Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 avril 1922 06 avril 1922
Description : 1922/04/06 (T20,N2023). 1922/04/06 (T20,N2023).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533928
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE *
DBfI
tPPAlaBS ÉTRANGÈRES
N° 2023
Jeudi 6 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
ROTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P
FRESSE ALLEMANDE. - Le discours de
M. Lloyd George aux Communes, le
3 avril (Frankfurter Zeitung). — Les
déclarations de M. Houghton, ambas-
sadeur des Etats-Unis à Berlin, avant
son départ des Etats-Unis (baron von
Lersner, dans Tægliche Rundschau.
PRESSE ANGLAISE. — L'admission des Soviets
russes à Gênes : la reconnaissance
de jure (Glasgow Herald) ; les Soviets
et leurs voisins (Daily News).
PRESSE AUTRICHIENNE. — La conférence de
Gênes : le débat à la Chambre française
[Arbeiter Zeitung).
PREssE BELGE. — La conférence de Gênes :
le débat à la Chambre française (Nation
Belge) ; le discours de M. Lloyd George
aux Communes, le 3 avril (lndépen
dance Belge).
P
RES SE ESPAGNOLE. - Le Maroc et le pro-
blème oriental (Camilo Barcia, dans
Libertad).
PRESSE ITALIENNE. - L'Italie et la conférence
de Gênes (Mondo)-
"«•A- i
-
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
U DEBAT A LA CHAMBRE FRAN-
TÈF — PRESSE AUTRICHIENNE. — Le carac-
QI, de la conférence de Gênes est
et européenne, ce qui explique ses qualités
et es défauts :
I^'éserivce de l'Allemagne et de la
d~a 'Sle des Soviets est un progrès, l'absence
®^tinA Gênes l'Europe abandonnée à elle-
même assistera au duel entre la politique
Çot*irn frciale britannique et la politique fi-
tlanci*ere et militaire de la France. La ruine
t~nuvoir d'achat de l'Allemagne et de la
ussie transforme en déserts les régions
'ndll ,1 i. eLes britanniques, jette sur le pavé
•eSo Y'^ers anglais et ébranle dans ses fon-
eet s toute l'organisation économique de
çât ern P'Pe mondial puissant mais sensible à
dépr:?e sa complexité. Le mark allemand
~è fait une concurrence irrésistible
^ïit à l'industrie anglaise qu'aux états neu-
tres industriels. Gonflits sociaux innterrom-
pus, vie de plus en plus difficile pour de
nombreuses classes, troubles sociaux, pro-
grès de l'esprit révolutionnaire parmi les
masses, telles sont les conséquences de la
politique française des réparations.
Tandis que la politique des militaires et
des financiers français expose les forces
conservatrices de l'Europe entière à l'assaut
sans cesse renouvelé des masses réduites à
la misère, elle devient le plus ferme soutien
de la réaction française dans son propre
pays. La France n'est pas un pays d' indus-
trie et d'exportation, elle est donc relative-
ment peu intéressée à la reconstitution du
marché international. Elle l'est d'autant plus
aux paiements de l'Allemagne parce qu'ils
lui permettent de ne pas serrer la vis des
impôts comme dans les autres pays. Tant
que se vérifie la vieille formule « le Boche
doit tout payer », tant que l'ouvrier alle-
mand peut subvenir aux dépenses de l'énor-
me armée française, tant que les paysans et
les petits rentiers ont en France une vie
supportable et les ouvriers du travail, ces
Messieurs du bloc national ne sont pas in-
quiets pour leur pouvoir. On peut dire au-
jourd'hui sans exagération que cette poli-
tique française a soumis le monde européen
et qu'une grande partie de la détresse et de
la misère répandues sur tous les pays est la
conséquence de la politique française. Le
bloc national, en défendant sa politique
réactionnaire, ruine l'Europe entière. Cette
opposition entre la politique militaire et fi-
nancière de la force d'une part et les néces-
sités économiques des états industriels de
l'autre sera le véritable caractère politique
de la conférence de Gênes. C'est dans une
certaine mesure une lutte de classes entre
le capitalisme commercial et financier, entre
l'impérialisme économique et militaire, dé-
mocratique et oligarchique qui se livrera à
Gênes. 1
ARBEITER ZEITUNG, 2.4.
PRESSE BELGE. — Il est naturel que M.
Poincaré ait laissé pressentir que la France
pourrait ne pas se rendre au Congrès si
elle n'avait pas obtenu d'ici là les garanties
nécessaires, qu'elle pourrait s'en retirer si
les conditions de Boulogne n'étaient res-
pectées ni par l'Allemagne ni par les So-
viets.
A cette perspective d'un départ de la dé-
légation française, quelques personnes s'in-
quiètent ici ou feignent de s'inquiéter. Cer-
tes mieux vaudrait ne pas aller à Gênes
que d'en partir. Mais les Etats-Unis s'abs-
tiennent. S'en portent-ils plus mal ? Pour-
tant, s'il est vrai, comme le répète à son
tour Tchitcherine, que le monde économi-
que forme un tout, il est absurde de son-
ger à reconstruire l'Europe sans le concours
américain, d'autant plus absurde que la
Russie, comprise dans l'Europe, est pour
sa moitié sibérienne un pays d'Asie et se
confond avec le continent asiatique, où les
Etats-Unis ont des intérêts.
L'abstention de la France, après celle de
l'Amérique, rendrait encore plus vaine la
reconstruction. Et ce ne serait pas une ca-
tastrophe pour nous. On dit que nous n'en
serions que plus isolés. Qu'en sait-on ? Qui
assure que nous ne serions pas suivis ? li
n'y a, même en Angleterre, qu'un enthou-
siasme très médiocre pour le Congrès de
Gênes. L'indulgence pour l'Allemagne et
pour les Soviets n'est pas vue partout avec
faveur. Les pays qui bordent la Russie
rouge ont des raisons de se méfier d'elle.
Les pays neutres ne sont pas très désireux
d'encourager la révolution.
Ainsi la France ne risquera pas autant
qu'on fait semblant de le craindre à pren-
dre à Gênes une attitude ferme et dictée
par fa raison. Pour rallier les amitiés, il
faut commencer par savoir ce que l'oij
veut et le vouloir bien. — Jacques Bain-
ville.
NATION BELGE, 5.4.
LE DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
AUX COMMUNES, LE 3 AVRIL. — PRESSE ALLE-
MANDE — Ceux qui espéraient devront en
rabattre un peu de leurs espérances après
le discours prononcé hier par le Premier
anglais. Lloyd George a fait encore une
fois amende honorable. Non pas tout à fait
comme il y a trois ans. Ce n'est plus en
effet aussi nécessaire, car la propre misère
économique de l'Angleterre parle assez
clairement. Mais il s'est à nouveau plié
selon la volonté de son entourage.
Le groupe de la majorité de la coalition,
le parti unioniste, ne le suit qu'à contre-
cœur sous la bannière de la coalition ; il a
pu imposer au Premier l'obligation de ne
conclure à Gênes aucun engagement sans
consulter la représentation nationale. Un
Lloyd George chargé de tels liens pourra
difficilement venir en combattant à Gênes,
il ne sera pas en état de s'opposer aux
puissances qui combattent sa politique
d'entente et de livrer une bataille ; un tel
Lloyd George sera faible en -face de la
France de Poincaré.
Son dernier discours le laisse entrevoir.
C'est peut être un morceau de maître dans
l'art de la jonglerie, mais non pas un cou-
rageux discours de combat.
La France, en tous cas, a raison d'être
à peu près tranquillisée. A peu près seule-
ment, car l'habile technicien n'a rien né-
gligé pour se ménager des portes de sor-
tie. En dépit de l'interdiction de Boulogne.
