Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 janvier 1922 18 janvier 1922
Description : 1922/01/18 (T20,N1956). 1922/01/18 (T20,N1956).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253325v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1. "IN IST Ehl
DES -
'p AIR E S ÉTRANGÈRES
: N° 1956
Mercredi 18 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement, sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
——
PRESSE ALLEMANDE. - Le cabinet Poincaré
t*p' )' (Koellliscite Zeitung, Frankfurter Zei-
lung). i
ANGLAISE. — Le cabinet Poincaré
(WT) ai• ly Chronide, Dai/y News). — « La
de Cannes » (Steed dans Times).
-. UItaHe ict le projet de pacte franco-
b n.t. annique : mémorandum de la déléga-
hon italienne à Cannes et réponse de M.
LloYd George (Daily Telegraph).
AUTRICHIENNE. — Le cabinet Poin-
Caré (Deutschoesterreichische Tageszei-
tung, Deutsches V olks blatt Neues Wie-
ner Tagblatt, Wiener Morgenzeitung,
p Neue Freie Presse, Arbeiter Zeitung).
HEsSE ESPAGNOLE. — Le cabinet Poincairé
(Epnca Sol Diario Universal, Impar-
cial, Debate).
~SE HOLLANDAISE. — Le cabinet Poincaré
(Ai Qernecn Handelsblad, Volk, Nieuwe
Colirant).
PRESSE TITALIENNE. — Le cabinet Poincaré
ESSE MALIENNE. — Le cabinet Poincaré
(Giornale d'Italia, Secolo, Paese, Gaz-
zetta del Popolo, Tempo, Roberto Can-
i!,^0 t-ali dans Idea Nazionale ; Corriere
della Sera).
SE SUISSE. - Le cabinet Poincaré
fîn Umaux divers).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
Lt
Lt CABINET POINCARE. — PRESSE
ALLEMANDE. - Si l'on examine les personna-
t s air>na f în,ari^ au ministère Poincaré, on
trouve, , pir dehûrs du présid~ent du Conseil,
aù en dehors du président du Conseil,
l 'Q1.}'e 6 tête dont la tendance politi-
que est bien connue en Allemagne : Louis
Parmi les autres ministres, la personna-
la v,, S saillante est de Lasteyrie qui,
ell dédit d'rl grand voyage d'étude entrepris
AI, ',gn-e il y a quelques semaines,
"-poy.it "Voir affirmer récemment, dans
tivai SUr le budget, que l'Allemagne
tond eXécuter le plan de paiement de
^dres qU'e.làe faisait baisser vokntaàre-
ment la. valeur de son mark, bref, que le
gouvernement allemand préparait délibé-
rément une banqueroute frauduleuse. Le
ministre de l'Agriculture, Chéron, rappor-
teur du budget au Sénat, est aussi une per-
sonnaltité éminente. Sur la capacité finan-
cière de l'Allemagne, il partage à peu près
les vues de Lasteyrie. Le député Reibel,
ministre des régions libérées, est aussi une
force qu'on ne doit pas sous-estimer. Dans
quelle mesure est-il enclin à poursuivre la
politique inaugurée par son prédécesseur à
Wiesbaden, cela dépend beaucoup de l'atti-
tude du ministère dans la question des répa-
rations. Au surplus, il faut attendre la dé-
claration ministérielle pour pouvoir formu-
ler un jugement définitif.
KŒLNISCHE ZEITUNG, 16.1 matin.
-- Un auteur français a dit : « il faut
qu'une porte soit ouverte ou fermée ». Il n'y
a pas de milieu. Si l'homme d'Etat Poin-
caré agissait comme l'a recommandé le
journaliste Poincaré, il fermerait bien fort
li porte des négociations. Mais en tant
qu'homme l'Etat, il la tiendra ouverte el
ocntinuera à négocier comme il l'a déjà an-
noncé d'ailleurs. Mais alors M. Poincaré
reprend tout simplement le rôle joué par
M. Briand, rôle qu'à la veille de devenir
président du Conseil, il avait tant condam-
né. Des jOUifTI;arux' français , tels que h1
Temps disent déjà qu' « avec de petites
nuances » la « politique de demain sera,
sous un nouveau président du Conseil, la
même que la politique d'hier ». La position
de M. Poincaré à l'égard de cette « politique
de demain » est seulement un peu plus dif-
ficile que celle de son prédécesseur, que
M. Poincaré a si ostensiblement, à cause de
sa politique d'hier, envoyé au diable.
