Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 mars 1922 13 mars 1922
Description : 1922/03/13 (T20,N2002). 1922/03/13 (T20,N2002).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533713
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Ir r emmm.
~TRANGÈRES
N° 2002 -'.
Lundi 13 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
— Deuxième lettre ou-
verte AtlEMA\DE. Deuxième tettreou-
verte de M. Delbruck à M. An lard sur
hier de la guerre (Bçl"
Gênés Ta.[Jeblall). - La Conférence de
Gênes : le refus des Etats-Unis (Ber-
T ay(^att, Vossische Zeitung,
~sch~, Gn^e (T;rgliehe Rundschau).
PRESSE A\(-'f,A1SE- — La Conférence de Gê-
des Etats-Unis (Daily
')jy^(v"^r''a.ti,,nifjue : une lettre de
les notes du maréchal
~JIl' ,S11I> }^°n''(>rc' -du Rhin, en 1919
de démai,ai'de démission de M. Lloyd George (Sfi-
~evielv). situation dallJg
la démission de M. Montagu
nes : - La Conférence de Gê-
déclaration des Etats-Unis (Stampa),
déclaration, du comte Sforza (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
0,i|<^NEs
RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
~EUn LETTRE OUVERTE DU
~.n RUCK AU PROFES-
sieur. - *8 mars 1922 : Mon-
cous avez d'abord attaqué,
~Die 4 1 s u litige dans une discussion
~n'a.^ ^'loyn^ Pu avoir lieu par exem-
~PenVovéBulL n° 1986], et vous
~Su2-'on tom ln(]iqué. vo*u~s
~SJ , presse comme lieu de
~)(:7,, c., tom indiqué. Le motif que vous
~"M c^iSt qu' une controverse publique
se du qu'une comLroYers.e p.uMique
^yen-Age. Mais la façon
~X, &Te Afoii e?;II répondu, dans le Temps,
et dans l'Œuvre laisse
~te vous avez encore une autre
Non seulement soustraire à ma demande.
Non seulement ViOus ne répondez pas aux
communiquez je pose, mais vous ne les
français.Des quatre raisons que j'ai indi-
~pour justifier mon refus de signer le
mianifaste pacifiste, vous en avez omis trois.
Pa.s IISeusSlon publique, vous ne
~ifT7 le Pas Vf.118 en tirer par ce biais. Je
ne vous laisserai pas aller avant que vous
ne m'ayez répondu. Pourquoi ne répondez-
vous pas à la question de savoir si le paie-
ment de toutes Les pensions est conforme
aux quatorze points de Wilson ? Pourquoi
ne dites-vous rien de la conttre-vérite sui-
vant laquelle l'Allemagne n'a toujours pas
désarmé ? Je suis heureux de voir que vous
vous êtes, au moins après coup, associé à
ma demande que l'Entente elle aussi veuille
ouvrir ses archives. Mais, comme vous le
dues avec raison, nous ne pouvons pas at-
tendre cette ouverture. Je continue donc de
vous presser de mes questions.
Pourquoi ne dites-vous rien du rapport,
ci!é par moi, transmis par Isvolski, en date
du 8 Décembre 1912, suivant lequel les mi-
nistres français étaient effarés parce que la
Russie ne voulait pas faire la guerre à
cause de la Serbie ? Pourquoi ne dites-
vous rien de mon assertion qu'on a menti
au peuple français au sujet de la date de la
mobilisation russe ? J'ajoute immédiate-
ment encore quelques questions. Que dites-
vous de l'aveu de l'ancien secrétaire parti-
culier de Poincaré, M. Colrat (14 décembre
1918) disant ouvertement que M. Poincaré
a toujours eu en vue le but de la guerre,
la poursuivi avec une habile ténacité et voit
maintenant réalisé son rêve sanglant ?
Est-il vrai ou n'est-il pas vrai que
M. Poincaré a rapporté le plan de l'introduc-
tion du service de trois ans en France de
son voyage à Pétersbourg en 1912 ? Est-il
vrai ou n'est-il pas vrai que la charge du
service de trois ans pour la France était si
lourde qu'il fallait ou bien s'en défaire à
nouveau, ou bien faire la guerre à bref dé-
lai ? Est-il vrai ou n'est-il pas, vrai que
M. Paléologue n'a, accepté le poste d'ambas-
sadeur à Pétersbourg en janvier 1914 qu'à
la condition que le service de trois ans fût
maintenu ?
Isvolski a transmis à son gouvernement
à la date du 30 janvier 1913 que le ministre
von Jagow avait essayé de se rapprocher de
la France pour assurer en commun le main-
tien de la Turquie. M. Poincaré a repoussé
cette offre alléguant que la France n'était
disposée à traiter la question que de con-
cert avec la Russie. M. Poincaré ne savait-
il pas qu'on préparait en Russie le plan de
conquérir Constantinople et les Darda-
nelles ? Ou croyait-il que cela pût être fait
sans une guerre européenne ? Ou lui était-il
indifférent d'éviter cette guerre ?
Le 25 février 1913, l'ambassadeur russe
à Londrels, Renckendorf, communiquait à
son ministre que la paix mondiale ne pou-
vait être maintenue que par une politique
de compromis dans les Balkans ; en dehors
du compromis, c'était la guerre. L'Angle-
terre travaillait pour le compromis : la
France contre. Comment, à votre avis, l'am-
bassadeur russe en était-il venu à cette
manière de voir ?
D'après le récit de Paléotlogue, l'épouse
du graind-duc Nicolaï-Nicolaivitch lui
a raconté, pleine de joie, dès le 22
juillet, c'est-à-dire un jour avant la re-
mise de l'ultimatum autrichien à Belgrade,
que maintenant la guerre générale pou-
vait venir, qui détruirait l'Autriche et l'Al-
lemagne. Or, M. Poincaré nous assure que
le 25 encore, à bord de son navire qui le ra-
menait de Pétersbourg, en passant par
Stockholm, personne ne pensait à une
guerre européenne. M. Poincaré aurait-il à
ce point eu moins de pressentiment que les
grandes-duchesses russes ? Ou s'est-il ici
écarté de la vérité ?
M. von Rethnann-Hollwey s'est donné la
plus grande peine pour déterminer, le 30
juillet, l'Autriche à des dispositions conci-
liantes, et il menaça, même d'une rupture
de l'Alliance. M. Poincaré ne peut pas, dans
son exposé, omettre cette dépêche complè-
tement, mais il la dénature, en laissant de-
côté la phrase capitale de la fin, c'est-à-dire
la menace : « Il nous faut refuser de nous
laisser entraîner par Vienne, à la légère,
et sans égards pour nos conseils, dans une
conflagration mondiale. » Quelle est la raj-
son de cette altération ? Osez-vous la dé-
fendre ?
Que dites-vous du fait, établi par M. M.
Morhardt (Humanité du 25 janvier 1922)
que la dépêche de Viviani à Paléologue du
31 juillet, 1914 a été altérée à trois endroits
dans le Livre Jaune français (N° 117) v
Je vous en prie, dites également au monde
pourquoi Jaurès fut assassiné le 31 juillet ?
Pourquoi le meurtrier n'a été jugé qu'après
la guerre ? Pourquoi il a été finalement ac-
quitté ? Nous avons, en effet, à parler fran-
chement, le soupçon que Jaurès a été assas-
siné parce qu'il voulait empêcher la guerre
et qu'on a acquitté le meurtrier parce qu'il
aurait pu faire des dépositions gênantes,
Au sujet du rejet de l'arbitrage de La
Haye, vous me prêtez, par l'expression :
« Delbruck dira », une manière de voir qui
est, en réalité, toute différente de Cie, qiue j'ai
dit. Vous ne vous êtes pas donné la peine
de lire ce que j'ai fait imprimer sur ce
point (Krieg und Politik, livre II, page 46)
et vous préférez apporter une construction
de votre imagination. Considère-t-on parmi
les savants français qu'il soit permis de
prêter à un adversaire scientifique des opi-
nions ?
La question de l'envoi de bombes sur Nu-
remberg vient d'être réglée) d'une façon
complète, vous l'admettrez vous-même,
par le comte Montgelas (Berliner Tage-
blatt, 7 mars) [Cf. Bulletin n° 2000]. Je re-
tiens que la crédulité du ministère des Af-
faires Etrangères de Berlin ne saurait être
absoute, mais elle est compensée et plus
~TRANGÈRES
N° 2002 -'.
Lundi 13 mars 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
— Deuxième lettre ou-
verte AtlEMA\DE. Deuxième tettreou-
verte de M. Delbruck à M. An lard sur
hier de la guerre (Bçl"
Gênés Ta.[Jeblall). - La Conférence de
Gênes : le refus des Etats-Unis (Ber-
T ay(^att, Vossische Zeitung,
~sch~, Gn^e (T;rgliehe Rundschau).
PRESSE A\(-'f,A1SE- — La Conférence de Gê-
des Etats-Unis (Daily
')
les notes du maréchal
~JIl' ,S11I> }^°n''(>rc' -du Rhin, en 1919
de démai,ai'
~evielv). situation dallJg
la démission de M. Montagu
nes : - La Conférence de Gê-
déclaration des Etats-Unis (Stampa),
déclaration, du comte Sforza (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
0,i|<^NEs
RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
~EUn LETTRE OUVERTE DU
~.n RUCK AU PROFES-
sieur. - *8 mars 1922 : Mon-
cous avez d'abord attaqué,
~Die 4 1 s u litige dans une discussion
~n'a.^ ^'loyn^ Pu avoir lieu par exem-
~PenVovéBulL n° 1986], et vous
~Su2-'on tom ln(]iqué. vo*u~s
~SJ , presse comme lieu de
~)(:7,, c., tom indiqué. Le motif que vous
~"M c^iSt qu' une controverse publique
se du qu'une comLroYers.e p.uMique
^yen-Age. Mais la façon
~X, &Te Afoii e?;II répondu, dans le Temps,
et dans l'Œuvre laisse
~te vous avez encore une autre
Non seulement soustraire à ma demande.
Non seulement ViOus ne répondez pas aux
communiquez je pose, mais vous ne les
français.Des quatre raisons que j'ai indi-
~pour justifier mon refus de signer le
mianifaste pacifiste, vous en avez omis trois.
Pa.s IISeusSlon publique, vous ne
~ifT7 le Pas Vf.118 en tirer par ce biais. Je
ne vous laisserai pas aller avant que vous
ne m'ayez répondu. Pourquoi ne répondez-
vous pas à la question de savoir si le paie-
ment de toutes Les pensions est conforme
aux quatorze points de Wilson ? Pourquoi
ne dites-vous rien de la conttre-vérite sui-
vant laquelle l'Allemagne n'a toujours pas
désarmé ? Je suis heureux de voir que vous
vous êtes, au moins après coup, associé à
ma demande que l'Entente elle aussi veuille
ouvrir ses archives. Mais, comme vous le
dues avec raison, nous ne pouvons pas at-
tendre cette ouverture. Je continue donc de
vous presser de mes questions.
Pourquoi ne dites-vous rien du rapport,
ci!é par moi, transmis par Isvolski, en date
du 8 Décembre 1912, suivant lequel les mi-
nistres français étaient effarés parce que la
Russie ne voulait pas faire la guerre à
cause de la Serbie ? Pourquoi ne dites-
vous rien de mon assertion qu'on a menti
au peuple français au sujet de la date de la
mobilisation russe ? J'ajoute immédiate-
ment encore quelques questions. Que dites-
vous de l'aveu de l'ancien secrétaire parti-
culier de Poincaré, M. Colrat (14 décembre
1918) disant ouvertement que M. Poincaré
a toujours eu en vue le but de la guerre,
la poursuivi avec une habile ténacité et voit
maintenant réalisé son rêve sanglant ?
Est-il vrai ou n'est-il pas vrai que
M. Poincaré a rapporté le plan de l'introduc-
tion du service de trois ans en France de
son voyage à Pétersbourg en 1912 ? Est-il
vrai ou n'est-il pas vrai que la charge du
service de trois ans pour la France était si
lourde qu'il fallait ou bien s'en défaire à
nouveau, ou bien faire la guerre à bref dé-
lai ? Est-il vrai ou n'est-il pas, vrai que
M. Paléologue n'a, accepté le poste d'ambas-
sadeur à Pétersbourg en janvier 1914 qu'à
la condition que le service de trois ans fût
maintenu ?
Isvolski a transmis à son gouvernement
à la date du 30 janvier 1913 que le ministre
von Jagow avait essayé de se rapprocher de
la France pour assurer en commun le main-
tien de la Turquie. M. Poincaré a repoussé
cette offre alléguant que la France n'était
disposée à traiter la question que de con-
cert avec la Russie. M. Poincaré ne savait-
il pas qu'on préparait en Russie le plan de
conquérir Constantinople et les Darda-
nelles ? Ou croyait-il que cela pût être fait
sans une guerre européenne ? Ou lui était-il
indifférent d'éviter cette guerre ?
Le 25 février 1913, l'ambassadeur russe
à Londrels, Renckendorf, communiquait à
son ministre que la paix mondiale ne pou-
vait être maintenue que par une politique
de compromis dans les Balkans ; en dehors
du compromis, c'était la guerre. L'Angle-
terre travaillait pour le compromis : la
France contre. Comment, à votre avis, l'am-
bassadeur russe en était-il venu à cette
manière de voir ?
D'après le récit de Paléotlogue, l'épouse
du graind-duc Nicolaï-Nicolaivitch lui
a raconté, pleine de joie, dès le 22
juillet, c'est-à-dire un jour avant la re-
mise de l'ultimatum autrichien à Belgrade,
que maintenant la guerre générale pou-
vait venir, qui détruirait l'Autriche et l'Al-
lemagne. Or, M. Poincaré nous assure que
le 25 encore, à bord de son navire qui le ra-
menait de Pétersbourg, en passant par
Stockholm, personne ne pensait à une
guerre européenne. M. Poincaré aurait-il à
ce point eu moins de pressentiment que les
grandes-duchesses russes ? Ou s'est-il ici
écarté de la vérité ?
M. von Rethnann-Hollwey s'est donné la
plus grande peine pour déterminer, le 30
juillet, l'Autriche à des dispositions conci-
liantes, et il menaça, même d'une rupture
de l'Alliance. M. Poincaré ne peut pas, dans
son exposé, omettre cette dépêche complè-
tement, mais il la dénature, en laissant de-
côté la phrase capitale de la fin, c'est-à-dire
la menace : « Il nous faut refuser de nous
laisser entraîner par Vienne, à la légère,
et sans égards pour nos conseils, dans une
conflagration mondiale. » Quelle est la raj-
son de cette altération ? Osez-vous la dé-
fendre ?
Que dites-vous du fait, établi par M. M.
Morhardt (Humanité du 25 janvier 1922)
que la dépêche de Viviani à Paléologue du
31 juillet, 1914 a été altérée à trois endroits
dans le Livre Jaune français (N° 117) v
Je vous en prie, dites également au monde
pourquoi Jaurès fut assassiné le 31 juillet ?
Pourquoi le meurtrier n'a été jugé qu'après
la guerre ? Pourquoi il a été finalement ac-
quitté ? Nous avons, en effet, à parler fran-
chement, le soupçon que Jaurès a été assas-
siné parce qu'il voulait empêcher la guerre
et qu'on a acquitté le meurtrier parce qu'il
aurait pu faire des dépositions gênantes,
Au sujet du rejet de l'arbitrage de La
Haye, vous me prêtez, par l'expression :
« Delbruck dira », une manière de voir qui
est, en réalité, toute différente de Cie, qiue j'ai
dit. Vous ne vous êtes pas donné la peine
de lire ce que j'ai fait imprimer sur ce
point (Krieg und Politik, livre II, page 46)
et vous préférez apporter une construction
de votre imagination. Considère-t-on parmi
les savants français qu'il soit permis de
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La question de l'envoi de bombes sur Nu-
remberg vient d'être réglée) d'une façon
complète, vous l'admettrez vous-même,
par le comte Montgelas (Berliner Tage-
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