Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 janvier 1922 27 janvier 1922
Description : 1922/01/27 (T20,N1964). 1922/01/27 (T20,N1964).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253333d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
, MINISTRRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1964
Vendredi 27 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Pnh E ^I'Lt:MANnE- - Le discours de
• M • LT loyd George au Central Hall, le
jaiwie1- (Vorwärts). — La capacité de
Paiement de l'Allemagne en espèces et
en na ure (Bernhard Dernburg dans
lJ,el'liner Tageblatt). — La politique de
* du gouvernement et des
partIs allemands (Otto Hœtzsch dans
,lu ssie - L'Allemagne et la
Russie: intérêt et possibilité d'un rap-
nrrwinier^ (Friedrich Rosen dans Ber-
lmer Tageblau). — Les Soviets et Gê-
nes (Franl.[urter Zeitung).
PRESSE ANGLAIse- — Le projet de pacte
fra nco"britannique (Westminster Ga-
zelte, Daily Chronicle, Manchester
Guardian). — Lord Grey et la France
(Pall Mall Gazette, Evening Standard).
Les Etats-Unis et la Conférence de
P Gênes (Times).
HESSE AlJTmCHIENNE. — Le discours de
M. LloYd George au Central Hall, le
janvier (Neue Freie Presse, Neues
ER Tagblatl).
PRE F5" ITAI-IENNE.
R ITALIENNE. - L'Italie et la mort du
Pape (Tempo. Stampa, Secolo, Gior-
nale d'Italia).
POLITIQUE generale
F'RANCE ET GRANDE BRETAGNE
lions PROJET DE PACTE. - Les proposi-
dons françaises auraient donc pour objet
de "Onverlir le pacte en une garantie du
Traité r)
Traité de Versailles. Nous espérons que
1108 amis français ne seront pas offusqués,
nous leur disons que nous ne sommes
P!iS «fan
Pas dllSPOSésl à nous lancer ainsi dans l'in-
connu. Nous - savons comment M. Poincaré
et ses am interprètent le Traité. Nous es-
de n.s en Angleterre, au contraire, que les
Pn:rlandes faites dépassent la capacité de
^ierneat 1^1Iema§ne' qu'elles devraient
être réduites ainsi que les sanctions et l'oc-
°uPation V Tant que nous ne saurons pas
Portera est celle des deux thèses qui l'em-
Porter, l,e Pacte garantissant l'occupation
UeUe So t, 't du domaine de la politique
pratique de l'Angleterre. Bien plus, nous
Prati,,, de l@Angleterre. signé, il serait
qie s'il était signé, il serait
propablement une cause de conflits. On
peut avoir de la sympathie pour un natio-
CerlQ¡in françaIs qui interprète faussement
certains aspects de la politique anglaise et
Lord Grey s'est étendu sur ce sujet. Mais
la plus grande partie de l'opinion anglaise
— et c'est sans doute aussi l'opinion de
Lord Grey — estime que le gouvernement
anglais ne s'est pas trompé, quand il a
adopté, récemment, une attitude modérée,
et qu'au contraire il a commis une faute
grave, quand à ses débuts, il a fait preuve
de chauvinisme. Partout, sauf en France
— et pourtant on reconnaît à certains
signes qu'une opinion plus saine commence
à se manifester même en France — on
comprend que la revison du Traité de Ver-
sailles est nécessaire aussi bien dans l'inté-
rêt des anciens ennemis de l'Allemagne que
dans l'intérêt de l'Allemagne elle-même.
Nous ne pouvons donc supposer que le
gouvernement britannique choisira ce mo-
ment pour faire, avec le gouvernement de
M. Poincaré, un pacte qui l'obligerait à don-
ner du Traité de Versailles une interpréta-
tion sévère et cruelle. M. Poincaré a pris
tant de peine pour exposer son point de
vue que nous ne pouvons faire sem-
blant de l'ignorer. Mais ce n'est pas le point
de vue du peuple anglais. Si nous accep-
tions ce pacte, nous irions contre nos con-
victions et nous tromperions M. Poincaré
par des formules qui (on s'en apercevrait
plus tard), n'auraient aucun sens. C'est par
un refus que nous recouvrerons le plus fa-
cilement la sympathie de la France et que
nous éviterons les malentendus futurs. (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 25.1.
— Sous le titre : « L'IMPASSE ». — La
France — tout au moins la France en face
de laquelle nous nous trouvons aujourd'hui
— persiste à considérer l'Europe comme
une vaste machine militaire qui doit enfer-
mer l'Allemagne dans un cercle de fer.
Dans cette machine dont le moteur est à
Paris, la puissante armée française n'est
pas seule à jouer son rôle. Il y a aussi les ar-
mées polonaise, belge et peut-être l'armée
tchéco-slovaque. Jusqu'à un certain point,
les armées yougoslave et roumaine sont
considérées comme des machines de ré-
serve et bien entendu,on interprète le Traité
de Versailles de façon à en faire la base
de cette reconstruction militaire de l'Eu-
rope.
En un mot, c'est une conception essen-
tiellement militariste. Si l'on en juge par
les pronostics des journaux de Paris, les
Français essaieront de joindre le pacte de
garantie au projet de reconstruction mili-
taire. Or nous avions offert cette garantie
dans un tout autre esprit. Nous la consi-
dérons comme la base possible de la paci-
fication européenne qui devait être achevée
à Gênes. M. Poincaré a nettement révélé
son intention de faire échouer cette Confé-
rence, par tous les moyens dont il dispose.
Voilà quelques symptômes du différend psy-
chologique entre Paris et Londres.
DAILY CHRONICLE, 26.1.
-- Sous le titre : « POURQUOI CE TRAITÉ ? ».
— La France est notre voisine. Nous voulons
qu'elle soit heureuse et prospère et nous irions
certainement à son secours, si elle était attaquée.
La France le sait.
M. Briand a longuement interrogé
M. Lloydi George. Il a obtenu une garantie
d'assistance militaire pour une éventualité
qui ne se produira probablement jamais.
M. Lloyd George n'a pas demandé une ga-
rantie correspondante, mais seulement
quelques concessions relativement à notre
thèse sur la situation générale de l'Europe.
On devait s'entendre sur tous les problèmes,
la France devait assister à la Conférence de
Gênes et, en retour, nous donnions à la France
toutes nos ressources au cas d'une agression
injustifiée contre le sol français.
Telle était la proposition- A notre point
de vue, elle n'était pas sensée. Mais au-
jourd'hui nous voici en présence de nou-
veaux projets. La garantie serait bilatérale.
Ce serait une véritable alliance militaire.
On nous demande en outre de songer aux
mesures qu'il faudrait prendre pour répon-
dre à une attaque contre les alliés de la
France sur la frontière orientale de l'Alle-
magne. Enfin, nous nous engagerions à
maintenir de puissantes armées et une
flotte imposante. Il n'y a pas la moindre
chance que ces propositions soient accep-
tées ou même discutées par le gouverne-
ment britannique. Mais, après tout, pour-
quoi discuter? N'est-il pas dangereux de
signer un traité de garantie, nous ne par-
lons même pas d'un traité d'alliance,
avec une puissance dont le point de vue
est si différent du nôtre ! Ne vaudrait-il pas
mieux, non seulement dans d'intérêt du
monde en général, mais aussi dans l'inté-
rêt de notre amitié pour la France, éviter
de telles obligations et se contenter de tra-
vailler chaque jour amicalement et de ré-
gler les problèmes au fur et à mesure
qu'ils naîtront dans un esprit aussi amical
que possible ? N'est-il pas préférable que
la France poursuive sa politique comme
elle l'entend et qu'elle apprenne « par
expérience » ?.
Lord Grey a insisté sur le maintien des
bonnes relations avec la France ; personne
n'en doute, mais la plante fragile de l'ami-
tié ne pousse-t-elle pas plus rapidement
quand on la laisse un peu à elle-même?
Pourquoi accepterions-nous une alliance
militaire défensive avec la France qui est
actuellement la puissance militaire, qui
n'est nullement menacée et qui n'a rien à
craindre pendant au moins dix ans?
.Pour reconstruire le monde, nous avons
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1964
Vendredi 27 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Pnh E ^I'Lt:MANnE- - Le discours de
• M • LT loyd George au Central Hall, le
jaiwie1- (Vorwärts). — La capacité de
Paiement de l'Allemagne en espèces et
en na ure (Bernhard Dernburg dans
lJ,el'liner Tageblatt). — La politique de
* du gouvernement et des
partIs allemands (Otto Hœtzsch dans
,lu ssie - L'Allemagne et la
Russie: intérêt et possibilité d'un rap-
nrrwinier^ (Friedrich Rosen dans Ber-
lmer Tageblau). — Les Soviets et Gê-
nes (Franl.[urter Zeitung).
PRESSE ANGLAIse- — Le projet de pacte
fra nco"britannique (Westminster Ga-
zelte, Daily Chronicle, Manchester
Guardian). — Lord Grey et la France
(Pall Mall Gazette, Evening Standard).
Les Etats-Unis et la Conférence de
P Gênes (Times).
HESSE AlJTmCHIENNE. — Le discours de
M. LloYd George au Central Hall, le
janvier (Neue Freie Presse, Neues
ER Tagblatl).
PRE F5" ITAI-IENNE.
R ITALIENNE. - L'Italie et la mort du
Pape (Tempo. Stampa, Secolo, Gior-
nale d'Italia).
POLITIQUE generale
F'RANCE ET GRANDE BRETAGNE
lions PROJET DE PACTE. - Les proposi-
dons françaises auraient donc pour objet
de "Onverlir le pacte en une garantie du
Traité r)
Traité de Versailles. Nous espérons que
1108 amis français ne seront pas offusqués,
nous leur disons que nous ne sommes
P!iS «fan
Pas dllSPOSésl à nous lancer ainsi dans l'in-
connu. Nous - savons comment M. Poincaré
et ses am interprètent le Traité. Nous es-
de n.s en Angleterre, au contraire, que les
Pn:rlandes faites dépassent la capacité de
^ierneat 1^1Iema§ne' qu'elles devraient
être réduites ainsi que les sanctions et l'oc-
°uPation V Tant que nous ne saurons pas
Portera est celle des deux thèses qui l'em-
Porter, l,e Pacte garantissant l'occupation
UeUe So t, 't du domaine de la politique
pratique de l'Angleterre. Bien plus, nous
Prati,,, de l@Angleterre. signé, il serait
qie s'il était signé, il serait
propablement une cause de conflits. On
peut avoir de la sympathie pour un natio-
CerlQ¡in françaIs qui interprète faussement
certains aspects de la politique anglaise et
Lord Grey s'est étendu sur ce sujet. Mais
la plus grande partie de l'opinion anglaise
— et c'est sans doute aussi l'opinion de
Lord Grey — estime que le gouvernement
anglais ne s'est pas trompé, quand il a
adopté, récemment, une attitude modérée,
et qu'au contraire il a commis une faute
grave, quand à ses débuts, il a fait preuve
de chauvinisme. Partout, sauf en France
— et pourtant on reconnaît à certains
signes qu'une opinion plus saine commence
à se manifester même en France — on
comprend que la revison du Traité de Ver-
sailles est nécessaire aussi bien dans l'inté-
rêt des anciens ennemis de l'Allemagne que
dans l'intérêt de l'Allemagne elle-même.
Nous ne pouvons donc supposer que le
gouvernement britannique choisira ce mo-
ment pour faire, avec le gouvernement de
M. Poincaré, un pacte qui l'obligerait à don-
ner du Traité de Versailles une interpréta-
tion sévère et cruelle. M. Poincaré a pris
tant de peine pour exposer son point de
vue que nous ne pouvons faire sem-
blant de l'ignorer. Mais ce n'est pas le point
de vue du peuple anglais. Si nous accep-
tions ce pacte, nous irions contre nos con-
victions et nous tromperions M. Poincaré
par des formules qui (on s'en apercevrait
plus tard), n'auraient aucun sens. C'est par
un refus que nous recouvrerons le plus fa-
cilement la sympathie de la France et que
nous éviterons les malentendus futurs. (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 25.1.
— Sous le titre : « L'IMPASSE ». — La
France — tout au moins la France en face
de laquelle nous nous trouvons aujourd'hui
— persiste à considérer l'Europe comme
une vaste machine militaire qui doit enfer-
mer l'Allemagne dans un cercle de fer.
Dans cette machine dont le moteur est à
Paris, la puissante armée française n'est
pas seule à jouer son rôle. Il y a aussi les ar-
mées polonaise, belge et peut-être l'armée
tchéco-slovaque. Jusqu'à un certain point,
les armées yougoslave et roumaine sont
considérées comme des machines de ré-
serve et bien entendu,on interprète le Traité
de Versailles de façon à en faire la base
de cette reconstruction militaire de l'Eu-
rope.
En un mot, c'est une conception essen-
tiellement militariste. Si l'on en juge par
les pronostics des journaux de Paris, les
Français essaieront de joindre le pacte de
garantie au projet de reconstruction mili-
taire. Or nous avions offert cette garantie
dans un tout autre esprit. Nous la consi-
dérons comme la base possible de la paci-
fication européenne qui devait être achevée
à Gênes. M. Poincaré a nettement révélé
son intention de faire échouer cette Confé-
rence, par tous les moyens dont il dispose.
Voilà quelques symptômes du différend psy-
chologique entre Paris et Londres.
DAILY CHRONICLE, 26.1.
-- Sous le titre : « POURQUOI CE TRAITÉ ? ».
— La France est notre voisine. Nous voulons
qu'elle soit heureuse et prospère et nous irions
certainement à son secours, si elle était attaquée.
La France le sait.
M. Briand a longuement interrogé
M. Lloydi George. Il a obtenu une garantie
d'assistance militaire pour une éventualité
qui ne se produira probablement jamais.
M. Lloyd George n'a pas demandé une ga-
rantie correspondante, mais seulement
quelques concessions relativement à notre
thèse sur la situation générale de l'Europe.
On devait s'entendre sur tous les problèmes,
la France devait assister à la Conférence de
Gênes et, en retour, nous donnions à la France
toutes nos ressources au cas d'une agression
injustifiée contre le sol français.
Telle était la proposition- A notre point
de vue, elle n'était pas sensée. Mais au-
jourd'hui nous voici en présence de nou-
veaux projets. La garantie serait bilatérale.
Ce serait une véritable alliance militaire.
On nous demande en outre de songer aux
mesures qu'il faudrait prendre pour répon-
dre à une attaque contre les alliés de la
France sur la frontière orientale de l'Alle-
magne. Enfin, nous nous engagerions à
maintenir de puissantes armées et une
flotte imposante. Il n'y a pas la moindre
chance que ces propositions soient accep-
tées ou même discutées par le gouverne-
ment britannique. Mais, après tout, pour-
quoi discuter? N'est-il pas dangereux de
signer un traité de garantie, nous ne par-
lons même pas d'un traité d'alliance,
avec une puissance dont le point de vue
est si différent du nôtre ! Ne vaudrait-il pas
mieux, non seulement dans d'intérêt du
monde en général, mais aussi dans l'inté-
rêt de notre amitié pour la France, éviter
de telles obligations et se contenter de tra-
vailler chaque jour amicalement et de ré-
gler les problèmes au fur et à mesure
qu'ils naîtront dans un esprit aussi amical
que possible ? N'est-il pas préférable que
la France poursuive sa politique comme
elle l'entend et qu'elle apprenne « par
expérience » ?.
Lord Grey a insisté sur le maintien des
bonnes relations avec la France ; personne
n'en doute, mais la plante fragile de l'ami-
tié ne pousse-t-elle pas plus rapidement
quand on la laisse un peu à elle-même?
Pourquoi accepterions-nous une alliance
militaire défensive avec la France qui est
actuellement la puissance militaire, qui
n'est nullement menacée et qui n'a rien à
craindre pendant au moins dix ans?
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