Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 mars 1922 17 mars 1922
Description : 1922/03/17 (T20,N2006). 1922/03/17 (T20,N2006).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253375r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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DES
*mEs t
N° 2006
Vendredi 17 mars 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE- — Les bruits de négo-
ciations entre la France: et les Soviets
(iîo/p
(ho,, 'e Faltne).
PRESSE AMERICAINE- — Les réparations et les
dans N lntèralliées (Albert Mann Jr.
dans Jv ew Yor/c Times). — Contre les
(New v éLrangères aux Etats-Unis
, F: ANr:orlt Tribune).
'» Vssg A!SGJAISF'- - Le danger bolchevik
* ^1' - La Petite-Entente et la
^°logTi Sz (Aforn^ Post). — Les troubles
CIe). frlque du Sud (Daily Chroni-
cle )
(.\fan; Lord Curzon et M. Montagu
^anch Ster Guardian, Westminster
.,Qzel te les répercussions dans l'Inde
v [TUnes)
Gênes :LAM.USE. - La Conférence de
Gènes ~DAigE. — La Conférence de
grQO le refus des Etats-Unis (Tele-
4).
k. ¿:ALIENNE. - Le ministère Facta et
^ns ^e"Bretag.ne (Gino Calza Bedolo
Gioi@nale d'italia).
^ITIQUE GENERALE
4 DE GËNES
i1 HEU>|TC< DES ETATS-UNIS. — La note
11 il e leis Etats-Unis signifiaient leur
*"a de articipatioi-1 n'a pas causé une
'lr^Ptio^ X^r'ao,rdiiUiLre. Il n'y avait et il
j^ av,oir une politique de définitif
"'0" t PUblIque en Amérique, à l'ex-
t de certains groupes qui
nique force dans un isolement
VK lie Se Prononce pas en faveur de
cette thèse P~s plus qu'elLe ne le faisait
, d.ünt ,1 adence de Wilson. C'est un fac-
^t ,iP ^uvernement de Harding doit
LP corrmt ^e)'ui-ci commence, semble-t-
déiéo ?er à Gènes un représentant
0~ £ re « spectateur » — un per-
§a Paasé politique — et attend
\Nrit0 "es pourparlers entre les puis-
\6S auront été poussés
t r)^°u'r permettre à l'Amérique
St ns les affaires d'Europe avec
foro rnoirale et avec l'appui d'au-
re financières que possible,
re qu'il attend l'heure où une poli-
Us
gr& \l.s .large solidarité pourra trou-
t Yeux des républicains qui
lIis. e gouvernement actuel des
Celui-ci se rend compte parfaitement de
l'unité du monde économique. Harding
pense que la Conférence de Gênes a un
caractère politique trop prononcé, qu'un
certain nombre de problèmes économiques
capitaux ne devant pas y être discutés,
l'Europe élude ainsi le devoir qu'elle a de
s'aider elle-même avant de demander du
secours outre-mer.
Mais Harding oublie que les Etats-Unis
ne se sont jamais prononcés en principe
contre le système des dommages de guerre
et que même, ces jours-ci, ils ont fait pré-
senter à la conférence des ministres des Fi-
nances alliés une note réclamant le rem-
boursement des frais des troupes améri-
caines d'occupation au 1er mai 1921. Si cette
somme lui était versée, l'Amérique aurait
sa part des paiements faits au titre des dom-
mages de guerre et ne pourrait plus à l'ave-
nir les repousser en principe. Sans doute
elle y a des droits, mais elle perdrait en
quelque sorte celui d'élever la voix.
Le désarmement de l'Europe est incontes-
tablement encore à l'état de devenir. Mais
le gouvernement de Harding ne se serait
pas montré plus complaisant à l'égard de
Gênes si la direction des affaires y avait été
confiée à la seule force incarnant en Europe
l'idée du désarmement, à savoir la Société
des Nations dont Harding, à l'inverse de
son prédécesseur, n'est pas partisan.
Sans les Etats-Unis, le monde européen
peut accomplir la tâche préparatoire qui
contribuera à provoquer leur adhésion et
leur aide futures.
TELEGRAAF [d'Amsterdam], 14.3.
LE DANGER BOLCHEVIK. — Les nou-
velles de Paris que nous publions aujour-
d'hui montrent que l'opinion, en France,
considère la conférence de Gênes comme à
peu près morte. Il ne se manifeste nulle
part, d'ailleurs, le moindre enthousiasme en
sa faveur et ses seuls partisans, sont au-
jourd'hui les Bolcheviks.
Il y a trois mois, lorsqu'il a été question
pour la première fois de la conférence, la
campagne séditieuse menée par les Bolche-
viks sur le Rand n'avait pas encore été
percée à gour. On le sait actuellement,
c'est à eux que l'Afrique du Sud doit toutes
les pertes matérielles, toutes les souffran-
ces, tout le sang versé qui ont accompagné
la grève de Johannesbourg. Voir se com-
mettre des ministres britanniques avec Le-
nine et sa bande, révolterait le sens moral
de l'univers et porterait atteinte à l'hon-
neur britannique.
Projetée d'abord comme « acrobatie »
électorale, la conférence fut utilisée ensuite
par les Bolcheviks et leurs amis pour ob-
tenir la reconnaissance du régime soviéti-
que. La meilleure manière d'échapper à ce
piège. est de confier la direction des né-
gociations de Gênes — à supposer que 'a
conférence ne soit pas remise aux calendes
grecques comme chacun s'y attend et l'es-
père — à des diplomates de carrière qui
sauraient traiter Lenine et sa bande, avec
le mépris glacial qu'ils méritent. — (Ed.)
DAILY MAIL, 15.3.
LA PETITE ENTENTE ET LA POLO-
GNE. — Depuis la conférence de la Petite
Entente à Bucarest, à laquelle prit part la
Pologne,le bruit court avec une certaine
persistance que la Pologne aurait adhéré à
la Petite Entente et que ce groupement
d'Etats aurait décidé de prendre le nom de
« Quadruple Alliance ». Ces affirmations,
toutefois, devancent quelque peu la marche
possible des événements. Jusqu'ici il
n'existe pas encore d'alliance politique entre
la Petite Entente et la Pologne.
Il ne s'agit encore, comme le constatait
récemment le ministre de la Pologne à
Vienne, que d'un rapprochement entre la
Pologne et les Etats constituant la Petite
Entente. La Pologne n'a nullement parti-
cipé aux conversations politiques récentes
de Bratislowa, entre le docteur Bernes et le
docteur Nintchitch.
En revanche, il est vrai que le principe
d'une coopération économique a été adopté
entre ces Etats, surtout en vue d'une com-
mune participation à la conférence de Gê-
nes. Les détails de cette coopération ont été
discutés à la conférence des experts de la
Petite Entente tenue à Belgrade. Il s'agit là
d'une entente économique entre des pays
comprenant, dans l'ensemble, plus de 70
millions d'habitants.
MORNING POST, 16 3.
1
FRANCE ET RUSSIE
LES BRUITS DE NEGOCIATIONS. -
Sous les titres : « LA RUSSIE DES SOVIETS ET
POINCARÉ. LA MISSION DU CAMARADE CACHIN ». -
— Une dépêche Wolff relate les déclarations
de l'Humanité sur la mission confiée par
Radek à Marcel Cachin d'entrer en rapports
avec Poincaré. Radek aurait fait part à M.
Cachin de son désir de s'entretenir avec un
agent diplomatique du gouvernement fran-
çais au sujet de la reprise éventuelle des
relations économiques et politiques. Cachin
se serait borné à transmettre par un inter-
médiaire à Poincaré l'offre de Radek. Ce
serait tout.
La Rotei Fahne commente ainsi ces in-
formations :
D'après ce que nous apprenons, il y a bien
eu, en fait, un entretien entre un collabo-
rateur de notre camarade français Marcel
DES
*mEs t
N° 2006
Vendredi 17 mars 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE- — Les bruits de négo-
ciations entre la France: et les Soviets
(iîo/p
(ho,, 'e Faltne).
PRESSE AMERICAINE- — Les réparations et les
dans N lntèralliées (Albert Mann Jr.
dans Jv ew Yor/c Times). — Contre les
(New v éLrangères aux Etats-Unis
, F: ANr:orlt Tribune).
'» Vssg A!SGJAISF'- - Le danger bolchevik
* ^1' - La Petite-Entente et la
^°logTi Sz (Aforn^ Post). — Les troubles
CIe). frlque du Sud (Daily Chroni-
cle )
(.\fan; Lord Curzon et M. Montagu
^anch Ster Guardian, Westminster
.,Qzel te les répercussions dans l'Inde
v [TUnes)
Gênes :LAM.USE. - La Conférence de
Gènes ~DAigE. — La Conférence de
grQO le refus des Etats-Unis (Tele-
4).
k. ¿:ALIENNE. - Le ministère Facta et
^ns ^e"Bretag.ne (Gino Calza Bedolo
Gioi@nale d'italia).
^ITIQUE GENERALE
4 DE GËNES
i1 HEU>|TC< DES ETATS-UNIS. — La note
11 il e leis Etats-Unis signifiaient leur
*"a de articipatioi-1 n'a pas causé une
'lr^Ptio^ X^r'ao,rdiiUiLre. Il n'y avait et il
j^ av,oir une politique de définitif
"'0" t PUblIque en Amérique, à l'ex-
t de certains groupes qui
nique force dans un isolement
VK lie Se Prononce pas en faveur de
cette thèse P~s plus qu'elLe ne le faisait
, d.ünt ,1 adence de Wilson. C'est un fac-
^t ,iP ^uvernement de Harding doit
LP corrmt ^e)'ui-ci commence, semble-t-
déiéo ?er à Gènes un représentant
0~ £ re « spectateur » — un per-
§a Paasé politique — et attend
\Nrit0 "es pourparlers entre les puis-
\6S auront été poussés
t r)^°u'r permettre à l'Amérique
St ns les affaires d'Europe avec
foro rnoirale et avec l'appui d'au-
re financières que possible,
re qu'il attend l'heure où une poli-
Us
gr& \l.s .large solidarité pourra trou-
t Yeux des républicains qui
lIis. e gouvernement actuel des
Celui-ci se rend compte parfaitement de
l'unité du monde économique. Harding
pense que la Conférence de Gênes a un
caractère politique trop prononcé, qu'un
certain nombre de problèmes économiques
capitaux ne devant pas y être discutés,
l'Europe élude ainsi le devoir qu'elle a de
s'aider elle-même avant de demander du
secours outre-mer.
Mais Harding oublie que les Etats-Unis
ne se sont jamais prononcés en principe
contre le système des dommages de guerre
et que même, ces jours-ci, ils ont fait pré-
senter à la conférence des ministres des Fi-
nances alliés une note réclamant le rem-
boursement des frais des troupes améri-
caines d'occupation au 1er mai 1921. Si cette
somme lui était versée, l'Amérique aurait
sa part des paiements faits au titre des dom-
mages de guerre et ne pourrait plus à l'ave-
nir les repousser en principe. Sans doute
elle y a des droits, mais elle perdrait en
quelque sorte celui d'élever la voix.
Le désarmement de l'Europe est incontes-
tablement encore à l'état de devenir. Mais
le gouvernement de Harding ne se serait
pas montré plus complaisant à l'égard de
Gênes si la direction des affaires y avait été
confiée à la seule force incarnant en Europe
l'idée du désarmement, à savoir la Société
des Nations dont Harding, à l'inverse de
son prédécesseur, n'est pas partisan.