Briand avait un cabinet d'union natio-
nale qui plongeait ses racines dans tous
les groupes de la Chambre. Les ministres
de Poincaré se recrutent uniquement parmi
les sénateurs et les députés de l'Entente
Républicaine Démocratique et de la Gauche
Démocratique, c'est-à-dire dans les deux
partis qui sous ce beau nom de démocrati-
que comprennent les membres réactionnai-
res du Bloc National. Le Bloc National sera-
t-il satisfait à la longue de voir que Poin-
caré entre dans le sillage de Briand ?. Poin-
caré a reçu des mains de Briand le projet
de pacte de garantie avec l'Angleterre et il
mènera ce projet à exécution, comme le
laissent prévoir ses aédarations. Dans le
dernier numéro de !la Revue des Deux
Mondes, Poincaré a déclaré que le pacte
de garantie avec l'Angleterre va donner à
la France la sécurité qui lui manque et lui
permettre de diminuer ses charges mili-
taires et de se donner tout entière à l'œuvre
de paix. Il déclare de plus, il est vrai : « Le
traité nous lierait les mains et nous livre-
rait ,impuissants, à la politique de l'Angle-
terre, s'il nous empêchait de prolonger l'oc-
cupation des pays rhénans et même nous
forçait à l'abréger, au cas où l'Angleterre
ne voudrait pas s'engager à prendre avec
nous de nouveaux gages si cela était néces-
saires, ainsi qu'à exécuter jusque dans ses
moindres détails le Traité de Versailles »,
comme aussi au cast où un accord entière-
ment clair ne serait pas conclu entre l'An-
gleterre et la France au sujet de l'attitude à
prendre à l'égard de la Conférence finan-
cière et du règlement futur des dettes alle-
mandes. Malgré toutes les objections, il
faut dire que du moment que M. Poincaré
accepte le traité de garantie avec l'Angle
terre, il a renoncé à sa politique passée qui
ne visait qu'à une rupture avec l'Angleterre.
Poincaré homme d'Etat renie Poincaré écri-
vain. Et si Poincaré veut aboutir à ce que,
dans son article de la Revue des Deux
Mondes, il considère comme indispensable,
il lui faudra négocier avec l'Angleterre et
autres anciens alliés tout comme Briand.
Le président du Conseil français se heurtera
aux mêmes difficultés, qu'il s'appelle Poin-
caré ou Briand.
FRANKFURTER ZEITUNG, 16.1 soir.
Presse ANGLAISE. — Il est absurde de pré-
tendre que la chute d'un ministère français,
au cours de négociations, ne doit pas nous
intéresser. Il faut se rappeler que bien
qu'on l'ait considéré comme l'apôtre d'une
politique d'après-guerre qui diffère de la
nôtre, M. Poincaré a toujours fait preuve à
notre égard de bonne volonté et de res-
pect. ; on peut attendre de lui qu'il utilise
cette bonne volonté pour concilier les deux
thèses et le fait que dans sa propre maison
les extrémistes le soutiendront. facilitera
peut-être l'inévitable conciliation. La diplo-
matie britannique se présentera à lui, dans
un esprit de franchise et d'amitié. On dit
qu'il n'est point partisan du procédé des
Conférences.; cette tendance est naturelle
chez un parlementaire français qui a cons-
taté que les Conférences peuvent être un
obstacle et un danger pour le ministère
dans les conditions actuelles de la vie par-
lementaire française ; nous ne croyons pas
pourtant que le quart des problèmes de
l'après-guerre auraient été résolus sans ces
Conférences et tant que l'Europe ne repo-
sera pas sur une base plus solide, le besoin
s'en fera sentir. (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 17.1.
