Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 février 1922 25 février 1922
Description : 1922/02/25 (T20,N1989). 1922/02/25 (T20,N1989).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533587
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
ou
AFFAIRES ETRANGERES
1 N° 1989
Samedi 25 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
fc. traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ,
ALLEMANDE. — L'entrevue Foincaré-
Lloyd (' (/r/<'r 7'r~). -
l-a î) 'e'.11 (lîerliner Tnijcblall). —
La Russie et r.\ !ll'IIlUg, Il' à Gènes
Saxons - La Frullce et les Anglo-
(W t| (< Tardieu contre liriand »
PRESSE H, J." dans \'ossiscJic Zcihnnj).
AMERICAINE — La Chicago Tri-
bune : ,e ,)i1,1's gland journal du monde
PRESSE
Lloyd A:'\I;!.\!SE. L'ont i-evut' Poincaré-
Lloyd y°urge (Times. Mnniina Post,
Westminster Gazelle- - Le vovage
de M. Benes (lJailU Te!('fjl'(/}JlI),
— ESPAGNOLE. —L'Espagne et la Con-
fére , '1
rence de Gènes (Epoca).
SSE l,
ITALIENNE. — I.'Italie et l'ajourne-
ment de la Conférence w Gènes
(Corrière d'Italia). — La crise ministé-
Rivis les partis (Don Sturzo dans
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'AJOUR
- LE ROLE DE L'ITALIE.
— La France demande à l'Italie le renvoi
de la Conférence de Gênei.
On fait officieusement que le
observer officieusement que le
gouvernement de M. Bonomi, pour des rai-
gager le mi,n f comprendre, pour ne pas en-
donné le ministère qui doit lui succéder, n'a
donné et ne donnera aucune réponse à la
démarche du gouve¡rnenœnt français. Cette
du gouvernement français. Cette
N^E^?SUT|!E,R LU1 DES LLOUV,'AUX
actes l'reced cabinet, acte qui devra
être précédé un examen attentif de ,la
situation à la Conférence de
et qui sc' t'*~tl~ielie à la Coi-ifC~renc.e de
Gênes et n0: sera paS! donnée sans un
lem nge de "'1 ,
de vues avec les cabinets principa-
ment intéressés et particulièrement avec
le gouvernement anglais. •
Lloyd George a déclaré publiquement
de 1:; folu "1
de renvoi 0 (lu il ne vovait aucune raison
de renvoi et. Ue POur qu'il en accepte l'idée
il faudrait que la requête parfit du gouver-
italien. Il voulait faire allusion à
crise italienne ou à des
rétards ^ventn 'ei ls dans l'organisation des
services qoue en?an(^' cette extraordinaire
réunion. Or ces égards pour notre situation
r'° la part des Anglais exigent de
notre côté des égards analogues pour les
vues du gouvernement britannique, d'autant
plus qu'il sera nécessaire d'éviter que les
deux demandes différentes de la France
reçoivent deux réponses différentes.
Logiquement, la demande adressée par la
France à notre gouvernement annule la de-
mande adressée par la France au cabinet
anglais. En fait, comme on l'a dit plus haut,
le gouvernement français a abandonné tout
son bagage d'objections de caractère poli-
tique pour justifier sa demande par des exi-
gences de pure préparation technique ; sans
compter que la période de prorogation est
limitée à trois semaines au lieu de trois
mois, comme c'était la première intention
du Quai d'Orsay.
Placée sur ce terrain, la question doit être
considérée dans un esprit tout différent,
Tout en restant, pour notine part, contraires à
tout ajournement, nous pouvons reconnaître
qu'il peut se présenter des raisons qui de-
mandent un bref délai. Dans ce cas, nous
insisterions pour que la date fixée au 8 mars
fût. déplacée le moins possible. Ainsi, au lieu
d'être de trois semaines, le délai pourrait
être de deux semaines ou même d'une, de
façon à troubler le moins possible, dans
l'opinion mondiale l'attente si vive provo-
quée par cette conférence historique.
CORRIERE DITALIA, 23.2.
L'ENTREVUE POINCARE - LLOYD
GEORGE. - PRESSE ANGLAISE.— De Paris :
Le seul fait qu'un échange de vues est
décidé et que l'entretien sera court, dé-
montre que les deux thèses se sont sen-
siblement. rapprochées durant ces derniers
jours. Sans doute, on s'est efforcé de dis-
siper les malentendus « par les voies
diplomatiques ordinaires », mais il est de
plus en plus évident que les deux nations
ont contracté une grande dette de recon-
naissance envers M- Benes qui a fait
preuve de tact et qui a su faire œuvre de
conciliation. Grâce à lui ou à Lord Har-
dinge, il semble établi que le gouvernement
britannique a donné à la France des as-
surances.
Les traités, les réparations, ne seront
pas discutés à Gènes. On croit que le
gouvernement britannique a si bien ac-
cepté le point de vue français qu'il est
disposé à demander que la Société des
Nations soit chargée de surveiller l'exé-
cution des décisions de Gênes. Cela bien
entendu impliquerait une participation
officielle de la Société des Nations. Il rie
reste pi us maintenant que la question de
la reconnaissance des Soviets.Les Français
préféreraient que cette reconnaissance ne
soit accordée que plus tard et qu'elle soit
conditionnelle. Le gouvernement britanni-
que estime, croit-on, que l'acceptation par
les Soviets des résolutions de Cannes est
une garantie suffisante.
En certains cercles, on suggère un com-
promis déclarant qu'on pourrait laisser il
chaque nation le droit de décider de la
forme et de l'importance de cette recon-
naissance. Mais cette suggestion est nette-
ment contraire à la politique adoptée par
les différents gouvernements français qui
se sont succédé au pouvoir, puisqu'ils ont
tous déclaré que les Alliés devraient s'en-
tendre sur une politique commune i)
l'égard de la Russie ; enfin, cette méthod «
pourrait être dangereuse pour les intérêts
économiques de la France ; car il est évi-
dent que Moscou accorderait des régimes
commerciaux de faveur aux nations qui
seraient plus disposées que les autres à
reconnaître les Soviets et on assisterait
ainsi à ce spectacle peu digne : la lutte
pour conquérir les faveurs de Lenine.
TIMES.. 21.2.
- Les deux Premiers redoutent à ce point
la publicité qu'ils ont. tenu secret jusqu'au
dernier moment le lieu de la réunion. Mais
il 'y a des gens pour qui rien n'est sacré,
et certains journaux français donnent, avec
de nombreux commentaires, les points sur
lesquels l'accord est officiel, ceux sur les-
quels l'accord n'est qu'officieux, ceux enfin
qui sont encore en discussion. Puisque le
mystère est dévoilé, on peut dire aussi bien,
sans commettre une indiscrétion, que ces
exposés semblent conformes aux faits. Les
traités les réparations ne seront pas dis-
cutés à Gênes. La Société des Nations se
chargera de tous les problèmes qui vont
être ainsi mis à l'écart, et elle surveillera
l'exécution des décisions de Gênes. Voilà
les points sur lesquels, l'accord est officiel-
lement conclu. L'accord est officieux sur les
quatre questions suivantes : l'ajournement
de la Conférence, à quelques semaines dit-
on ; l'admission des Soviets, qui n'impli-
quera, en aucune facon la reconnaissance
de jure, tout en laissant le champ libre
aux accords commerciaux (deuxième et
troisième points) ; la substitution d'une nou-
velle résolution à la convention officielle
proposée à Cannes, convention de non
agression entre les cosignataires. Mais,
hélas, les accords officiels ne sauraient
chasser le spectre bolchevik et il reste un
point, - un seul peut-être - sur lequel les
parties diffèrent. M. Lloyd George semble
disposé à reconnaître immédiatement les
Soviets. M. Poincaré estime que cette re-
connaissance doit être conditionnelle et
qu'elle ne peut être accordée actuellement.
Une seule considération devrait com-
mander l'attitude des deux ministres, c'est
qu'un accord non équivoque et étroit entre
la France et l'Angleterre est nécessaire aux
AFFAIRES ETRANGERES
1 N° 1989
Samedi 25 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
fc. traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ,
ALLEMANDE. — L'entrevue Foincaré-
Lloyd (' (/r/<'r 7'r~). -
l-a î) 'e'.11 (lîerliner Tnijcblall). —
La Russie et r.\ !ll'IIlUg, Il' à Gènes
Saxons - La Frullce et les Anglo-
(W t| (< Tardieu contre liriand »
PRESSE H, J." dans \'ossiscJic Zcihnnj).
AMERICAINE — La Chicago Tri-
bune : ,e ,)i1,1's gland journal du monde
PRESSE
Lloyd A:'\I;!.\!SE. L'ont i-evut' Poincaré-
Lloyd y°urge (Times. Mnniina Post,
Westminster Gazelle- - Le vovage
de M. Benes (lJailU Te!('fjl'(/}JlI),
— ESPAGNOLE. —L'Espagne et la Con-
fére , '1
rence de Gènes (Epoca).
SSE l,
ITALIENNE. — I.'Italie et l'ajourne-
ment de la Conférence w Gènes
(Corrière d'Italia). — La crise ministé-
Rivis les partis (Don Sturzo dans
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'AJOUR
- LE ROLE DE L'ITALIE.
— La France demande à l'Italie le renvoi
de la Conférence de Gênei.
On fait officieusement que le
observer officieusement que le
gouvernement de M. Bonomi, pour des rai-
gager le mi,n f comprendre, pour ne pas en-
donné le ministère qui doit lui succéder, n'a
donné et ne donnera aucune réponse à la
démarche du gouve¡rnenœnt français. Cette
du gouvernement français. Cette
N^E^?SUT|!E,R LU1 DES LLOUV,'AUX
actes l'reced cabinet, acte qui devra
être précédé un examen attentif de ,la
situation à la Conférence de
et qui sc' t'*~tl~ielie à la Coi-ifC~renc.e de
Gênes et n0: sera paS! donnée sans un
lem nge de "'1 ,
de vues avec les cabinets principa-
ment intéressés et particulièrement avec
le gouvernement anglais. •
Lloyd George a déclaré publiquement
de 1:; folu "1
de renvoi 0 (lu il ne vovait aucune raison
de renvoi et. Ue POur qu'il en accepte l'idée
il faudrait que la requête parfit du gouver-
italien. Il voulait faire allusion à
crise italienne ou à des
rétards ^ventn 'ei ls dans l'organisation des
services qoue en?an(^' cette extraordinaire
réunion. Or ces égards pour notre situation
r'° la part des Anglais exigent de
notre côté des égards analogues pour les
vues du gouvernement britannique, d'autant
plus qu'il sera nécessaire d'éviter que les
deux demandes différentes de la France
reçoivent deux réponses différentes.
Logiquement, la demande adressée par la
France à notre gouvernement annule la de-
mande adressée par la France au cabinet
anglais. En fait, comme on l'a dit plus haut,
le gouvernement français a abandonné tout
son bagage d'objections de caractère poli-
tique pour justifier sa demande par des exi-
gences de pure préparation technique ; sans
compter que la période de prorogation est
limitée à trois semaines au lieu de trois
mois, comme c'était la première intention
du Quai d'Orsay.
Placée sur ce terrain, la question doit être
considérée dans un esprit tout différent,
Tout en restant, pour notine part, contraires à
tout ajournement, nous pouvons reconnaître
qu'il peut se présenter des raisons qui de-
mandent un bref délai. Dans ce cas, nous
insisterions pour que la date fixée au 8 mars
fût. déplacée le moins possible. Ainsi, au lieu
d'être de trois semaines, le délai pourrait
être de deux semaines ou même d'une, de
façon à troubler le moins possible, dans
l'opinion mondiale l'attente si vive provo-
quée par cette conférence historique.
CORRIERE DITALIA, 23.2.
L'ENTREVUE POINCARE - LLOYD
GEORGE. - PRESSE ANGLAISE.— De Paris :
Le seul fait qu'un échange de vues est
décidé et que l'entretien sera court, dé-
montre que les deux thèses se sont sen-
siblement. rapprochées durant ces derniers
jours. Sans doute, on s'est efforcé de dis-
siper les malentendus « par les voies
diplomatiques ordinaires », mais il est de
plus en plus évident que les deux nations
ont contracté une grande dette de recon-
naissance envers M- Benes qui a fait
preuve de tact et qui a su faire œuvre de
conciliation. Grâce à lui ou à Lord Har-
dinge, il semble établi que le gouvernement
britannique a donné à la France des as-
surances.
Les traités, les réparations, ne seront
pas discutés à Gènes. On croit que le
gouvernement britannique a si bien ac-
cepté le point de vue français qu'il est
disposé à demander que la Société des
Nations soit chargée de surveiller l'exé-
cution des décisions de Gênes. Cela bien
entendu impliquerait une participation
officielle de la Société des Nations. Il rie
reste pi us maintenant que la question de
la reconnaissance des Soviets.Les Français
préféreraient que cette reconnaissance ne
soit accordée que plus tard et qu'elle soit
conditionnelle. Le gouvernement britanni-
que estime, croit-on, que l'acceptation par
les Soviets des résolutions de Cannes est
une garantie suffisante.
En certains cercles, on suggère un com-
promis déclarant qu'on pourrait laisser il
chaque nation le droit de décider de la
forme et de l'importance de cette recon-
naissance. Mais cette suggestion est nette-
ment contraire à la politique adoptée par
les différents gouvernements français qui
se sont succédé au pouvoir, puisqu'ils ont
tous déclaré que les Alliés devraient s'en-
tendre sur une politique commune i)
l'égard de la Russie ; enfin, cette méthod «
pourrait être dangereuse pour les intérêts
économiques de la France ; car il est évi-
dent que Moscou accorderait des régimes
commerciaux de faveur aux nations qui
seraient plus disposées que les autres à
reconnaître les Soviets et on assisterait
ainsi à ce spectacle peu digne : la lutte
pour conquérir les faveurs de Lenine.
TIMES.. 21.2.
- Les deux Premiers redoutent à ce point
la publicité qu'ils ont. tenu secret jusqu'au
dernier moment le lieu de la réunion. Mais
il 'y a des gens pour qui rien n'est sacré,
et certains journaux français donnent, avec
de nombreux commentaires, les points sur
lesquels l'accord est officiel, ceux sur les-
quels l'accord n'est qu'officieux, ceux enfin
qui sont encore en discussion. Puisque le
mystère est dévoilé, on peut dire aussi bien,
sans commettre une indiscrétion, que ces
exposés semblent conformes aux faits. Les
traités les réparations ne seront pas dis-
cutés à Gênes. La Société des Nations se
chargera de tous les problèmes qui vont
être ainsi mis à l'écart, et elle surveillera
l'exécution des décisions de Gênes. Voilà
les points sur lesquels, l'accord est officiel-
lement conclu. L'accord est officieux sur les
quatre questions suivantes : l'ajournement
de la Conférence, à quelques semaines dit-
on ; l'admission des Soviets, qui n'impli-
quera, en aucune facon la reconnaissance
de jure, tout en laissant le champ libre
aux accords commerciaux (deuxième et
troisième points) ; la substitution d'une nou-
velle résolution à la convention officielle
proposée à Cannes, convention de non
agression entre les cosignataires. Mais,
hélas, les accords officiels ne sauraient
chasser le spectre bolchevik et il reste un
point, - un seul peut-être - sur lequel les
parties diffèrent. M. Lloyd George semble
disposé à reconnaître immédiatement les
Soviets. M. Poincaré estime que cette re-
connaissance doit être conditionnelle et
qu'elle ne peut être accordée actuellement.
Une seule considération devrait com-
mander l'attitude des deux ministres, c'est
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