Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 avril 1922 17 avril 1922
Description : 1922/04/17 (T20,N2032)-1922/04/19. 1922/04/17 (T20,N2032)-1922/04/19.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253401s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE ,
DES
ib ?A,HES ÉTRANGÈRES
NB 2032
Lundi 17 - Mercredi 19 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
"* et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
~EssE ALLEMANDE. - Les ressources finan-
cières de l'Allemagne (Maximilian Har-
t den dans Zukunft). - La réponse de la
commission des réparations à l'Alle-
magne (Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Les dettes inter-
alliées (New York Tribune, Times-Pi-
- cayune). - Les; frais d'occupation des
Etats-Unis (Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE. - La conférence de Gê-
nes : la commission politique et les
,¡ affaires russes (Times, Morning Post,
} Daily Telegraph, Daily Chronicle, Daily
> Nelvs, Westminster Gazette, Daily He-
j rald) ; le traité germano-russe (Mor-
ning Post, Daily Telegraph).
PRESSE ESPAGNOLE. - La conférence de
Gênes : la commission politique et les
affaires russes (Accion).
PRESSE ITALIENNE.— La conférence de Gênes:
la commission politique et les affaires
russes (Mario Borsa dans Secolo) ;
l'Europe et la France (Corriere d'Italia).
***** ————————————
POLITIQUE GENERALE
1
J LA CONFÉRENCE DE GÊNES
1 LA COMMISSION POLITIQUE ET LES
AFFAIRES RUSSES. - PRESSE ANGLAISE. —
La presse anglaise dit 17 avril, envisage la
situation créée par la résistance des déle-
gués bolchevistes, aux propositions alliées.
[' Le Times s'alarme des dangers auxquels
l' Entente est exposée par la tournure nou-
velle des discussions.
A-t-on réfléchi, écrit le Times, aux consé-
quences que pourrait avoir l'isolement de
"I France : il serait néfaste pour le monde,
et Plus néfaste encore pour les alliés, no-
^rnent pour la Grande-Bretagne !. Les
ternis de l'Entente auront recours au jeu
pïïiilier, tant qu'on ne leur aura pas mon-
if^ par une manifestation décisive que
l'Entente est et demeure le pivot de la po
"t-ique britannique et française. Les pré-
tions émises samedi dernier par les bol-
cheviks donnent la mesure de leur sincé-
rité 1
>,.La Morning Post blâme « l'hésitation,
t¡nCOhé;rence et le manque de fermeté de M.
loyd George )).
L'homme qui lançait l'encyclique de mars
19 19 et signait pourtant le traité de Ver-
dies n'a pas changé ; il écarte de l'ordre
du jour de Gênés réparations et désarme-
ment, mais il accorde un statut d'égalité
aux bolcheviks et aux Allemands. Si M.
Lloyd George était demeuré fidèle à la pa-
role donnée à Versailles, il serait venu à
Gênes, en toute sûreté, jouissant de l'ap-
pui de la France et insensible aux raille-
ries bolchevistes, comme au silence de l'Al-
lemagne.
M. Wickham Steed (dépêche au Times
17-4), sans condamner l'attitude d'expecta-
tive « adoptée à l'égard des bolcheviks,
croit pouvoir constater une diminution du
prestige de la délégation britannique ; elle
résulte de l'indépendance prise par les
conservateurs envers M. Lloyd George. »
Les bolcheviks tiennent compte de cet élé-
ment. S'ils finissaient par faire des con-
cessions qui pourraient renforcer la situa-
tion électorale de M. Lloyd George, ils le
lui feraient payer un bon prix.
Le Daily Telegraph, 17-4, applaudit à la
désignation de Sir Philip Lloyd Greame,
sous-secrétaire d'Etat du commerce exté-
rieur, comme délégué à la conférence. Cette
nomination aurait quelque signification.