- Nous ne croyons pas que « l'extré-
misme » puisse se maintenir en France ; il
y a, au fond de ce pays, une couche libérale
DES -
'p AIR E S ÉTRANGÈRES
: N° 1956
Mercredi 18 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement, sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
——
PRESSE ALLEMANDE. - Le cabinet Poincaré
t*p' )' (Koellliscite Zeitung, Frankfurter Zei-
lung). i
ANGLAISE. — Le cabinet Poincaré
(WT) ai• ly Chronide, Dai/y News). — « La
de Cannes » (Steed dans Times).
-. UItaHe ict le projet de pacte franco-
b n.t. annique : mémorandum de la déléga-
hon italienne à Cannes et réponse de M.
LloYd George (Daily Telegraph).
AUTRICHIENNE. — Le cabinet Poin-
Caré (Deutschoesterreichische Tageszei-
tung, Deutsches V olks blatt Neues Wie-
ner Tagblatt, Wiener Morgenzeitung,
p Neue Freie Presse, Arbeiter Zeitung).
HEsSE ESPAGNOLE. — Le cabinet Poincairé
(Epnca Sol Diario Universal, Impar-
cial, Debate).
~SE HOLLANDAISE. — Le cabinet Poincaré
(Ai Qernecn Handelsblad, Volk, Nieuwe
Colirant).
PRESSE TITALIENNE. — Le cabinet Poincaré
ESSE MALIENNE. — Le cabinet Poincaré
(Giornale d'Italia, Secolo, Paese, Gaz-
zetta del Popolo, Tempo, Roberto Can-
i!,^0 t-ali dans Idea Nazionale ; Corriere
della Sera).
SE SUISSE. - Le cabinet Poincaré
fîn Umaux divers).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
Lt
Lt CABINET POINCARE. — PRESSE
ALLEMANDE. - Si l'on examine les personna-
t s air>na f în,ari^ au ministère Poincaré, on
trouve, , pir dehûrs du présid~ent du Conseil,
aù en dehors du président du Conseil,
l 'Q1.}'e 6 tête dont la tendance politi-
que est bien connue en Allemagne : Louis
Parmi les autres ministres, la personna-
la v,, S saillante est de Lasteyrie qui,
ell dédit d'rl grand voyage d'étude entrepris
AI, ',gn-e il y a quelques semaines,
"-poy.it "Voir affirmer récemment, dans
tivai SUr le budget, que l'Allemagne
tond eXécuter le plan de paiement de
^dres qU'e.làe faisait baisser vokntaàre-
ment la. valeur de son mark, bref, que le
gouvernement allemand préparait délibé-
rément une banqueroute frauduleuse. Le
ministre de l'Agriculture, Chéron, rappor-
teur du budget au Sénat, est aussi une per-
sonnaltité éminente. Sur la capacité finan-
cière de l'Allemagne, il partage à peu près
les vues de Lasteyrie. Le député Reibel,
ministre des régions libérées, est aussi une
force qu'on ne doit pas sous-estimer. Dans
quelle mesure est-il enclin à poursuivre la
politique inaugurée par son prédécesseur à
Wiesbaden, cela dépend beaucoup de l'atti-
tude du ministère dans la question des répa-
rations. Au surplus, il faut attendre la dé-
claration ministérielle pour pouvoir formu-
ler un jugement définitif.
KŒLNISCHE ZEITUNG, 16.1 matin.
-- Un auteur français a dit : « il faut
qu'une porte soit ouverte ou fermée ». Il n'y
a pas de milieu. Si l'homme d'Etat Poin-
caré agissait comme l'a recommandé le
journaliste Poincaré, il fermerait bien fort
li porte des négociations. Mais en tant
qu'homme l'Etat, il la tiendra ouverte el
ocntinuera à négocier comme il l'a déjà an-
noncé d'ailleurs. Mais alors M. Poincaré
reprend tout simplement le rôle joué par
M. Briand, rôle qu'à la veille de devenir
président du Conseil, il avait tant condam-
né. Des jOUifTI;arux' français , tels que h1
Temps disent déjà qu' « avec de petites
nuances » la « politique de demain sera,
sous un nouveau président du Conseil, la
même que la politique d'hier ». La position
de M. Poincaré à l'égard de cette « politique
de demain » est seulement un peu plus dif-
ficile que celle de son prédécesseur, que
M. Poincaré a si ostensiblement, à cause de
sa politique d'hier, envoyé au diable.
