Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 mars 1922 23 mars 1922
Description : 1922/03/23 (T20,N2011). 1922/03/23 (T20,N2011).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533802
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
,s,
"•«« S.
~AKeËBE~
N° 2011
Jeudi 23 mars 1922
"olletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — 11 est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^LLEMAN'DE T
fiewriIle à m n message de M. Tchi-
lcaré Wolff dans
nerlIne,,, l'agebla.tt) - Le rembourse-
ment des dettes alliées envers ,es Etats-
W ees envers les Etats-
Uni s ifrankfi,rt Zemng]-
et 1 - La Conférence de Gênes
du cabinet Lloyd George
C'»ster Gazelte, Daily Herald,
ili>0ç/ Daily Chronicle). - La
Turquie et les Puisisances (Times). —
La nomination de Lord Peel au Secré-
l(i.M alv jef/ el t, iyei™>' - La situation en
La situation en
e (Da,ily Express).
POLITIQUE GENERALE
tt ONF'ÉRENCE DE GÊNES
4 POl J\GE DE M. TGHITCHERINE
W>ir-e ail - M. Tchitcherine,
nerilent üUx Affaires Etrangères du
radiotéW?V,iets' a, dans un long
radJ t '1 1
1. %>>, point egrü plaque à M. Poincaré,
fj de vue de Moscou sur la
et Gênl:!s. Pourquoi donc à
ulement à lui ? Vraisem-
nt, le r Cfîlni^'ssair'^ des Soviets ne
pas par là prolonger un flirt oÙ,
Vil? f°Tme« t ?rolonSer un flirt où,
t r, es très diverses, avec des
très divers. Moscou s'est depuis
rifj'1^ ess,av s'est depuis
"S°incaré comme au grand
Jvr de la r 0r!f6ren'ce, à celui dont la
îS ql1'il est d'une néüessitéabsoluè.
5 IcL-/1 en une nécessité absolue.
1 on Pourrait penser que
3^ snJ trin e, -sur ce Pointi va en quel-
l'en°n. ;e de Bon but. Son ra-
r'' %1r<'lrin'rrie Pfoteste en effet contre le
que toutes les puissances invitées à la
Àliu f PUissances invitées à la
kSl11 ou- pas traitées sur un pied
qu un groupe de puissances
lkbl aeoil-elu ,ides arrangements préa-
, que ce procédé bannit de
libre venee de le P'nnciPe d'égalité et de
blé Re d-e vues
lori de de vues ». Un échec de l'or-
(l, 01) es sera ainsi rendu inévi-
'P°^rrTifSllI>P°ser que les doléan-
te herin * 0nt été Provoquées par
thH't ch
J n(,'r.rw'lrifions enées à Londres pour la
tiond menées à Londres pour la
~o~ ~e de la Russie ;
lS f^nt J1 , sait bien que ces pour-
ra ^riC°n(le. t lcl abouti à aucune dé-
r'~s"t protestation vise donc
ystërienvde' Boul°Snei les pour-
ntector t qUe mènent sous le cou-
PPote.(,t firtt françaiis les Etats de fa
e, el la Méthode avec laquelle,
en vue d'éviter des questions et des résolu-
tions importunes, on veut créer, avant la
Conférence, des groupes dociles et bien
dressés. Mais quand M. Tchitcherine. et
nous faisons abstraction de tout le reste,
poursuit ainsi des rapports radiotélégraphi-
ques avec un chef d'Etat particulier, il re-
connaît par là même la légitimité d'entre-
tiens particuliers. On pourrait lui objecter
qu'il viole lui-même le principe d'égalité ;
et c'est de la violation de ce principe qu'il
se plaint avec une légitime indignation.
Qu'il ait voulu, par sa note, favoriser les
efforts entrepris surtout par Radek pour
éveiller dans le cœur des Français de meil-
leures dispositions à l'égard de la Russie,
est, comme nous l'avons dit, invraisembla-
ble, doublement invraisemblable, car il voit
bien les fils que la politique française
tresse autour de la Russie. Voudra-t-on
prétendra que cette trame n'est qu'une chi-
mère et rien de plus ?
Quel sens auraient alors les efforts du
satrape polonais de la France agissant de
concert avec l'habile commis-voyageur
tchèque de la firme parisienne, M. Benes,
en vue de constituer une ceinture de la
Pologne, des Etats de la Petite-Entente et
des Etats baltiques ?
