Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-12-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 31 décembre 1920 31 décembre 1920
Description : 1920/12/31 (T16,N1639). 1920/12/31 (T16,N1639).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62154264
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES 1
DES
Maires étrangères
ET DE LA GUERRE
1 N° 1639
Vendredi 31 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception dss passages imprimés en italique, qui sont den
resumes. il est donne ci-dessous des traductions, intégra'es ou par extrai *
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. 1
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'exécution du Traité
de Versailles : les clauses favorables à
l'Allemagne (Hamburger Nachrichten) ;
le désarmement (Deutsche Allgemeine
Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'indépendance des
Philippines (Chicago Daily Tribune). —
Les Etats-Unis et le désarmement : l'at-
titude du Japon (New York Times,
World). — Les entreprises américaines
au Canada (Commercial and Financial
Chronicle).
PRESSE ANGLAISE. — Les Etats-Unis et le dé-
sarmement (Daily News, Daily Chronr
cle, Times, Morning Post). — Le chô-
mage en Grande-Bretagne (Daily Ex-
press). — Le Congrès du Labour Party
(Times, Morning Post, Daily Chronicle,
Daily News).
PRESSE ESPAGNOLE. — La politique extérieure
de l'Espagne : vers la France ou vers
l'Angleterre (Correspondencia Militar).
PRESSE ITALIENNE. — D'Annunzio à Fiume
(Secolo). — La France et le Monténé-
gro (Tribuna, Gazzetta del Popolo).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
L'EXECUTION DU TRAITE DE VER-
SAILLES. — LES CLAUSES FAVORABLES A
L'ALLEMAGNE. — Le traité de Versailles a
été signé aussi bien par les ennemis que
Par l'Allemagne. Les ennemis sont donc
liés, eux aussi, à ce traité. C'est de
1e':1r part une déloyauté extrême de violer
sciemment ce traité — qui leur assure
des avantages si considérables — dans
les clauses qui accordent quelques droits
a l'Allemagne. Or, leur manière d'agir de-
"Puis le 10 janvier n'est qu'une chaîne inin-
terrompue de violations éhontées du trai-
e. Si les gouvernements allemands conti-
nent à ne pas se défendre contre ces pro-
cédés, mais à tout supporter patiemment,
n'opposant aux prétentions des adversai-
6s que d'humbles suppliques, les enne-
mis augmenteront alors encore ces pré-
tentions et la chaîne des violations du
traité s'allongera encore jusqu'à ce qu'il
ne reste plus rien des quelques droits re-
connus à l'empire allemand. Aujourd'hui,
cette question se pose avec plus d'urgence
encore : Le traité de Versailles est-il, en
réalité, toujours valable ?
HAMBURGER NACHRICHTEN,
29.12 matin.
LE DÉSARMEMENT. — Nous affirmons que
le gouvernement d'empire, à cause préci-
sément des conséquences que la non-exé-
cution du traité de Versailles. pourrait
avoir, les délais d'occupation terminés,
sur les clauses concernant l'occupation,
fait loyalement tout son possible pour exé-
cuter, d'accord avec les Alliés, les clauses
du traité de Versailles qui ont trait au dé-
sarmement. Les efforts faits par le gouver-
nement allemand ont été reconnus à oi-
verses reprises par les Alliés et indirecte-
ment aussi par les déclarations du Prési-
dent du Conseil, M. Leygues sur la ma-
nière dont se poursuit ce désarmement.
La durée de l'occupation, plus longue
qu'il n'en- a jamais été stipulée dans aucun
traité antérieur, est en elle-même si pénible
déjà qu'on devrait s'abstenir, en France, d'ef
fraver la population rhénane si éprouvée
déjà, par des interprétations tout arbi-
traires du traité de paix.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
27.12. soir.
LA POLITIQUE ESPAGNOLE
VERS LA FRANCE OU VERS L'ANGLE.
TERRE. — En France, un groupe considé-
rable d'hommes politiques sont obsédés par
la crainte du relèvement futur de l Allema-
gne et voient des dangers de toutes parts.
L'Angleterre, délivrée de la concurrence
germanique tant sur mer qu'au point de
vue commercial, considère que l'Allemagne
est un élément nécessaire dans le concert
européen, et est résolue à faire passer ses
intérêts économiques avant toutes autres
considérations, quant à un péril qui pour
elle est dépourvu d'importance.
