Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 mars 1922 11 mars 1922
Description : 1922/03/11 (T20,N2001). 1922/03/11 (T20,N2001).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253370p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINlSTÈRE
DEs
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2001
Samedi 11 mars 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
« traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE MANL)I:' — Irépandions
gliche runschau). - Le cabinet. Poin
caré et l'opinion parlementaire, (Wii-
helm V i'ln;,nn dans Ynssische Z.ei-
PRESSE AMÉRICAINE.- L'entrevue de Bou-
logne (New York Times). - La ba-
tance ('()l}unel'(',inJ,' aux Etats-Unis
(Chicago Daily XcwSj.
PRESSE ANGLAISE. - La Conférence de Gè
nes : le de* Efals-l.'nis (Times,
Morning Post, Westminster Gazette).
- La ( '\Se ('0'de Sir Arthur Balfour (Morning Post.
lrnniclc, iX'Hïl Herald).— La
situation dans rinde : 1 exposé de Loi,!
Ollhelhffe (Times) ; le télégramme du
Telegraph, daily Kr1)reSSî-
ITALIENNE. - Contre l'interna tiu-na
NotJ"il()I¡) du Pl'O!J."Ùllle Humain (Idea
,ol/ole, .\[onf1o)
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LE REFUS DES ETATS-UNIS. — PRESSE
Tous ceux qui connaissent le
sentiment de l'Amérique prévoyaient que toute
une partie du Proglïllllme de Gênes, élaboré à
annes, lui paraîtrait inacceptable, notamment
lssion ,ld*viks-,
.Ainsi la france n'a nullement l'intention
'r
voit en avec leiS Bolcheviks, l'Amérique
voit en eux un Qbstacle insurmontable à la
reconstruction russe. Pourquoi donc notre
ment désire-t-il les recevoir à la
table des autres nalOllS? Pourquoi demande-
aux autres nations d'oublier leurs cri-
? Jusqu'à présent, il n'a donné aucune
, sinon d qu II veut rétablir 1-activitQ
~r) Russie. Mais M. Hug'hcs
et Sir Robert horne nous ont montré ce
att > de cette reconstruction.
Alors ré {,"'îp à Gênes ? Pourquoi
Pi)l' une conférence à Gènes, si ce
parce que l'on croit que la présence
lw^°1,vei-nA,1011 britannique, protégeant
bolche \Isnle, - POUil'rait. peut-être exercer
quelque ((lUctinn Sllr certains éléments
f'u „ 'Wps (Rectoral d'Angleterre ?
TIMES, 10.2.
- Le refus de l'Amérique ne donnera peut-
être pas le coup de grâce à la Conférence, mais
ces!, néanmoins un terrible coup pour M. Lloyd
George.
M. Harding après .M. ilson. comme M. l'oin-
caié ai>ivs M. t?riand, soupçonne notre Premier
et il est évident que le projet de Conférence,
comme expédient électoral, tombe à 1 eau. (.e
refus est aussi un avertissement pour Lénine.
La note de M. Hughes, qui défend, en
somme, la thèse de M. Poincaré et celle de
M. Benes, a considérablement modifié le
programme de Gènes et annihilé l'éblouis-
sant projet Lloyd George. Nous ne compre-
nons même plus très bien pourquoi
M. Lloyd George se rendrait à Gènes. Il est
peut-être nécessaire de réunir les hommes
d'état européens pour étudier les problèmes
politiques et économiques posés par les usur-
pateurs de Russie et par la chute du com-
merce européen. Mais M. Lloyd George n'a
jamais brillé en de telles conférences. Pour-
quoi n'en verrait-il pas Sir Arthur Balfour ?
Sir Arthur Balfour refusera peut-être, mais
cela prouvera à M. Lloyd George que Sir
Arthur ne songe pas à prendre le chemin
de Gènes pour revenir à Westminster. Il se
pourrait-même après tout que la présence de
Sir Arthur Balfour fit de la Conférence de
Gênes un succès ! (Ed.)
MORING POST, 10.3.