On veut séparer l'Allemagne encore plus
fortement que jusqu'ici de la Russie et en-
serrer la Russie de telle sorte qu'elle soit
absolument, obligée de se soumettre aux
injonctions de la France et de sa suite. Le
projet. d'une ligne ferrée directe entre Pra-
gue et Reval par Varsovie, Vilna et Riga
fait partie de ce plan, ayant pour but de
détourner Je trafic du territoire allemand.
Nous avons déjà montré, à plusieurs re-
prises, les efforts faits par la France pour
faire rentrer la Lettonie et l'Esthonie dans
son système d'hégémonie. Il y a quelque
temps, les journaux de l'Est ont annoncé
que des représentants ou agents de la
France avaient fait au gouvernement de
ces pays Baltiques une offre tout à fait pré-
cise. Ils auraient proposé une convention
militaire tout à fait précise et déclaré que
la France assumerait de régler elle-même
la question des soldes, proposant une solde
journalière d'un demi-franc or par homme.
Cette histoire est considérée comme au-
thentique et colportée par des personnalités
très sérieuses de Lettonie et d'Esthonie.
Jusqu'ici on n'a pas entendu parler de dé-
menti Les politiciens de l'encerclement,
sous la direction de la France, espéraient
trouver un moyen de propagande particu-
lièrement précieux dans la Conférence de
Varsovie. Mais il semble que l'affaire n'ait
pour le moment pas réussi. On sait qu'il
s'agissait de gagner la Finlande à un rat-
tachement militaire avec la Pologne. Dans
la chaîne que l'on voulait constituer, la
Lithuanie, à laquelle la Pologne vient d'en-
lever Vilna sans la moindre trace de droit,
manquait également. A cet Etat spolié, le
Temps a cherché à prouver qu'il devait se
rattacher à la Pologne pour échapper —
lisez bien ceci — à une « absorption par
l'Allemagne ». A Moscou et à Pétersbourg.
on considère avec méfiance l'Angleterre,
qui, en effet, ne peut jamais désirer qu'une
Russie moitié renforcée, moitié paralysée.
Jusqu'ici nombre de Russes n'avaient peut-
être pas suffisamment compris que la
France militariste préfère une politique
dilatoire parce que, souveraine des légions
polonaises, tchèques, et autres légions cé-
lestes, elle espère obtenir une position de
négociation bien plus belle, la position
d'une puissance dictant ses ordres. La con-
vocation de la Conférence, de Varsovie a
provoqué une alerte à Moscou, le gouver-
nement des Soviets a annoncé dans une
note qu'il se rendait compte du jeu et le
gouvernement polonais vient de répandre
par une note dans laquelle on voit s'étirer
tout l'orgueil de la Pologne mais où on voit
aussi une tendance à biaiser prudemment.
L'invitation du gouvernement des Soviets
à la Pologne et aux Etats baltiques en vue
d'une conférence qui aurait lieu à Moscou
avant même celle de Gênes peut être con-
sidérée comme une ironie, ou comme un
coup d'échecs politique : probablement, du
reste, elle sera empêchée par la France et
par son pupillle polonais, avant et après
Gênes. S'agit-il de manie de la calomnie,
d'imagination maladive, de folie de la per-
sécution, quand sans cesse on dénonce les
visées de l'impérialisme français profitant
à la hâte de l'affaiblissement de l'Allema-
gne et de la destruction complète de l'équi-
libre européen pour organiser son hégémo-
nie et marcher sur les traces napoléonien-
nes ? Tout cela n'est-il pas la renaissance
du napoléonisme ? Ce qui manque seule-
ment, semble-t-il, c'est un nouveau Pitt, —
Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 20.3 soir.
LA PARTICIPATION BRITANNIQUE. -
LA SITUATION DU CABINET LLOYD GEORGE. -
« Démissionnera-t-il ou combattra-t-il ? » se
demandait, dimanche dernier, l'un des prin-
cipaux partisans du Premier Ministre. La
réponse est venue plus tôt qu'on ne l'atten-
dait. M. Lloyd George combattra pour con-
server son poste ; faute d'avoir obtenu un
vote de confiance dans une réunion privée
du parti tory, il se prépare à lancer le défi
à ses adversaires les Die-Hards et à deman-
der la confiance de la Chambre des Com-
munes.
Les leaders unionistes désirent que la
motion qui sera discutée au cours du débat
soit strictement limitée à la Conférence de
Gênes. La Chambre sera appelée à faire
"•«« S.
~AKeËBE~
N° 2011
Jeudi 23 mars 1922
"olletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — 11 est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^LLEMAN'DE T
fiewriIle à m n message de M. Tchi-
lcaré Wolff dans
nerlIne,,, l'agebla.tt) - Le rembourse-
ment des dettes alliées envers ,es Etats-
W ees envers les Etats-
Uni s ifrankfi,rt Zemng]-
et 1 - La Conférence de Gênes
du cabinet Lloyd George
C'»ster Gazelte, Daily Herald,
ili>0ç/ Daily Chronicle). - La
Turquie et les Puisisances (Times). —
La nomination de Lord Peel au Secré-
l(i.M al
La situation en
e (Da,ily Express).
POLITIQUE GENERALE
tt ONF'ÉRENCE DE GÊNES
4 POl J\GE DE M. TGHITCHERINE
W>ir-e ail - M. Tchitcherine,
nerilent üUx Affaires Etrangères du
radiotéW?V,iets' a, dans un long
radJ t '1 1
1. %>>, point egrü plaque à M. Poincaré,
fj de vue de Moscou sur la
et Gênl:!s. Pourquoi donc à
ulement à lui ? Vraisem-
nt, le r Cfîlni^'ssair'^ des Soviets ne
pas par là prolonger un flirt oÙ,
Vil? f°Tme« t ?rolonSer un flirt où,
t r, es très diverses, avec des
très divers. Moscou s'est depuis
rifj'1^ ess,av s'est depuis
"S
Jvr de la r 0r!f6ren'ce, à celui dont la
îS ql1'il est d'une néüessitéabsoluè.
5 IcL-/1 en une nécessité absolue.
1 on Pourrait penser que
3^ snJ trin e, -sur ce Pointi va en quel-
l'en°n. ;e de Bon but. Son ra-
r'' %1r<'lrin'rrie Pfoteste en effet contre le
que toutes les puissances invitées à la
Àliu f PUissances invitées à la
kSl11 ou- pas traitées sur un pied
qu un groupe de puissances
lkbl aeoil-elu ,ides arrangements préa-
, que ce procédé bannit de
libre venee de le P'nnciPe d'égalité et de
blé Re d-e vues
lori de de vues ». Un échec de l'or-
(l, 01) es sera ainsi rendu inévi-
'P°^rrTifSllI>P°ser que les doléan-
te herin * 0nt été Provoquées par
thH't ch
J n(,'r.rw'lrifions enées à Londres pour la
tiond menées à Londres pour la
~o~ ~e de la Russie ;
lS f^nt J1 , sait bien que ces pour-
ra ^riC°n(le. t lcl abouti à aucune dé-
r'~s"t protestation vise donc
ystërienvde' Boul°Snei les pour-
ntector t qUe mènent sous le cou-
PPote.(,t firtt françaiis les Etats de fa
e, el la Méthode avec laquelle,
en vue d'éviter des questions et des résolu-
tions importunes, on veut créer, avant la
Conférence, des groupes dociles et bien
dressés. Mais quand M. Tchitcherine. et
nous faisons abstraction de tout le reste,
poursuit ainsi des rapports radiotélégraphi-
ques avec un chef d'Etat particulier, il re-
connaît par là même la légitimité d'entre-
tiens particuliers. On pourrait lui objecter
qu'il viole lui-même le principe d'égalité ;
et c'est de la violation de ce principe qu'il
se plaint avec une légitime indignation.
Qu'il ait voulu, par sa note, favoriser les
efforts entrepris surtout par Radek pour
éveiller dans le cœur des Français de meil-
leures dispositions à l'égard de la Russie,
est, comme nous l'avons dit, invraisembla-
ble, doublement invraisemblable, car il voit
bien les fils que la politique française
tresse autour de la Russie. Voudra-t-on
prétendra que cette trame n'est qu'une chi-
mère et rien de plus ?
Quel sens auraient alors les efforts du
satrape polonais de la France agissant de
concert avec l'habile commis-voyageur
tchèque de la firme parisienne, M. Benes,
en vue de constituer une ceinture de la
Pologne, des Etats de la Petite-Entente et
des Etats baltiques ?
