Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 mars 1922 22 mars 1922
Description : 1922/03/22 (T20,N2010). 1922/03/22 (T20,N2010).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253379d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
rt7S-T t.. R F. -m
MrT ybàigs,
! ~RANGt!RES
N° 2010
Mercredi 22 mars 1922
-
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
S°MMAIRE
AUrv
L,e,s impôts allemands
1'Œn.I1.tGIlte (B. Dernburg dans Berliner
Hut à, -'- Le discours cie M. Magi-
à lu a bPe des Députés, le 16
?' Propagande pour
(A^ Répubhique d'Alsace-Lorraine *
n. e^e d,. ,
At\GLA lSc^e Landeszeitung).
tch,,-. 7, Le iyiessage de M. Tchi-
- b
1. Poinc<'l.ré (Daily News). —
de l'A e tes mt.eralHées et les paiements
L'Allemegne : Les intentions britan-
lllJ Chronicle). - La
qUie et et ] eJPuissances {Times), — La
ning Post) arrn^stice turco-grec (Mor-
1 st), - Le PÜl't de Tanger : une
p e du ri^'s1en^ .de la Chambre de
e britannique au Maroc (Mor-
"Sr. Es ---
*E- - Les frais d'occupation
)> ®tats.TTniS (Rovira y Virgili dans
J) lCldad)
Ncczi ALIENNE, - T inItalie -et l'Orient (Idea
anale),
^ITIQUE GENERALE
l
N PFKENCE DE GÊNES
kl] Glu GuDl: M. TCHITCHERINE
f6 M ~Z Ce que le Times ap-
%<:»• '^it-ch.fST etorrnamment insolent »
.„ 'e au Président du Conseil
e la vejalité un exposé perspicace
Sïnic^ticL lle ^'elle se présente. Les
>rn 1-nuil. lc6Ltiolls adressées au monde ex-
le m; niStère des Affaires Etran-
Xru So-uvem^mt russe, ne sont pas
tqq1. ma®s de tact diplomatique
8
ge ?essa0.e n e fait pas exception à la
®lle aîs il a ^116aPParence de candeur
a une apparence de candeur
^îïimpxf aVOIr un certain prix
x d'Etat alliés, en vue-de
pro cl^ïtie • C de Gêneis et il
141 it "a. e tous les indices récents
.'Mç^ ^trenj- de tous les indices récents
montre que les doctrinaires bolche-
it elleelit bien malSré eux., à se
tcol Pte des réalités économiques. Il
]. q 4 eUable crnp ,
V.< t^tsHAi- (C pactes » alliés et
h, tv cats des politiques ri-
Ja* ^°rt«ïit t fnt de restrictions à l'uti-
~<- T~ a Conférence de Gêneis,
a î" TchitoTlie^ne en reconnaît Ilm-
1 c9i,apt®nstique essentielle, qui
est qu'elle diffère radicalement de toutes
les conférences européennes qui l'ont pré-
cédée, en ce qu'elle substitue à. la. dictature
futile du Conseil Suprême, la réunion en
conseil de toutes les nations. Celles-ci, tou-
tefois, ne' devant pas, comme semble le
supposer avec un optimisme exagéré M.
Tchitcherine, se rencontrer sur un pied
d'égalité absolue.
Les marchandages préliminaires anglo-
français ont déjà écarté, entre- autre», de
la discussion la question des réparations,
les armements terrestres' et la revision de,*
traités de paix ; et il apparaît clairement
que les leaders politiques tant de la France
que de la Grande-Bretagne chérissent en-
core l'illusion qu'il leur sera permis d'of-
ficier comme membres d'une sorte de
conseil super-Suprême, où ils exerceront,
une fois de plus, une influence prépondé-
rante. Il est possible toutefois que la Pe-
tite-Entente ait un mot à dire au sujet de
cette théorie préconçue des droits, privi-
lèges et pouvoirs d'ordre supérieur, et l'on
peut compter que les représentants russes
abonderont dans son Sens. Il est absolu-
ment certain que les problèmes russes oc-
cuperont dans les • discussions une place
très importante et qu'ils soulèveront de vi-
ves controverses. Ne ferait-elle qu'admet-
tre de nouveau la Russie dans la commu-
nauté des nationy et préparer les voies au
rétablissement national de ce vaste pays
en l'aidant à renouveler ses moyens de
transport désorganisés et à le faire. re.
naître à la vie économique, la Conférence
vaudra la peine d'être tenue. Le résultat de
la Conférence dépendra beaucoup, sinon
entièrement, de l'attitude de la France, et
notamment de la bonne volonté que met-
tra M. Poincaré à consentir à" une transac-
tion sur les dettes russes. Noys ne pré-
tendons pas connaître, dès à présent, les
intentions réelles de M. Poincaré. Mais en
dépit des incertitudes actuelles, on est heu-
reux drapprendre qu'en toute probabilité
la Conférence de Gênes ne sera pas, comme
on a pu le craindre un instant, remise aux
calendes grecques par suite de la démis-
sion de M. Lloyd George, o*u pour toute au-
tre raison.
Il n'y a pas lieu de trop insister sur la
portée de la Conférence de Gênes. Comme le
fait observer, avec à propos, le banquier
américain Frank Vanderlip, il n'y a pas
de formule unique que l'on. puisse proposer
pour la reconstruction de l'Europe ; et au-
cune conférence unique ne peut servir à.
réparer le mécanisme détraqué du com-
merce international. Mais s'il n'est guère
probable qu'un miracle puisse résulter des
travaux de la foule" d'hommes d'Etat, en-
core pleins de suspicion les uns à l'éigard
des autres, il est permis d'espérer, néan'
moins, qu'ils pourront mettre à leur actif
quelques succès économiques. Gênes mar-
que en tout cas pour l'Europe un bon dé-
part sur la voie de la saine raison politi-
que. (Ed.). -
DAILY NEWS, 21,3.
——— ———
LES REPARATIONS
LES DETTES INTERALLIEES ET LES
PAIEMENTS DE L'ALLEMAGNE. — Sou*
le titre : « LES INTENTIONS BRITANNIQUES ». —
Le gouvernement britannique est disposé à
faire un grand pas vers la solution du dou-
ble problème des dettes interalliées (y com-
pris la dette des Alliés envers l'Amérique) et
des réparations allemandes.
Son attitude esit fondée sur la corrélation
précise existant entre les deux questions.
L'Allemagne doit aux Alliés une somme
énorme à titre de réparations, mais la dif-
- faculté est de trouver un moyen lui per-
mettant. de payer sa dette. Il en va de
même des dettes des Alliés envers l'Amén-
quê.
De fait, l'Allemagne se trouvé, à l'égara
des Alliés, dans la même situation que les
Alliés à l'égard de l'Amérique. Le problème-
des dettes et des réparations est un seul et
même problème,.. Les charges de l'AIJ.ema:,'
gne au titre des réparations ne constituent
pas un fardeau .pluis écrasant — il le serait
plutôt moins — que ne l'est le fardeau qui
pèse sur les Alliés, et peuvent justement
être considérées comme une dette. Répara-
fions et dettes pèsent d'un poids, égal en
Europe,- sur les vainqueurs et sur les vain-
cus ; elles pèsent de même sur l'Amérique.
Il faut prendre un moyen héroïque si l'on
veut rétablir la situation économique de
l'univers. Ce moyen héroïque, la Grande-
Bretagne en prend aujourd'hui l'initiative,
bien quie ce - soit elle la plus menacée dans
l'affaire.
En deux mots, la proposition britannique
est la suivante : que l'on efface toutes les
dettes et que l'on inscrive le montant des
sommes ainsi effacées au crédit des répara-
tions allemandes. Mais nécessairement, la
proposition est faite à certaines conditions.
Admettons que l'Amérique n'accepte pas.
Dans ce cas. la Grande-Bretagne qui est
prête à ne réclamer de l'Allemagne qu'une
somme égale à la dette britannique envers
les Etats-Unis, demandera à l'Allemagne
de payer cette somme.
Et si l'Allemagne ne payait pas,la Grande-
Bretagne serait forcée de demander- aux
Alliés de lui rembourser les avances qu'elle
est prête, autrement, à passer par profits et
pertes.
Il en serait de même pour la France. Elle
serait-' invitée à retrancher des réparations
allemandes le montant de ses dettes à la
MrT ybàigs,
! ~RANGt!RES
N° 2010
Mercredi 22 mars 1922
-
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
S°MMAIRE
AUrv
L,e,s impôts allemands
1'Œn.I1.tGIlte (B. Dernburg dans Berliner
Hut à, -'- Le discours cie M. Magi-
à lu a bPe des Députés, le 16
?' Propagande pour
(A^ Répubhique d'Alsace-Lorraine *
n. e^e d,. ,
At\GLA lSc^e Landeszeitung).
tch,,-. 7, Le iyiessage de M. Tchi-
- b
1. Poinc<'l.ré (Daily News). —
de l'A e tes mt.eralHées et les paiements
L'Allemegne : Les intentions britan-
lllJ Chronicle). - La
qUie et et ] eJPuissances {Times), — La
ning Post) arrn^stice turco-grec (Mor-
1 st), - Le PÜl't de Tanger : une
p e du ri^'s1en^ .de la Chambre de
e britannique au Maroc (Mor-
"Sr. Es ---
*E- - Les frais d'occupation
)> ®tats.TTniS (Rovira y Virgili dans
J) lCldad)
Ncczi ALIENNE, - T inItalie -et l'Orient (Idea
anale),
^ITIQUE GENERALE
l
N PFKENCE DE GÊNES
kl] Glu GuDl: M. TCHITCHERINE
f6 M ~Z Ce que le Times ap-
%<:»• '^it-ch.fST etorrnamment insolent »
.„ 'e au Président du Conseil
e la vejalité un exposé perspicace
Sïnic^ticL lle ^'elle se présente. Les
>rn 1-nuil. lc6Ltiolls adressées au monde ex-
le m; niStère des Affaires Etran-
Xru So-uvem^mt russe, ne sont pas
tqq1. ma®s de tact diplomatique
8
ge ?essa0.e n e fait pas exception à la
®lle aîs il a ^116aPParence de candeur
a une apparence de candeur
^îïimpxf aVOIr un certain prix
x d'Etat alliés, en vue-de
pro cl^ïtie • C de Gêneis et il
141 it "a. e tous les indices récents
.'Mç^ ^trenj- de tous les indices récents
montre que les doctrinaires bolche-
it elleelit bien malSré eux., à se
tcol Pte des réalités économiques. Il
]. q 4 eUable crnp ,
V.< t^tsHAi- (C pactes » alliés et
h, tv cats des politiques ri-
Ja* ^°rt«ïit t fnt de restrictions à l'uti-
~<- T~ a Conférence de Gêneis,
a î" TchitoTlie^ne en reconnaît Ilm-
1 c9i,apt®nstique essentielle, qui
est qu'elle diffère radicalement de toutes
les conférences européennes qui l'ont pré-
cédée, en ce qu'elle substitue à. la. dictature
futile du Conseil Suprême, la réunion en
conseil de toutes les nations. Celles-ci, tou-
tefois, ne' devant pas, comme semble le
supposer avec un optimisme exagéré M.