Au sujet du problème russe, de la ques-
tion d'Orient, de l'hégémonie dans la Mé-
diterranée et des affaires d'Asie Mineure, il
n'y a pas d'accord possible entre la France
et l'Angleterre, parce que ces deux pays
voient tous ces problèmes à des points de
vue complètement distincts.
Il faut partir de cette idée que l'histoire
se répète et que les conséquences inévita-
bles de ces désaccords internationaux se
feront bientôt sentir.
Pour nous, cette question est passable-
ment grave. Dans un article récent nous
avons rappelé à nos lecteurs que pendant
quatre siècles,nos guerres nous ont toujours
mis du côté de la France contre l'Angle-
terre ou du côté des Anglais contre nos
voisins de l'autre versant des Pyrénées. Il
y a eu aussi quelques cas où nous dûmes
nous battre contre ces deux peuples réunis ;
mais cela constitue une exception.
Le dilemme se présentera donc pour
nous à une date qui n'est pas lointaine : il
s'agira de nous décider soit pour l'un, soit
pour l'autre, attendu que leur désaccord
rendra impossible que nous restions en
bonne intelligence avec les deux.
Les relations commerciales hispano-
françaises, notre voisinage en Europe et
en Afrique, l'échange de nos produits et
mille autres raisons nous conseillent de
faire abstraction de nos inquiétudes histo-
riques et que rien ne trouble notre amitié
envers la France ; mais la conduite de ce
pays n'a pas été avec nous aussi loyale
qu'il aurait été désirable et ce qui arrive à
Tanger démontre qu'on ne nous accorde
pas ce qui nous revient, d'indiscutable
droit.
De l'égoïsme britannique, ne parlons
pas ; mais ils sont les maîtres de la mer:
les côtes et les navires espagnols sont au-
jourd'hui à la merci de la reine de l'Océan
et, plus que jamais, il convient de rappe-
ler l'antique dicton « En guerre avec tout
le monde, et en paix avec l'Angleterre ».
Notre ligne de politique extérieure n'est.
par conséquent, pas facile à suivre et les
hommes d'Etat espagnols doivent s'y pré-
parer.
- Leur action sera d'autant plus efficace
que nous pourrons disposer d'une force
plus considérable pour prêter notre appui
à l'un ou à l'autre. Si nous parvenions en-
fin à avoir une armée et une flotte propor-
tionnées à nos moyens, mais en parfait
état, on coterait sur la Bourse interna-
tionale l'amitié espagnole à de plus hauts
cours et nous pourrions peut-être rester
les amis de tout le monde, parce que per-
sonne ne voudrait laisser à son adversaire,
l'avantage de nous avoir à ses côtés.
Tant que cela n'arrivera pas, ne nous
faisons pas d'illusions : nous continuerons
d'être les jouets de ceux qui dirigent à
leur gré la politique et nous irons où ils
nous mèneront.
On ne doit pas non plus oublier que les
chemins de fer africains ont leur ramifi-
cation naturelle avec ceux d'Europe à tra-
vers notre territoire. Cette circonstance
rendra chaque jour plus difficile pour nous
une attitude d'abstention dans les conflits
qui pourront surgir.
Plus que jamais, nous avons donc be-
soin de n'être à l'absolue merci du caprice
de personne et il faut que tous, dans leurs
calculs, comptent que l'intimitié dlfi l'Espa-
gne serait contraire à leurs intérêts.
CORRESPONDENCIA MILITAR
28.12.
LA QUESTION ADRIATIQUE
D'ANNUNZIO A FIUME. — Les mes-
sages venus de Fiume célèbrent les actions
d'éclat des légionnaires.
Ceci ne serait encore rien. Mais ils insul-
tent les soldats de l'armée nationale et dé-
peignent leurs troupes comme des hordes
de mercenaires avinés. , t
Voilà. Les Alpins ne sont plus ces valeu 'j
reux admirés par Gabriele d'Annunzio que
marchaient, intrépides, à la conquête des
Alpes : ce ne sont que des: bandes que le
général Caviglia pousse en avant « après
d'abondantes libations et en leur promet-
tant de l'argent ». Dans un bulletin d'An-
nunzio que toute la presse a eu la pudeur
de ne pas reproduire, on' parle avec une sa-
tisfaction fanfaronne d alpins capturés ivres
sur la ligne de combat et traînés pour qu'on
vît leur ivresse à travers les quartiers de
Fiume. Et les soldats des autres armes,
selon le commandement des rebelles, ne
méritent pas un meilleur traitement car
DES
Maires étrangères
ET DE LA GUERRE
1 N° 1639
Vendredi 31 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception dss passages imprimés en italique, qui sont den
resumes. il est donne ci-dessous des traductions, intégra'es ou par extrai *
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. 1
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'exécution du Traité
de Versailles : les clauses favorables à
l'Allemagne (Hamburger Nachrichten) ;
le désarmement (Deutsche Allgemeine
Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'indépendance des
Philippines (Chicago Daily Tribune). —
Les Etats-Unis et le désarmement : l'at-
titude du Japon (New York Times,
World). — Les entreprises américaines
au Canada (Commercial and Financial
Chronicle).