Briand avait un cabinet d'union natio-
nale qui plongeait ses racines dans tous
les groupes de la Chambre. Les ministres
de Poincaré se recrutent uniquement parmi
les sénateurs et les députés de l'Entente
Républicaine Démocratique et de la Gauche
Démocratique, c'est-à-dire dans les deux
partis qui sous ce beau nom de démocrati-
que comprennent les membres réactionnai-
res du Bloc National. Le Bloc National sera-
t-il satisfait à la longue de voir que Poin-
caré entre dans le sillage de Briand ?. Poin-
caré a reçu des mains de Briand le projet
de pacte de garantie avec l'Angleterre et il
mènera ce projet à exécution, comme le
laissent prévoir ses aédarations. Dans le
dernier numéro de !la Revue des Deux
Mondes, Poincaré a déclaré que le pacte
de garantie avec l'Angleterre va donner à
la France la sécurité qui lui manque et lui
permettre de diminuer ses charges mili-
taires et de se donner tout entière à l'œuvre
de paix. Il déclare de plus, il est vrai : « Le
traité nous lierait les mains et nous livre-
rait ,impuissants, à la politique de l'Angle-
terre, s'il nous empêchait de prolonger l'oc-
cupation des pays rhénans et même nous
forçait à l'abréger, au cas où l'Angleterre
ne voudrait pas s'engager à prendre avec
nous de nouveaux gages si cela était néces-
saires, ainsi qu'à exécuter jusque dans ses
moindres détails le Traité de Versailles »,
comme aussi au cast où un accord entière-
ment clair ne serait pas conclu entre l'An-
gleterre et la France au sujet de l'attitude à
prendre à l'égard de la Conférence finan-
cière et du règlement futur des dettes alle-
mandes. Malgré toutes les objections, il
faut dire que du moment que M. Poincaré
accepte le traité de garantie avec l'Angle
terre, il a renoncé à sa politique passée qui
ne visait qu'à une rupture avec l'Angleterre.
Poincaré homme d'Etat renie Poincaré écri-
vain. Et si Poincaré veut aboutir à ce que,
dans son article de la Revue des Deux
Mondes, il considère comme indispensable,
il lui faudra négocier avec l'Angleterre et
autres anciens alliés tout comme Briand.
Le président du Conseil français se heurtera
aux mêmes difficultés, qu'il s'appelle Poin-
caré ou Briand.
FRANKFURTER ZEITUNG, 16.1 soir.
Presse ANGLAISE. — Il est absurde de pré-
tendre que la chute d'un ministère français,
au cours de négociations, ne doit pas nous
intéresser. Il faut se rappeler que bien
qu'on l'ait considéré comme l'apôtre d'une
politique d'après-guerre qui diffère de la
nôtre, M. Poincaré a toujours fait preuve à
notre égard de bonne volonté et de res-
pect. ; on peut attendre de lui qu'il utilise
cette bonne volonté pour concilier les deux
thèses et le fait que dans sa propre maison
les extrémistes le soutiendront. facilitera
peut-être l'inévitable conciliation. La diplo-
matie britannique se présentera à lui, dans
un esprit de franchise et d'amitié. On dit
qu'il n'est point partisan du procédé des
Conférences.; cette tendance est naturelle
chez un parlementaire français qui a cons-
taté que les Conférences peuvent être un
obstacle et un danger pour le ministère
dans les conditions actuelles de la vie par-
lementaire française ; nous ne croyons pas
pourtant que le quart des problèmes de
l'après-guerre auraient été résolus sans ces
Conférences et tant que l'Europe ne repo-
sera pas sur une base plus solide, le besoin
s'en fera sentir. (Ed.)
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