Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-01-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 janvier 1922 12 janvier 1922
Description : 1922/01/12 (T20,N1951). 1922/01/12 (T20,N1951).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253320s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
APFAIRES ÉTRANGÈRES
N°1951
Jeudi 12 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère ",
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement, sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PUESSE ALLEMANDE. — Les réparations
(Dr Félix Piiiiiior dans Berliner Tage-
blatt ; Deutsche Allgemeine Zeitung ;
Dernbm g dans Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les secours à .a Rus-
sie (New York Tribune). — La recons-
truction européenne (New York Times).
PRESSE ANGLAISE. — Le projet de pacte
franco-britannique (Times, Daily Chro-
nicle, Daily Express, Manchester Guar-
dian, Morning Post).
PnESSE ITALIENNE. — L'Italie à la Conférence
de Cannes : les réparations (Marcello
i Prati dans Stampa) ; le projet de pacte
franco-britannique (Mario Borsa dans
Secolo). — M. Lloyd George et le mar-
quis Della Torretta (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
«(;£8 REPARATIONS. — Sous le titre :
L I{OJET DE DÉLAI ET CONDITIONS DU DÉLAI )). —
Le pnseil Suprême n'a pas encore pris de
Ir} {aSlon définitive au sujet du délai de paie-
rrie^t à accorder à l'Allemagne. Mais les
f s llVelles non officielles provenant des
S0lJrces les plus diverses au sujet du délai
(ie Palement se ressemblent tellement que
ronclu,Peut d'ores et déjà tirer certaines con-
!°n's Presque certaines au sujet du com-
pr0rls- En effet, comme pour toutes les dé-
elllOns de l'Entente, il s'agit cette fois
enc^e d'un compromis. Le projet anglais
III ait. on le sait, à faire payer par l'Alle-
e, au cours de l'année 1922, 500 mil-
de marks-or seulement. La France et
Pert elglque firent déclarer par leurs ex-
perj,s c|iUe l'Allemagne pouvait payer un mil-
liar(j
liard ) de marks-or pour la même période.
A.ctu ei, ^ent, on semble s'être entendu sur
IIédu Iffre - de 700 millions. C'est une notable
lon sur l'ultimatum du mois de mai
qui Y, a i tles annuités à deux milliards de
rri^rkSù°r par an. Naturellement, il im-
Porte beaucoup de savoir comment le paie-
ïrient rtes 700 millions de marks-or sera ré-
Parti SUr l'année 1922. D'après la réponse
donnée à cette question on pourra savoir si
l'Allemagne sera en mesure d'effectuer ses
paiements en faisant appel au stock cou-
rant des devises de la Reichsbank ou bien
s'il lui faudra recourir pour partie à des
opérations de crédit.
A côté des paiements de 700 millions de
marks-or pour 1922, il y a les frais d'entre-
tien de l'armée d'occupation. On s'en sou-
vient, on avait parlé d'une réduction de ces
frais à 240 millions de marks-or (12 mil-
lions de livres) pour le cas où l'Allemagne
exécuterait ses obligations de désarme-
ment. Or, l'Allemagne a exécuté ces obli-
gations, Reste à savoir si les frais
d'occupation de 240.000.000 de marks-or
doivent être payés en espèces avec les
700 millions de marks-or au cours de
l'année 1922 ou bien si l'Entente ac-
cepte les paiements en nature ou en espè-
ces déjà faits ou à faire. On.sait que de no-
vempre 1918 à mai 1921, l'Allemagne a fait
des avances qui n'ont pas été inscrites au
compte des réparations, mais ont été consi-
dérées comme des cautionnements pour le
paiement des frais d'occupation. La consé-
quence logique de ce point de vue serait
que les états de l'Entente ne demandent pas
de paiements en espèces pour les frais d'oc-
cupation tant que les avances de l'Allema-
gne suffisent à les couvrir.
