Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 janvier 1922 19 janvier 1922
Description : 1922/01/19 (T20,N1957). 1922/01/19 (T20,N1957).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533268
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
r. MINISTÈRE
DES
ÂF]RAI IIES ÉTRANGÈRES
N°1957
Jeudi 19 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
%or
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont precedés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRES P. ,
SE ALLEMAN»E. — Le cabinet Poincaré
(H. von Gerlach dans Welt am Mon
tarI; V or maris ; Th. Wolff dans Berli-
ner Tageblatt ; Berliner Lokal-Anzei-
ger). — Les réparations : la question
ùu moratorium (Franz Silbersheim dans
Berliner Tageblatt ; Georg Bernhard
dans Vossische Zeilung ; Frænkischer
Kurier). — Les crimes de guerre : la
décision de la Commission des coupa-
bles (Berliner Tageblatt, Vorwärts).
PRESSE AMÉRICAINE.. — Les Etats-Unis et la
Conférence de Cannes (New York Ti-
mes). - La question des sous-marins
(New York American, Chicago Dailii
Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — L'entente de MM. Poin-
r caré et Lloyd George (Times). — La
Conférence de Gênes (Daily News). —
La clôture de la Conférence de Cannes
p (tVestrninster Gazette).
p ESSE AUTRICHIENNE. — Le cabinet Poin-
caré (Tagespost, Deutschœsterreichi-
sehe Tageszeitung, Wiener Morgenzei-
p rung, Neues Wiener Tagblatt).
E^SE BELGE. — Le pacte de garantie
p anglo-belge (xxe Siècle).
PRE ITALIENNE. — Le cabinet Poincaré
astignac dans Tribuna). — Le projet
P de pacte franco-britannique (Stampa).
SUISSE. — Le cabinet Poincaré
(Basler Nachrichlen, Neue Zurcher
Zeitung, La Sentinelle).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
LE CABINET POINCARÉ. — PRESSE
It, p, La France vient d'entrer dans
'a Pétrie des remèdes de cheval.
est tombé volontairement, avec
1)11 §&st e de fierté. Il a certainement agi
(iQnss Il propre intérêt ; a-t-il travaillé dans
celui de sa nation, c'est une autre question.
Il était, dans l' état de choses actuel, le meil-
(^" Conseil français comme
Wirth est le meilleur chancelier. Ses dis-
cours étaient souvent désagréables à notre
égard, mais Ils devaient l'être afin qu'il pût
iie Mainte^l. r\ ^es actes valaient beaucoup
mieux. pCS a, P'as manœuvrait vers la
gauche i, à pas il manœuvrait vers la
^re 'e ce que Cannes, qui devait
être lec Ouronnen-lent. f^e son habile tactique
le nt toinh ei • Plutôt que de faire un nou-
veau compromis avec une chambre réac-
tionnaire nationaliste, il a préféré se réser-
ver un avenir plus sûr avec une chambre
meilleure.
Il partit et Poincaré vint. L'orgueilleux
homme a atteint son but, mais il en obtien-
dra peu de satisfaction. Il est assez habile
pour savoir que la France ne peut faire de
politique pratique que dans les limites du
sage programme présenté par M. Lloyd
George. Mais il est entraîné par la cam-
pagne qu'il poursuit depuis des mois. Quant
on en a tant dit, il faut au moins essayer
d'accorder ses actes avec ses paroles. Alors
naîtra le conflit entre les vrais intérêts de
son pays et' les aspirations absurdes de ses
amis. Les désillusions se suivront.
Nous autres Allemands, nous devrons
payer la note de ces désillusions. Nous al-
lons avoir des temps durs. La France s'est
isolée. Ses rapports avec l'Angleterre sont
troublés. Nous serions fous de nous en ré-
jouir. Car si une chose est certaine, c'est
bien celle-ci : les divergences franco-an-
glaises se régleront toujours sur notre dos.
Il est donc doublement nécessaire, dans
ces temps sombres de ne pas perdre son
sang-froid. Wirth doit poursuivre sa poli-
tique. Le peuple allemand doit le soutenir
fermement. Le mot d'ordre s'impose : tenir !