Sir Philip s'était rendu à Gênes, avec la
simple qualité de technicien, mais très
vite sa connaissance des affaires russes l'a
mis au premier plan, et, en l'absence de
Lord Curzon a fait de lui le bras droit du
premier ministre, dans les négociations dif-
ficiles avec les bolcheviks. En novembre
dernier Sir Philip présidait la délégation
britannique à la conférence internationale
de Bruxelles ; il avait remporté auparavant
un succès personnel très net en obtenant
du Quai d'Orsay que l'Allemagne fût invi-
tée à participer sur un pied d'égalité à cette
conférence. Sir Philip est un partisan con-
vaincu de la politique de M. Lloyd George,
mais il est loin cependant de partager la
prédilection pour les bolcheviks qui se re-
marque chez d'autres techniciens ; il ne
porte pas au gouvernement de Moscou le
même intérêt que M. Wisé, et l'on peut être
sûr qu'il ne perdra jamais de vue les inté-
rêts britanniques, avec quelque habileté que
la thèse adverse puisse être présentée.
Le Daily Chronicle 17-4 (correspondance
de M. Sidebotham) ne cache pas la lenteur
des négociations, mais croit, malgré tout, à
leur succès.
Le conflit sera probablement aplani. Tout
le monde a gardé son sang-froid de part et
d'autre ; seulement, les Russes restent des
« révolutionnaires conscients » et devien-
nent difficilement traitables, chaque fois
qu'une question de principe est soulevée. La
patience s'impose donc ; elle est aussi né-
cessaire que dans les ~négociations Irlandai-
ses. Les Russes ne reconnaissent pas suffi-
samment, dans certains cas, que nous som-
mes leurs meilleurs amis. Dans l'ensemble,
ils ne se montrent pas réfraetaires à un
compromis.
D'après M. Sidebotham, le premier mi-
nistre britannique n'aurait pas renoncé à *
l'idée d'un pacte général conclu par les
puissances européennes contre toute agres-
sion étrangère.
Le pacte s'inspirerait du traité du Paci-
fique de Washington, mais il ne serait pas
incorporé à un projet de désarmement. On
croit seulement que le désarmement serait
la conséquence de l'évolution morale cau-
sée par le pacte, plutôt que le résultat d'un
accord formel conclu à la conférence. A
l'égard des sanctions, selon le point de vue
britannique, il n'y aurait pas d'utilité à
envisager des sanctions d'ordre matériel
parce qu'elles évoquent la diplomatie mili-
tariste qu'il s'agit précisément de rempla-
cer.
Cette assertion est à rapprocher d'un télé-
gramme du correspondant du Daily Tele-
graph. M. Lloyd George n'entend pas sou-
lever à Gênes la question dès vacances
militaires ; selon la délégation britannique,
les accords qui pourraient être passés àr
Gênes ne devront pas entraîner de scmç,
tions.
L'envoyé de la Daily Chronicle conclut
par cette appréciation sur l'attitude de la
France :
J'apprends qu'il y a de fortes chances
pour que M. Poincaré se rende à la confé-
rence. Je ne serais pas surpris que l'on
assistât à une modification complète de son
attitude. Les Français sont un peuple logi-
que, prompt à reconnaître la logique des
faits.Dans ce cas, la patience dont M. Lloyd
George a usé à leur égard serait ample-
ment justifiée.
Une partie de In presse - tous les
organes de l'opposition radicale et travail-
liste, — conseille à la France de modifier
son attitude, et de cesser de se montrer
irréductible sur la question des garanties.
Les Daily News, 17.4, souhaitent, comme
M. Sidebotham, la venue prochaine de
M. Poincaré à la conférence.
Il faut que la France se décide à faire
partie ou non de la nouvelle Europe : nous
ne pouvons supposer qu'elle envisage la
deuxième hypothèse. Personne ne désire,
comme on assure qu'elle le suppose, l'iso-
ler. Son isolement, qui devient assurément
une possibilité imminente, serait provoqué
par elle et non par ses voisins. L'Europe
souhaite la paix et la reconstruction écono-
mique, et veut à cette fin, oublier les dis-
cussions entre vainqueurs et vaincus, bel-
ligérants et neutres. Elle entend abolir les
dépenses d'armements et consacrer toutes
les ressources financières à l'activité éco-
nomique. En dépit du veto que la France
peut imposer à Gênes, l'Europe trouvera
DES
ib ?A,HES ÉTRANGÈRES
NB 2032
Lundi 17 - Mercredi 19 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
"* et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
~EssE ALLEMANDE. - Les ressources finan-
cières de l'Allemagne (Maximilian Har-
t den dans Zukunft). - La réponse de la
commission des réparations à l'Alle-
magne (Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Les dettes inter-
alliées (New York Tribune, Times-Pi-
- cayune). - Les; frais d'occupation des
Etats-Unis (Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE. - La conférence de Gê-
nes : la commission politique et les
,¡ affaires russes (Times, Morning Post,
} Daily Telegraph, Daily Chronicle, Daily
> Nelvs, Westminster Gazette, Daily He-
j rald) ; le traité germano-russe (Mor-
ning Post, Daily Telegraph).
PRESSE ESPAGNOLE. - La conférence de
Gênes : la commission politique et les
affaires russes (Accion).
PRESSE ITALIENNE.— La conférence de Gênes:
la commission politique et les affaires
russes (Mario Borsa dans Secolo) ;
l'Europe et la France (Corriere d'Italia).
***** ————————————
POLITIQUE GENERALE
1
J LA CONFÉRENCE DE GÊNES
1 LA COMMISSION POLITIQUE ET LES
AFFAIRES RUSSES. - PRESSE ANGLAISE. —
La presse anglaise dit 17 avril, envisage la
situation créée par la résistance des déle-
gués bolchevistes, aux propositions alliées.
[' Le Times s'alarme des dangers auxquels
l' Entente est exposée par la tournure nou-
velle des discussions.
A-t-on réfléchi, écrit le Times, aux consé-
quences que pourrait avoir l'isolement de
"I France : il serait néfaste pour le monde,
et Plus néfaste encore pour les alliés, no-
^rnent pour la Grande-Bretagne !. Les
ternis de l'Entente auront recours au jeu
pïïiilier, tant qu'on ne leur aura pas mon-
if^ par une manifestation décisive que
l'Entente est et demeure le pivot de la po
"t-ique britannique et française. Les pré-
tions émises samedi dernier par les bol-
cheviks donnent la mesure de leur sincé-
rité 1
>,.La Morning Post blâme « l'hésitation,
t¡nCOhé;rence et le manque de fermeté de M.
loyd George )).
L'homme qui lançait l'encyclique de mars
19 19 et signait pourtant le traité de Ver-
dies n'a pas changé ; il écarte de l'ordre
du jour de Gênés réparations et désarme-
ment, mais il accorde un statut d'égalité
aux bolcheviks et aux Allemands. Si M.
Lloyd George était demeuré fidèle à la pa-
role donnée à Versailles, il serait venu à
Gênes, en toute sûreté, jouissant de l'ap-
pui de la France et insensible aux raille-
ries bolchevistes, comme au silence de l'Al-
lemagne.
M. Wickham Steed (dépêche au Times
17-4), sans condamner l'attitude d'expecta-
tive « adoptée à l'égard des bolcheviks,
croit pouvoir constater une diminution du
prestige de la délégation britannique ; elle
résulte de l'indépendance prise par les
conservateurs envers M. Lloyd George. »
Les bolcheviks tiennent compte de cet élé-
ment. S'ils finissaient par faire des con-
cessions qui pourraient renforcer la situa-
tion électorale de M. Lloyd George, ils le
lui feraient payer un bon prix.
Le Daily Telegraph, 17-4, applaudit à la
désignation de Sir Philip Lloyd Greame,
sous-secrétaire d'Etat du commerce exté-
rieur, comme délégué à la conférence. Cette
nomination aurait quelque signification.
Sir Philip s'était rendu à Gênes, avec la
simple qualité de technicien, mais très
vite sa connaissance des affaires russes l'a
mis au premier plan, et, en l'absence de
Lord Curzon a fait de lui le bras droit du
premier ministre, dans les négociations dif-
ficiles avec les bolcheviks. En novembre
dernier Sir Philip présidait la délégation
britannique à la conférence internationale
de Bruxelles ; il avait remporté auparavant
un succès personnel très net en obtenant
du Quai d'Orsay que l'Allemagne fût invi-
tée à participer sur un pied d'égalité à cette
conférence. Sir Philip est un partisan con-
vaincu de la politique de M. Lloyd George,
mais il est loin cependant de partager la
prédilection pour les bolcheviks qui se re-
marque chez d'autres techniciens ; il ne
porte pas au gouvernement de Moscou le
même intérêt que M. Wisé, et l'on peut être
sûr qu'il ne perdra jamais de vue les inté-
rêts britanniques, avec quelque habileté que
la thèse adverse puisse être présentée.
Le Daily Chronicle 17-4 (correspondance
de M. Sidebotham) ne cache pas la lenteur
des négociations, mais croit, malgré tout, à
leur succès.
Le conflit sera probablement aplani. Tout
le monde a gardé son sang-froid de part et
d'autre ; seulement, les Russes restent des
« révolutionnaires conscients » et devien-
nent difficilement traitables, chaque fois
qu'une question de principe est soulevée. La
patience s'impose donc ; elle est aussi né-
cessaire que dans les ~négociations Irlandai-
ses. Les Russes ne reconnaissent pas suffi-
samment, dans certains cas, que nous som-
mes leurs meilleurs amis. Dans l'ensemble,
ils ne se montrent pas réfraetaires à un
compromis.
D'après M. Sidebotham, le premier mi-
nistre britannique n'aurait pas renoncé à *
l'idée d'un pacte général conclu par les
puissances européennes contre toute agres-
sion étrangère.
Le pacte s'inspirerait du traité du Paci-
fique de Washington, mais il ne serait pas
incorporé à un projet de désarmement. On
croit seulement que le désarmement serait
la conséquence de l'évolution morale cau-
sée par le pacte, plutôt que le résultat d'un
accord formel conclu à la conférence. A
l'égard des sanctions, selon le point de vue
britannique, il n'y aurait pas d'utilité à
envisager des sanctions d'ordre matériel
parce qu'elles évoquent la diplomatie mili-
tariste qu'il s'agit précisément de rempla-
cer.
Cette assertion est à rapprocher d'un télé-
gramme du correspondant du Daily Tele-
graph. M. Lloyd George n'entend pas sou-
lever à Gênes la question dès vacances
militaires ; selon la délégation britannique,
les accords qui pourraient être passés àr
Gênes ne devront pas entraîner de scmç,
tions.
L'envoyé de la Daily Chronicle conclut
par cette appréciation sur l'attitude de la
France :
J'apprends qu'il y a de fortes chances
pour que M. Poincaré se rende à la confé-
rence. Je ne serais pas surpris que l'on
assistât à une modification complète de son
attitude. Les Français sont un peuple logi-
que, prompt à reconnaître la logique des
faits.Dans ce cas, la patience dont M. Lloyd
George a usé à leur égard serait ample-
ment justifiée.
Une partie de In presse - tous les
organes de l'opposition radicale et travail-
liste, — conseille à la France de modifier
son attitude, et de cesser de se montrer
irréductible sur la question des garanties.
Les Daily News, 17.4, souhaitent, comme
M. Sidebotham, la venue prochaine de
M. Poincaré à la conférence.
Il faut que la France se décide à faire
partie ou non de la nouvelle Europe : nous
ne pouvons supposer qu'elle envisage la
deuxième hypothèse. Personne ne désire,
comme on assure qu'elle le suppose, l'iso-
ler. Son isolement, qui devient assurément
une possibilité imminente, serait provoqué
par elle et non par ses voisins. L'Europe
souhaite la paix et la reconstruction écono-
mique, et veut à cette fin, oublier les dis-
cussions entre vainqueurs et vaincus, bel-
ligérants et neutres. Elle entend abolir les
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