Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 février 1922 20 février 1922
Description : 1922/02/20 (T20,N1984). 1922/02/20 (T20,N1984).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533535
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Finistère
tf~. DES *
ijfjf. Rl^JÎTRANGÈ»K>
N° 1984
Lundi 20 février 1922
fiuiletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
8E
*LMANDE- - La France et les So-
vietsrrae9^che RurulRchaH, Freiheit,
Fram !r mer Zeityng).
PRESSE f RlCAINE' Les Etats-Unis et la
Les Etats-Unis et la
Conférence de Gènes (IV eu. York Eve-
"19 post). — Le nouveau cabinet Mac-
1\ J hing (Nelv Yoi-k Evemng Post).
Kenziofv''- nS {New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. - LH France et les Soviets
(, !úrnina Post Daily Telcgraph). — Le
Pr" ,
projet 6 pa.ct.e franco-britannique : dé-
clarations de ~1 Honnr J .mY (Glas(f()U'
Heraid)^ Ronnr T-aw (Glaçqnlt
POUTIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
[J'^iTs -^fNCE ET LES SOVIETS. -
\J¡'ESSE DE NÉGociatioxs OFFICIEUSES. -
J*ESsE An p MANDE' - SOUS le titre : « L'ac-
févri ranco-russe .conclu ? » : De Paris, 14
t.Vrier (« te ?'ra^î L'nion » : Un traité
t6!,irïiinair» a ete élaboré entre le représen-
du „ Vern-ement des Soviets à Paris
eet , le , gouvernement fi-ança.is. Dans
cet a.cte et te gouvernement français. Dans
acte je (T°UVûl nement des Soviets recon-
W dohes russes d'avant-guerre et de
o, Rl>re Co ,!'adées entera la France,
r,v i>le ^ecJll,ence, la France reconnaît
ui,,, ie Q. °llVernejYient des Soviets et lui
rJ°r Mi Mi on ~si~.
tOIse s USlün des plremières allusions à la
d'un traité franco-russe,
après cette Pé,r¡'od.e de silence absolu du
0„ f1 ^'Orsa/v 'fûlt, enfin le jour sur les rai-
Ca'e la France à tant tarder
à Drend,,, PIDGition dans ila. question de la
^r ,°n ^ans question de la
«Cc*41 ablird la R^rne deux points principaux:
qui ) ,a fVancf1? doit s'engager à transfé-
iUi lUi ~t les droits aux réparations
l pa.r l'Entente dans le
fi ,lSiSi'e sur iffl la France assure à
de th a ase de ces droits la livrai-
vaiPl i!" 800 m-n-Se,s all-emandes pour une
°ns francs-or. La Ruis-
r[\, SI -
fJU pail*si mi« e en mesure d'exécuter, Rus-
Wis H' l\\],ern^116, san,s exporter son or
~!! Ai] ernaglie, sans exporter son or
&esi une grande partie de
C ^V^X riû réparation
l« Mni£ lt,w,-1 , reconnalt le bien fondé de
d% ttpg^ ÇaLSe relative au rembour-
l'I'e])lo, det'es d'avant-guerre et de
llr) e sornme de 20 milliards de
francs-or. Cela veut dire que la Russie se
place complètement sous la dépendance éco-
nomique et politique de la France et qu'en
conséquence, la France s'assure un droit de
priorité sur toutes les concessions que la
Russie pourra accorder. La France obtient
par là un privilège économique unique au
monde.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 15.2 mat.
— Ces jours derniers, la presse a parlé
de négociations franco-russes qui auraient
déjà abouti à la conclusion de préliminaires.
L'ambassade de France à Berlin a fait re-
marquer prudemment qu'on ne songeait
pas pour l'instant à la possibilité d'un ac-
cord semblable. On peut donc penser qu'il
y a bien des négociations en cours. La po-
sition prise par les journaux parisiens et
notamment par le Temps ces jours derniers
donne à penser que la France discute
avec la Russie des Soviets de la possibi-
lité d'une collaboration.
Du côté russe, on communique à
VOst Express au sujet de la conclusion d'un
traité franco-russe que les bruits répandus
en ce moment sont dénués de fondement
et semblent n'avoir pour but que de trou
bler les relations russo-allemandes et russo-
anglaises. Le gouvernement des Soviets n'a
pas modifié son attitude d'opposition in-
transigeante au Traité de Versailles. Mais
la politique de la Russie des Soviets qui
entre dans la politique mondiale au titre
de grande puissance ne peut être platoni-
que ; la Russie doit défendre ses intérêts
vitaux en pratiquant une politique réaliste.
Dans cet ordre d'idées, des relations ger-
mano-russes sont souhaitables. Le gouver-
nement des Soviets reconnaît la grande im-
portance du rapprochement germano-russe
et il s'efforce de façon durable d'élargir et
de fortifier ces relations. Comme le gou-
vernement des Soviets ne trouve pas, —
non par sa faute, — l'accueil qu'il souhai-
tait trouver en Allemagne, il se voit forcé
de se tourner vers d'autres Etats pour trou-
ver au plus tôt à satisfaire ses besoins éco-
nomiques ; c'est la situation perpétuelle-
ment troublée de l'Allemagne qui oblige la
Russie à emprunter des voies sans doute
moins favorables aux intérêts allemands
mais que ses intérêts les plus pressants lui
imposent.
FREIHEIT, 17.2 matin.
— Les nouvelles qui ont été répandues,
ces jours derniers, particulièrement par la
presse parisienne, sur des accords politi-
ques entre le gouvernement des Soviets et
la France ont provoqué, à Berlin et à Lon-
dres, une grande inquiétude ; inquiétude
pleinement justifiée bien que, d'après les
assurances données récemment par la j
presse officieuse française, il ne semble
pas encore exister d'accords positifs. Le
problème ne se trouve pas épuisé lorsqu'on
a dit que les Soviets reconnaissent les dettes
du gouvernement tsariste et ont droit, en
compensation, d'invoquer le Traité de Ver-
sailles et de recevoir une part modeste des
réparations allemandes. Nous avons eu
l'impression, lors des entretiens qui ont eu
lieu avec les délégués russes, qu'il s'agis-
sait pour les Soviets de choses plus impor-
tantes, que de l'assurance d'une importa-
tion de marchandises de quelques centaines
de millions de marks-or qui ne seraient
payables que plus tard. Nous avons eu l'im-
pression qu'ils pensaient, en hommes po-
litiques aux grands groupements de l'ave-
nir. Il semble que les hommes d'Etat de
Moscou considèrent qu'on ne peut compter,
dans un avenir plus ou moins rapproché,
sur une intervention décisive de l'Améri-
que dans les affaires européennes. Il faut
donc que les nations européennes s'arran-
gent entre elles d'une manière quelconque ;
c'est pourquoi l'on donne tant d'importance
à la Conférence de Gênes. Comme les So-
viets sont autrement que l'Allemagne à
même de diriger leur politique extérieure,
ils cherchent à exploiter le conflit, qui se
dessine de plus en plus entre l'Angleterre
et la France. Ils ne peuvent pas prendre
une attitude nettement hostile à l'Angle-
terre, mais leurs intérêts politiques tendent
plutôt à les opposer à l'Angleterre et à les
rapprocher de la France, bien qu'il ne faille
pas oublier que, pour les politiciens sovié-
tiques, l'époque des guerres mondiales et
des révolutions n'est nullement passée. A
cet égard, l'attitude de l'Allemagne est pour
la Russie d'une importance qui dépasse de
beaucoup les avantages financiers.
A notre avis les dirigeants soviétiques ne
croient pas à une reconstruction écono-
mique rapide de la Russie. A ce point de
vue, leur jugement est sensiblement moins
optimiste que celui de bien des milieux in-
dustriels allemands. Ils sont d'avis égale-
ment que l'Angleterre ne pourra investir de
grands capitaux en Russie, si bien que la
reconstruction se fera méthodiquement mais
lentement. Dans ces conditions, ils consi-
dèrent qu'il n'y a pas lieu de confier la di-
rection économique à un grand consortium
financier dans lequel l'Angleterre occupe-
rait la première place et qu'elle mettrait au
service de sa politique. Les Russes aime-
raient faire affluer sur leur pays la mar-
chandise allemande et l'intelligence alle-
mande, mais ils veulent que la force écono-
mique allemande soit indépendante et ne
s'appuie pas sur l'Angleterre. Leurs décla-
rations à ce sujet sont nettes. Ils sont prêts,
disent-ils, à traiter avec les Allemands,
mais si ceux-ci ne veulent être en Russie
tf~. DES *
ijfjf. Rl^JÎTRANGÈ»K>
N° 1984
Lundi 20 février 1922
fiuiletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
8E
*LMANDE- - La France et les So-
vietsrrae9^che RurulRchaH, Freiheit,
Fram !r mer Zeityng).
PRESSE f RlCAINE' Les Etats-Unis et la
Les Etats-Unis et la
Conférence de Gènes (IV eu. York Eve-
"19 post). — Le nouveau cabinet Mac-
1\ J hing (Nelv Yoi-k Evemng Post).
Kenziofv''- nS {New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. - LH France et les Soviets
(, !úrnina Post Daily Telcgraph). — Le
Pr" ,
projet 6 pa.ct.e franco-britannique : dé-
clarations de ~1 Honnr J .mY (Glas(f()U'
Heraid)^ Ronnr T-aw (Glaçqnlt
POUTIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
[J'^iTs -^fNCE ET LES SOVIETS. -
\J¡'ESSE DE NÉGociatioxs OFFICIEUSES. -
J*ESsE An p MANDE' - SOUS le titre : « L'ac-
févri ranco-russe .conclu ? » : De Paris, 14
t.Vrier (« te ?'ra^î L'nion » : Un traité
t6!,irïiinair» a ete élaboré entre le représen-
du „ Vern-ement des Soviets à Paris
eet , le , gouvernement fi-ança.is. Dans
cet a.cte et te gouvernement français. Dans
acte je (T°UVûl nement des Soviets recon-
W dohes russes d'avant-guerre et de
o, Rl>re Co ,!'adées entera la France,
r,v i>le ^ecJll,ence, la France reconnaît
ui,,, ie Q. °llVernejYient des Soviets et lui
rJ°r
tOIse s USlün des plremières allusions à la
d'un traité franco-russe,
après cette Pé,r¡'od.e de silence absolu du
0„ f1 ^'Orsa/v 'fûlt, enfin le jour sur les rai-
Ca'e la France à tant tarder
à Drend,,, PIDGition dans ila. question de la
^r ,°n ^ans question de la
«Cc*
qui ) ,a fVancf1? doit s'engager à transfé-
iUi lUi ~t les droits aux réparations
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fi ,lSiSi'e sur iffl la France assure à
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vaiPl i!" 800 m-n-Se,s all-emandes pour une
°ns francs-or. La Ruis-
r[\, SI -
fJU pail*si mi« e en mesure d'exécuter, Rus-
Wis H' l\\],ern^116, san,s exporter son or
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&esi une grande partie de
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l« Mni£ lt,w,-1 , reconnalt le bien fondé de
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llr) e sornme de 20 milliards de
francs-or. Cela veut dire que la Russie se
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conséquence, la France s'assure un droit de
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Russie pourra accorder. La France obtient
par là un privilège économique unique au
monde.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 15.2 mat.
— Ces jours derniers, la presse a parlé
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déjà abouti à la conclusion de préliminaires.
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pas pour l'instant à la possibilité d'un ac-
cord semblable. On peut donc penser qu'il
y a bien des négociations en cours. La po-
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avec la Russie des Soviets de la possibi-
lité d'une collaboration.
Du côté russe, on communique à
VOst Express au sujet de la conclusion d'un
traité franco-russe que les bruits répandus
en ce moment sont dénués de fondement
et semblent n'avoir pour but que de trou
bler les relations russo-allemandes et russo-
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pas modifié son attitude d'opposition in-
transigeante au Traité de Versailles. Mais
la politique de la Russie des Soviets qui
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de grande puissance ne peut être platoni-
que ; la Russie doit défendre ses intérêts
vitaux en pratiquant une politique réaliste.
Dans cet ordre d'idées, des relations ger-
mano-russes sont souhaitables. Le gouver-
nement des Soviets reconnaît la grande im-
portance du rapprochement germano-russe
et il s'efforce de façon durable d'élargir et
de fortifier ces relations. Comme le gou-
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non par sa faute, — l'accueil qu'il souhai-
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de se tourner vers d'autres Etats pour trou-
ver au plus tôt à satisfaire ses besoins éco-
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ment troublée de l'Allemagne qui oblige la
Russie à emprunter des voies sans doute
moins favorables aux intérêts allemands
mais que ses intérêts les plus pressants lui
imposent.
FREIHEIT, 17.2 matin.
— Les nouvelles qui ont été répandues,
ces jours derniers, particulièrement par la
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la France ont provoqué, à Berlin et à Lon-
dres, une grande inquiétude ; inquiétude
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presse officieuse française, il ne semble
pas encore exister d'accords positifs. Le
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a dit que les Soviets reconnaissent les dettes
du gouvernement tsariste et ont droit, en
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Moscou considèrent qu'on ne peut compter,
dans un avenir plus ou moins rapproché,
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donc que les nations européennes s'arran-
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à la Conférence de Gênes. Comme les So-
viets sont autrement que l'Allemagne à
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dessine de plus en plus entre l'Angleterre
et la France. Ils ne peuvent pas prendre
une attitude nettement hostile à l'Angle-
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rapprocher de la France, bien qu'il ne faille
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cet égard, l'attitude de l'Allemagne est pour
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beaucoup les avantages financiers.
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grands capitaux en Russie, si bien que la
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rection économique à un grand consortium
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service de sa politique. Les Russes aime-
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s'appuie pas sur l'Angleterre. Leurs décla-
rations à ce sujet sont nettes. Ils sont prêts,
disent-ils, à traiter avec les Allemands,
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