Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 février 1922 18 février 1922
Description : 1922/02/18 (T20,N1983). 1922/02/18 (T20,N1983).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253352r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1-
!*Ï.'Mste«e
~A!t) DES
^J^ANGÈREfc
-----
N° 1983
Samedi 18 lévrier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
%or
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Sommaire
LlfMANl)E* La France et les So-
viets : « Un traité secret. franco-russe ? »
t -h Zvitung). — Le vote de
dti cabinet Wirth (Berliner
Lobai A nzeigel' Germania. Freiheit.
VE Vnl^zeuun0).
0orifér!>nU:AlNK- - Les Etat-Unis et la
ee de Gênes (Washington
p "s')' Le commeroe extérieur des
E : *'a diminution du trafic en
p 1921 (Aft, U-Yorh Evening Post).
> SE ANnr
| nr,s • — La Conférence de Gé-
h"'l!l H ) l'roglanihie et la date (Times,
(/,'':!J Hm'ŒLd) la France et les Soviets
! ! (bailn ° °Oraph). — Les réparations :
'fcs mi Ln'en^s* de 1922 (Westminster
azette),
le ita IIl'NNE" - La Conférence de Gè-
C : -e progntmme et la date (Tempo.
C°rrierp d'Italia) l'admission des So-
e 1:1 (A, vanti)
| POLITIQUE GENERALE
t -
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LE PROGRAMME ET LA DATE. -
^abUjf ■ e Londres : Selon
^ftrvjse^ e? le gouvernement anglais
aPas qu;. demande française ; il ne
et q U" il la conférence des experts
! •*<%.,i. nvités d, délégués de la Petite En-
; W\ , 01 <ïeci nnJ1 lle Pas créer de distinc-
f Puissances intéressées invi-
la oanWfÂer, ence dans leur égalité ab-
réu^i
Bir^r examiner le meifioran*
■ ariÇa^ il Yve Pas possible de faire
Il, nest pas, possIble de faire
df,„f'r'n'ement h ^Wude que prendrait
Londres au cas où Pa-
tkt etlco La .tpa* Vouloir assister à la
~i~ Ua^0'n reste donc d'une
Sktl ^^icate3^, de8 Aff ?s Etrangères devra in-
ellt m.onrer ^eauo°up de tact et
rt i^es au m
IcaÀ, ~1 cours ,des semaines p™-
le ~c~ est devenu l'arbitre entre
1 Conféf-ens oPPOsées: ceUe du renvoi
: (Y. , Ce représentée par Poincaré,
celle de l'improrogabilité représentée par
Lloyd George.
TEMPO, 15.2.
— La préparation de la Conférence ~"de
Gênes par le gouvernement italien n'a pas
été troublée par les préoccupations d'ordre
intérieur, ni par les préoccupations de na-
ture internationale qu'ont provoquées les
discussions des diplomates ou des journaux
sur l'opportunité d'un renvoi. Le gouverne-
ment italien qui s'était engagé à tout prépa-
rer pour le 8 mars, a fait tout ce qu'il de-
vait. faire.. -.
L'Italie ne doit accéder à aucune propo-
sition de renvoi qui ne serait pas appuyée
par des raisons vraiment indéclinables,
chose qui jusqu'ici ne s'est pas produite ;
on ne peut considérer en effet comme telles
les raisons alléguées par la note française.
A l'égard de cette note le gouvernement
italien n'a aucune position spéciale à pren-
dre. C'est au gouvernement anglais, qui a
reçu cette note, de fixer sa propre attitude.
Il semble que l'ambassadeur d'Angleterre
ait déjà déclaré à Poincaré que le gouver-
nement anglais pense qu'il n'y a pas de rai-
son d'ajourner la Conférence de Gênes.
Devant cette situation, la ligne de con-
duite de l'Italie est claire et facile à suivre :
l'Italie doit s'employer tout entière à prépa-
rer cette réunion historique.
La responsabilité de l'Italie est immense
et nous en appelons encore une fois au Par-
lement afin qu'il mesure justement cette
responsabilité et montre assez de bon sens
pour se contenir, en pensant que l'Italie a
grand besoin de 'se relever devant le juge,
ment du monde.
CORRIERE DIT A LIA, 16.2.
PRESSE ANGLAISE. — Nous croyons savoir
que la Conférence de Gênes sera probable
ment retardée de quelques semaines bien
qu'aucune information officielle n'ait été
publiée à ce sujet.
Actuellement, la situation en ce qui con-
cerne la Conférence préliminaire est la sui
vante : le gouvernement britannique ac-
cepte une réunion des experts à Londres,
en vue d'examiner les différents points si-
gnalés par M. Poincaré dans sa note du
6 février. La Belgique et l'Italie ont ac-
cepté l'invitation..; le Japon a répondu qu'il
nommerait volontiers des experts : aucun
délégué pourtant n'a encore été choisi. Les
Français ont chargé M. Seydoux et une
commission spéciale d'étudier le programme
de Gênes ; on croit, que certains représen-
tants de cette commission se rendront à
Londres au début de la semaine prochaine.
TIMES, 17.2.
- Sous le-titre : « La rivalité anglo-fran-
çaise ». — On discute toujours entre les
différents ministères des Affaires Etran-
gères les questions soulevées par la France
relativement au délai et à l'adhésion des
Etats clients de la France : la Pologne
et la Petite-Entente. Notre rédacteur diplo-
matique nous informe que Downing Street
est toujours, hostile au délai, mais qu'un
compromis est probable : un délai de deux
ou trois semaines. La seconde question est
plus délicate et je crois que le gouverne
ment britannique refusera d'accepter une
innovation qui permettrait à la France de
diriger les discussions préliminaires.
Il devient de plus en plus évident que la
rivalité anglo-française qui se cache sous
le faux nom de l'Entente dominera la poli-
tique européenne et que l'Angleterre et l'Al-
lemagne se rapprocheront. Fait significa-
tif .les communications directes entre Paris
et Moscou, qui ont bouleversé les plans de
Downing Street et de la Withelmstrasse,
ont provoqué une irritation que l'on s'ef
force, difficilement d'ailleurs, de cacher à
Berlin et à Londres.
DAILY HERALD, 17.2.
LA FRANCE ET LES SOVIETS. — Sous
le titre : « UN TRAITÉ SECRET FRANCO-RUSSE ?»
--- De Berlin, 16 février : Les nouvelles ve-
nant de Paris qu'on négocie de façon si
sérieuse entre France et Russie sur des
questions économiques et politiques, qu'il y
a déjà un projet de traité, méritent la plus
grande attention. Dans les milieux officiels
berlinois, on n'a pas été surpris par ces
sondages opérés en Russie, parallèlement
aux négociations avec l'Angleterre et l'Al-
lemagne. Depuis Noël on savait que
M. Radek a été reçu par des officiers fran-
çais à Berlin et qu'il a été invité à venir
en automobile négocier dans le pays •
occupé.
Les accords entamés sont-ils signés ou
près de l'être ? Nous ne le savons pas.
Nous tenons seulement, pour vraisemblable
que le projet d'un traité franco-russe est
presque achevé. Les premières nouvelles de
Paris peignent le contenu du traité comme
un complément russe à la paix de Ver-
sailles, comme une entente franco-russe
dans le sens de la politique tsariste d'avant-
guerre. Malgré les déclarations répétées de
personnages officiels de Moscou, les deux
pays se sont entendus sur l'appliçation de
l'article 116 du traité de paix dont le troi-
sième paragraphe réserve les droits de la
Russie à l'égard de l'Allemagne.
Le Temps conteste sans doute l'authenti-
cité des nouvelles sur la conclusion d'un
traité et veut faire croire qu'il n'y a là
qu'une trop visible manœuvre. Cette atti-
tude du journal répond à notre conception
!*Ï.'Mste«e
~A!t) DES
^J^ANGÈREfc
-----
N° 1983
Samedi 18 lévrier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
%or
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Sommaire
LlfMANl)E* La France et les So-
viets : « Un traité secret. franco-russe ? »
t -h Zvitung). — Le vote de
dti cabinet Wirth (Berliner
Lobai A nzeigel' Germania. Freiheit.
VE Vnl^zeuun0).
0orifér!>nU:AlNK- - Les Etat-Unis et la
ee de Gênes (Washington
p "s')' Le commeroe extérieur des
E : *'a diminution du trafic en
p 1921 (Aft, U-Yorh Evening Post).
> SE ANnr
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h"'l!l H ) l'roglanihie et la date (Times,
(/,'':!J Hm'ŒLd) la France et les Soviets
! ! (bailn ° °Oraph). — Les réparations :
'fcs mi Ln'en^s* de 1922 (Westminster
azette),
le ita IIl'NNE" - La Conférence de Gè-
C : -e progntmme et la date (Tempo.
C°rrierp d'Italia) l'admission des So-
e 1:1 (A, vanti)
| POLITIQUE GENERALE
t -
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LE PROGRAMME ET LA DATE. -
^abUjf ■ e Londres : Selon
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et q U" il la conférence des experts
! •*<%.,i. nvités d, délégués de la Petite En-
; W\ , 01 <ïeci nnJ1 lle Pas créer de distinc-
f Puissances intéressées invi-
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réu^i
Bir^r examiner le meifioran*
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Il, nest pas, possIble de faire
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ellt m.onrer ^eauo°up de tact et
rt i^es au m
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le ~c~ est devenu l'arbitre entre
1 Conféf-ens oPPOsées: ceUe du renvoi
: (Y. , Ce représentée par Poincaré,
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Lloyd George.
TEMPO, 15.2.
— La préparation de la Conférence ~"de
Gênes par le gouvernement italien n'a pas
été troublée par les préoccupations d'ordre
intérieur, ni par les préoccupations de na-
ture internationale qu'ont provoquées les
discussions des diplomates ou des journaux
sur l'opportunité d'un renvoi. Le gouverne-
ment italien qui s'était engagé à tout prépa-
rer pour le 8 mars, a fait tout ce qu'il de-
vait. faire.. -.
L'Italie ne doit accéder à aucune propo-
sition de renvoi qui ne serait pas appuyée
par des raisons vraiment indéclinables,
chose qui jusqu'ici ne s'est pas produite ;
on ne peut considérer en effet comme telles
les raisons alléguées par la note française.
A l'égard de cette note le gouvernement
italien n'a aucune position spéciale à pren-
dre. C'est au gouvernement anglais, qui a
reçu cette note, de fixer sa propre attitude.
Il semble que l'ambassadeur d'Angleterre
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nement anglais pense qu'il n'y a pas de rai-
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Devant cette situation, la ligne de con-
duite de l'Italie est claire et facile à suivre :
l'Italie doit s'employer tout entière à prépa-
rer cette réunion historique.
La responsabilité de l'Italie est immense
et nous en appelons encore une fois au Par-
lement afin qu'il mesure justement cette
responsabilité et montre assez de bon sens
pour se contenir, en pensant que l'Italie a
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CORRIERE DIT A LIA, 16.2.
PRESSE ANGLAISE. — Nous croyons savoir
que la Conférence de Gênes sera probable
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qu'aucune information officielle n'ait été
publiée à ce sujet.
Actuellement, la situation en ce qui con-
cerne la Conférence préliminaire est la sui
vante : le gouvernement britannique ac-
cepte une réunion des experts à Londres,
en vue d'examiner les différents points si-
gnalés par M. Poincaré dans sa note du
6 février. La Belgique et l'Italie ont ac-
cepté l'invitation..; le Japon a répondu qu'il
nommerait volontiers des experts : aucun
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Français ont chargé M. Seydoux et une
commission spéciale d'étudier le programme
de Gênes ; on croit, que certains représen-
tants de cette commission se rendront à
Londres au début de la semaine prochaine.
TIMES, 17.2.
- Sous le-titre : « La rivalité anglo-fran-
çaise ». — On discute toujours entre les
différents ministères des Affaires Etran-
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et la Petite-Entente. Notre rédacteur diplo-
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est toujours, hostile au délai, mais qu'un
compromis est probable : un délai de deux
ou trois semaines. La seconde question est
plus délicate et je crois que le gouverne
ment britannique refusera d'accepter une
innovation qui permettrait à la France de
diriger les discussions préliminaires.
Il devient de plus en plus évident que la
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Downing Street et de la Withelmstrasse,
ont provoqué une irritation que l'on s'ef
force, difficilement d'ailleurs, de cacher à
Berlin et à Londres.
DAILY HERALD, 17.2.
LA FRANCE ET LES SOVIETS. — Sous
le titre : « UN TRAITÉ SECRET FRANCO-RUSSE ?»
--- De Berlin, 16 février : Les nouvelles ve-
nant de Paris qu'on négocie de façon si
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questions économiques et politiques, qu'il y
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près de l'être ? Nous ne le savons pas.
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presque achevé. Les premières nouvelles de
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personnages officiels de Moscou, les deux
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l'article 116 du traité de paix dont le troi-
sième paragraphe réserve les droits de la
Russie à l'égard de l'Allemagne.
Le Temps conteste sans doute l'authenti-
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traité et veut faire croire qu'il n'y a là
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