La politique de Wirth a assuré une
bonne position à nos délégués à Cannes. Si
nous ne voulons pas tout remettre en ques-
tion, il faut la poursuivre. La mauvaise
volonté de Poincaré doit échouer devant la
volonté de conciliation et d'exécution du
peuple allemand.
Le jour des élections viendra en France.
Et alors, il y aura une Chambre qui ne
mettra plus un Poincaré à la tête des af-
faires. — H. v. Gerlach.
1 WELT AM MONTAG, 16.1.
— Sous le titre : « Sans Tardieu ». — Tar-
dieu a donc décliné l'offre du ministère des
régions libérées. C'est le fait frappant de
la constitution définitive de la liste minis-
térielle. Apparemment, Poincaré n'a pu,
après son entretien avec Lloyd George, lui
donner l'assurance que la France s'en tien-
drait en toutes circonstances à la lettre de
la paix imposée à Versailles, comme les
amis de Clemenceau le réclament. Cepen-
dant, il ne faut pas tirer de ce fait des con-
clusions optimistes prématurées, car mal-
gré tout, la Liste ministérielle est aussi
« bloc national » que possible. Outre le mi-
nistre des Colonies, Sarraut, resté à Wash-
ington, Po'incaré s'est assuré la collabora-
tion de cinq membres du cabinet Briand,
mais ce sont, notamment Barthou, ceux qui
ont poignardé leur chef dans le dos. Les
nouveaux venus ont toujours agi, dans l'en-
semble, dans (Le sens d'une politique brutale
envers l'Allemagne.
VORWAERTS, 16.1 soir.
— A la fin d'une lettre au Temps dans
laquelle il répondait à une attaque de
M. Poincaré, J.M. Keynes écrivait le 20 no-
vembre 1921 : <( Puis-je vous demander si
l'opinion publique française se laisse vrai-
ment tromper par la rhétorique de M. Poin-
caré ? On a peine à croire qu'en France la
capitulation de l'intelligence puisse aller jus-
que-là ». Non pas toute l'intelligence fran-
çaise, mais une partie de ceux qui appar-
tiennent au groupe de l'intelligence ont
poussé la capitulation jusqu'à ce point. A
coup sûr M. Poincaré n'est pas venu au
pouvoir par la volonté du peuple mais
grâce à M. Millerand, au Bloc national, et
à ces journalistes auxquels, avec l'ami Is-
volski, il a glissé dans la poche les « sub-
sides » russes.
Certes le public français, auquel on a
caché les documents d'Isvolski qui, eux,
parlent un langage si clair, ne se doute
pas avec quel zèle M. Poincaré, dès 1912,
travaillait à la guerre, avec quelle hâte il
détruisait toute possibilité d'entente franco-
allemande, avec quels moyens, — venus de
la caisse du tsar — il s'efforçait de créer
dans la presse française, deux ans avant
le cataclysme, l'atmosphère de guerre né
cessaire. Mais si le public français manque
de preuves historiques, si ce passé lui est
artificiellement voilé, i? a cependant lu les
articles que M. Poincaré a publiés chaque
semaine dans le Temps et dans le Matin.
Y a-t-il vraiment découvert les traces du
génie d'un homme d'Etat ? A-t-il vraiment
pu prendre cet aboiement haineux pour le
rugissement énergique et imposant d'un
lion courroucé ? *
Troublée par des politiciens qui lui
avaient promis un âge d'or et l'abusaient
chaque jour en lui racontant que le peuple
allemand payait moins d'impôts que le peu-
ple français, furieuse contre l'Angleterre
plus. avisée, l'intelligence française, comme
dit Keynes, a capitulé a ce point qu'elle ac-
cueille encore une fois M. Poincaré comme
un sauveur. L'Allemagne ne peut qu'atten-
dre avec curiosité ce qui résultera de ce
changement de gouvernement. Certains
trouvent peut-être que M. Poincaré s'est
précipité sur le pouvoir à un moment qui
ne lui est pas très favorable et que le
moyen qu'il a employé de faire sauter une
conférence d'hommes d'Etat alliés pour de-
venir président du Conseil. n'est pas préci-
sément diplomatique. Isvolski aurait-il rai-
son en disant dans, la lettre adressée à Sa-
sonov, et qui n'est pas encore publiée, que
M. Poincaré qu'il estime tant, souffre d'une
« vanité morbide ».