Lloyd George a insisté sur le fait que les
grands armements multiplient les charges
des contribuables déjà écrasés et accrois-
DBfI
tPPAlaBS ÉTRANGÈRES
N° 2023
Jeudi 6 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
ROTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P
FRESSE ALLEMANDE. - Le discours de
M. Lloyd George aux Communes, le
3 avril (Frankfurter Zeitung). — Les
déclarations de M. Houghton, ambas-
sadeur des Etats-Unis à Berlin, avant
son départ des Etats-Unis (baron von
Lersner, dans Tægliche Rundschau.
PRESSE ANGLAISE. — L'admission des Soviets
russes à Gênes : la reconnaissance
de jure (Glasgow Herald) ; les Soviets
et leurs voisins (Daily News).
PRESSE AUTRICHIENNE. — La conférence de
Gênes : le débat à la Chambre française
[Arbeiter Zeitung).
PREssE BELGE. — La conférence de Gênes :
le débat à la Chambre française (Nation
Belge) ; le discours de M. Lloyd George
aux Communes, le 3 avril (lndépen
dance Belge).
P
RES SE ESPAGNOLE. - Le Maroc et le pro-
blème oriental (Camilo Barcia, dans
Libertad).
PRESSE ITALIENNE. - L'Italie et la conférence
de Gênes (Mondo)-
"«•A- i
-
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
U DEBAT A LA CHAMBRE FRAN-
TÈF — PRESSE AUTRICHIENNE. — Le carac-
QI, de la conférence de Gênes est
et européenne, ce qui explique ses qualités
et es défauts :
I^'éserivce de l'Allemagne et de la
d~a 'Sle des Soviets est un progrès, l'absence
®^tin
même assistera au duel entre la politique
Çot*irn frciale britannique et la politique fi-
tlanci*ere et militaire de la France. La ruine
t~nuvoir d'achat de l'Allemagne et de la
ussie transforme en déserts les régions
'ndll ,1 i. eLes britanniques, jette sur le pavé
•eSo Y'^ers anglais et ébranle dans ses fon-
eet s toute l'organisation économique de
çât ern P'Pe mondial puissant mais sensible à
dépr:?e sa complexité. Le mark allemand
~è fait une concurrence irrésistible
^ïit à l'industrie anglaise qu'aux états neu-
tres industriels. Gonflits sociaux innterrom-
pus, vie de plus en plus difficile pour de
nombreuses classes, troubles sociaux, pro-
grès de l'esprit révolutionnaire parmi les
masses, telles sont les conséquences de la
politique française des réparations.
Tandis que la politique des militaires et
des financiers français expose les forces
conservatrices de l'Europe entière à l'assaut
sans cesse renouvelé des masses réduites à
la misère, elle devient le plus ferme soutien
de la réaction française dans son propre
pays. La France n'est pas un pays d' indus-
trie et d'exportation, elle est donc relative-
ment peu intéressée à la reconstitution du
marché international. Elle l'est d'autant plus
aux paiements de l'Allemagne parce qu'ils
lui permettent de ne pas serrer la vis des
impôts comme dans les autres pays. Tant
que se vérifie la vieille formule « le Boche
doit tout payer », tant que l'ouvrier alle-
mand peut subvenir aux dépenses de l'énor-
me armée française, tant que les paysans et
les petits rentiers ont en France une vie
supportable et les ouvriers du travail, ces
Messieurs du bloc national ne sont pas in-
quiets pour leur pouvoir. On peut dire au-
jourd'hui sans exagération que cette poli-
tique française a soumis le monde européen
et qu'une grande partie de la détresse et de
la misère répandues sur tous les pays est la
conséquence de la politique française. Le
bloc national, en défendant sa politique
réactionnaire, ruine l'Europe entière. Cette
opposition entre la politique militaire et fi-
nancière de la force d'une part et les néces-
sités économiques des états industriels de
l'autre sera le véritable caractère politique
de la conférence de Gênes. C'est dans une
certaine mesure une lutte de classes entre
le capitalisme commercial et financier, entre
l'impérialisme économique et militaire, dé-
mocratique et oligarchique qui se livrera à
Gênes. 1
ARBEITER ZEITUNG, 2.4.
PRESSE BELGE. — Il est naturel que M.
Poincaré ait laissé pressentir que la France
pourrait ne pas se rendre au Congrès si
elle n'avait pas obtenu d'ici là les garanties
nécessaires, qu'elle pourrait s'en retirer si
les conditions de Boulogne n'étaient res-
pectées ni par l'Allemagne ni par les So-
viets.
A cette perspective d'un départ de la dé-
légation française, quelques personnes s'in-
quiètent ici ou feignent de s'inquiéter. Cer-
tes mieux vaudrait ne pas aller à Gênes
que d'en partir. Mais les Etats-Unis s'abs-
tiennent. S'en portent-ils plus mal ? Pour-
tant, s'il est vrai, comme le répète à son
tour Tchitcherine, que le monde économi-
que forme un tout, il est absurde de son-
ger à reconstruire l'Europe sans le concours
américain, d'autant plus absurde que la
Russie, comprise dans l'Europe, est pour
sa moitié sibérienne un pays d'Asie et se
confond avec le continent asiatique, où les
Etats-Unis ont des intérêts.
L'abstention de la France, après celle de
l'Amérique, rendrait encore plus vaine la
reconstruction. Et ce ne serait pas une ca-
tastrophe pour nous. On dit que nous n'en
serions que plus isolés. Qu'en sait-on ? Qui
assure que nous ne serions pas suivis ? li
n'y a, même en Angleterre, qu'un enthou-
siasme très médiocre pour le Congrès de
Gênes. L'indulgence pour l'Allemagne et
pour les Soviets n'est pas vue partout avec
faveur. Les pays qui bordent la Russie
rouge ont des raisons de se méfier d'elle.
Les pays neutres ne sont pas très désireux
d'encourager la révolution.
Ainsi la France ne risquera pas autant
qu'on fait semblant de le craindre à pren-
dre à Gênes une attitude ferme et dictée
par fa raison. Pour rallier les amitiés, il
faut commencer par savoir ce que l'oij
veut et le vouloir bien. — Jacques Bain-
ville.
NATION BELGE, 5.4.
LE DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
AUX COMMUNES, LE 3 AVRIL. — PRESSE ALLE-
MANDE — Ceux qui espéraient devront en
rabattre un peu de leurs espérances après
le discours prononcé hier par le Premier
anglais. Lloyd George a fait encore une
fois amende honorable. Non pas tout à fait
comme il y a trois ans. Ce n'est plus en
effet aussi nécessaire, car la propre misère
économique de l'Angleterre parle assez
clairement. Mais il s'est à nouveau plié
selon la volonté de son entourage.
Le groupe de la majorité de la coalition,
le parti unioniste, ne le suit qu'à contre-
cœur sous la bannière de la coalition ; il a
pu imposer au Premier l'obligation de ne
conclure à Gênes aucun engagement sans
consulter la représentation nationale. Un
Lloyd George chargé de tels liens pourra
difficilement venir en combattant à Gênes,
il ne sera pas en état de s'opposer aux
puissances qui combattent sa politique
d'entente et de livrer une bataille ; un tel
Lloyd George sera faible en -face de la
France de Poincaré.
Son dernier discours le laisse entrevoir.
C'est peut être un morceau de maître dans
l'art de la jonglerie, mais non pas un cou-
rageux discours de combat.
La France, en tous cas, a raison d'être
à peu près tranquillisée. A peu près seule-
ment, car l'habile technicien n'a rien né-
gligé pour se ménager des portes de sor-
tie. En dépit de l'interdiction de Boulogne.
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