A côté de la question des paiements en
espèces, on réglera aussi à Cannes la ques-
tion des paiements en nature. Il s'agit par-
ticulièrement en l'occurence de l'accord de
Wiesbaden sur les prestations en nature
conclu entre l'Allemagne et la France et
que l'Angleterre n'a pas encore reconnu,
comme on le sait, parce que le gouverne-
ment britannique y voit un dommage affec-
tant la créance des autres Etats de l'En-
tente en compensation de l'avantage de la
France. Maintenant, l'Angleterre se déclare
prête à reconnaître l'accord pour 3 ans à
condition que la France reçoive au maxi-
mum 1.250 millions de marks-or en presta-
tions pour cette année et 1.600 millions de
marks-or pour les années prochaines.
D'après l'accord de Wiesbaden, la France
pouvait prétendre à 2 milliards de marks-
or en prestations. Il est bon de ne pas ou-
blier que l'accord de Wiesbaden n'a pas
fixé de contingents déterminés pour les
prestations à accorder à la France, mais
n'a fait que donner une option au gouver-
nement français.
Les concessions que l'on a esquissées en
faveur de l'Allemagne seront soumises à
l'acceptation de conditions déterminées sur
lesquelles on n'a encore aucune donnée
exacte mais simplement des allusions.
Si l'Entente pose cette condition que l'Al-
lemagne mette de l'ordre dans son budget,
non seulement dans les chapitres des ré-
gies, mais dans l'ensemble des comptes, on
ne peut qu'approuver. Les exigences de
l'Entente coïncident là avec les intentions du
gouvernement allemand. La première con-
dition pour mettre l'ordre dans le budget
c'est de consolider l'économie allemande et
la. devise allemande, c'est-à-dire, avant tout,
stabiliser le change. Il ne suffit pas que
l'Entente nous impose des conditions sem-
blables, elle doit encore nous permettre de
les remplir en traitant la question des ré-
parations d'après des principes raisonna-
bles.
Le seconde exigence : la réduction de
l'inflation monétaire, depend principalement
de l'équilibre du budget. Le stock moné-
taire se réduit de lui-même, ou du moins
il reste stable, si le budget est en ordre. Il
s'agit là d'une répercussion du déficit et
non pas d'une politique arbitraire.
L'inflation ne dépend pas seulement du
budget du Reich, mais encore des besoins
du trafic. Plus les prix montent en Alle-
magne, plus le besoin de moyens de règle-
ment est grand. Ceci est important étant
donné que certaines exigences de l'Entente
doivent agir dans le sens d'une hausse sur
les prix du marché intérieur allemand. —
Dr. Félix Pinner.
BERLINER TAGEBLATT, 10.1. matin.
— Sans s'abandonner à un trop grand
optimisme on peut déduire du premier ré-
sultat auquel ont abouti les négociations de
Cannes, que, dans le domaine des répara-
tions, les Alliés ont la volonté de préciser
leur attitude. On ne sait pas encore quels
seront, pour 1922, les paiements à effectuer
en espèces et ceux à effectuer en nature et
quellie atténuation sera apportée au projet de
paiement de Londres. Mais le fait que l'on
siOIIlge à diminuer les charges imposées à
l'Allemagne prouve qu'il n'est plus question
de la légende de la fantastique richesse in-
dustrielle de l'Allemagne, de celle des im-
pôts énormes qu'elle peut exiger et de sa
solvabilité. Il semble que l'on cherche à se
rendre plus exactement compte qu'aupara-
vant de la capacité de paiement de l'Alle-
magne.
Quel que soit le résultat de la Conférence,
l'Allemagne se trouvera placée devant une
nouvelle tâche de politique intérieure. Il
s'agit de pourvoir aux réparations au
moyen d'une réorganisation fiscale.
