Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 janvier 1922 14 janvier 1922
Description : 1922/01/14 (T20,N1953). 1922/01/14 (T20,N1953).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253322m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1953
Samedi 14 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
t
PRESSE ALLEMANDE.— Le retour de M. Briand
à Paris (Frankfurter Zeitung). — La
démission du cabinet Briand (Rhei-
nisch-Westfgelische Zeitung).
PRESSE ANGLAISE. — La démission du cabi-
net Briand (Times, Daily Express,
Daily Chronicle, Manchester Guardian,
Daily News, Daily Herald, Morning
Post). ",,'
PRESSE AUTRICHIENNE. — Le retour de
M. Briand à Paris (Neue Freie Presse,
Neues Wiener Abendblatt, Wiener Mor-
genzeitung). — La reconstruction géné-
rale (Wiener Morgenzeitung, Arbeiter
Zeitung).
PRESSE BELGE. — Le retour de M. Briand
à Paris (Saint-Marc dansi XXe Siècle).
— La démission du cabinet Briand
indépendance Belge, Nation Belge).
F>l1E:SSE ITALIENNE. — Le projet de pacte
franco-britannique (Guglielmo Emanuel
ttaiHs Corriere délia Sera. — La recons-
truction générale (Tempo, Epoca, Gaz-
zetta del Popolo, Ordino Nuovo). —
M. Lloyid George eit le marquis Délia
Torretta; « rappel éventuel de M. de
Martino » (Popolo d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LE RETOUR DE M. BRIAND A PARIS.
- PRESSE ALLEMANDE. — Le cours pris jus-
ici. par des délibérations de Cannes justi-
ait certaines espérances touchant leur ré-
, sultat d'ensemble. Sain doute, les conver-
sations au sujet du traité de garantie anglo-
rançais n'avaient pas encore dépassé le
stade des pourparlers préliminaires, la
question des réparations menaçait d'abou-
r encore à un compromis qui n'eût pas
t;nu suffisament compte des difficultés de
l'Allemagne, mais malgré tout, les décisions
du Conseil Suprême — surtout la résolution
de Convoquer une conférence économique
européenne et de fonder un consortium in-
telt'na,UonaQ pour la reconstruction de l'Eu-
rope - marqueraient deux pas si décisifs
vJrs une nouvelle orientation que l'on pou-
Vait espérer de voir Cannes devenir effec-
jj Grnent un tournant capital dans l'évo-
lution de l'après-guerre, non pas en, ce sens
que tout allait Is'iaméHorer d'un coup, mais
parce que l'on pouvait s'attendre à voir
éviter le pire pour l'Allemaigne et l'Europe.
Les circonstances qui ont provoqué le dé-
part soudain de Briand pour Paris remet-
tent en question ces esipcirances.
Déjà, les discours d'ouverture prononcés
avant-hier au Sénat et à la Chambre par les
présidents d'âge montrèrent que la repré-
sentation nationale était, disposée à la cri-
tique. Vinrent ensuite les télégrammes
adressés par les commissions intéressées et
certains groupes parlementaires importants
au Président du Conseil à Cannes pour lui
recommander de ne pas outrepasser cer-
taines lignes de conduite. Des manifesta-
tions de ce genre de la part du Parlement à
l'adresse d'un chef de gouvernement parti,
investi d'un vote de confiance sur son pro-
gramme politique, comme principal délé-
gué à une conférence internationale, cons-
tituent déjà une démarche as'sez surpre-
nante. Mais il est plus étonnant encore de
voir le Conseil des ministres français se
réunir hier, en l'absence de son président
sous la direction du Président de la Répu-
blique pour tenir des déilibérations en re-
lation directe avec le retour de Briand. Le
cabinet craint-il, pour acui existence à cause
de l'attitude de révolte de la Chambre ou
bien l'esprit séditieux, peut-être avec l'aide
du chef d'Etat, a-t-ili gagné les collègues
de M. Briand ?.
Le monde se rend compte que la politique
de violence et de rancune pratiquée jus-
qu'ici doit avoir une fin, doit faire place à
de meilleures méthodes ; l'Angleterre, par
des entretiens amicaux et par la pression
politique veut amener la France à se con-
tenter du rôle que l'état des choses lui
réserve.
Ce que les politiciens en révolte à Paris
redoutent est exagéré en de certains détails
mais exact au fond. La France doit main-
tenant se décider : se ralliera-t-elle à l'évo-
lution approuvée et exigée par les autres
grandes nations ou bien s'opposera-t-elle à
l'assainissement et au progrès ? La France
qui se vantait jusqu'alors d'être à la tête de
la civilisation se voit rejetée aui rang de
pays rétrogradé. Pour les Français qui, se
souvenant des traditions de la révolution
française, on gardé le libéralisme de l'es-
prit, ce sera, une constatation qui les cou-
vrira de honte et nous voulons croire qu'en
dépit des cris réactionnaires de la Chambre
et du Sénat, le nombre de ces Français est
considérable.
Au cours des derniers mois, le peuple
français a fait des progrès sur le chemin de
la raison. On peut le voir à l'attitude mo-
dérée prise par certains organes comme le
Temps et le Petit Parisien, mais on doit se
demander si ce courant sera assez fort pour
amener la. Chambre et le Sénat à la raison
au moment, décisif ? Briand semble l'avoir
cru en s'engageant à Cannes dans les voies
de la conciliation. Il lui faut maintenant se
mesurer avec l'opposition parlementaire.
Briand est l'homme des paroles fortes et des
méthodes molles. Il s'efforcera sans doute,
cette fois encore, de surmonter les difficul-
tés avec des artifices politiques. On verra
s'il est allé trop loin pour le goût des
Français.
On ne peut guère espérer qu'il poursuive
résolument dans la voie qu'il a ouverte.
Briand n'est pas une nature combative et
nous doutons que l'opinion soit mûre pour
la lutte chez le peuple français. La nature
de Briand incline à conclure des compro-
mis. On peut donc s'attendre, dans l'hy-
pothèse la plus favorable, à ce qu'il com-
pose avec ses adversaires.
FRANKFURTER ZEITUNG, 12.1 soir.
PRESSE AUTHICHIENNE. — Nous assistons à
un des évènements, les plus curieux. En Al-
lemagne le nouveau programme de répara-
tions a causé une déception profonde parce
qu'il prévoit toujours des paiements de plus
de deux milliards de marks-or si l'on y
ajoute res prestations en nature. D'autre
part on peut constater en France une vive
agitation.
Autant que l'on peut en juger pour l'ins
tant. l'action dirigée actuellement contre
Briand est une attaque des nationalistes.
Il est à remarquer en particulier que .e
Président Millerand semble avoir attaqué
pour empêcher avec Doumer une politique
de conciliation poussée trop loin. Ce groupe
s'appuie sur l'opinion d'une grande partie de
la Chambre, de cette Chambre élue immé-
diatement. après la fin de la guerre et sous
la direction de Clemenceau.
La question est de savoir si le traité d'al-
liance entre la. France et l'Angleterre donne
à la France assez de satisfaction pour que
la majorité du Parlement considère l'accord
avec l'Angleterre comme une compensation
absolue pour les modifications introduites
dans le paiement des réparations, et les re-
lations avec les Soviets. Il est possible que
les résistances de Paris donnent au Prési-
dent du Conseil Briand la faculté de faire
pression sur l'Angleterre pour que Lloyd
George élargisse ses engagements et con-
sente en particulier à étendre la garantie
territoriale à la Pologne et à poser les plus
sévères conditions à Lenine. Peut-être la
Conférence de Cannes suivra-t-elle le même
cours que celle de Washington : d'abord
un grand progrès, puis une crise et enfin
un compromis par une solution moyenne.
NEUE FRETE PRESSE, 11.1 soir.
DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1953
Samedi 14 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
t
PRESSE ALLEMANDE.— Le retour de M. Briand
à Paris (Frankfurter Zeitung). — La
démission du cabinet Briand (Rhei-
nisch-Westfgelische Zeitung).
PRESSE ANGLAISE. — La démission du cabi-
net Briand (Times, Daily Express,
Daily Chronicle, Manchester Guardian,
Daily News, Daily Herald, Morning
Post). ",,'
PRESSE AUTRICHIENNE. — Le retour de
M. Briand à Paris (Neue Freie Presse,
Neues Wiener Abendblatt, Wiener Mor-
genzeitung). — La reconstruction géné-
rale (Wiener Morgenzeitung, Arbeiter
Zeitung).
PRESSE BELGE. — Le retour de M. Briand
à Paris (Saint-Marc dansi XXe Siècle).
— La démission du cabinet Briand
indépendance Belge, Nation Belge).
F>l1E:SSE ITALIENNE. — Le projet de pacte
franco-britannique (Guglielmo Emanuel
ttaiHs Corriere délia Sera. — La recons-
truction générale (Tempo, Epoca, Gaz-
zetta del Popolo, Ordino Nuovo). —
M. Lloyid George eit le marquis Délia
Torretta; « rappel éventuel de M. de
Martino » (Popolo d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
LE RETOUR DE M. BRIAND A PARIS.
- PRESSE ALLEMANDE. — Le cours pris jus-
ici. par des délibérations de Cannes justi-
ait certaines espérances touchant leur ré-
, sultat d'ensemble. Sain doute, les conver-
sations au sujet du traité de garantie anglo-
rançais n'avaient pas encore dépassé le
stade des pourparlers préliminaires, la
question des réparations menaçait d'abou-
r encore à un compromis qui n'eût pas
t;nu suffisament compte des difficultés de
l'Allemagne, mais malgré tout, les décisions
du Conseil Suprême — surtout la résolution
de Convoquer une conférence économique
européenne et de fonder un consortium in-
telt'na,UonaQ pour la reconstruction de l'Eu-
rope - marqueraient deux pas si décisifs
vJrs une nouvelle orientation que l'on pou-
Vait espérer de voir Cannes devenir effec-
jj Grnent un tournant capital dans l'évo-
lution de l'après-guerre, non pas en, ce sens
que tout allait Is'iaméHorer d'un coup, mais
parce que l'on pouvait s'attendre à voir
éviter le pire pour l'Allemaigne et l'Europe.
