Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 février 1922 23 février 1922
Description : 1922/02/23 (T20,N1987). 1922/02/23 (T20,N1987).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253356d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINlSTtRF
K 7
I ^^ANGÈRl-b
N° 1987
Jeudi 23 lévrier 1922
,BUlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
RESSE AIMANDE" — Ludendorff et la dé-
^i'e al] nianc'e : une brochure du pro-
fesse~ , du pro'
Ur Delbrück (Freiheit). — La
^onfçr 1100 de Gènes: la France et les
Soviçtg
lets (Th. \Volff dans Berliner Ta-
Yeblatt) T France et. l'Allemagne :
\) - La France et l'Allemagne :
Un apPel des Ligues des Droits de
Ro~-
•Ho^ 6 (Vorwærts).
RICâ1Ne' - La Société des Na-
Une déClaration du Président
'PI" .ew °r^ American). — Le
Projet (J, Conso,lidatLon des dettes inter-
«liéeg (1\'ew York Times).
r, ANGUISE 1
ANGLAISE. L'ajournement de la
d' lAcCe Qe Gênes (Manchester Guar-
laI]
r J Iorning Post). - Le désarme,
!lent. J'
Ù' de ^emagne : « l'Allemagne no
Pas » (Times).
POLITIQUE GENERALE
tu OIRE DE LA GUERRE
R'-~ ET LA DEFAITE ALLE.
S ~-~P BROCHURE DU PROFESSEUR
lie x°^esseur Hans Delbruck, qui
"1' e en matière d'histoire de la
1\ ent d
Un ci \\-^schaft » un volume inti-
flJÏW j1' liaJ^oriis s e}bstP°rtraet [« Ludendorff
i(,^^ N ju^Lwenal?" il entreprend, à l'aide
s~ de toute la littérature
tl 'ci Plu' la
lQée sur in guerre, de caractériser le
il ^^orff o^^lirie Politicien et chef d'ar-
tt, ttu 1 e du caractère de Ludendorff.
faite avec une grande otîjectivitéT constitue une
accusation ion accablantf. €ontre ce banqueroutier
Aerch e touiou?rf « a
il, to ,a.nte ce banqueroutier
cehe toujours a jouer un rôle politique
t la plus ICI SLON : extraits, qui mé-
SN iS'5 VI ,PoUtteSS stratège ressemble à Lu-
(JI~~, Il. osc:nICle.n. Il ne Sait jamais ce qu'il
^°SciHe entr, ? les, tendanoes contna,-
-
- lr *a grande victoire
-il nén-i *te*1*"toutes
(Kft «r®°nibr;e de la carrière die
~ti a a demande subite et pres-
}il rrl 18tice.
Iih 1 h ■ ^Uon
Colalljtion ne fut Pas la conséquence
S^UencA GJ rut la Révolution qui
ae 'l'a défaite. Il y eut
aulssi de graves mutineries dans l'armée
française en 1917, mais on s'en rendit maî-
tre, parce que l'espoir en la victoire finale
subsistait. En Allemagne, les jusqu'aubou-
tistes faisaient rage quand il n'y avait plus
d'espoir, après que l'abandon et la défaite
de l'Autriche et de la Bulgarie nous avaient
isolés, alors que Ludendorff réclamait pré-
cipitamment un armistice et annonçait au
monde, que la guerre était perdue pour
nous.
Lorsque l'on condamne la trahison de l'ar-
mée mutinée, on ne doit pas oublier que le
premier mutin en cette guerre fut le chef
d'armées qui refusa de servir l'empereur
parce que sa politique ne lui semblait pas
la bonne. De même que deux grands hom-
mes, Bismarck et Moltke, ont édifié l'Em-
pire, de même deux autres hommes l'ont, dé-
truit : Tirpitz et Ludendorff. Le premier en
construisant des dreadnougth sans but et
en empêchant tout accord naval, ce qui
exacerba la méfiance des Anglais et nous
amena la guerre ; le second en transfor-
mant une guerre de défense en guerre de
conquête, en ne sachant pas mener la
guerre, enfin en donnant par sa désobéis-
sance le signal de cette révolution qui devait
anéantir l'Empire allemand.
Il ne nous était pas possible d'empêcher
la guerre mondiale ; on nous y eût con-
traints même si, en juillet 1914, nous eus-
sions pratiqué une autre politique. Mais
nous eussions pu la terminer autrement si
Ludendorff avait été un autre homme. »
FREIHEIT, 19.2.
ol> -
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA FRANGE ET LES SOVIETS. -
BRUITS DE NÉGOCIATIONS OFFICIEUSES. - Le
'gouvernement français vient de faire décla-
rer qu'il n'est pas « entré officiellement en
contact » avec le gouvernement russe. Cette
déclaration confirme que des négociations
officieuses ont eu lieu ou ont lieu actuelle-
ment. Ceux qui sont un peu informés n'ont
jamais considéré les choses autrement et
n'ont jamais ajouté foi aux nouvelles con-
cernant la conclusion d'accords. L'ancien
consul général de France à Pétersbouirg,
comte de Chevilly, arrivé à Berlin la veille
de la grève des chemins de fer, déclare de
son côté n'avoir voulu s'entretenir que des
« possibilités commerciales de la Russie »
et n'avoir vu à Berlin que des antibolche-
vistes et nullement des Bolchevistes. Radek
déclare également ne pas avoir eu d'entre-
vue avec le comte français. Mais à cette
époque de téléphonie sans fil, des idées peu-
vent s'échanger sans que ceux qui les émet-
tent soient assis en lace l'un de l'autre.
Devant les déclarations si précises des in-
téressés, nous ne pouvons que constater
avec plaisir que le comte de Chevilly n'a
entrepris en plein hiver ce voyage incom-
mode que pour se renseigner à Berlin sur
les « possibilités commerciales de la
Russie » et pour ne s'y rencontrer qu'avec
des adversaires du gouvernement des So-
viets. Tout cela, en vérité, est un peu
étrange. Car pour s'entretenir avec des an-
tibolchevistes, le comte de Chevilly n'avait
pas besoin de quitter iParis, où résident les
personnalités antibolchevistes les plus mar-
quantes, pour se rendre à Berlin. D'autre
part, si l'on veut connaître les possibilités
commerciales actuelles de la Russie, il faut
s'adresser non aux représentants de l'an-
cien régime, qui depuis des années ne
jouent qu'un rôle de lointains spectateurs,
mais aux plénipotentiaires de la Russie so-
viétique. Le comte de Chevilly, qui con-
naît remarquablement la Russie et qui est
maintenant attaché au ministère des Affai-
res Etrangères, négocie aussi à Paris avec
un de ces plénipotentiaire, M. Skobelev. A
Riga, un agent français, portant le nom
russe de Pechkov, a déjà entrepris des né-
gociations. Il est exact que le gouverne-
ment Poilncaré cherche à éviter tout « con-
tact officiel ». M. Poincaré a rappelé de
Russie une commission spéciale composée
de trois membres envoyée à Moscou sous
Briand. On peut se montrer étonné de voir
M. Poincaré préférer aujourd'hui les mé-
thodes officieuses aux méthodes officielles,
étant donné qu'il avait désapprouvé ces mé-
thodes lorsqu'on avait envoyé M. Franklin-
Bouillon après de Kemal Pacha pour pré-
parer officieusement et à l'insu de l'An-
gleterre, l'accord d'Angora.
« iNous nous sommes figuré, écrit Poin-
caré le 27 novembre dans le Temps, que
nous mécontenterions moins l'Angleterre
par de l'habileté et de l'adresse que par
de l'énergie et de la décision, et nous avons
choisi le procédé lé plus propre à l'irriter. »
Un journal français a écrit que tout ce
que le Berliner Tageblatt avait dit il y a
huit jours ne visait qu'à provoquer un nou-
veau différend entre la France et l'Angle-
terre afin de troubler l'opinion publique an-
glaise. Ce journal se trompe fort. Nous sou-
haitons au contraire, qu'à Gênes, l'Allema-
gne. la Russie et les Alliés aboutissent à
une entente pour ouvrir la Russie. Mais
si la France et l'Angleterre ont à ce sujet
des points de vue divergents, il n'y a guère
d'espoir possible. - Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 20.2 soir.
L'AJOURNEMENT. — PRESSE ANGLAISE.
— Il y a six semaines, le Conseil Suprême
convint de réunir une conférence interna-
tionale à Gènes. Tout d'abord cela parut
très clair. M. Lloyd George, en proposant
la résolution, expliqua que seules les ques-
K 7
I ^^ANGÈRl-b
N° 1987
Jeudi 23 lévrier 1922
,BUlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
RESSE AIMANDE" — Ludendorff et la dé-
^i'e al] nianc'e : une brochure du pro-
fesse~ , du pro'
Ur Delbrück (Freiheit). — La
^onfçr 1100 de Gènes: la France et les
Soviçtg
lets (Th. \Volff dans Berliner Ta-
Yeblatt) T France et. l'Allemagne :
\) - La France et l'Allemagne :
Un apPel des Ligues des Droits de
Ro~-
•Ho^ 6 (Vorwærts).
RICâ1Ne' - La Société des Na-
Une déClaration du Président
'PI" .ew °r^ American). — Le
Projet (J, Conso,lidatLon des dettes inter-
«liéeg (1\'ew York Times).
r, ANGUISE 1
ANGLAISE. L'ajournement de la
d' lAcCe Qe Gênes (Manchester Guar-
laI]
r J Iorning Post). - Le désarme,
!lent. J'
Ù' de ^emagne : « l'Allemagne no
Pas » (Times).
POLITIQUE GENERALE
tu OIRE DE LA GUERRE
R'-~ ET LA DEFAITE ALLE.
S ~-~P BROCHURE DU PROFESSEUR
lie x°^esseur Hans Delbruck, qui
"1' e en matière d'histoire de la
1\ ent d
flJÏW j1' liaJ^oriis s e}bstP°rtraet [« Ludendorff
i(,^^ N ju^Lwenal?" il entreprend, à l'aide
s~ de toute la littérature
tl 'ci Plu' la
lQée sur in guerre, de caractériser le
il ^^orff o^^lirie Politicien et chef d'ar-
tt, ttu 1 e du caractère de Ludendorff.
faite avec une grande otîjectivitéT constitue une
accusation ion accablantf. €ontre ce banqueroutier
Aerch e touiou?rf « a
il, to ,a.nte ce banqueroutier
cehe toujours a jouer un rôle politique
t la plus ICI SLON : extraits, qui mé-
SN
(JI~~, Il. osc:nICle.n. Il ne Sait jamais ce qu'il
^°SciHe entr, ? les, tendanoes contna,-
-
- lr *a grande victoire
-il nén-i *te*1*"toutes
(Kft «r®°nibr;e de la carrière die
~ti a a demande subite et pres-
}il rrl 18tice.
Iih 1 h ■ ^Uon
Colalljtion ne fut Pas la conséquence
S^UencA GJ rut la Révolution qui
ae 'l'a défaite. Il y eut
aulssi de graves mutineries dans l'armée
française en 1917, mais on s'en rendit maî-
tre, parce que l'espoir en la victoire finale
subsistait. En Allemagne, les jusqu'aubou-
tistes faisaient rage quand il n'y avait plus
d'espoir, après que l'abandon et la défaite
de l'Autriche et de la Bulgarie nous avaient
isolés, alors que Ludendorff réclamait pré-
cipitamment un armistice et annonçait au
monde, que la guerre était perdue pour
nous.
Lorsque l'on condamne la trahison de l'ar-
mée mutinée, on ne doit pas oublier que le
premier mutin en cette guerre fut le chef
d'armées qui refusa de servir l'empereur
parce que sa politique ne lui semblait pas
la bonne. De même que deux grands hom-
mes, Bismarck et Moltke, ont édifié l'Em-
pire, de même deux autres hommes l'ont, dé-
truit : Tirpitz et Ludendorff. Le premier en
construisant des dreadnougth sans but et
en empêchant tout accord naval, ce qui
exacerba la méfiance des Anglais et nous
amena la guerre ; le second en transfor-
mant une guerre de défense en guerre de
conquête, en ne sachant pas mener la
guerre, enfin en donnant par sa désobéis-
sance le signal de cette révolution qui devait
anéantir l'Empire allemand.
Il ne nous était pas possible d'empêcher
la guerre mondiale ; on nous y eût con-
traints même si, en juillet 1914, nous eus-
sions pratiqué une autre politique. Mais
nous eussions pu la terminer autrement si
Ludendorff avait été un autre homme. »
FREIHEIT, 19.2.
ol> -
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA FRANGE ET LES SOVIETS. -
BRUITS DE NÉGOCIATIONS OFFICIEUSES. - Le
'gouvernement français vient de faire décla-
rer qu'il n'est pas « entré officiellement en
contact » avec le gouvernement russe. Cette
déclaration confirme que des négociations
officieuses ont eu lieu ou ont lieu actuelle-
ment. Ceux qui sont un peu informés n'ont
jamais considéré les choses autrement et
n'ont jamais ajouté foi aux nouvelles con-
cernant la conclusion d'accords. L'ancien
consul général de France à Pétersbouirg,
comte de Chevilly, arrivé à Berlin la veille
de la grève des chemins de fer, déclare de
son côté n'avoir voulu s'entretenir que des
« possibilités commerciales de la Russie »
et n'avoir vu à Berlin que des antibolche-
vistes et nullement des Bolchevistes. Radek
déclare également ne pas avoir eu d'entre-
vue avec le comte français. Mais à cette
époque de téléphonie sans fil, des idées peu-
vent s'échanger sans que ceux qui les émet-
tent soient assis en lace l'un de l'autre.
Devant les déclarations si précises des in-
téressés, nous ne pouvons que constater
avec plaisir que le comte de Chevilly n'a
entrepris en plein hiver ce voyage incom-
mode que pour se renseigner à Berlin sur
les « possibilités commerciales de la
Russie » et pour ne s'y rencontrer qu'avec
des adversaires du gouvernement des So-
viets. Tout cela, en vérité, est un peu
étrange. Car pour s'entretenir avec des an-
tibolchevistes, le comte de Chevilly n'avait
pas besoin de quitter iParis, où résident les
personnalités antibolchevistes les plus mar-
quantes, pour se rendre à Berlin. D'autre
part, si l'on veut connaître les possibilités
commerciales actuelles de la Russie, il faut
s'adresser non aux représentants de l'an-
cien régime, qui depuis des années ne
jouent qu'un rôle de lointains spectateurs,
mais aux plénipotentiaires de la Russie so-
viétique. Le comte de Chevilly, qui con-
naît remarquablement la Russie et qui est
maintenant attaché au ministère des Affai-
res Etrangères, négocie aussi à Paris avec
un de ces plénipotentiaire, M. Skobelev. A
Riga, un agent français, portant le nom
russe de Pechkov, a déjà entrepris des né-
gociations. Il est exact que le gouverne-
ment Poilncaré cherche à éviter tout « con-
tact officiel ». M. Poincaré a rappelé de
Russie une commission spéciale composée
de trois membres envoyée à Moscou sous
Briand. On peut se montrer étonné de voir
M. Poincaré préférer aujourd'hui les mé-
thodes officieuses aux méthodes officielles,
étant donné qu'il avait désapprouvé ces mé-
thodes lorsqu'on avait envoyé M. Franklin-
Bouillon après de Kemal Pacha pour pré-
parer officieusement et à l'insu de l'An-
gleterre, l'accord d'Angora.
« iNous nous sommes figuré, écrit Poin-
caré le 27 novembre dans le Temps, que
nous mécontenterions moins l'Angleterre
par de l'habileté et de l'adresse que par
de l'énergie et de la décision, et nous avons
choisi le procédé lé plus propre à l'irriter. »
Un journal français a écrit que tout ce
que le Berliner Tageblatt avait dit il y a
huit jours ne visait qu'à provoquer un nou-
veau différend entre la France et l'Angle-
terre afin de troubler l'opinion publique an-
glaise. Ce journal se trompe fort. Nous sou-
haitons au contraire, qu'à Gênes, l'Allema-
gne. la Russie et les Alliés aboutissent à
une entente pour ouvrir la Russie. Mais
si la France et l'Angleterre ont à ce sujet
des points de vue divergents, il n'y a guère
d'espoir possible. - Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 20.2 soir.
L'AJOURNEMENT. — PRESSE ANGLAISE.
— Il y a six semaines, le Conseil Suprême
convint de réunir une conférence interna-
tionale à Gènes. Tout d'abord cela parut
très clair. M. Lloyd George, en proposant
la résolution, expliqua que seules les ques-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")Les Monuments historiques de la France : bulletin des diverses sections de la Commission des monuments historiques et de la Commission supérieure des monuments naturels et des sites /ark:/12148/bd6t5377978f.highres Annales de la Société des architectes de l'Est et Annuaire du bâtiment : Ardennes, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Vosges /ark:/12148/bd6t543240573.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6253356d/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6253356d/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6253356d/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6253356d/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6253356d
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6253356d
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6253356d/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest