Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-09-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 septembre 1920 22 septembre 1920
Description : 1920/09/22 (T16,N1557). 1920/09/22 (T16,N1557).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62153454
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
-
MINISTERES
DES
,r, AIRES étrangères
ET DE LA GUERRE
1,
1 N° 1557
Mercredi 22 septembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ~'T~' - L'exécution du Traité
defSaii déclarations du prési-
dent du Conseil Economique d'Empire
(Grenzboten et Koelnische Zeituiig). -
La France et la Bavière (Taegllche
RHndschau, Vonvaerts). -- « ( Bruxelles
ES
Berliner Tageblatt). PI"MR
PRESSE ANGLAISE. La France et la Bavière
(Daily Telegrapit). Le DailyHerald et
les iondt koTlchUevi- ks (Manchester Guar-
dian) - Les négociations entre les mi-
Areies et le gouvernement (Times, Daily
ninq Post) plan révolutionnàfre (Mor-
ninig Post).
ehevi s m p dentielle (Ei tzliadi). L'élection prési-
dentielle en France (A B C, Correspon.
PRESSE ITALIENNE.- T ouvrier suf
PRESSE usinée Le contrôle ouvrier sur
les u (Corriere della sera: Luigi
Salvatorelli dans Stampa).
POLITIQUE OESEHALB
M DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
S L'EXECUTION DU TRAITE DE VER-
SAILLES. - DÉCLAHATIONS DU PRÉSIDENT, DU
M- von Broun con Ji £ onomicIue d'Empire,
M. Von Braun ConseiHe à notre gouverne-
KSUSSÎ Les r~ /°~ de déclarer aux
Puissances de l Ente:nte qu'il est impossible
d'e Xe, lcuter le traité de paix.
à Ce serait Une attitude digne et cohfurme
à la vérité- Af VOn Braun en fait appel au
témOI qnage, de Keunes. C'est un fait assez
l emarquable et une nouvelle preuve de la
0Urdeur- om* JSWe du fardeau de la paix
qu'un homme comme M. Braun. à même
e Uuier Par sa situation des répercussions
du traité sur notre économie nationale, fasse
cette pronnv-r 0n en indiquant lui-même l'el-
'r°y tplîe rtivnu lutlon-
ce serait seil n'est pas bon ; Ile suivre,
f°n,sei1 f1 est pas bon ; le suivre,
Ce serait nnus suicider. Le résultat serait
que l'Entente V rra't' tout d'abord dans ce
geste un ci * de notre mauvaise volonté,
nous Il
le blocim r, , état de guerre,
le blocus reviendrait et ce ne serait pas la
Ruhr seuilP qui serait occupée mais bien
toute l'Allemagne. Nous ne pourrions
Suère fairp de résistance et nous en serions
tous réduits a la grève de la faim comme
le lord-maire de Cork. de la faim Comme
Le pessimisme est dangereux et nous ne
famais nas nous li abandonner. Plus que
n'exècutons na 7l'e.'£écitlons pas le traité volontairement on
nous 11 contraindra dllns des conditions
beaucoup plus pénibles encore. condiUons
Montrer à nos adversaires les limites de
nos forces et les persuader de ne pas aller
au delà, tel est notre devoir.
KOELNISCHE ZEITUNG, 19.9.
LA FRANCE ET LA BAVIERE. — Le
mouvement séparatiste est organisé par la
section politique de la propagande française
auprès de la Présidence du Conseil ; elle
s'appelle « Union d'expansion nationale ».
Le ministre de France à Munich, Dard, a
obtenu d'importants crédits et il compte
trouver de l'appui. Les membres de la mis-
sion militaire française à Munich ont reçu
de la Présidence du Conseil des instructions
secrètes en vue de l'organisation de foyers
de propagande dans la haute noblesse de
Bavière et dans la bourgeoisie bavaroise.
Certains salons de Munich seront particu-
lièrement désignés à cet effet. Pour attein-
dre leurs buts les Français jouent du dan-
ger spartakiste de d'Allemagne du Nord. Ils
espèrent ainsi décider la noblesse, une par-
tie de la bourgeoisie et des moyens proprié-
taires à se rallier à l'idée séparatiste et à
l'occupation militaire française pour la pro-
tection contre le bolchevisme. On veut donc
organiser sous le protectorat de la. France
un Etat fédératif indépendant comprenant
la Bavière, la Franconie, le Palatinat, les
pays rhénans et le Luxembourg, peut-être
aussi l'Autriche. Comme compensation, la
Bavière verrait réduire sa quotre-part des
dettes de guerre.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 17.9.
— Sous le titre : « La destruction du
Reich ». — On organise en Bavière, dans le
sens monarchiste, la destruction du Reich
sous la protection de la République fran-
çaise.
La Rauprische Zeitung a annoncé d'après
l'Humanité, et la nouvelle s'est répandue
officiellement dans toute la Bavière, que le
gouvernement français n'avait rien à objec-
ter au maintien des gardes d'habitants ba-
varoises. Cette information fait la lumière
sur les sombres machinations qui consti-
tuent un danger sur lequel personne ne doit
se faire illusion. A la Conférence de Spa,
l'Entente a exigé dans une note acerbe la
dissolution des gardes d'habitants dans
toute l'Allemagne et l'Allemagne a acquiescé.
Une entente séparée franco-bavaroise peut-
elle détacher une partie de ce tout convenu
entre l'Allemagne et l'Entente? Un sembla-
ble accord serait le signe que sous le pré-
sent régime, la Bavière ne se considère déjà
plus comme une partie du Reich, et la
confirmation de notre crainte si souvent ex-
primée de voir la politique française pour-
suivre la destruction de l'unité du Reich.
VORWAERTS, 18.9.
PRESSE ANGLAISE. — La suggestion venue
de Berlin, selon laquelle la France favori
serait le retour au pouvoir du prince Ru-
precht. l'auteur responsable des déporta-
tions de Lille et de l'Artois, est évidemment
absurde. Il n'est pas non plus permis de
croire qu'il se trouve un seul homme poli-
tique un général français, disposé à épar-
gner à une partie quelconque du Reich
allemand l'obligation de désarmement. L'il-
lusion d'une Bavière prête à combattre
aux côtés de la France contre la Prusse a
été détruite, bien avant la guerre actuelle,
dès 1870. D'autre part, la France n'a ja-
mais caché depuis l'armistice qu'elle enten-
dait favoriser, en Allemagne du Sud, le
particularisme des différents Etats contre
la tendance du président et du gouverne-
ment, désireux, comme les groupes -socia-
liste et démocrate du Reichstag, d'accen-
tuer le mouvement centralisateur, dans le
domaine politique, économique et même
militaire, plus rigoureusement que ne
l'avaient fait les Hohenzollern. En résis-
tant aux tentatives croissantes de la
Prusse pour l'hégémonie, la France est
bien loin d'encourager la réaction et les
Wittelsbach.
DAILY TELEGRAPH, 20.9.
L'ALLEMAGNE ET LE BOLCHEVISME.
— La Russie rouge, qui paraissait victo-
rieuse le 15 août, se trouve complètement
battue aujourd'hui. Son armée, en pleine re-
traite, est complètement démoralisée. Elle
n'a par conséquent pas le droit ni la possi-
bilité matérielle d'imposer aucune clause
rigoureuse à son adversaire.
Il lui reste bien l'appui tacite de Lloyd
George qui est plus préoccupé d'obtenir à
tout prix une paix polonaise bolchevique
pour calmer les travailleurs bolchevisés
d'Angleterre et donner satisfaction aux in-
térêts commerciaux des grands commer-
çants britanniques, plutôt que d'établir un
modus vivendi stable et durable dans
l'Europe orientale. Il lui reste enfin les ma-
nœuvres des Allemands en Haute-Silésie,
qui ont pour objet — sans aucun doute ---
d'obtenir une revision du Traité de Versail-
les..
Ces deux appuis sont insuffisants à l'heure
actuelle. L'opinion publique en Angleterre,
à cause de la victoire de la Vistule, ne peut
accepter que son gouvernement impose une
capitulation à la Pologne. Quant aux tenta-
tives d'insurrection des Allemands en
Haute-Silésie, tentative, qu'ils se sont effor-
cés de faire aboutir quand ils croyaient que
la Pologne était complètement perdue, elles
vont disparaître pour toujours devant la
réalité des faits et surtout devant l'attitude
énergique de la France.
La Russie soviétiste n'a par conséquent
aucun succès entre les mains. Ce n'est pas
elle qui peut dicter les conditions de paix
et les propositions de Minsk ne seront ni
acceptées ni même discutées. Son rêve de
vouloir soviétiser la Pologne se dissipera
complètement.
EUZKADI [de Bilbao], 17.9.
——— ———
AFFAIRES INTÉRIEURES
FRANCE
L'ELECTION PRESIDENTIELLE. -
Alors qu'en Angleterre le gouvernement sou-
mis à la politique opportuniste de M. Lloyd
George traite avec les tyrans de Moscou et
leur fait des promesses peu claires ; alors
MINISTERES
DES
,r, AIRES étrangères
ET DE LA GUERRE
1,
1 N° 1557
Mercredi 22 septembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ~'T~' - L'exécution du Traité
defSaii déclarations du prési-
dent du Conseil Economique d'Empire
(Grenzboten et Koelnische Zeituiig). -
La France et la Bavière (Taegllche
RHndschau, Vonvaerts). -- « ( Bruxelles
ES
Berliner Tageblatt). PI"MR
PRESSE ANGLAISE. La France et la Bavière
(Daily Telegrapit). Le DailyHerald et
les iondt koTlchUevi- ks (Manchester Guar-
dian) - Les négociations entre les mi-
Areies et le gouvernement (Times, Daily
ninq Post) plan révolutionnàfre (Mor-
ninig Post).
ehevi s m p
dentielle en France (A B C, Correspon.
PRESSE ITALIENNE.- T ouvrier suf
PRESSE usinée Le contrôle ouvrier sur
les u (Corriere della sera: Luigi
Salvatorelli dans Stampa).
POLITIQUE OESEHALB
M DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
S L'EXECUTION DU TRAITE DE VER-
SAILLES. - DÉCLAHATIONS DU PRÉSIDENT, DU
M- von Broun con Ji £ onomicIue d'Empire,
M. Von Braun ConseiHe à notre gouverne-
KSUSSÎ Les r~ /°~ de déclarer aux
Puissances de l Ente:nte qu'il est impossible
d'e Xe, lcuter le traité de paix.
à Ce serait Une attitude digne et cohfurme
à la vérité- Af VOn Braun en fait appel au
témOI qnage, de Keunes. C'est un fait assez
l emarquable et une nouvelle preuve de la
0Urdeur- om* JSWe du fardeau de la paix
qu'un homme comme M. Braun. à même
e Uuier Par sa situation des répercussions
du traité sur notre économie nationale, fasse
cette pronnv-r 0n en indiquant lui-même l'el-
'r°y
ce serait seil n'est pas bon ; Ile suivre,
f°n,sei1 f1 est pas bon ; le suivre,
Ce serait nnus suicider. Le résultat serait
que l'Entente V rra't' tout d'abord dans ce
geste un ci * de notre mauvaise volonté,
nous Il
le blocim r, , état de guerre,
le blocus reviendrait et ce ne serait pas la
Ruhr seuilP qui serait occupée mais bien
toute l'Allemagne. Nous ne pourrions
Suère fairp de résistance et nous en serions
tous réduits a la grève de la faim comme
le lord-maire de Cork. de la faim Comme
Le pessimisme est dangereux et nous ne
famais nas nous li abandonner. Plus que
n'exècutons na
nous 11 contraindra dllns des conditions
beaucoup plus pénibles encore. condiUons
Montrer à nos adversaires les limites de
nos forces et les persuader de ne pas aller
au delà, tel est notre devoir.
KOELNISCHE ZEITUNG, 19.9.
LA FRANCE ET LA BAVIERE. — Le
mouvement séparatiste est organisé par la
section politique de la propagande française
auprès de la Présidence du Conseil ; elle
s'appelle « Union d'expansion nationale ».
Le ministre de France à Munich, Dard, a
obtenu d'importants crédits et il compte
trouver de l'appui. Les membres de la mis-
sion militaire française à Munich ont reçu
de la Présidence du Conseil des instructions
secrètes en vue de l'organisation de foyers
de propagande dans la haute noblesse de
Bavière et dans la bourgeoisie bavaroise.
Certains salons de Munich seront particu-
lièrement désignés à cet effet. Pour attein-
dre leurs buts les Français jouent du dan-
ger spartakiste de d'Allemagne du Nord. Ils
espèrent ainsi décider la noblesse, une par-
tie de la bourgeoisie et des moyens proprié-
taires à se rallier à l'idée séparatiste et à
l'occupation militaire française pour la pro-
tection contre le bolchevisme. On veut donc
organiser sous le protectorat de la. France
un Etat fédératif indépendant comprenant
la Bavière, la Franconie, le Palatinat, les
pays rhénans et le Luxembourg, peut-être
aussi l'Autriche. Comme compensation, la
Bavière verrait réduire sa quotre-part des
dettes de guerre.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 17.9.
— Sous le titre : « La destruction du
Reich ». — On organise en Bavière, dans le
sens monarchiste, la destruction du Reich
sous la protection de la République fran-
çaise.
La Rauprische Zeitung a annoncé d'après
l'Humanité, et la nouvelle s'est répandue
officiellement dans toute la Bavière, que le
gouvernement français n'avait rien à objec-
ter au maintien des gardes d'habitants ba-
varoises. Cette information fait la lumière
sur les sombres machinations qui consti-
tuent un danger sur lequel personne ne doit
se faire illusion. A la Conférence de Spa,
l'Entente a exigé dans une note acerbe la
dissolution des gardes d'habitants dans
toute l'Allemagne et l'Allemagne a acquiescé.
Une entente séparée franco-bavaroise peut-
elle détacher une partie de ce tout convenu
entre l'Allemagne et l'Entente? Un sembla-
ble accord serait le signe que sous le pré-
sent régime, la Bavière ne se considère déjà
plus comme une partie du Reich, et la
confirmation de notre crainte si souvent ex-
primée de voir la politique française pour-
suivre la destruction de l'unité du Reich.
VORWAERTS, 18.9.
PRESSE ANGLAISE. — La suggestion venue
de Berlin, selon laquelle la France favori
serait le retour au pouvoir du prince Ru-
precht. l'auteur responsable des déporta-
tions de Lille et de l'Artois, est évidemment
absurde. Il n'est pas non plus permis de
croire qu'il se trouve un seul homme poli-
tique un général français, disposé à épar-
gner à une partie quelconque du Reich
allemand l'obligation de désarmement. L'il-
lusion d'une Bavière prête à combattre
aux côtés de la France contre la Prusse a
été détruite, bien avant la guerre actuelle,
dès 1870. D'autre part, la France n'a ja-
mais caché depuis l'armistice qu'elle enten-
dait favoriser, en Allemagne du Sud, le
particularisme des différents Etats contre
la tendance du président et du gouverne-
ment, désireux, comme les groupes -socia-
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tuer le mouvement centralisateur, dans le
domaine politique, économique et même
militaire, plus rigoureusement que ne
l'avaient fait les Hohenzollern. En résis-
tant aux tentatives croissantes de la
Prusse pour l'hégémonie, la France est
bien loin d'encourager la réaction et les
Wittelsbach.
DAILY TELEGRAPH, 20.9.
L'ALLEMAGNE ET LE BOLCHEVISME.
— La Russie rouge, qui paraissait victo-
rieuse le 15 août, se trouve complètement
battue aujourd'hui. Son armée, en pleine re-
traite, est complètement démoralisée. Elle
n'a par conséquent pas le droit ni la possi-
bilité matérielle d'imposer aucune clause
rigoureuse à son adversaire.
Il lui reste bien l'appui tacite de Lloyd
George qui est plus préoccupé d'obtenir à
tout prix une paix polonaise bolchevique
pour calmer les travailleurs bolchevisés
d'Angleterre et donner satisfaction aux in-
térêts commerciaux des grands commer-
çants britanniques, plutôt que d'établir un
modus vivendi stable et durable dans
l'Europe orientale. Il lui reste enfin les ma-
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qui ont pour objet — sans aucun doute ---
d'obtenir une revision du Traité de Versail-
les..
Ces deux appuis sont insuffisants à l'heure
actuelle. L'opinion publique en Angleterre,
à cause de la victoire de la Vistule, ne peut
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capitulation à la Pologne. Quant aux tenta-
tives d'insurrection des Allemands en
Haute-Silésie, tentative, qu'ils se sont effor-
cés de faire aboutir quand ils croyaient que
la Pologne était complètement perdue, elles
vont disparaître pour toujours devant la
réalité des faits et surtout devant l'attitude
énergique de la France.
La Russie soviétiste n'a par conséquent
aucun succès entre les mains. Ce n'est pas
elle qui peut dicter les conditions de paix
et les propositions de Minsk ne seront ni
acceptées ni même discutées. Son rêve de
vouloir soviétiser la Pologne se dissipera
complètement.
EUZKADI [de Bilbao], 17.9.
——— ———
AFFAIRES INTÉRIEURES
FRANCE
L'ELECTION PRESIDENTIELLE. -
Alors qu'en Angleterre le gouvernement sou-
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