Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-12-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 décembre 1920 30 décembre 1920
Description : 1920/12/30 (T16,N1638). 1920/12/30 (T16,N1638).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215425q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
AFFAIRES ÉTRANGERES
- ET DE LA GUERRE
t.
1 le 1 N° 1638
Jeudi 30 décembre 1920
, Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — France et Allemagne
(Frankfurter Zeitung, Koelnische Zei-
tung). — La conférence technique de
Bruxelles (Neue Badische Landes zei-
tung).>" - L'Entente et les Etats Balti-
ques (Deutsche Allgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et le
désarmement (Boston Herald).
PRESSE ANGLAISE. — Le désarmement de
l'Allemagne (Times). — Le siège, de
Fiume (Morning Post).
PRESSE AUTRICHIENNE. — Le rattachement
de l'Autriche à l'Allemagne : déclara-
tions du Dr Hainisch, président de la
République autrichienne (Neue Freie
Presse).
PRESSE ITALIENNE. - Le siège de Fiume
(Corriere della Sera, Stampa, Corriere
d'Italia, Secola, Tribuna, Epoca, Po-
polo d'Italia. ldea Nazionale).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
FRANCE ET ALLEMAGNE. — Dans
son article [à la Frankfurter Zeitung. —
Voir Bulletin Périodique de la Presse Alle-
mande n° 184], le Dr Simons, ministre des
Affaires Etrangères, a fait de la situa-
tion mondiale la peinture très sombre qui
s'imposait. Il a fort justement fait remar-
quer que les espérances qu'il pouvait enre-
gistrer n'étaient que de toutes petites bou-
gies de Noël. - Lorsqu'il écrivit son ar-
ticle, le Dr. Simons ne connaissait pas en-
core ce qui s'était passé à la Chambre fran-
çaIse. Ces événements ne changent pres-
que rien aux critiques que la politique fran-
çaise a provoquées non seulement chez
nous mais chez les amis même de la
France et chez les neutres. Nous entendons
'des discours qui pourraient être tenus en
pleine guerre. A en croire l'ancien minis-
re de la Guerre Lefèvre, une nouvelle
guerre serait imminente. Il est vrai que
âet Il alarmiste » n'a pas gagné la majorité
, 6 da Chambre à son effroyable pessimisme.
d a même donné l'occasion au Président
dji Conseil, M. Leygues, de prononcer un
discours rassurant pour lequel on a réclamé
J'»fft.a§e- Malheureusement, les effets de
la POhhquede Lefèvre et de ses partisans
ne s'en trouvent pas annihilés. Ce qui doit
décider de l'avenir des relations franco-
allemandes, ce n'est pas la réalité, ce sont
les chimères de certains politiciens fran-
çais. Depuis des mois, on pouvait remar-
quer que certains groupes de personna-
lités raisonnables et influentes cherchaient
à Guérir le peuple français de cette idée
morbide que l'Allemagne pouvait être con-
trainte à faire tout ce que l'on exigerait
d'elle, et qu'il suffisait de remuer son sa-
bre.
C'était là une politique d'outrecuidance à
laquelle manquait toute notion de réalité.
Aujourd'hui, alors que l'on commençait à
se faire une idée plus nette de la réalité,
les « politiciens de la peur » — on ne peut
les appeler autrement — compliquent de
nouveau les choses. On ne peut encore se
rendre nettement compte si les récents dé-
bats à la Chambre ont consolidé ou affaibli
le ministère Leygues. Si l'opposition prend
le dessus, il peut être renversé à la moin-
dre occasion, mais cela prouverait que la
Chambre française actuelle, sortie des élec-
tions de la victoire, n'est pas capable d'a-
voir une politique mesurée et réfléchie.
FRANKFURTER ZEITUNG, 27.12 soir.
L'opinion publique en France est trou-
blée, sans, direction et sans but défini. Com-
me une masse de nuages informes, elle
erre de ci de là. Pas une main puissante,
pas une forte tète qui s'impose. L'incerti-
tude l'ambiguïté, le flottement entre la fic-
tion et la réalité, entre vouloir et pouvoir,
telles sont, pour le malheur de la paix et
de l'assainissement de l'Europe, les carac-
téristiques de la politique française ac-
titelle.
Combien de temps cet état de choses doit-
il encore durer ? Le 9 janvier ont lieu les
élections pour le renouvellement d'un tiers
du Sénat. Maintes personnes en attendent
un éclaircissement de la situation coïnci-
dant avec la chute du Cabinet actuel et un
mouvement vers la gauche.
Ce mouvement à gauche ne suffirait d'ail-
leurs pas à délivrer la politique étrangère,
notamment en ce qui concerne les rela-
tions franco-allemandes, de l'emprise du
bloc national. Des hommes comme Mille-
rand Berthelot, Seydoux, ont montré de la
bonne volonté et tenu compte de la capacité
de l'Allemagne dans la question des répara-
tions, aussitôt, des journaux influents et le
Parlement se sont efforcés de battre en
brèche leurs intentions.
Le départ du ministre de la Guerre Lefè-
vre, qui incarnait le chauvinisme au banc
du Gouvernement, ne doit pas lui-même
nous faire espérer un changement de la si-
tuation. Il recevait les applaudissements
frénétiques de la majorité de la Chambre,
avec ses soupçons contre l'Allemagne, en
agitant le spectre de la revanche alleman-
de. A nous autres Allemands, comme d'ail-
leurs à tout étranger sensé, le peuple fran-
çais semble ridicule ou absurde, ou lors-
qu'il témoigne encore son angoisse du mili-
tarisme alemand 700 à 800.000 soldats fran-
çais avec un matériel extraordinairement
supérieur, s'opposent à 100.000 Allemands.
Les Français ont, en outre, l'alliance belge
et nous leur avons livré un nombre fantas-
tique de canons et d'armes, ils occupent
nos têtes de ponts et notre hinterland.
KOELNISCHE ZEITUNG, 28.12 soir.
LA CONFERENCE TECHNIQUE DE
BRUXELLES. — De bonnes nouvelles
nous arrivent de la conférence, pour les
fêtes. D'après les rapports allemands, nos
représentants sont traités tout autrement
qu'à Spa et les méthodes de négociation
sont aussi toutes différentes. Les informa-
tions officieuses de l'Entente font égale-
ment entrevoir la possibilité d'arriver à un
résultat pratique. On entend exprimer fré-
quemment cette impression que le temps
travaille aussi pour nous, que la haine
s'apaise peu à peu, si bien que les délégués
des puissances à Bruxelles ne s'opposent
plus comme des ennemis mais collaborent
dans un travail commun.
L'Entente comprend qu'il est de son pro-
pre intérêt de faire quelques concessions à
l'Allemagne, concessions non pas dans
l'intérêt du débiteur mais dans l'intérêt du
créancier. Ceci s'applique surtout dans la
question du commerce extérieur.
Si l'on ne laisse pas à l'Allemagne la
possibilité de réaliser des gains importants
dans son commerce extérieur, notre ba-
lance des comptes ne peut pas s'améliorer
et nous ne pouvons pas payer les répara-
tions. Trois conditions sont principalement
nécessaires : restitution d'une partie de
notre flotte marchande, restitution de la
propriété allemande confisquée, concession
du traitement de la nation la plus favorisée.
Jusqu'ici les délégués manifestent une cer-
taine inclination à souscrire à quelques-uns
de nos desiderata.
NEUE BADISCHE LANDESZEITUNG,
27.12 soir.
LE DÉSARMEMENT DE L'ALLEMAGNE. — A-t-elle
désarmé ? Désarme-t-elle ou arme-t-elle
sournoisement, tandis qu'elle proteste de
sa bonne foi ? Pour le moment, il n'est
point possible d'obtenir une réponse satis-
faisante, et tant que nous n'aurons point
d'autres renseignements, la question du
désarmement général ne pourra être exa-
minée. La décision de la Conférence des
ambassadeurs et le récent débat à la Cham-
bre française prouvent pourtant que ces
questions sont particulièrement importan-
tes. Le refus opposé par les Allemands aux
réclamations des alliés a un tel caractère
de gravité que les ambassadeurs ont décidé
de soumettre la question à leur gouverne-
ment et en même temps, ils ont demandé à
la Commission militaire interalliée de Ver-
sailles un rapport sur le désarmement de
l'Allemagne.
Nous avons déjà signalé le danger d'une
politique complaisante ; d'Allemagne de-
vient, en effet, de plus en plus arrogante,
« le ton monte », disait M. André Lefèvre,
l'autre jour et, si les ambassadeurs ont dû
prendre une décision, c'est que le ton est
devenu probablemnet insupportable.
L'Allemagne, aujourd'hui encore, se sert
de la politique du « bluff », et il ne faut
DES
AFFAIRES ÉTRANGERES
- ET DE LA GUERRE
t.
1 le 1 N° 1638
Jeudi 30 décembre 1920
, Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — France et Allemagne
(Frankfurter Zeitung, Koelnische Zei-
tung). — La conférence technique de
Bruxelles (Neue Badische Landes zei-
tung).>" - L'Entente et les Etats Balti-
ques (Deutsche Allgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et le
désarmement (Boston Herald).
PRESSE ANGLAISE. — Le désarmement de
l'Allemagne (Times). — Le siège, de
Fiume (Morning Post).
PRESSE AUTRICHIENNE. — Le rattachement
de l'Autriche à l'Allemagne : déclara-
tions du Dr Hainisch, président de la
République autrichienne (Neue Freie
Presse).
PRESSE ITALIENNE. - Le siège de Fiume
(Corriere della Sera, Stampa, Corriere
d'Italia, Secola, Tribuna, Epoca, Po-
polo d'Italia. ldea Nazionale).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
FRANCE ET ALLEMAGNE. — Dans
son article [à la Frankfurter Zeitung. —
Voir Bulletin Périodique de la Presse Alle-
mande n° 184], le Dr Simons, ministre des
Affaires Etrangères, a fait de la situa-
tion mondiale la peinture très sombre qui
s'imposait. Il a fort justement fait remar-
quer que les espérances qu'il pouvait enre-
gistrer n'étaient que de toutes petites bou-
gies de Noël. - Lorsqu'il écrivit son ar-
ticle, le Dr. Simons ne connaissait pas en-
core ce qui s'était passé à la Chambre fran-
çaIse. Ces événements ne changent pres-
que rien aux critiques que la politique fran-
çaise a provoquées non seulement chez
nous mais chez les amis même de la
France et chez les neutres. Nous entendons
'des discours qui pourraient être tenus en
pleine guerre. A en croire l'ancien minis-
re de la Guerre Lefèvre, une nouvelle
guerre serait imminente. Il est vrai que
âet Il alarmiste » n'a pas gagné la majorité
, 6 da Chambre à son effroyable pessimisme.
d a même donné l'occasion au Président
dji Conseil, M. Leygues, de prononcer un
discours rassurant pour lequel on a réclamé
J'»fft.a§e- Malheureusement, les effets de
la POhhquede Lefèvre et de ses partisans
ne s'en trouvent pas annihilés. Ce qui doit
décider de l'avenir des relations franco-
allemandes, ce n'est pas la réalité, ce sont
les chimères de certains politiciens fran-
çais. Depuis des mois, on pouvait remar-
quer que certains groupes de personna-
lités raisonnables et influentes cherchaient
à Guérir le peuple français de cette idée
morbide que l'Allemagne pouvait être con-
trainte à faire tout ce que l'on exigerait
d'elle, et qu'il suffisait de remuer son sa-
bre.
C'était là une politique d'outrecuidance à
laquelle manquait toute notion de réalité.
Aujourd'hui, alors que l'on commençait à
se faire une idée plus nette de la réalité,
les « politiciens de la peur » — on ne peut
les appeler autrement — compliquent de
nouveau les choses. On ne peut encore se
rendre nettement compte si les récents dé-
bats à la Chambre ont consolidé ou affaibli
le ministère Leygues. Si l'opposition prend
le dessus, il peut être renversé à la moin-
dre occasion, mais cela prouverait que la
Chambre française actuelle, sortie des élec-
tions de la victoire, n'est pas capable d'a-
voir une politique mesurée et réfléchie.
FRANKFURTER ZEITUNG, 27.12 soir.
L'opinion publique en France est trou-
blée, sans, direction et sans but défini. Com-
me une masse de nuages informes, elle
erre de ci de là. Pas une main puissante,
pas une forte tète qui s'impose. L'incerti-
tude l'ambiguïté, le flottement entre la fic-
tion et la réalité, entre vouloir et pouvoir,
telles sont, pour le malheur de la paix et
de l'assainissement de l'Europe, les carac-
téristiques de la politique française ac-
titelle.
Combien de temps cet état de choses doit-
il encore durer ? Le 9 janvier ont lieu les
élections pour le renouvellement d'un tiers
du Sénat. Maintes personnes en attendent
un éclaircissement de la situation coïnci-
dant avec la chute du Cabinet actuel et un
mouvement vers la gauche.
Ce mouvement à gauche ne suffirait d'ail-
leurs pas à délivrer la politique étrangère,
notamment en ce qui concerne les rela-
tions franco-allemandes, de l'emprise du
bloc national. Des hommes comme Mille-
rand Berthelot, Seydoux, ont montré de la
bonne volonté et tenu compte de la capacité
de l'Allemagne dans la question des répara-
tions, aussitôt, des journaux influents et le
Parlement se sont efforcés de battre en
brèche leurs intentions.
Le départ du ministre de la Guerre Lefè-
vre, qui incarnait le chauvinisme au banc
du Gouvernement, ne doit pas lui-même
nous faire espérer un changement de la si-
tuation. Il recevait les applaudissements
frénétiques de la majorité de la Chambre,
avec ses soupçons contre l'Allemagne, en
agitant le spectre de la revanche alleman-
de. A nous autres Allemands, comme d'ail-
leurs à tout étranger sensé, le peuple fran-
çais semble ridicule ou absurde, ou lors-
qu'il témoigne encore son angoisse du mili-
tarisme alemand 700 à 800.000 soldats fran-
çais avec un matériel extraordinairement
supérieur, s'opposent à 100.000 Allemands.
Les Français ont, en outre, l'alliance belge
et nous leur avons livré un nombre fantas-
tique de canons et d'armes, ils occupent
nos têtes de ponts et notre hinterland.
KOELNISCHE ZEITUNG, 28.12 soir.
LA CONFERENCE TECHNIQUE DE
BRUXELLES. — De bonnes nouvelles
nous arrivent de la conférence, pour les
fêtes. D'après les rapports allemands, nos
représentants sont traités tout autrement
qu'à Spa et les méthodes de négociation
sont aussi toutes différentes. Les informa-
tions officieuses de l'Entente font égale-
ment entrevoir la possibilité d'arriver à un
résultat pratique. On entend exprimer fré-
quemment cette impression que le temps
travaille aussi pour nous, que la haine
s'apaise peu à peu, si bien que les délégués
des puissances à Bruxelles ne s'opposent
plus comme des ennemis mais collaborent
dans un travail commun.
L'Entente comprend qu'il est de son pro-
pre intérêt de faire quelques concessions à
l'Allemagne, concessions non pas dans
l'intérêt du débiteur mais dans l'intérêt du
créancier. Ceci s'applique surtout dans la
question du commerce extérieur.
Si l'on ne laisse pas à l'Allemagne la
possibilité de réaliser des gains importants
dans son commerce extérieur, notre ba-
lance des comptes ne peut pas s'améliorer
et nous ne pouvons pas payer les répara-
tions. Trois conditions sont principalement
nécessaires : restitution d'une partie de
notre flotte marchande, restitution de la
propriété allemande confisquée, concession
du traitement de la nation la plus favorisée.
Jusqu'ici les délégués manifestent une cer-
taine inclination à souscrire à quelques-uns
de nos desiderata.
NEUE BADISCHE LANDESZEITUNG,
27.12 soir.
LE DÉSARMEMENT DE L'ALLEMAGNE. — A-t-elle
désarmé ? Désarme-t-elle ou arme-t-elle
sournoisement, tandis qu'elle proteste de
sa bonne foi ? Pour le moment, il n'est
point possible d'obtenir une réponse satis-
faisante, et tant que nous n'aurons point
d'autres renseignements, la question du
désarmement général ne pourra être exa-
minée. La décision de la Conférence des
ambassadeurs et le récent débat à la Cham-
bre française prouvent pourtant que ces
questions sont particulièrement importan-
tes. Le refus opposé par les Allemands aux
réclamations des alliés a un tel caractère
de gravité que les ambassadeurs ont décidé
de soumettre la question à leur gouverne-
ment et en même temps, ils ont demandé à
la Commission militaire interalliée de Ver-
sailles un rapport sur le désarmement de
l'Allemagne.
Nous avons déjà signalé le danger d'une
politique complaisante ; d'Allemagne de-
vient, en effet, de plus en plus arrogante,
« le ton monte », disait M. André Lefèvre,
l'autre jour et, si les ambassadeurs ont dû
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