PRESSE ANGLAISE. — Les Etats-Unis et le dé-
sarmement (Daily News, Daily Chronr
cle, Times, Morning Post). — Le chô-
mage en Grande-Bretagne (Daily Ex-
press). — Le Congrès du Labour Party
(Times, Morning Post, Daily Chronicle,
Daily News).
PRESSE ESPAGNOLE. — La politique extérieure
de l'Espagne : vers la France ou vers
l'Angleterre (Correspondencia Militar).
PRESSE ITALIENNE. — D'Annunzio à Fiume
(Secolo). — La France et le Monténé-
gro (Tribuna, Gazzetta del Popolo).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
L'EXECUTION DU TRAITE DE VER-
SAILLES. — LES CLAUSES FAVORABLES A
L'ALLEMAGNE. — Le traité de Versailles a
été signé aussi bien par les ennemis que
Par l'Allemagne. Les ennemis sont donc
liés, eux aussi, à ce traité. C'est de
1e':1r part une déloyauté extrême de violer
sciemment ce traité — qui leur assure
des avantages si considérables — dans
les clauses qui accordent quelques droits
a l'Allemagne. Or, leur manière d'agir de-
"Puis le 10 janvier n'est qu'une chaîne inin-
terrompue de violations éhontées du trai-
e. Si les gouvernements allemands conti-
nent à ne pas se défendre contre ces pro-
cédés, mais à tout supporter patiemment,
n'opposant aux prétentions des adversai-
6s que d'humbles suppliques, les enne-
mis augmenteront alors encore ces pré-
tentions et la chaîne des violations du
traité s'allongera encore jusqu'à ce qu'il
ne reste plus rien des quelques droits re-
connus à l'empire allemand. Aujourd'hui,
cette question se pose avec plus d'urgence
encore : Le traité de Versailles est-il, en
réalité, toujours valable ?
HAMBURGER NACHRICHTEN,
29.12 matin.
LE DÉSARMEMENT. — Nous affirmons que
le gouvernement d'empire, à cause préci-
sément des conséquences que la non-exé-
cution du traité de Versailles. pourrait
avoir, les délais d'occupation terminés,
sur les clauses concernant l'occupation,
fait loyalement tout son possible pour exé-
cuter, d'accord avec les Alliés, les clauses
du traité de Versailles qui ont trait au dé-
sarmement. Les efforts faits par le gouver-
nement allemand ont été reconnus à oi-
verses reprises par les Alliés et indirecte-
ment aussi par les déclarations du Prési-
dent du Conseil, M. Leygues sur la ma-
nière dont se poursuit ce désarmement.
La durée de l'occupation, plus longue
qu'il n'en- a jamais été stipulée dans aucun
traité antérieur, est en elle-même si pénible
déjà qu'on devrait s'abstenir, en France, d'ef
fraver la population rhénane si éprouvée
déjà, par des interprétations tout arbi-
traires du traité de paix.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
27.12. soir.
LA POLITIQUE ESPAGNOLE
VERS LA FRANCE OU VERS L'ANGLE.
TERRE. — En France, un groupe considé-
rable d'hommes politiques sont obsédés par
la crainte du relèvement futur de l Allema-
gne et voient des dangers de toutes parts.
L'Angleterre, délivrée de la concurrence
germanique tant sur mer qu'au point de
vue commercial, considère que l'Allemagne
est un élément nécessaire dans le concert
européen, et est résolue à faire passer ses
intérêts économiques avant toutes autres
considérations, quant à un péril qui pour
elle est dépourvu d'importance.
Au sujet du problème russe, de la ques-
tion d'Orient, de l'hégémonie dans la Mé-
diterranée et des affaires d'Asie Mineure, il
n'y a pas d'accord possible entre la France
et l'Angleterre, parce que ces deux pays
voient tous ces problèmes à des points de
vue complètement distincts.
Il faut partir de cette idée que l'histoire
se répète et que les conséquences inévita-
bles de ces désaccords internationaux se
feront bientôt sentir.
Pour nous, cette question est passable-
ment grave. Dans un article récent nous
avons rappelé à nos lecteurs que pendant
quatre siècles,nos guerres nous ont toujours
mis du côté de la France contre l'Angle-
terre ou du côté des Anglais contre nos
voisins de l'autre versant des Pyrénées. Il
y a eu aussi quelques cas où nous dûmes
nous battre contre ces deux peuples réunis ;
mais cela constitue une exception.
Le dilemme se présentera donc pour
nous à une date qui n'est pas lointaine : il
s'agira de nous décider soit pour l'un, soit
pour l'autre, attendu que leur désaccord
rendra impossible que nous restions en
bonne intelligence avec les deux.
Les relations commerciales hispano-
françaises, notre voisinage en Europe et
en Afrique, l'échange de nos produits et
mille autres raisons nous conseillent de
faire abstraction de nos inquiétudes histo-
riques et que rien ne trouble notre amitié
envers la France ; mais la conduite de ce
pays n'a pas été avec nous aussi loyale
qu'il aurait été désirable et ce qui arrive à
Tanger démontre qu'on ne nous accorde
pas ce qui nous revient, d'indiscutable
droit.
De l'égoïsme britannique, ne parlons
pas ; mais ils sont les maîtres de la mer:
les côtes et les navires espagnols sont au-
jourd'hui à la merci de la reine de l'Océan
et, plus que jamais, il convient de rappe-
ler l'antique dicton « En guerre avec tout
le monde, et en paix avec l'Angleterre ».
Notre ligne de politique extérieure n'est.
par conséquent, pas facile à suivre et les
hommes d'Etat espagnols doivent s'y pré-
parer.
- Leur action sera d'autant plus efficace
que nous pourrons disposer d'une force
plus considérable pour prêter notre appui
à l'un ou à l'autre. Si nous parvenions en-
fin à avoir une armée et une flotte propor-
tionnées à nos moyens, mais en parfait
état, on coterait sur la Bourse interna-
tionale l'amitié espagnole à de plus hauts
cours et nous pourrions peut-être rester
les amis de tout le monde, parce que per-
sonne ne voudrait laisser à son adversaire,
l'avantage de nous avoir à ses côtés.
Tant que cela n'arrivera pas, ne nous
faisons pas d'illusions : nous continuerons
d'être les jouets de ceux qui dirigent à
leur gré la politique et nous irons où ils
nous mèneront.
On ne doit pas non plus oublier que les
chemins de fer africains ont leur ramifi-
cation naturelle avec ceux d'Europe à tra-
vers notre territoire. Cette circonstance
rendra chaque jour plus difficile pour nous
une attitude d'abstention dans les conflits
qui pourront surgir.
Plus que jamais, nous avons donc be-
soin de n'être à l'absolue merci du caprice
de personne et il faut que tous, dans leurs
calculs, comptent que l'intimitié dlfi l'Espa-
gne serait contraire à leurs intérêts.
CORRESPONDENCIA MILITAR
28.12.
LA QUESTION ADRIATIQUE
D'ANNUNZIO A FIUME. — Les mes-
sages venus de Fiume célèbrent les actions
d'éclat des légionnaires.
Ceci ne serait encore rien. Mais ils insul-
tent les soldats de l'armée nationale et dé-
peignent leurs troupes comme des hordes
de mercenaires avinés. , t
Voilà. Les Alpins ne sont plus ces valeu 'j
reux admirés par Gabriele d'Annunzio que
marchaient, intrépides, à la conquête des
Alpes : ce ne sont que des: bandes que le
général Caviglia pousse en avant « après
d'abondantes libations et en leur promet-
tant de l'argent ». Dans un bulletin d'An-
nunzio que toute la presse a eu la pudeur
de ne pas reproduire, on' parle avec une sa-
tisfaction fanfaronne d alpins capturés ivres
sur la ligne de combat et traînés pour qu'on
vît leur ivresse à travers les quartiers de
Fiume. Et les soldats des autres armes,
selon le commandement des rebelles, ne
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