Les circonstances qui ont provoqué le dé-
part soudain de Briand pour Paris remet-
tent en question ces esipcirances.
Déjà, les discours d'ouverture prononcés
avant-hier au Sénat et à la Chambre par les
présidents d'âge montrèrent que la repré-
sentation nationale était, disposée à la cri-
tique. Vinrent ensuite les télégrammes
adressés par les commissions intéressées et
certains groupes parlementaires importants
au Président du Conseil à Cannes pour lui
recommander de ne pas outrepasser cer-
taines lignes de conduite. Des manifesta-
tions de ce genre de la part du Parlement à
l'adresse d'un chef de gouvernement parti,
investi d'un vote de confiance sur son pro-
gramme politique, comme principal délé-
gué à une conférence internationale, cons-
tituent déjà une démarche as'sez surpre-
nante. Mais il est plus étonnant encore de
voir le Conseil des ministres français se
réunir hier, en l'absence de son président
sous la direction du Président de la Répu-
blique pour tenir des déilibérations en re-
lation directe avec le retour de Briand. Le
cabinet craint-il, pour acui existence à cause
de l'attitude de révolte de la Chambre ou
bien l'esprit séditieux, peut-être avec l'aide
du chef d'Etat, a-t-ili gagné les collègues
de M. Briand ?.
Le monde se rend compte que la politique
de violence et de rancune pratiquée jus-
qu'ici doit avoir une fin, doit faire place à
de meilleures méthodes ; l'Angleterre, par
des entretiens amicaux et par la pression
politique veut amener la France à se con-
tenter du rôle que l'état des choses lui
réserve.
Ce que les politiciens en révolte à Paris
redoutent est exagéré en de certains détails
mais exact au fond. La France doit main-
tenant se décider : se ralliera-t-elle à l'évo-
lution approuvée et exigée par les autres
grandes nations ou bien s'opposera-t-elle à
l'assainissement et au progrès ? La France
qui se vantait jusqu'alors d'être à la tête de
la civilisation se voit rejetée aui rang de
pays rétrogradé. Pour les Français qui, se
souvenant des traditions de la révolution
française, on gardé le libéralisme de l'es-
prit, ce sera, une constatation qui les cou-
vrira de honte et nous voulons croire qu'en
dépit des cris réactionnaires de la Chambre
et du Sénat, le nombre de ces Français est
considérable.
Au cours des derniers mois, le peuple
français a fait des progrès sur le chemin de
la raison. On peut le voir à l'attitude mo-
dérée prise par certains organes comme le
Temps et le Petit Parisien, mais on doit se
demander si ce courant sera assez fort pour
amener la. Chambre et le Sénat à la raison
au moment, décisif ? Briand semble l'avoir
cru en s'engageant à Cannes dans les voies
de la conciliation. Il lui faut maintenant se
mesurer avec l'opposition parlementaire.
Briand est l'homme des paroles fortes et des
méthodes molles. Il s'efforcera sans doute,
cette fois encore, de surmonter les difficul-
tés avec des artifices politiques. On verra
s'il est allé trop loin pour le goût des
Français.
On ne peut guère espérer qu'il poursuive
résolument dans la voie qu'il a ouverte.
Briand n'est pas une nature combative et
nous doutons que l'opinion soit mûre pour
la lutte chez le peuple français. La nature
de Briand incline à conclure des compro-
mis. On peut donc s'attendre, dans l'hy-
pothèse la plus favorable, à ce qu'il com-
pose avec ses adversaires.
FRANKFURTER ZEITUNG, 12.1 soir.
PRESSE AUTHICHIENNE. — Nous assistons à
un des évènements, les plus curieux. En Al-
lemagne le nouveau programme de répara-
tions a causé une déception profonde parce
qu'il prévoit toujours des paiements de plus
de deux milliards de marks-or si l'on y
ajoute res prestations en nature. D'autre
part on peut constater en France une vive
agitation.
Autant que l'on peut en juger pour l'ins
tant. l'action dirigée actuellement contre
Briand est une attaque des nationalistes.
Il est à remarquer en particulier que .e
Président Millerand semble avoir attaqué
pour empêcher avec Doumer une politique
de conciliation poussée trop loin. Ce groupe
s'appuie sur l'opinion d'une grande partie de
la Chambre, de cette Chambre élue immé-
diatement. après la fin de la guerre et sous
la direction de Clemenceau.
La question est de savoir si le traité d'al-
liance entre la. France et l'Angleterre donne
à la France assez de satisfaction pour que
la majorité du Parlement considère l'accord
avec l'Angleterre comme une compensation
absolue pour les modifications introduites
dans le paiement des réparations, et les re-
lations avec les Soviets. Il est possible que
les résistances de Paris donnent au Prési-
dent du Conseil Briand la faculté de faire
pression sur l'Angleterre pour que Lloyd
George élargisse ses engagements et con-
sente en particulier à étendre la garantie
territoriale à la Pologne et à poser les plus
sévères conditions à Lenine. Peut-être la
Conférence de Cannes suivra-t-elle le même
cours que celle de Washington : d'abord
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