Tchitcherine, se rencontrer sur un pied
d'égalité absolue.
Les marchandages préliminaires anglo-
français ont déjà écarté, entre- autre», de
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que les leaders politiques tant de la France
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core l'illusion qu'il leur sera permis d'of-
ficier comme membres d'une sorte de
conseil super-Suprême, où ils exerceront,
une fois de plus, une influence prépondé-
rante. Il est possible toutefois que la Pe-
tite-Entente ait un mot à dire au sujet de
cette théorie préconçue des droits, privi-
lèges et pouvoirs d'ordre supérieur, et l'on
peut compter que les représentants russes
abonderont dans son Sens. Il est absolu-
ment certain que les problèmes russes oc-
cuperont dans les • discussions une place
très importante et qu'ils soulèveront de vi-
ves controverses. Ne ferait-elle qu'admet-
tre de nouveau la Russie dans la commu-
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rétablissement national de ce vaste pays
en l'aidant à renouveler ses moyens de
transport désorganisés et à le faire. re.
naître à la vie économique, la Conférence
vaudra la peine d'être tenue. Le résultat de
la Conférence dépendra beaucoup, sinon
entièrement, de l'attitude de la France, et
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tra M. Poincaré à consentir à" une transac-
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tendons pas connaître, dès à présent, les
intentions réelles de M. Poincaré. Mais en
dépit des incertitudes actuelles, on est heu-
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la Conférence de Gênes ne sera pas, comme
on a pu le craindre un instant, remise aux
calendes grecques par suite de la démis-
sion de M. Lloyd George, o*u pour toute au-
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Il n'y a pas lieu de trop insister sur la
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fait observer, avec à propos, le banquier
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de formule unique que l'on. puisse proposer
pour la reconstruction de l'Europe ; et au-
cune conférence unique ne peut servir à.
réparer le mécanisme détraqué du com-
merce international. Mais s'il n'est guère
probable qu'un miracle puisse résulter des
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des autres, il est permis d'espérer, néan'
moins, qu'ils pourront mettre à leur actif
quelques succès économiques. Gênes mar-
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que. (Ed.). -
DAILY NEWS, 21,3.
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LES DETTES INTERALLIEES ET LES
PAIEMENTS DE L'ALLEMAGNE. — Sou*
le titre : « LES INTENTIONS BRITANNIQUES ». —
Le gouvernement britannique est disposé à
faire un grand pas vers la solution du dou-
ble problème des dettes interalliées (y com-
pris la dette des Alliés envers l'Amérique) et
des réparations allemandes.
Son attitude esit fondée sur la corrélation
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L'Allemagne doit aux Alliés une somme
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même des dettes des Alliés envers l'Amén-
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De fait, l'Allemagne se trouvé, à l'égara
des Alliés, dans la même situation que les
Alliés à l'égard de l'Amérique. Le problème-
des dettes et des réparations est un seul et
même problème,.. Les charges de l'AIJ.ema:,'
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pas un fardeau .pluis écrasant — il le serait
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être considérées comme une dette. Répara-
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Europe,- sur les vainqueurs et sur les vain-
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Il faut prendre un moyen héroïque si l'on
veut rétablir la situation économique de
l'univers. Ce moyen héroïque, la Grande-
Bretagne en prend aujourd'hui l'initiative,
bien quie ce - soit elle la plus menacée dans
l'affaire.
En deux mots, la proposition britannique
est la suivante : que l'on efface toutes les
dettes et que l'on inscrive le montant des
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proposition est faite à certaines conditions.
Admettons que l'Amérique n'accepte pas.
Dans ce cas. la Grande-Bretagne qui est
prête à ne réclamer de l'Allemagne qu'une
somme égale à la dette britannique envers
les Etats-Unis, demandera à l'Allemagne
de payer cette somme.
Et si l'Allemagne ne payait pas,la Grande-
Bretagne serait forcée de demander- aux
Alliés de lui rembourser les avances qu'elle
est prête, autrement, à passer par profits et
pertes.
Il en serait de même pour la France. Elle
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