Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 avril 1922 07 avril 1922
Description : 1922/04/07 (T20,N2024). 1922/04/07 (T20,N2024).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253393p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
--
IF
, 1>88
klhes ÉTRANGÈRES
N° 2024
Vendredi 7 avril 1922
a
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
t~- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ci 1 ALLEMANDE. — Une solution commer-
cki e, du problème des réparations
(D rllner Tageblatt). — Le discours de
M ]°yd George aux Communes, le
3 VTil (Vossische Zeitung. Vorwcerfs).
(Ill) Les déclarations de M- Houghton,
ûassadeur des Etats-Unis, avant son
b epart pour l'Europe (München-Aiigs-
b Urger Abendzeitung).
PJJ SeAMÉRICAINE. — Rappel d'attachés mi-
lit aires (New York Tribune). — La
crise de la- coalition britannique (New
V
P. ANGLAISE. — « Le fléau du milita-
risrn (Hound Table). —. Le discours
3 e ~- Lloyd George aux Communes, le
3 avril (Seotsman). — La Pologne et les
OVlets russes : « L'erreur de l'envoyé
J°;niais )>. — Les intérêts des dettes
a.liées (Daily Chronicle, Daily News).
POLITIQUE GENERALE
0^>Q|NEs
E'r RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
RLEAU DU MILITARISME ». -
bQn 8 'ln article intitulé : « Un programme
JfjJ y tnpire britannique », la revue an-
Z."E ROUND TABLE donne le chapitre
ant :
", <( LE FLÉAU DU MILITARISME »
fQellts On examine impartialement les événe-
des 'cinq dernières années, on ne
ve Pais motif à désespérer malgré les
%bie S t'u moment. Les causes radicales
P la (]ernière guerre ont été supprimées, et
°ti a Ur, premier pas pour assurer un
Ce n'est qu'un commencement et il
?tréeii0Ilaien'' à redouter que, par l'effet de
q!\s ctlon quJ s'est manifestée depuis deux
ans, non seulement. aucun progrès ne soit
isé rriais encore que les gains soient
titis. Par dessus tout, on a fait bien
!~Po) atteindre le dernier grand objectif
it 1 grand-e guerre, - il n'y a plus de
S' à Perdre.
Sili0 US ^ons aujourd'hui un coup d'œil
dUT' L ^°Pei — et elle est encore le centre
e, quoique à un moindre degré
vam 1914 — on a déblayé le terrain de
quelques-unes des principales causes de la
dernière guerre, mais beaucoup subsistent.
Si les nationalités sont libérées et si les em-
pires militaires sont tombés, la méfiance
que les nouvelles races et les états d'Eu-
rope éprouvent les uns à l'égard des autres,
ne parait pas avoir diminué. Le culte de
l'égoïsme sur la forme de la nationalité ou
de l'Etat paraît aussi développé que jamais.
L'Europe n'a pas encore manifesté le moin-
dre sens d'unité ou de fraternité parmi ses
peuples.
Et en France règne un grand parti, à
l'heure actuelle prédominant, qui souhaite
transformer les traités de 1919 en un ins-
trument légal de paix et de stabilité pour
l'Europe, par des moyens purement mili-
taires. Selon ce parti, la sécurité de l'ave-
nir consiste à exiger de l'Allemagne le maxi-
mum de réparations pour prévenir sa res-
tauration économique, à insister vigoureuse-
ment sur son désarmement dans les termes
du traité de Versailles, et à maintenir à per-
pétuité l'occupation alliée de la Rhénanie
sous le prétexte que l'Allemagne n'a pas
rempli à la lettre les obligations du traité.
La sanction de ce programme se trouve
dans l'établissement d'une alliance mili-
taire entre la France, avec une armée de
660.000 hommes, la Tchéco-Slovaquie avec
150.000, la Pologne avec 285.000, la Rouma-
nie avec 160.000 et la Yougoslavie avec
160.000, le tout sous le commandement, du
maréchal Foch, de telle sorte qu'au moindre
mouvement de protestation ou de révolte
de la part des puissances hier ennemies,
l'alliance puisse instantanément les écraser.
Et le but de M. Poincaré est de décider le
gouvernement britannique à souscrire à ce
système militaire européen- en faisant une
alliance anglo-française promettant l'aide
militaire de la Grande-Bretagne dans tous
les cas d'infraction de l'Allemagne au traité
de Versailles.
Heureusement, le gouvernement britanni-
que a refusé. Il veut bien aider à exiger de
l'Allemagne le maximum de réparations
qu'elle peut payer sans ruiner elle-même
et l'Europe. Il insiste pour que l'Allemagne
se conforme aux clauses du traité relati-
ves au désarmement. Il a offert de garantir
à la France l'aide totale de la Grande-Bre-
tagne dans le cas d'agression directe et non
provoquée 'de la part de l'Allemagne. Mais
le gouvernement anglais n'ira pas plus
loin. -
Le système Poincaré, en vérité, ne laisse
aucun espoir. Il mène inévitablement a une
nouvelle guerre, car on ne peut croire qu'un
peuple puissant et ardent comme l'Allema-
gne se résignera pour toujours à obéir
docilement à chaque moulinet de l'épée du
maréchal Foch. Et il a pour résultat de pro-
voquer une agitation perpétuelle, car cha-
que mouvement d'indépendance doit abou-
tir à une crise militaire en vue d'imposer
la soumission sous la menace de pénalités
militaires. %,
En outre, ce système est inapplicable. Il
suppose que les intérêts de la Pologne et
de la Petite Entente sont les mêmes que
ceux de la France. Il méconnaît la renais-
sance de la Russie, qui modifiera complè-
tement l'équilibre européen. Il oublie que
les peuples de l'Europe ne peuvent équili-
brer leurs budgets et retrouver la prospé-
rité sans réduire leurs dépenses au mini-
mum d'armements. Il ne voit pas que le
reste du monde réprouve avec véhémence
une politique que caractérisent l'instabilité,
la crise des changes et la précarité du com-
merce, et que la France s'est déjà prati-
quement isolée en poursuivant une telle
politique.
, Il ignore, ce qui est l'évidence même, que
l'opinion britannique ne peut pas plus to-
lérer l'hégémonie militaire de la France
sur l'Europe, qu'une hégémonie allemande
ou napoléonienne, constante menace à la
liberté et à la démocratie. Et, enfin, le sys-
tème est impuissant à reconnaître que la
base fondamentale du plan, l'armée fran-
çaise, est elle-même en voie de décompo-
sition. La France, d'autre part — ravagée
et dépeuplée — n'est pas assez forte pour
conserver une telle force militaire. Déjà le
système militaire de la France, présuppose
qu'un tiers de l'armée continentale devra
consister en Africains du Nord, — sans
compter les Sénégalais et les Annamites.
Pourtant le sentiment nationaliste et mu-
sulman prend de l'extension à travers
l'Afrique du Nord. Des races qui ne se sou-
ciaient en rien du monde extérieur com-
mencent maintenant, sous l'effet de l'agi-
tation menée en leurs pays, à parler des
droits et des forts de la Turquie. Nous
voyons d'ici le spectacle d'une France rom-
pant avec les alliés qui peuvent réellement
la secourir, pour aller traiter avec le plus
impitoyable et le plus cruel de nos ennemis
dans la dernière guerre — les Turcs d'An-
gora — et cela en vue de paraître à tout
prix l'amie de l'Islam, et de faire échec,
ne fût-ce que pour un temps, à l'extension
d'une propagande destinée avant longtemps
à saper la base sur laquelle repose en Eu-
rope sa politique militaire.
Il n'est pas besoin, en vérité, de dons
très prophétiques pour prédire que la po-
litique Poincaré pour l'avenir de la France,
des alliés et de l'Europe, sera, avant qu'il
soit longtemps, morte et enterrée. Et le plus
tôt sera le mieux, car tant qu'elle triom-
phera, cette amitié naturelle entre la
France et la Grande-Bretagne — si forte-
ment accentuée par la guerre, si nécessaire
à la paix et au progrès de l'Europe, - re
pourra être rétablie.
IF
, 1>88
klhes ÉTRANGÈRES
N° 2024
Vendredi 7 avril 1922
a
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
t~- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ci 1 ALLEMANDE. — Une solution commer-
cki e, du problème des réparations
(D rllner Tageblatt). — Le discours de
M ]°yd George aux Communes, le
3 VTil (Vossische Zeitung. Vorwcerfs).
(Ill) Les déclarations de M- Houghton,
ûassadeur des Etats-Unis, avant son
b epart pour l'Europe (München-Aiigs-
b Urger Abendzeitung).
PJJ SeAMÉRICAINE. — Rappel d'attachés mi-
lit aires (New York Tribune). — La
crise de la- coalition britannique (New
V
P. ANGLAISE. — « Le fléau du milita-
risrn (Hound Table). —. Le discours
3 e ~- Lloyd George aux Communes, le
3 avril (Seotsman). — La Pologne et les
OVlets russes : « L'erreur de l'envoyé
J°;niais )>. — Les intérêts des dettes
a.liées (Daily Chronicle, Daily News).
POLITIQUE GENERALE
0^>Q|NEs
E'r RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
RLEAU DU MILITARISME ». -
bQn 8 'ln article intitulé : « Un programme
JfjJ y tnpire britannique », la revue an-
Z."E ROUND TABLE donne le chapitre
ant :
", <( LE FLÉAU DU MILITARISME »
fQellts On examine impartialement les événe-
des 'cinq dernières années, on ne
ve Pais motif à désespérer malgré les
%bie S t'u moment. Les causes radicales
P la (]ernière guerre ont été supprimées, et
°ti a Ur, premier pas pour assurer un
Ce n'est qu'un commencement et il
?tréeii0Ilaien'' à redouter que, par l'effet de
q!\s ctlon quJ s'est manifestée depuis deux
ans, non seulement. aucun progrès ne soit
isé rriais encore que les gains soient
titis. Par dessus tout, on a fait bien
!~Po) atteindre le dernier grand objectif
it 1 grand-e guerre, - il n'y a plus de
S' à Perdre.
Sili0 US ^ons aujourd'hui un coup d'œil
dUT' L ^°Pei — et elle est encore le centre
e, quoique à un moindre degré
vam 1914 — on a déblayé le terrain de
quelques-unes des principales causes de la
dernière guerre, mais beaucoup subsistent.
Si les nationalités sont libérées et si les em-
pires militaires sont tombés, la méfiance
que les nouvelles races et les états d'Eu-
rope éprouvent les uns à l'égard des autres,
ne parait pas avoir diminué. Le culte de
l'égoïsme sur la forme de la nationalité ou
de l'Etat paraît aussi développé que jamais.
L'Europe n'a pas encore manifesté le moin-
dre sens d'unité ou de fraternité parmi ses
peuples.
Et en France règne un grand parti, à
l'heure actuelle prédominant, qui souhaite
transformer les traités de 1919 en un ins-
trument légal de paix et de stabilité pour
l'Europe, par des moyens purement mili-
taires. Selon ce parti, la sécurité de l'ave-
nir consiste à exiger de l'Allemagne le maxi-
mum de réparations pour prévenir sa res-
tauration économique, à insister vigoureuse-
ment sur son désarmement dans les termes
du traité de Versailles, et à maintenir à per-
pétuité l'occupation alliée de la Rhénanie
sous le prétexte que l'Allemagne n'a pas
rempli à la lettre les obligations du traité.
La sanction de ce programme se trouve
dans l'établissement d'une alliance mili-
taire entre la France, avec une armée de
660.000 hommes, la Tchéco-Slovaquie avec
150.000, la Pologne avec 285.000, la Rouma-
nie avec 160.000 et la Yougoslavie avec
160.000, le tout sous le commandement, du
maréchal Foch, de telle sorte qu'au moindre
mouvement de protestation ou de révolte
de la part des puissances hier ennemies,
l'alliance puisse instantanément les écraser.
Et le but de M. Poincaré est de décider le
gouvernement britannique à souscrire à ce
système militaire européen- en faisant une
alliance anglo-française promettant l'aide
militaire de la Grande-Bretagne dans tous
les cas d'infraction de l'Allemagne au traité
de Versailles.