DES
ÂF]RAI IIES ÉTRANGÈRES
N°1957
Jeudi 19 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
%or
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont precedés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRES P. ,
SE ALLEMAN»E. — Le cabinet Poincaré
(H. von Gerlach dans Welt am Mon
tarI; V or maris ; Th. Wolff dans Berli-
ner Tageblatt ; Berliner Lokal-Anzei-
ger). — Les réparations : la question
ùu moratorium (Franz Silbersheim dans
Berliner Tageblatt ; Georg Bernhard
dans Vossische Zeilung ; Frænkischer
Kurier). — Les crimes de guerre : la
décision de la Commission des coupa-
bles (Berliner Tageblatt, Vorwärts).
PRESSE AMÉRICAINE.. — Les Etats-Unis et la
Conférence de Cannes (New York Ti-
mes). - La question des sous-marins
(New York American, Chicago Dailii
Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — L'entente de MM. Poin-
r caré et Lloyd George (Times). — La
Conférence de Gênes (Daily News). —
La clôture de la Conférence de Cannes
p (tVestrninster Gazette).
p ESSE AUTRICHIENNE. — Le cabinet Poin-
caré (Tagespost, Deutschœsterreichi-
sehe Tageszeitung, Wiener Morgenzei-
p rung, Neues Wiener Tagblatt).
E^SE BELGE. — Le pacte de garantie
p anglo-belge (xxe Siècle).
PRE ITALIENNE. — Le cabinet Poincaré
astignac dans Tribuna). — Le projet
P de pacte franco-britannique (Stampa).
SUISSE. — Le cabinet Poincaré
(Basler Nachrichlen, Neue Zurcher
Zeitung, La Sentinelle).
POLITIQUE GENERALE
LA POLITIQUE FRANÇAISE
LE CABINET POINCARÉ. — PRESSE
It, p, La France vient d'entrer dans
'a Pétrie des remèdes de cheval.
est tombé volontairement, avec
1)11 §&st e de fierté. Il a certainement agi
(iQnss Il propre intérêt ; a-t-il travaillé dans
celui de sa nation, c'est une autre question.
Il était, dans l' état de choses actuel, le meil-
(^" Conseil français comme
Wirth est le meilleur chancelier. Ses dis-
cours étaient souvent désagréables à notre
égard, mais Ils devaient l'être afin qu'il pût
iie Mainte^l. r\ ^es actes valaient beaucoup
mieux. pCS a, P'as manœuvrait vers la
gauche i, à pas il manœuvrait vers la
^re 'e ce que Cannes, qui devait
être lec Ouronnen-lent. f^e son habile tactique
le nt toinh ei • Plutôt que de faire un nou-
veau compromis avec une chambre réac-
tionnaire nationaliste, il a préféré se réser-
ver un avenir plus sûr avec une chambre
meilleure.
Il partit et Poincaré vint. L'orgueilleux
homme a atteint son but, mais il en obtien-
dra peu de satisfaction. Il est assez habile
pour savoir que la France ne peut faire de
politique pratique que dans les limites du
sage programme présenté par M. Lloyd
George. Mais il est entraîné par la cam-
pagne qu'il poursuit depuis des mois. Quant
on en a tant dit, il faut au moins essayer
d'accorder ses actes avec ses paroles. Alors
naîtra le conflit entre les vrais intérêts de
son pays et' les aspirations absurdes de ses
amis. Les désillusions se suivront.
Nous autres Allemands, nous devrons
payer la note de ces désillusions. Nous al-
lons avoir des temps durs. La France s'est
isolée. Ses rapports avec l'Angleterre sont
troublés. Nous serions fous de nous en ré-
jouir. Car si une chose est certaine, c'est
bien celle-ci : les divergences franco-an-
glaises se régleront toujours sur notre dos.
Il est donc doublement nécessaire, dans
ces temps sombres de ne pas perdre son
sang-froid. Wirth doit poursuivre sa poli-
tique. Le peuple allemand doit le soutenir
fermement. Le mot d'ordre s'impose : tenir !