Le Gouvernement se heurte à ce sujet à
des difficultés politiques et techniques,
d'autant plus qu'il n'y a pas véritablement
de directeur des finances. Le portefeuille si
important des finances n'est toujours pas
attribué. Mais tout le travail fiscal auquel
se livrera l'Allemagne ne pourra aboutir à
un résultat que si les décisions de Cannes
ramènent les réparations à effectuer par
DES
APFAIRES ÉTRANGÈRES
N°1951
Jeudi 12 janvier 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère ",
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement, sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PUESSE ALLEMANDE. — Les réparations
(Dr Félix Piiiiiior dans Berliner Tage-
blatt ; Deutsche Allgemeine Zeitung ;
Dernbm g dans Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les secours à .a Rus-
sie (New York Tribune). — La recons-
truction européenne (New York Times).
PRESSE ANGLAISE. — Le projet de pacte
franco-britannique (Times, Daily Chro-
nicle, Daily Express, Manchester Guar-
dian, Morning Post).
PnESSE ITALIENNE. — L'Italie à la Conférence
de Cannes : les réparations (Marcello
i Prati dans Stampa) ; le projet de pacte
franco-britannique (Mario Borsa dans
Secolo). — M. Lloyd George et le mar-
quis Della Torretta (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE CANNES
«(;£8 REPARATIONS. — Sous le titre :
L I{OJET DE DÉLAI ET CONDITIONS DU DÉLAI )). —
Le pnseil Suprême n'a pas encore pris de
Ir} {aSlon définitive au sujet du délai de paie-
rrie^t à accorder à l'Allemagne. Mais les
f s llVelles non officielles provenant des
S0lJrces les plus diverses au sujet du délai
(ie Palement se ressemblent tellement que
ronclu,Peut d'ores et déjà tirer certaines con-
!°n's Presque certaines au sujet du com-
pr0rls- En effet, comme pour toutes les dé-
elllOns de l'Entente, il s'agit cette fois
enc^e d'un compromis. Le projet anglais
III ait. on le sait, à faire payer par l'Alle-
e, au cours de l'année 1922, 500 mil-
de marks-or seulement. La France et
Pert elglque firent déclarer par leurs ex-
perj,s c|iUe l'Allemagne pouvait payer un mil-
liar(j
liard ) de marks-or pour la même période.
A.ctu ei, ^ent, on semble s'être entendu sur
IIédu Iffre - de 700 millions. C'est une notable
lon sur l'ultimatum du mois de mai
qui Y, a i tles annuités à deux milliards de
rri^rkSù°r par an. Naturellement, il im-
Porte beaucoup de savoir comment le paie-
ïrient rtes 700 millions de marks-or sera ré-
Parti SUr l'année 1922. D'après la réponse
donnée à cette question on pourra savoir si
l'Allemagne sera en mesure d'effectuer ses
paiements en faisant appel au stock cou-
rant des devises de la Reichsbank ou bien
s'il lui faudra recourir pour partie à des
opérations de crédit.
A côté des paiements de 700 millions de
marks-or pour 1922, il y a les frais d'entre-
tien de l'armée d'occupation. On s'en sou-
vient, on avait parlé d'une réduction de ces
frais à 240 millions de marks-or (12 mil-
lions de livres) pour le cas où l'Allemagne
exécuterait ses obligations de désarme-
ment. Or, l'Allemagne a exécuté ces obli-
gations, Reste à savoir si les frais
d'occupation de 240.000.000 de marks-or
doivent être payés en espèces avec les
700 millions de marks-or au cours de
l'année 1922 ou bien si l'Entente ac-
cepte les paiements en nature ou en espè-
ces déjà faits ou à faire. On.sait que de no-
vempre 1918 à mai 1921, l'Allemagne a fait
des avances qui n'ont pas été inscrites au
compte des réparations, mais ont été consi-
dérées comme des cautionnements pour le
paiement des frais d'occupation. La consé-
quence logique de ce point de vue serait
que les états de l'Entente ne demandent pas
de paiements en espèces pour les frais d'oc-
cupation tant que les avances de l'Allema-
gne suffisent à les couvrir.
A côté de la question des paiements en
espèces, on réglera aussi à Cannes la ques-
tion des paiements en nature. Il s'agit par-
ticulièrement en l'occurence de l'accord de
Wiesbaden sur les prestations en nature
conclu entre l'Allemagne et la France et
que l'Angleterre n'a pas encore reconnu,
comme on le sait, parce que le gouverne-
ment britannique y voit un dommage affec-
tant la créance des autres Etats de l'En-
tente en compensation de l'avantage de la
France. Maintenant, l'Angleterre se déclare
prête à reconnaître l'accord pour 3 ans à
condition que la France reçoive au maxi-
mum 1.250 millions de marks-or en presta-
tions pour cette année et 1.600 millions de
marks-or pour les années prochaines.
D'après l'accord de Wiesbaden, la France
pouvait prétendre à 2 milliards de marks-
or en prestations. Il est bon de ne pas ou-
blier que l'accord de Wiesbaden n'a pas
fixé de contingents déterminés pour les
prestations à accorder à la France, mais
n'a fait que donner une option au gouver-
nement français.
Les concessions que l'on a esquissées en
faveur de l'Allemagne seront soumises à
l'acceptation de conditions déterminées sur
lesquelles on n'a encore aucune donnée
exacte mais simplement des allusions.
Si l'Entente pose cette condition que l'Al-
lemagne mette de l'ordre dans son budget,
non seulement dans les chapitres des ré-
gies, mais dans l'ensemble des comptes, on
ne peut qu'approuver. Les exigences de
l'Entente coïncident là avec les intentions du
gouvernement allemand. La première con-
dition pour mettre l'ordre dans le budget
c'est de consolider l'économie allemande et
la. devise allemande, c'est-à-dire, avant tout,
stabiliser le change. Il ne suffit pas que
l'Entente nous impose des conditions sem-
blables, elle doit encore nous permettre de
les remplir en traitant la question des ré-
parations d'après des principes raisonna-
bles.
Le seconde exigence : la réduction de
l'inflation monétaire, depend principalement
de l'équilibre du budget. Le stock moné-
taire se réduit de lui-même, ou du moins
il reste stable, si le budget est en ordre. Il
s'agit là d'une répercussion du déficit et
non pas d'une politique arbitraire.
L'inflation ne dépend pas seulement du
budget du Reich, mais encore des besoins
du trafic. Plus les prix montent en Alle-
magne, plus le besoin de moyens de règle-
ment est grand. Ceci est important étant
donné que certaines exigences de l'Entente
doivent agir dans le sens d'une hausse sur
les prix du marché intérieur allemand. —
Dr. Félix Pinner.
BERLINER TAGEBLATT, 10.1. matin.
— Sans s'abandonner à un trop grand
optimisme on peut déduire du premier ré-
sultat auquel ont abouti les négociations de
Cannes, que, dans le domaine des répara-
tions, les Alliés ont la volonté de préciser
leur attitude. On ne sait pas encore quels
seront, pour 1922, les paiements à effectuer
en espèces et ceux à effectuer en nature et
quellie atténuation sera apportée au projet de
paiement de Londres. Mais le fait que l'on
siOIIlge à diminuer les charges imposées à
l'Allemagne prouve qu'il n'est plus question
de la légende de la fantastique richesse in-
dustrielle de l'Allemagne, de celle des im-
pôts énormes qu'elle peut exiger et de sa
solvabilité. Il semble que l'on cherche à se
rendre plus exactement compte qu'aupara-
vant de la capacité de paiement de l'Alle-
magne.
Quel que soit le résultat de la Conférence,
l'Allemagne se trouvera placée devant une
nouvelle tâche de politique intérieure. Il
s'agit de pourvoir aux réparations au
moyen d'une réorganisation fiscale.
Le Gouvernement se heurte à ce sujet à
des difficultés politiques et techniques,
d'autant plus qu'il n'y a pas véritablement
de directeur des finances. Le portefeuille si
important des finances n'est toujours pas
attribué. Mais tout le travail fiscal auquel
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