Sans les Etats-Unis, le monde européen
peut accomplir la tâche préparatoire qui
contribuera à provoquer leur adhésion et
leur aide futures.
TELEGRAAF [d'Amsterdam], 14.3.
LE DANGER BOLCHEVIK. — Les nou-
velles de Paris que nous publions aujour-
d'hui montrent que l'opinion, en France,
considère la conférence de Gênes comme à
peu près morte. Il ne se manifeste nulle
part, d'ailleurs, le moindre enthousiasme en
sa faveur et ses seuls partisans, sont au-
jourd'hui les Bolcheviks.
Il y a trois mois, lorsqu'il a été question
pour la première fois de la conférence, la
campagne séditieuse menée par les Bolche-
viks sur le Rand n'avait pas encore été
percée à gour. On le sait actuellement,
c'est à eux que l'Afrique du Sud doit toutes
les pertes matérielles, toutes les souffran-
ces, tout le sang versé qui ont accompagné
la grève de Johannesbourg. Voir se com-
mettre des ministres britanniques avec Le-
nine et sa bande, révolterait le sens moral
de l'univers et porterait atteinte à l'hon-
neur britannique.
Projetée d'abord comme « acrobatie »
électorale, la conférence fut utilisée ensuite
par les Bolcheviks et leurs amis pour ob-
tenir la reconnaissance du régime soviéti-
que. La meilleure manière d'échapper à ce
piège. est de confier la direction des né-
gociations de Gênes — à supposer que 'a
conférence ne soit pas remise aux calendes
grecques comme chacun s'y attend et l'es-
père — à des diplomates de carrière qui
sauraient traiter Lenine et sa bande, avec
le mépris glacial qu'ils méritent. — (Ed.)
DAILY MAIL, 15.3.
LA PETITE ENTENTE ET LA POLO-
GNE. — Depuis la conférence de la Petite
Entente à Bucarest, à laquelle prit part la
Pologne,le bruit court avec une certaine
persistance que la Pologne aurait adhéré à
la Petite Entente et que ce groupement
d'Etats aurait décidé de prendre le nom de
« Quadruple Alliance ». Ces affirmations,
toutefois, devancent quelque peu la marche
possible des événements. Jusqu'ici il
n'existe pas encore d'alliance politique entre
la Petite Entente et la Pologne.
Il ne s'agit encore, comme le constatait
récemment le ministre de la Pologne à
Vienne, que d'un rapprochement entre la
Pologne et les Etats constituant la Petite
Entente. La Pologne n'a nullement parti-
cipé aux conversations politiques récentes
de Bratislowa, entre le docteur Bernes et le
docteur Nintchitch.
En revanche, il est vrai que le principe
d'une coopération économique a été adopté
entre ces Etats, surtout en vue d'une com-
mune participation à la conférence de Gê-
nes. Les détails de cette coopération ont été
discutés à la conférence des experts de la
Petite Entente tenue à Belgrade. Il s'agit là
d'une entente économique entre des pays
comprenant, dans l'ensemble, plus de 70
millions d'habitants.
MORNING POST, 16 3.
1
FRANCE ET RUSSIE
LES BRUITS DE NEGOCIATIONS. -
Sous les titres : « LA RUSSIE DES SOVIETS ET
POINCARÉ. LA MISSION DU CAMARADE CACHIN ». -
— Une dépêche Wolff relate les déclarations
de l'Humanité sur la mission confiée par
Radek à Marcel Cachin d'entrer en rapports
avec Poincaré. Radek aurait fait part à M.
Cachin de son désir de s'entretenir avec un
agent diplomatique du gouvernement fran-
çais au sujet de la reprise éventuelle des
relations économiques et politiques. Cachin
se serait borné à transmettre par un inter-
médiaire à Poincaré l'offre de Radek. Ce
serait tout.
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