On veut séparer l'Allemagne encore plus
fortement que jusqu'ici de la Russie et en-
serrer la Russie de telle sorte qu'elle soit
absolument, obligée de se soumettre aux
injonctions de la France et de sa suite. Le
projet. d'une ligne ferrée directe entre Pra-
gue et Reval par Varsovie, Vilna et Riga
fait partie de ce plan, ayant pour but de
détourner Je trafic du territoire allemand.
Nous avons déjà montré, à plusieurs re-
prises, les efforts faits par la France pour
faire rentrer la Lettonie et l'Esthonie dans
son système d'hégémonie. Il y a quelque
temps, les journaux de l'Est ont annoncé
que des représentants ou agents de la
France avaient fait au gouvernement de
ces pays Baltiques une offre tout à fait pré-
cise. Ils auraient proposé une convention
militaire tout à fait précise et déclaré que
la France assumerait de régler elle-même
la question des soldes, proposant une solde
journalière d'un demi-franc or par homme.
Cette histoire est considérée comme au-
thentique et colportée par des personnalités
très sérieuses de Lettonie et d'Esthonie.
Jusqu'ici on n'a pas entendu parler de dé-
menti Les politiciens de l'encerclement,
sous la direction de la France, espéraient
trouver un moyen de propagande particu-
lièrement précieux dans la Conférence de
Varsovie. Mais il semble que l'affaire n'ait
pour le moment pas réussi. On sait qu'il
s'agissait de gagner la Finlande à un rat-
tachement militaire avec la Pologne. Dans
la chaîne que l'on voulait constituer, la
Lithuanie, à laquelle la Pologne vient d'en-
lever Vilna sans la moindre trace de droit,
manquait également. A cet Etat spolié, le
Temps a cherché à prouver qu'il devait se
rattacher à la Pologne pour échapper —
lisez bien ceci — à une « absorption par
l'Allemagne ». A Moscou et à Pétersbourg.
on considère avec méfiance l'Angleterre,
qui, en effet, ne peut jamais désirer qu'une
Russie moitié renforcée, moitié paralysée.
Jusqu'ici nombre de Russes n'avaient peut-
être pas suffisamment compris que la
France militariste préfère une politique
dilatoire parce que, souveraine des légions
polonaises, tchèques, et autres légions cé-
lestes, elle espère obtenir une position de
négociation bien plus belle, la position
d'une puissance dictant ses ordres. La con-
vocation de la Conférence, de Varsovie a
provoqué une alerte à Moscou, le gouver-
nement des Soviets a annoncé dans une
note qu'il se rendait compte du jeu et le
gouvernement polonais vient de répandre
par une note dans laquelle on voit s'étirer
tout l'orgueil de la Pologne mais où on voit
aussi une tendance à biaiser prudemment.
L'invitation du gouvernement des Soviets
à la Pologne et aux Etats baltiques en vue
d'une conférence qui aurait lieu à Moscou
avant même celle de Gênes peut être con-
sidérée comme une ironie, ou comme un
coup d'échecs politique : probablement, du
reste, elle sera empêchée par la France et
par son pupillle polonais, avant et après
Gênes. S'agit-il de manie de la calomnie,
d'imagination maladive, de folie de la per-
sécution, quand sans cesse on dénonce les
visées de l'impérialisme français profitant
à la hâte de l'affaiblissement de l'Allema-
gne et de la destruction complète de l'équi-
libre européen pour organiser son hégémo-
nie et marcher sur les traces napoléonien-
nes ? Tout cela n'est-il pas la renaissance
du napoléonisme ? Ce qui manque seule-
ment, semble-t-il, c'est un nouveau Pitt, —
Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 20.3 soir.
LA PARTICIPATION BRITANNIQUE. -
LA SITUATION DU CABINET LLOYD GEORGE. -
« Démissionnera-t-il ou combattra-t-il ? » se
demandait, dimanche dernier, l'un des prin-
cipaux partisans du Premier Ministre. La
réponse est venue plus tôt qu'on ne l'atten-
dait. M. Lloyd George combattra pour con-
server son poste ; faute d'avoir obtenu un
vote de confiance dans une réunion privée
du parti tory, il se prépare à lancer le défi
à ses adversaires les Die-Hards et à deman-
der la confiance de la Chambre des Com-
munes.
Les leaders unionistes désirent que la
motion qui sera discutée au cours du débat
soit strictement limitée à la Conférence de
Gênes. La Chambre sera appelée à faire
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62533802/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62533802/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62533802/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62533802/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62533802
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62533802
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62533802/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest