Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-02-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 février 1922 08 février 1922
Description : 1922/02/08 (T20,N1974). 1922/02/08 (T20,N1974).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253343s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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IN ISTf~,'it 1"
: DES
Ik^etrangèkes
N° 1974
Mercredi 8 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Le traité de Lana et
les partis monarchistes (Félix Fechen-
brech dans
"a:. AMÉlUCAINE. - Les dettes de la
France aux * (New York AI~~-
l<,t'an6 aUX ^Unis (NeIU York Ame-
lean). - Les conditions de la partici-
Patinn arnéricaine à la Conférence de
Gênes (\Vashington Post). - Le com-
Le entre l,a France et les Etats-Unis
f K' \- ('IV *,orl: American).
"esSE ASC, „ .E- - Le projet de pacte lïan-
co-britannique (Daily Telegraph). - La
Prano et Qa. Conférence de Gênes ; une
dépic ^pat, ion de M. Viviani (Daily News).
^SSE ESPAGNOLE. - L'Espagne et la Con-
férenenee de Gênes (Epoca),
PRESSE tTAT - L-~ cri,gp rnjnistèl'ïeq~~
(Corriere della Sera), crise minWWte
della Sera).
Politique generale
F'RANCE ET GRANDE BRETAGNE
PROJET DE PACTE. - De Paris
tiqu égOClahons par les voies diplama-
ll<ÏUes t^ ardm aires P°'ur employer l'ex-
ssion oonsacrée, impliquent des échan-
être de VllP aiïïi J,e tr«Uiblés il tout moment par la publi-
Cat'O-n de nOltes et de commentaires. Tel
est, dan8 S essencei le principe. Puisque
o ette naéthniri e est, celle * que M. Poincaré
^hratiq^e ne faut pas s'étonner si les
cercles Qfft.. P~s s'étonner si les
are j5 français ne peuvent donner
qui sur les pourparlers.
06 qui Cerne le pade, pourtant, on
hl 111 défi^jp  grands-traits l'attitude de ces
~Ol'd Ou Ion souhaite sincèrement un
accord entrp la France et l'Angleterre. Les
à et l'Angleterre. Les
il Ce PoL s français ne. sont pas néanmoins
5e Point aveugles qu'ils ne se rendent
compte des n l^08 (îu ils ne se rendent
d obstacles. ! mais ils semblent
derne t
/iridu SUr , 1 une fois que l'on se serait
'on,» gâtiez (je S deux questions principales.
LfiL e ière, on 'le sait, concerne la pro-
dlJ{ Hn.s bien durée du pacte au-delà de
gaIl"Q,nt'l' bipn au"delà même ; l'autre, : la
et en f pOUr la défense du sol
au y ,i!!Us' une nouvelle adhésion
^.ldles 42, 43, 44 du Traité
8'1 ¡Ps -r
- (UI neutralisent la rive gau-
che du Rhin et la rive droite sur une pro-
fondeur de 50 kilom. et qui stipulent qu'une
violation de cette neutralité de la part de
l'Allemagne sera considérée comme un acte
hostile. Au fond d'eux-mêmes, nombreux
sont les Français qui croient que l'Angle-
terre veut réduire la période d'occupaition
de la rive gauche, et on dirait presque que
si la France réclame une « répétition » de
l'acte d'adhésion, c'est parce qu'elle veut
se protéger contre une éventualité de
cette nature ;en tout cas, elle veut surtout
se protéger contre les. éventualités qui
pourraient naître, à l'expiration de la pé-
riode d'occupation de 15 ans, fixée par
le traité. Ainsi que je l'ai déjà dit, l'idée
première de M. Poincaré, la convention mi-
litaire franco-anglaise, a cédé le pas à ce
nouveau projet : l'établissement d'une liai-
son permanente entre les hauts comman-
dements ; cette liaison, m'a-t-on dit, serait
maintenue en vue, non pas d'obliger l'An-
gleterre à conserver un nombre fixé de sol-
dats, mais bien de tenir la France au cou-
rant des dispositions de l'Angleterre sur le
terrain militaire et de permettre aux deux
nations d'étudier la question d'utilisation
des troupes, au cas où le pacte entrerait en
vigueur. On ne comprend pas très bien ici
les objections anglaises ; on dit en effet
que, puisque l'Angleterre est prête à venir
au secours de la France, il n'y a aucune
raison pour qu'elle ne consente pas à si-
gner un accord qui permettrait de s'enten-
dre sur la forme que pourrait prendre cette
assistance.
En ce qui concerne la protection de la
Pologne, on souhaite toujours que le pacte
contienne une clause qui envisaige un exa-
men de la situation par les deux nations,
au cas où la Pologne serait attaquée par
l'Allemagne. Je crois savoir en effet que
l'on est partisan de cette stipulation, d'une
part parce que l'on estime qu'elle aurait
pour effet d'inviter l'Allemagne à réfléchir,
et d'autre part parce que l'on pense que
l'absence d'une telle clause constituerait
un danger, car il révélerait au monde l'exis-
tence d'un désaccord franco-anglais que
l'Allemagne pourrait exploiter à la pre-
mière occasion. Telles sont, résumées, les
vues des cercles officiels français sur les
principales clauses de ce pacte. ,
DAILY TELEGRAPH, 7,2.
——— ———
FRANCE ET ÉTATS-UNIS
« COMMENT LA FRANCE POURRAIT
PAYER » [sous ce titre]. - La situation
des finances françaises, aggravée par de
lourdes charges militaires, rend invraisem-
blable un paiement rapproché de l'intérêt
ou du principal de la dette contractée par
la France aux Etats-Unis.
Cette dette qui s'augmente constamment
de ses intérêts, dépasse trois milliards de
dollars.
Le peuple américain, bien qu'il soit très
désireux d'être débarrassé des taxes éle-
vées qui lui ont été imposées par une guerre
dont il n'a rien retiré, a de la sympathie
pour nos amis de France ; il est par suite
disposé à la patience.
Mais il fait observer que la France,
comme l'Angleterre, a des possessions insu-
laires à proximité des côtes américaines.
La. Guadeloupe avec ses dépendances et
la Martinique, bien que leur superficie dé-
passe à peine celle de Rhode Island, fait
un commerce annuel qu'on peut évaluer à
50 millions de dollars.
Leurs exportations trouveraient un mar-
ché naturel aux Etats-Unis si les liens avec
la France étaient rompus. Beaucoup de
leurs importations viennent maintenant des
Etats-Unis.
Ces îles ont aussi une valeur stratégique
qui, dans des mains hostiles, pourrait à
l'avenir menacer notre commerce et notre
sécurité.
Nous avons suggéré au gouvernement
anglais un moyen de réduire sa dette qui
consisterait à nous céder ses possessions
des Antilles et demandé au gouvernement
de Washington de le sonder sur ce point.
Pourquoi la France n'accepterait-elle pas
une suggestion semblable ?.
De plus, la sécurité américaine demande
moins de drapeaux étrangers parmi les îles
qui Commandfent notre commerce côtier,
inter-américain et transatlantique. - (Ed.)
NEW YORK AMERICAN., 19.1.
-00 -
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE LA FRANCE. - LA
CONFÉRENCE DE GÊNES ET LA SOCIÉTÉ DES NA-
TIONS. - UNE DÉCLARATION DE M. VIVIANI. -
Sous le titre : « M. Viviani accuse M. Lloyd
George de « torpiller » la Société des Na-
tions ». - De Paris : « M. Lloyd George a
l'intention de « torpiller » la Société des
Nations ! » telle est la déclaration qu'a bien
voulu me faire aujourd'hui M. Viviani.
La campagne en faveur de la Société des
Nations qui a coïncidé avec le retour de
M. Poincaré continue. Cela évidemment pa-
raît étrange à l'opinion publique anglaise
qui n'a pas oublié qu'il y a seulement quel-
ques mois la presse française n'avait pas
un seul mot aimable pour la Société. On en
tire cette conclusion en Angleterre que ce
changement de front n'est qu'un élément de
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: DES
Ik^etrangèkes
N° 1974
Mercredi 8 février 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Le traité de Lana et
les partis monarchistes (Félix Fechen-
brech dans
"a:. AMÉlUCAINE. - Les dettes de la
France aux * (New York AI~~-
l<,t'an6 aUX ^Unis (NeIU York Ame-
lean). - Les conditions de la partici-
Patinn arnéricaine à la Conférence de
Gênes (\Vashington Post). - Le com-
Le entre l,a France et les Etats-Unis
f K' \- ('IV *,orl: American).
"esSE ASC, „ .E- - Le projet de pacte lïan-
co-britannique (Daily Telegraph). - La
Prano et Qa. Conférence de Gênes ; une
dépic ^pat, ion de M. Viviani (Daily News).
^SSE ESPAGNOLE. - L'Espagne et la Con-
férenenee de Gênes (Epoca),
PRESSE tTAT - L-~ cri,gp rnjnistèl'ïeq~~
(Corriere della Sera), crise minWWte
della Sera).
Politique generale
F'RANCE ET GRANDE BRETAGNE
PROJET DE PACTE. - De Paris
tiqu égOClahons par les voies diplama-
ll<ÏUes t^ ardm aires P°'ur employer l'ex-
ssion oonsacrée, impliquent des échan-
être de VllP aiïïi
Cat'O-n de nOltes et de commentaires. Tel
est, dan8 S essencei le principe. Puisque
o ette naéthniri e est, celle * que M. Poincaré
^hratiq^e ne faut pas s'étonner si les
cercles Qfft.. P~s s'étonner si les
are j5 français ne peuvent donner
qui sur les pourparlers.
06 qui Cerne le pade, pourtant, on
hl 111 défi^jp  grands-traits l'attitude de ces
~Ol'd Ou Ion souhaite sincèrement un
accord entrp la France et l'Angleterre. Les
à et l'Angleterre. Les
il Ce PoL s français ne. sont pas néanmoins
5e Point aveugles qu'ils ne se rendent
compte des n l^08 (îu ils ne se rendent
d obstacles. ! mais ils semblent
/iridu SUr , 1 une fois que l'on se serait
'on,» gâtiez (je S deux questions principales.
LfiL e ière, on 'le sait, concerne la pro-
dlJ{ Hn.s bien durée du pacte au-delà de
gaIl"Q,nt'l' bipn au"delà même ; l'autre, : la
et en f pOUr la défense du sol
au y ,i!!Us' une nouvelle adhésion
^.ldles 42, 43, 44 du Traité
8'1 ¡Ps -r
- (UI neutralisent la rive gau-
che du Rhin et la rive droite sur une pro-
fondeur de 50 kilom. et qui stipulent qu'une
violation de cette neutralité de la part de
l'Allemagne sera considérée comme un acte
hostile. Au fond d'eux-mêmes, nombreux
sont les Français qui croient que l'Angle-
terre veut réduire la période d'occupaition
de la rive gauche, et on dirait presque que
si la France réclame une « répétition » de
l'acte d'adhésion, c'est parce qu'elle veut
se protéger contre une éventualité de
cette nature ;en tout cas, elle veut surtout
se protéger contre les. éventualités qui
pourraient naître, à l'expiration de la pé-
riode d'occupation de 15 ans, fixée par
le traité. Ainsi que je l'ai déjà dit, l'idée
première de M. Poincaré, la convention mi-
litaire franco-anglaise, a cédé le pas à ce
nouveau projet : l'établissement d'une liai-
son permanente entre les hauts comman-
dements ; cette liaison, m'a-t-on dit, serait
maintenue en vue, non pas d'obliger l'An-
gleterre à conserver un nombre fixé de sol-
dats, mais bien de tenir la France au cou-
rant des dispositions de l'Angleterre sur le
terrain militaire et de permettre aux deux
nations d'étudier la question d'utilisation
des troupes, au cas où le pacte entrerait en
vigueur. On ne comprend pas très bien ici
les objections anglaises ; on dit en effet
que, puisque l'Angleterre est prête à venir
au secours de la France, il n'y a aucune
raison pour qu'elle ne consente pas à si-
gner un accord qui permettrait de s'enten-
dre sur la forme que pourrait prendre cette
assistance.
En ce qui concerne la protection de la
Pologne, on souhaite toujours que le pacte
contienne une clause qui envisaige un exa-
men de la situation par les deux nations,
au cas où la Pologne serait attaquée par
l'Allemagne. Je crois savoir en effet que
l'on est partisan de cette stipulation, d'une
part parce que l'on estime qu'elle aurait
pour effet d'inviter l'Allemagne à réfléchir,
et d'autre part parce que l'on pense que
l'absence d'une telle clause constituerait
un danger, car il révélerait au monde l'exis-
tence d'un désaccord franco-anglais que
l'Allemagne pourrait exploiter à la pre-
mière occasion. Telles sont, résumées, les
vues des cercles officiels français sur les
principales clauses de ce pacte. ,
DAILY TELEGRAPH, 7,2.
——— ———
FRANCE ET ÉTATS-UNIS
« COMMENT LA FRANCE POURRAIT
PAYER » [sous ce titre]. - La situation
des finances françaises, aggravée par de
lourdes charges militaires, rend invraisem-
blable un paiement rapproché de l'intérêt
ou du principal de la dette contractée par
la France aux Etats-Unis.
Cette dette qui s'augmente constamment
de ses intérêts, dépasse trois milliards de
dollars.
Le peuple américain, bien qu'il soit très
désireux d'être débarrassé des taxes éle-
vées qui lui ont été imposées par une guerre
dont il n'a rien retiré, a de la sympathie
pour nos amis de France ; il est par suite
disposé à la patience.
Mais il fait observer que la France,
comme l'Angleterre, a des possessions insu-
laires à proximité des côtes américaines.
La. Guadeloupe avec ses dépendances et
la Martinique, bien que leur superficie dé-
passe à peine celle de Rhode Island, fait
un commerce annuel qu'on peut évaluer à
50 millions de dollars.
Leurs exportations trouveraient un mar-
ché naturel aux Etats-Unis si les liens avec
la France étaient rompus. Beaucoup de
leurs importations viennent maintenant des
Etats-Unis.
Ces îles ont aussi une valeur stratégique
qui, dans des mains hostiles, pourrait à
l'avenir menacer notre commerce et notre
sécurité.
Nous avons suggéré au gouvernement
anglais un moyen de réduire sa dette qui
consisterait à nous céder ses possessions
des Antilles et demandé au gouvernement
de Washington de le sonder sur ce point.
Pourquoi la France n'accepterait-elle pas
une suggestion semblable ?.
De plus, la sécurité américaine demande
moins de drapeaux étrangers parmi les îles
qui Commandfent notre commerce côtier,
inter-américain et transatlantique. - (Ed.)
NEW YORK AMERICAN., 19.1.
-00 -
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE LA FRANCE. - LA
CONFÉRENCE DE GÊNES ET LA SOCIÉTÉ DES NA-
TIONS. - UNE DÉCLARATION DE M. VIVIANI. -
Sous le titre : « M. Viviani accuse M. Lloyd
George de « torpiller » la Société des Na-
tions ». - De Paris : « M. Lloyd George a
l'intention de « torpiller » la Société des
Nations ! » telle est la déclaration qu'a bien
voulu me faire aujourd'hui M. Viviani.
La campagne en faveur de la Société des
Nations qui a coïncidé avec le retour de
M. Poincaré continue. Cela évidemment pa-
raît étrange à l'opinion publique anglaise
qui n'a pas oublié qu'il y a seulement quel-
ques mois la presse française n'avait pas
un seul mot aimable pour la Société. On en
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