— I./Cs Américains n'assisteront donc pas à la
Conférence de Gênes. A vrai dire, leurs argu-
ments sont sérieux et doivent être examinés. Par
une allusion qui vise sans doute l'exclusion des
questions des réparations et le maintien des
traités, les Américains déclarent que la Confé-
rence ne sera pas essentiellement une confé-
rence économique. Sur ce point leur argument
est solide. Il est impossible de faire revivre le
commerce en Europe si l'œuvre effectuée à Paris
n'est pas entièrement revisée. Mais, quand il
s'agit de la Russie et de l'Allemagne, nous ne
comprenons plus. L'Amérique ne se rend-elle
pas compte que les questions politiques et écono-
miques sont nettement liées, que la politique du
désarmement ne peut être que la conséquence
d'une entente avec les Soviets ?
Nous comprenons que les Américains hé-
sitent à aborder les problèmes européens
alors que la politique future des nations eu-
ropéennes est encore incertaine. Ils redou-
tent une coopération qui exigerait de nou-
veaux prêts et l'annulation des dettes. L'opi-
nion américaine n'est certainement pas dis-
posée à accepter de telles propositions. Il en
sera même ainsi tant qu'elle soupçonnera
l'Europe de vouloir gaspiller ses fonds en
aventures militaristes, Il appartient donc
aux Puissances d'Europe de prouver, quand
elles seront réunies à Gênes, qu'elles sont
résolues à réparer les erreurs du passé.(Ed.)
WESTMlNSTEER GAZETTE, 10.3.
L'ENTREVUE DE BOULOGNE. —
PRESSE AMHHirAM;. — Le dernier, sans
!llnl (', des manifestes politiques publiés par
Raymond Poincaré avant son accession à
la Présidence du Conseil se trouve dans le
numéro du lô janvier de la Berne des Deux
Mondes. Il commence sa chronique en fai-
sant Le procès des rencontres entre Pre-
miers. Il cite le passage où Gœthe dit que la
nature a voué sa malédiction à l'immobilité,
et ajoute que si cela est vrai. Lloyd George
et M. Briand sont de tous les minis-
tres les moins maudits. Avec quelle fré-
quence. en effet, avec quelle agilité ne sont-
ils pas précipités de ci, de là, pour se ren-
contrer ! Tantôt à Paris, puis à Londres,
ensuite à Bruxelles, à Boulogne, à, Spa et
enfin à Cannes, les deux ministres
ont conféré à perte de vue. Cette pratique
est qualifiée par M. Poincaré d'irrégulière
et de pernicieuse. Elle ne tenait aucun
compte des règles bien établies de la diplo-
matie. elle s de la bonne coutume
de coucher par écrit les accords impor-
tants en des nates formelles et exerçait
une influence des moins heureuses sur les
rapports franco-anglais, ainsi que sur l'état
d'esprit général de l'Europe. C'est pourquoi
il convient d'y mettre fin et d'en revenir
aux vieilles méthodes qui présidaient jadis
aux relations internationales.
Peut-être Premier Ministre français
n'eût-il pas exprimé cette opinion d'une ma-
nière aussi catégorique s'il avait su que
lui-même, à quelques semaines de là, quit-
terait Paris pour aller s'expliquer à cœur
ouvert avec Lloyd George. On annonce au-
jourd'hui que ces deux hommes d'Etat tien-
dront samedi prochain une conférence par-
ticulière. Cela prouve certainement que
M. Poincaré ne s'obstine pas envers et
contre tout à défendre un point de vue qu'il
avait, adopté, peut-être, sans mûre ré-
flexion. Ses amis de Paris, tout en recon-
naissant qu'il fait preuve d'un certain man-
que d'esprit de suite en cédant au chant de
sirène de Lloyd George et en se permettant
de faire lui-même ce qu'il blâmait chez son
prédécesseur, cherchent à prouver que ce
à quoi il était vraiment opposé, c'était une
nouvelle session du Conseil Suprême. Natu-
rellement, si le Premier Ministre britanni-
que l'invite à une petite discussion amicale
en tête à tête, il ne peut pas refuser. Son
organe personnel à Paris se félicite même
chaudement de voir la France et l'Angle-
terre se tendre la main à nouveau par-
dessus la Manche. Il est incontestable, ce-
pendant que M. Poincaré n'ait dû renoncer
déjà au premier article du programme qu'il
avait annoncé comme étant le sien. C'est
très joli de persister à adresser de longues
notes à Lloyd George, mais si celui-ci ne
veut pas y répondre, du Foreing Office, par
des circonlocutions du même genre, que
DEs
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2001
Samedi 11 mars 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
« traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE MANL)I:' — Irépandions
gliche runschau). - Le cabinet. Poin
caré et l'opinion parlementaire, (Wii-
helm V i'ln;,nn dans Ynssische Z.ei-
PRESSE AMÉRICAINE.- L'entrevue de Bou-
logne (New York Times). - La ba-
tance ('()l}unel'(',inJ,' aux Etats-Unis
(Chicago Daily XcwSj.
PRESSE ANGLAISE. - La Conférence de Gè
nes : le de* Efals-l.'nis (Times,
Morning Post, Westminster Gazette).
- La ( '\Se ('0'
lrnniclc, iX'Hïl Herald).— La
situation dans rinde : 1 exposé de Loi,!
Ollhelhffe (Times) ; le télégramme du
Telegraph, daily Kr1)reSSî-
ITALIENNE. - Contre l'interna tiu-na
NotJ"il()I¡) du Pl'O!J."Ùllle Humain (Idea
,ol/ole, .\[onf1o)
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LE REFUS DES ETATS-UNIS. — PRESSE
Tous ceux qui connaissent le
sentiment de l'Amérique prévoyaient que toute
une partie du Proglïllllme de Gênes, élaboré à
annes, lui paraîtrait inacceptable, notamment
lssion ,ld*viks-,
.Ainsi la france n'a nullement l'intention
'r
voit en avec leiS Bolcheviks, l'Amérique
voit en eux un Qbstacle insurmontable à la
reconstruction russe. Pourquoi donc notre
ment désire-t-il les recevoir à la
table des autres nalOllS? Pourquoi demande-
aux autres nations d'oublier leurs cri-
? Jusqu'à présent, il n'a donné aucune
, sinon d qu II veut rétablir 1-activitQ
~r) Russie. Mais M. Hug'hcs
et Sir Robert horne nous ont montré ce
att > de cette reconstruction.
Alors ré {,"'îp à Gênes ? Pourquoi
Pi)l' une conférence à Gènes, si ce
parce que l'on croit que la présence
lw^°1,vei-nA,1011 britannique, protégeant
bolche \Isnle, - POUil'rait. peut-être exercer
quelque ((lUctinn Sllr certains éléments
f'u „ 'Wps (Rectoral d'Angleterre ?
TIMES, 10.2.
- Le refus de l'Amérique ne donnera peut-
être pas le coup de grâce à la Conférence, mais
ces!, néanmoins un terrible coup pour M. Lloyd
George.
M. Harding après .M. ilson. comme M. l'oin-
caié ai>ivs M. t?riand, soupçonne notre Premier
et il est évident que le projet de Conférence,
comme expédient électoral, tombe à 1 eau. (.e
refus est aussi un avertissement pour Lénine.
La note de M. Hughes, qui défend, en
somme, la thèse de M. Poincaré et celle de
M. Benes, a considérablement modifié le
programme de Gènes et annihilé l'éblouis-
sant projet Lloyd George. Nous ne compre-
nons même plus très bien pourquoi
M. Lloyd George se rendrait à Gènes. Il est
peut-être nécessaire de réunir les hommes
d'état européens pour étudier les problèmes
politiques et économiques posés par les usur-
pateurs de Russie et par la chute du com-
merce européen. Mais M. Lloyd George n'a
jamais brillé en de telles conférences. Pour-
quoi n'en verrait-il pas Sir Arthur Balfour ?
Sir Arthur Balfour refusera peut-être, mais
cela prouvera à M. Lloyd George que Sir
Arthur ne songe pas à prendre le chemin
de Gènes pour revenir à Westminster. Il se
pourrait-même après tout que la présence de
Sir Arthur Balfour fit de la Conférence de
Gênes un succès ! (Ed.)
MORING POST, 10.3.
— I./Cs Américains n'assisteront donc pas à la
Conférence de Gênes. A vrai dire, leurs argu-
ments sont sérieux et doivent être examinés. Par
une allusion qui vise sans doute l'exclusion des
questions des réparations et le maintien des
traités, les Américains déclarent que la Confé-
rence ne sera pas essentiellement une confé-
rence économique. Sur ce point leur argument
est solide. Il est impossible de faire revivre le
commerce en Europe si l'œuvre effectuée à Paris
n'est pas entièrement revisée. Mais, quand il
s'agit de la Russie et de l'Allemagne, nous ne
comprenons plus. L'Amérique ne se rend-elle
pas compte que les questions politiques et écono-
miques sont nettement liées, que la politique du
désarmement ne peut être que la conséquence
d'une entente avec les Soviets ?
Nous comprenons que les Américains hé-
sitent à aborder les problèmes européens
alors que la politique future des nations eu-
ropéennes est encore incertaine. Ils redou-
tent une coopération qui exigerait de nou-
veaux prêts et l'annulation des dettes. L'opi-
nion américaine n'est certainement pas dis-
posée à accepter de telles propositions. Il en
sera même ainsi tant qu'elle soupçonnera
l'Europe de vouloir gaspiller ses fonds en
aventures militaristes, Il appartient donc
aux Puissances d'Europe de prouver, quand
elles seront réunies à Gênes, qu'elles sont
résolues à réparer les erreurs du passé.(Ed.)
WESTMlNSTEER GAZETTE, 10.3.
L'ENTREVUE DE BOULOGNE. —
PRESSE AMHHirAM;. — Le dernier, sans
!llnl (', des manifestes politiques publiés par
Raymond Poincaré avant son accession à
la Présidence du Conseil se trouve dans le
numéro du lô janvier de la Berne des Deux
Mondes. Il commence sa chronique en fai-
sant Le procès des rencontres entre Pre-
miers. Il cite le passage où Gœthe dit que la
nature a voué sa malédiction à l'immobilité,
et ajoute que si cela est vrai. Lloyd George
et M. Briand sont de tous les minis-
tres les moins maudits. Avec quelle fré-
quence. en effet, avec quelle agilité ne sont-
ils pas précipités de ci, de là, pour se ren-
contrer ! Tantôt à Paris, puis à Londres,
ensuite à Bruxelles, à Boulogne, à, Spa et
enfin à Cannes, les deux ministres
ont conféré à perte de vue. Cette pratique
est qualifiée par M. Poincaré d'irrégulière
et de pernicieuse. Elle ne tenait aucun
compte des règles bien établies de la diplo-
matie. elle s de la bonne coutume
de coucher par écrit les accords impor-
tants en des nates formelles et exerçait
une influence des moins heureuses sur les
rapports franco-anglais, ainsi que sur l'état
d'esprit général de l'Europe. C'est pourquoi
il convient d'y mettre fin et d'en revenir
aux vieilles méthodes qui présidaient jadis
aux relations internationales.
Peut-être Premier Ministre français
n'eût-il pas exprimé cette opinion d'une ma-
nière aussi catégorique s'il avait su que
lui-même, à quelques semaines de là, quit-
terait Paris pour aller s'expliquer à cœur
ouvert avec Lloyd George. On annonce au-
jourd'hui que ces deux hommes d'Etat tien-
dront samedi prochain une conférence par-
ticulière. Cela prouve certainement que
M. Poincaré ne s'obstine pas envers et
contre tout à défendre un point de vue qu'il
avait, adopté, peut-être, sans mûre ré-
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naissant qu'il fait preuve d'un certain man-
que d'esprit de suite en cédant au chant de
sirène de Lloyd George et en se permettant
de faire lui-même ce qu'il blâmait chez son
prédécesseur, cherchent à prouver que ce
à quoi il était vraiment opposé, c'était une
nouvelle session du Conseil Suprême. Natu-
rellement, si le Premier Ministre britanni-
que l'invite à une petite discussion amicale
en tête à tête, il ne peut pas refuser. Son
organe personnel à Paris se félicite même
chaudement de voir la France et l'Angle-
terre se tendre la main à nouveau par-
dessus la Manche. Il est incontestable, ce-
pendant que M. Poincaré n'ait dû renoncer
déjà au premier article du programme qu'il
avait annoncé comme étant le sien. C'est
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