cela
ne change rien au fait que le nouveau traité
de Rapallo a créé à Gênes des difficultés qui
devront être surmontées. Car une question
plus importante que la question russe se
pose, la grande question de savoir si l'Eu-
rope discutera enfin sérieusement de ses af-
faires ou bien se laissera dicter sa conduite
par l'interdit de M. Poincaré.
FRANKFURTER ZEITUNG, 18.4, soir.
— Voici maintenant la question : quelle
répercussion aura la conclusion du traité ?
Les droits d'aucun état ne sont lésés par
la. signature de ce traité, et l'Allemagne,
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