La politique de Wirth a assuré une
bonne position à nos délégués à Cannes. Si
nous ne voulons pas tout remettre en ques-
tion, il faut la poursuivre. La mauvaise
volonté de Poincaré doit échouer devant la
volonté de conciliation et d'exécution du
peuple allemand.
Le jour des élections viendra en France.
Et alors, il y aura une Chambre qui ne
mettra plus un Poincaré à la tête des af-
faires. — H. v. Gerlach.
1 WELT AM MONTAG, 16.1.
— Sous le titre : « Sans Tardieu ». — Tar-
dieu a donc décliné l'offre du ministère des
régions libérées. C'est le fait frappant de
la constitution définitive de la liste minis-
térielle. Apparemment, Poincaré n'a pu,
après son entretien avec Lloyd George, lui
donner l'assurance que la France s'en tien-
drait en toutes circonstances à la lettre de
la paix imposée à Versailles, comme les
amis de Clemenceau le réclament. Cepen-
dant, il ne faut pas tirer de ce fait des con-
clusions optimistes prématurées, car mal-
gré tout, la Liste ministérielle est aussi
« bloc national » que possible. Outre le mi-
nistre des Colonies, Sarraut, resté à Wash-
ington, Po'incaré s'est assuré la collabora-
tion de cinq membres du cabinet Briand,
mais ce sont, notamment Barthou, ceux qui
ont poignardé leur chef dans le dos. Les
nouveaux venus ont toujours agi, dans l'en-
semble, dans (Le sens d'une politique brutale
envers l'Allemagne.
VORWAERTS, 16.1 soir.
— A la fin d'une lettre au Temps dans
laquelle il répondait à une attaque de
M. Poincaré, J.M. Keynes écrivait le 20 no-
vembre 1921 : <( Puis-je vous demander si
l'opinion publique française se laisse vrai-
ment tromper par la rhétorique de M. Poin-
caré ? On a peine à croire qu'en France la
capitulation de l'intelligence puisse aller jus-
que-là ». Non pas toute l'intelligence fran-
çaise, mais une partie de ceux qui appar-
tiennent au groupe de l'intelligence ont
poussé la capitulation jusqu'à ce point. A
coup sûr M. Poincaré n'est pas venu au
pouvoir par la volonté du peuple mais
grâce à M. Millerand, au Bloc national, et
à ces journalistes auxquels, avec l'ami Is-
volski, il a glissé dans la poche les « sub-
sides » russes.
Certes le public français, auquel on a
caché les documents d'Isvolski qui, eux,
parlent un langage si clair, ne se doute
pas avec quel zèle M. Poincaré, dès 1912,
travaillait à la guerre, avec quelle hâte il
détruisait toute possibilité d'entente franco-
allemande, avec quels moyens, — venus de
la caisse du tsar — il s'efforçait de créer
dans la presse française, deux ans avant
le cataclysme, l'atmosphère de guerre né
cessaire. Mais si le public français manque
de preuves historiques, si ce passé lui est
artificiellement voilé, i? a cependant lu les
articles que M. Poincaré a publiés chaque
semaine dans le Temps et dans le Matin.
Y a-t-il vraiment découvert les traces du
génie d'un homme d'Etat ? A-t-il vraiment
pu prendre cet aboiement haineux pour le
rugissement énergique et imposant d'un
lion courroucé ? *
Troublée par des politiciens qui lui
avaient promis un âge d'or et l'abusaient
chaque jour en lui racontant que le peuple
allemand payait moins d'impôts que le peu-
ple français, furieuse contre l'Angleterre
plus. avisée, l'intelligence française, comme
dit Keynes, a capitulé a ce point qu'elle ac-
cueille encore une fois M. Poincaré comme
un sauveur. L'Allemagne ne peut qu'atten-
dre avec curiosité ce qui résultera de ce
changement de gouvernement. Certains
trouvent peut-être que M. Poincaré s'est
précipité sur le pouvoir à un moment qui
ne lui est pas très favorable et que le
moyen qu'il a employé de faire sauter une
conférence d'hommes d'Etat alliés pour de-
venir président du Conseil. n'est pas préci-
sément diplomatique. Isvolski aurait-il rai-
son en disant dans, la lettre adressée à Sa-
sonov, et qui n'est pas encore publiée, que
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