Heureusement, le gouvernement britanni-
que a refusé. Il veut bien aider à exiger de
l'Allemagne le maximum de réparations
qu'elle peut payer sans ruiner elle-même
et l'Europe. Il insiste pour que l'Allemagne
se conforme aux clauses du traité relati-
ves au désarmement. Il a offert de garantir
à la France l'aide totale de la Grande-Bre-
tagne dans le cas d'agression directe et non
provoquée 'de la part de l'Allemagne. Mais
le gouvernement anglais n'ira pas plus
loin. -
Le système Poincaré, en vérité, ne laisse
aucun espoir. Il mène inévitablement a une
nouvelle guerre, car on ne peut croire qu'un
peuple puissant et ardent comme l'Allema-
gne se résignera pour toujours à obéir
docilement à chaque moulinet de l'épée du
maréchal Foch. Et il a pour résultat de pro-
voquer une agitation perpétuelle, car cha-
que mouvement d'indépendance doit abou-
tir à une crise militaire en vue d'imposer
la soumission sous la menace de pénalités
militaires. %,
En outre, ce système est inapplicable. Il
suppose que les intérêts de la Pologne et
de la Petite Entente sont les mêmes que
ceux de la France. Il méconnaît la renais-
sance de la Russie, qui modifiera complè-
tement l'équilibre européen. Il oublie que
les peuples de l'Europe ne peuvent équili-
brer leurs budgets et retrouver la prospé-
rité sans réduire leurs dépenses au mini-
mum d'armements. Il ne voit pas que le
reste du monde réprouve avec véhémence
une politique que caractérisent l'instabilité,
la crise des changes et la précarité du com-
merce, et que la France s'est déjà prati-
quement isolée en poursuivant une telle
politique.
, Il ignore, ce qui est l'évidence même, que
l'opinion britannique ne peut pas plus to-
lérer l'hégémonie militaire de la France
sur l'Europe, qu'une hégémonie allemande
ou napoléonienne, constante menace à la
liberté et à la démocratie. Et, enfin, le sys-
tème est impuissant à reconnaître que la
base fondamentale du plan, l'armée fran-
çaise, est elle-même en voie de décompo-
sition. La France, d'autre part — ravagée
et dépeuplée — n'est pas assez forte pour
conserver une telle force militaire. Déjà le
système militaire de la France, présuppose
qu'un tiers de l'armée continentale devra
consister en Africains du Nord, — sans
compter les Sénégalais et les Annamites.
Pourtant le sentiment nationaliste et mu-
sulman prend de l'extension à travers
l'Afrique du Nord. Des races qui ne se sou-
ciaient en rien du monde extérieur com-
mencent maintenant, sous l'effet de l'agi-
tation menée en leurs pays, à parler des
droits et des forts de la Turquie. Nous
voyons d'ici le spectacle d'une France rom-
pant avec les alliés qui peuvent réellement
la secourir, pour aller traiter avec le plus
impitoyable et le plus cruel de nos ennemis
dans la dernière guerre — les Turcs d'An-
gora — et cela en vue de paraître à tout
prix l'amie de l'Islam, et de faire échec,
ne fût-ce que pour un temps, à l'extension
d'une propagande destinée avant longtemps
à saper la base sur laquelle repose en Eu-
rope sa politique militaire.
Il n'est pas besoin, en vérité, de dons
très prophétiques pour prédire que la po-
litique Poincaré pour l'avenir de la France,
des alliés et de l'Europe, sera, avant qu'il
soit longtemps, morte et enterrée. Et le plus
tôt sera le mieux, car tant qu'elle triom-
phera, cette amitié naturelle entre la
France et la Grande-Bretagne — si forte-
ment accentuée par la guerre, si nécessaire
à la paix et au progrès de l'Europe, - re
pourra être rétablie.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
- Collections numériques similaires Bibliothèques d'Orient Bibliothèques d'Orient /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BbLevt0"Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
- Auteurs similaires Bibliothèques d'Orient Bibliothèques d'Orient /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BbLevt0"Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6253393p/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6253393p/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6253393p/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6253393p/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6253393p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6253393p
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6253393p/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest