Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-10-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 octobre 1920 16 octobre 1920
Description : 1920/10/16 (T16,N1577). 1920/10/16 (T16,N1577).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215365w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
F MINISTEPES
DES
ÉTfUNGERES
Ir DE LA GUERRE
1 N° 1577
Samedi 16 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
lJnF: SSE ALLEMANDE. - La conférence finan-
cière de Genève : France et Angleterre
elnische Zeitung). - Le plébiscite
de Carinthie (Koelnische Zeitung). —
La question du charbon en Allemagne
1 discours de M. Ludwig, directeur
de rOffice du charbon de Bavière
(Al Uenc^en Au-gsburger Abendzeitung);
la J socialisation des mines (Deutsches
V olks blatt)
Ce ANGLAISE. - Le conflit minier en
i Glande, - Bretagne (Times, Morning
Post, Dailti jUail, Daily Chronicle,
O* News, Daily Herald).
BfLGE- - La Conférence financière
de Genève : France et Angleterre
ePtune) ; l'entrevue de MM. Lloyd
t 01 &e et Delacroix (Journal de Liége).
SE ITALIENNE. — La crise du parti so-
?a *ste italien : la grève politique de
deux heures en faveur de la Russie
(Tribuna, Idea Nazionale, Corriere
d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LA CONFÉRENCE DE GENÈVE
ritaANCE ET ANGLETERRE. - De Pa-
Jlge Deia^-t : Le Président du Conseil
P'^é aux a qUItté Londres ; il a ex-
iffmL an'ii ^tes l'espoir de voir la
ïblirQnr!nrn trouvée avec Lloyd George
^ais et i® ^nProni11s entre le point de vue
Cet esPoir le Poànt de vue français. Jusqu'ici
Dans les journaux pas :reçu de confirmatIon.
l'aunaîtra 11 d'ici on lit que l'on ne
l'attitude pas avant quatre ou cinq jours
arf att/J^ ? du gouvernement fran-
hh? *e 'gouvf^ n on suppose simplement
S iaVSnei?lent donnerait son assen-
leos et aussi {. 1111011 des experts de Bruxel-
mais désiirerfli+lri€ oonférence internationale
Parti^j^p > en outre une conférence où
alliés que les Premiers minis-
Alatî
$oy>ne contra une sérieuse cam-
(ian envoué x la politique de Lloyd George.
de r un lonn Londres Sauervein dénonce
da'i'un long télégramme la déformation
de l'opinion anglaise par les politiciens. Un
àwl)cto à T^aJnways aurait demandé à
Sauervein à Londres s'il était vrai que la
Pr Qnce eSlre Une nouvelle guerre. Cette
opinion stupide est répandue par un petit
groupe dans un intérêt électoral. En décem-
bre 1918, la formule était : le kaiser doit
être pendu ; l'Allemagne doit payer jusqu'au
dernier centime !
La nouvelle formule est : Guerre sainte
contre l'Irlande ; il faut rompre avec l'impé-
rialisme français. On s'adressera à chaque
parti sur un ton différent. Aux conserva-
teurs on dira : il y a trop de généraux fran-
çais par le monde ; on rencontre la France
partout. L'impérialisme français est un
danger. Aux libéraux on dira : l'impéria-
lisme français veut ruiner et coloniser l'Al-
lemagne, voilà qui va à l'encontre de votre
noble idéal. Enfin on démontrera aux socia-
listes que la politique de Millerand est hos-
tile au progrès social : il suffit de voir com-
ment la France traite le bolchevisme.
Pendant les négociations de paix, Lloyd
George a été l'adversaire acharné de la
France, ce fut lui et non pas l'utopiste Wil-
son qui combattit toutes les demandes fran-
çaises. Sa politique irlandaise, son erreur
polonaise, son attitude à l'égard des Soviets
ont été funestes à son propre pays. Sa politi-
que peut ruiner l'amitié des deux pays.
Voilà, conclut Sauervein, ce qu'il est né-
cessaire de dire en temps opportun.
- Notre correspondant de Paris a cer-
tainement raison lorsqu'il voit dans cet arti-
cle la plus vive attaque dirigée contre la
politique de Lloyd George dans la presse
française. Le discours du sénateur Barthou
eut peut-être plus d'importance en son
temps, en raison de la personnalité de l'ora-
teur et aussi parce que des paroles pronon-
cées à la tribune de la Chambre ont plus
de retentissement qu'un article de journal,
si répandu que soit ce journal. Maintes fois
nous avons averti l'opinion allemande de
ces signes du mécontentement français con-
tre la Grande-Bretagne ; ce mécontentement
a son germe dans les négociations de paix
et n'a fait que croître depuis San Remo ; ce-
pendant nous avons toujours recommandé
à Topinion de ne pas s'exagérer ces diver-
gences de vues et oppositions d'intérêt, ni
d'y voir une bonne affaire pour l'Allema-
gne. Des déclarations officielles se sont ex-
primées dans le même sens.
KOELNISCHE ZEITUNG, 14.10, soir
— Si les Allemands se sont imaginé que
les conversations entre Londres et Paris,
au sujet de la réunion d'une Conférence in-
ternationale, pouvait conduire à un malen-
tendu profond entre la France et l'Angle-
terre, ils se sont trompés à nouveau. Les
deux gouvernementsl diffèrent d'opinion sur
l'interprétation du texte, mais avec de la
bonne volonté et quelques explications ami-
cales, toute la crise de l'Entente cordiale
peut facilement être prévenue.
La réponse du gouvernement français à
la note anglaise s'inspire d'ailleurs de l'es-
prit le plus conciliant.
Ainsi que nous l'avons expliqué, le cabi-
net de Londres a insisté pour que la déci-
sion prise à Spa en ce qui concerne la réu-
nion d'une conférence qui devrait être con.
voquée en principe à Genève, soit exécutée
prochainement. Il veut voir là une sorte
d'engagement pris envers l'Allemagne de
permettre à celle-ci de discuter les moyens
par lesquels elle aura à effectuer les répa-
rations dans une assemblée où les délégués
allemands seraient invités au même titre
que les délégués des puissances alliées.
La France propose la convocation à
Bruxelles, et non à Genève, d'une confé-
rence technique composée de deux délégués
par puissance intéressée. Le vœu anglais
serait ainsi exaucé et la décision prise à
Spa exécutée.
Mais comme la France soutient que
selon l'esprit et les termes du traité de paix,
il appartient à la Commission des répara-
tions de résoudire pratiquement ce problème
et que ce point constitue pour elle une ga-
rantie appréciable, elle demande que les dé-
légués à cette Conférence de Bruxelles
soient choisis parmi les membres de la Com-
mission de réparations.
Cette demande paraît fort raisonnable, ce-
pendant un inconvénient surgit. C'est
que les spécialistes qui ont discuté le plan
de règlement de Hythe et de Boulogne se-
ront dépossédés au profit d'autres spécia-
listes obligés de reprendre à son origine
toute l'œuvre accomplie. D'où, à nouveau,
une perte considérable de temps.
Et à ce propos on se demande ce qu'il est
advenu du projet de Boulogne qui imposait
à l'Allemagne le paiement de 42 annuités,
atteignant un total (avec leurs 37 supplé-
ments) de 270 miilliards de mark or, som-
me qui, en tenant compte d'un intérêt de
5
me qui, d'un amortissement de 1 0/0, corres-
pond à 85 milliards de mark or, valeur théo-
rique actuelle. Il provoyait la constitution
de gages importants : valeurs industrielles,
douanes et l'emploi éventuel de mesures
coercitives.
, Les chiffres peuvent paraître insuffisants;
il reste cepndant vrai que le projet de Bou-
logne .constitue un premier accord interal-
lié dont il y a lieu de tenir compte si l'on
veut régler rapidement une question vitale,
tant pour la Belgique que pour la France.
NEPTUNE [d'Anvers], 12. 10.
L'ENTREVUE DE MM. LLOYD GEORGE
ET DELACROIX. — Il résulte d'explications
que M. Delacroix a bien voulu donner mardi
après-midi, au déjeuner de Mansion House,
que le Premier Ministre de Belgique croit
avoir complètement réussi auprès du gou-
vernement anglais en ce qui concerne la ré-
paration des dommages de guerre.
La conférence que M. Lloyd George a
proposé de tenir à Genève n'aura pas lieu.
La commission interalliée des dommages de
guerre entendra les Allemands dans leurs
explications et propositions et, au lieu de
trancher souverainement, fera rapport aux
divers gouvernements intéressés, lesquels
statueront ensuite. Cette conférence à la-
quelle on prévoit que la France et l'Angle-
terre se rallieront, aura lieu très prochaine-
DES
ÉTfUNGERES
Ir DE LA GUERRE
1 N° 1577
Samedi 16 octobre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
lJnF: SSE ALLEMANDE. - La conférence finan-
cière de Genève : France et Angleterre
elnische Zeitung). - Le plébiscite
de Carinthie (Koelnische Zeitung). —
La question du charbon en Allemagne
1 discours de M. Ludwig, directeur
de rOffice du charbon de Bavière
(Al Uenc^en Au-gsburger Abendzeitung);
la J socialisation des mines (Deutsches
V olks blatt)
Ce ANGLAISE. - Le conflit minier en
i Glande, - Bretagne (Times, Morning
Post, Dailti jUail, Daily Chronicle,
O* News, Daily Herald).
BfLGE- - La Conférence financière
de Genève : France et Angleterre
ePtune) ; l'entrevue de MM. Lloyd
t 01 &e et Delacroix (Journal de Liége).
SE ITALIENNE. — La crise du parti so-
?a *ste italien : la grève politique de
deux heures en faveur de la Russie
(Tribuna, Idea Nazionale, Corriere
d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LA CONFÉRENCE DE GENÈVE
ritaANCE ET ANGLETERRE. - De Pa-
Jlge Deia^-t : Le Président du Conseil
P'^é aux a qUItté Londres ; il a ex-
iffmL an'ii ^tes l'espoir de voir la
ïblirQnr!nrn trouvée avec Lloyd George
^ais et i® ^nProni11s entre le point de vue
Cet esPoir le Poànt de vue français. Jusqu'ici
Dans les journaux pas :reçu de confirmatIon.
l'aunaîtra 11 d'ici on lit que l'on ne
l'attitude pas avant quatre ou cinq jours
arf att/J^ ? du gouvernement fran-
hh? *e 'gouvf^ n on suppose simplement
S iaVSnei?lent donnerait son assen-
leos et aussi {. 1111011 des experts de Bruxel-
mais désiirerfli+lri€ oonférence internationale
Parti^j^p > en outre une conférence où
alliés que les Premiers minis-
Alatî
$oy>ne contra une sérieuse cam-
(ian envoué x la politique de Lloyd George.
de r un lonn Londres Sauervein dénonce
da'i'un long télégramme la déformation
de l'opinion anglaise par les politiciens. Un
àwl)cto à T^aJnways aurait demandé à
Sauervein à Londres s'il était vrai que la
Pr Qnce eSlre Une nouvelle guerre. Cette
opinion stupide est répandue par un petit
groupe dans un intérêt électoral. En décem-
bre 1918, la formule était : le kaiser doit
être pendu ; l'Allemagne doit payer jusqu'au
dernier centime !
La nouvelle formule est : Guerre sainte
contre l'Irlande ; il faut rompre avec l'impé-
rialisme français. On s'adressera à chaque
parti sur un ton différent. Aux conserva-
teurs on dira : il y a trop de généraux fran-
çais par le monde ; on rencontre la France
partout. L'impérialisme français est un
danger. Aux libéraux on dira : l'impéria-
lisme français veut ruiner et coloniser l'Al-
lemagne, voilà qui va à l'encontre de votre
noble idéal. Enfin on démontrera aux socia-
listes que la politique de Millerand est hos-
tile au progrès social : il suffit de voir com-
ment la France traite le bolchevisme.
Pendant les négociations de paix, Lloyd
George a été l'adversaire acharné de la
France, ce fut lui et non pas l'utopiste Wil-
son qui combattit toutes les demandes fran-
çaises. Sa politique irlandaise, son erreur
polonaise, son attitude à l'égard des Soviets
ont été funestes à son propre pays. Sa politi-
que peut ruiner l'amitié des deux pays.
Voilà, conclut Sauervein, ce qu'il est né-
cessaire de dire en temps opportun.
- Notre correspondant de Paris a cer-
tainement raison lorsqu'il voit dans cet arti-
cle la plus vive attaque dirigée contre la
politique de Lloyd George dans la presse
française. Le discours du sénateur Barthou
eut peut-être plus d'importance en son
temps, en raison de la personnalité de l'ora-
teur et aussi parce que des paroles pronon-
cées à la tribune de la Chambre ont plus
de retentissement qu'un article de journal,
si répandu que soit ce journal. Maintes fois
nous avons averti l'opinion allemande de
ces signes du mécontentement français con-
tre la Grande-Bretagne ; ce mécontentement
a son germe dans les négociations de paix
et n'a fait que croître depuis San Remo ; ce-
pendant nous avons toujours recommandé
à Topinion de ne pas s'exagérer ces diver-
gences de vues et oppositions d'intérêt, ni
d'y voir une bonne affaire pour l'Allema-
gne. Des déclarations officielles se sont ex-
primées dans le même sens.
KOELNISCHE ZEITUNG, 14.10, soir
— Si les Allemands se sont imaginé que
les conversations entre Londres et Paris,
au sujet de la réunion d'une Conférence in-
ternationale, pouvait conduire à un malen-
tendu profond entre la France et l'Angle-
terre, ils se sont trompés à nouveau. Les
deux gouvernementsl diffèrent d'opinion sur
l'interprétation du texte, mais avec de la
bonne volonté et quelques explications ami-
cales, toute la crise de l'Entente cordiale
peut facilement être prévenue.
La réponse du gouvernement français à
la note anglaise s'inspire d'ailleurs de l'es-
prit le plus conciliant.
Ainsi que nous l'avons expliqué, le cabi-
net de Londres a insisté pour que la déci-
sion prise à Spa en ce qui concerne la réu-
nion d'une conférence qui devrait être con.
voquée en principe à Genève, soit exécutée
prochainement. Il veut voir là une sorte
d'engagement pris envers l'Allemagne de
permettre à celle-ci de discuter les moyens
par lesquels elle aura à effectuer les répa-
rations dans une assemblée où les délégués
allemands seraient invités au même titre
que les délégués des puissances alliées.
La France propose la convocation à
Bruxelles, et non à Genève, d'une confé-
rence technique composée de deux délégués
par puissance intéressée. Le vœu anglais
serait ainsi exaucé et la décision prise à
Spa exécutée.
Mais comme la France soutient que
selon l'esprit et les termes du traité de paix,
il appartient à la Commission des répara-
tions de résoudire pratiquement ce problème
et que ce point constitue pour elle une ga-
rantie appréciable, elle demande que les dé-
légués à cette Conférence de Bruxelles
soient choisis parmi les membres de la Com-
mission de réparations.
Cette demande paraît fort raisonnable, ce-
pendant un inconvénient surgit. C'est
que les spécialistes qui ont discuté le plan
de règlement de Hythe et de Boulogne se-
ront dépossédés au profit d'autres spécia-
listes obligés de reprendre à son origine
toute l'œuvre accomplie. D'où, à nouveau,
une perte considérable de temps.
Et à ce propos on se demande ce qu'il est
advenu du projet de Boulogne qui imposait
à l'Allemagne le paiement de 42 annuités,
atteignant un total (avec leurs 37 supplé-
ments) de 270 miilliards de mark or, som-
me qui, en tenant compte d'un intérêt de
5
me qui, d'un amortissement de 1 0/0, corres-
pond à 85 milliards de mark or, valeur théo-
rique actuelle. Il provoyait la constitution
de gages importants : valeurs industrielles,
douanes et l'emploi éventuel de mesures
coercitives.
, Les chiffres peuvent paraître insuffisants;
il reste cepndant vrai que le projet de Bou-
logne .constitue un premier accord interal-
lié dont il y a lieu de tenir compte si l'on
veut régler rapidement une question vitale,
tant pour la Belgique que pour la France.
NEPTUNE [d'Anvers], 12. 10.
L'ENTREVUE DE MM. LLOYD GEORGE
ET DELACROIX. — Il résulte d'explications
que M. Delacroix a bien voulu donner mardi
après-midi, au déjeuner de Mansion House,
que le Premier Ministre de Belgique croit
avoir complètement réussi auprès du gou-
vernement anglais en ce qui concerne la ré-
paration des dommages de guerre.
La conférence que M. Lloyd George a
proposé de tenir à Genève n'aura pas lieu.
La commission interalliée des dommages de
guerre entendra les Allemands dans leurs
explications et propositions et, au lieu de
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