Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-08-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 août 1920 18 août 1920
Description : 1920/08/18 (T15,N1527). 1920/08/18 (T15,N1527).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6238534h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
Maires étrangères
ET DE LA GUERRE
N° 1527
Mercredi 18 Août 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumés. il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'état d'esprit dans les
pays rhénans (Hannoverscher Kurier).
— La reconnaissance du gouvernement
Wrangel (München-Augsburger Abend-
zeitung. Munchner Neueste Nachrich-
ten Frankfurter zeitung). — Les condi-
tions de paix des Soviets: la frontière
germano-polonaise (Munchner Neueste
Nachrichten).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et
l'Europe : d'ajournement de la collabo-
ration américaine (Boston Herald).
PRESSE ANGLAISE. — « L'Entente en dan-
ger » (Observer). — Les pourparlers de
Minsk (Times, Daily News). - L'atti-
tude du socialisme britannique ; le
« Comité d'action » (Morning Post, Daily
Telegraph, Daily Express, Daily He-
rald).
PRESSE HOLLANDAISE. — L'état d'esprit dans
les pays rhénans (Nieuwe Rotterdam-
sche Courant).
PRESSE ITALIENNE. — L'entrevue Sforza-Tus-
zar (Idea Nazionale, Giornale d'italia).
— L'Italie et le Monténégro (Idea Nazio-
nale).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
« L'ENTENTE EN DANGER » [sous ce
titre. — Cf. Bulletin n° 1522, pages 1-2]. —
De Paris : Nous avons manifestement at-
teint le point où l'Entente a cessé d'être une
réalité. Il faut que nous lui redonnions une
vie réelle ; mais nous ne pouvons y parve-
nir en discutant avec plus ou moins de vio-
lence chacune des questions qui surgit. Il
nous faut travailler sur un ensemble de
principes bien définis. Il nous faut arriver à
un accord général, à un accord qui ne s ap-
plique pas seulement à telle ou telle ques-
tion! particulière.
i
[Actuellement] l'Entente est une Entente
sans programme déterminé ni politique cen-
trale. Invariablement, les représentants des
deux pays se rencontrent dans un esprit
quelque peu hostiles. Quelquefois, comme
aujourd'hui, nous sommes à la veille d'une
rupture, bien qu'une telle perspective pa-
lisse au jugement de tous comme impos-
sible. Il est certain que constamment nous
sommes dans la même situation que le gou-
vernement et l'opposition. La France se
Plaint parce que, à chaque occasion nou-
velle, elle représente l'opposition. Souvent
elle renverse les plans britanniques, mais
elle n'y réussit que par des moyens indi-
rects, augmentant ainsi les difficultés. C'est
ainsi qu'elle en a agi au moment de Prin-
kipo, ainsi qu'elle en a agi à Spa, et une
fois de plus, ou peu s'en faut, à propos de la
question polonaise. Peut-être n'est-il jamais
venu à l'esprit des gens qui en sont venus à
considérer les entrevues Llovd George-Mil-
lerand comme des conflits diplomatiques,
qu'une telle attitude se traduira inexorable-
ment par la fin de l'Entente.
Nous avons donné notre diagnostic du
mal; nous en avons indiqué les causes. Si
nous voulons maintenant en chercher la
guérison, il faut affirmer franchement qtw
le premier remède, et le plus indispensable,
est la modification radicale de l'état d'esprit
actuel de nos diplomates. D'un côté comme
de l'autre ils doivent comprendre ce qu'est
une Entente et ce qu'elle n'est pas..
Ce n'est pas une association dans laquelle
chacun des deux partis essaie constamment
d'avoir le dessus. Pour parler franc — et
c'est une nécessité impérieuse — la disso-
lution de l'Entente date réellement du jour
où M. Millerand a proclamé son intention de
pénétrer en Allemagne « avec ou sans les
Alliés ». Ces paroles ont sonné le glas de
l'Entente. Néanmoins la France a trop be-
soin de l'Angleterre, et l'Angleterre trop
besoin de la France, pour que cet incident
seul suffise à détruire l'Entente, mais il y
a malheureusement des raisons de craindre
que la philosophie qui. a dicté cette attitude
soit la philosophie qui inspire maintes ac-
tions politiques. C'est une manifestation de
nationalisme. Or le nationalisme est parfai-
tement légitime. ; mais il peut trop aisé-
ment d'avenir anti-ententiste. Une Entente
exige jusqu'à un certain point la subordina-
tion du nationalisme.
La diplomatie nouvelle [d'autre part],
s'est complue à une nouvelle espèce de duel
On a employé les canons à longue portée de
la presse ; et des deux côtés on tire à toute
vitesse. Quiconque, par exemple, s'est
trouvé à San Remo (et ceci s'applique égale-
ment aux conférences plus récentes) doit
être parfaitement conscient que la Presse
a été manipulée tant par l'Angleterre que
par la France pour faire céder le parti ad-
verse. Pratique dangereuse! De telles vic-
toires sont chèrement payées. Elles s'achè-
tent au prix de l'Entente.
Ç'a été une faute, une faute presque
fatale, que d'annoncer solennellement que
dorénavant l'Entente n'existait plus en ce
qui touchait aux affaires de Russie. On s'est
accordé pour déclarer que la Grande-Rreta-
gne et la France négocieraient séparément.
La France a répudié toute responsabilité
pour la présence de Krassine à Londres.
Elle a proclamé dès l'origine, qu'elle ne
prendrait aucune part aux négociations.
Il est, natllrellement, toujours possible de
se retirer d'une association; mais lorsque
la politique est manifestement différente,
comme elle l'est depuis longtemps sur la
question russe, on ne peut pas en même
temps rester dans l'association et prendre
une position indépendante. Une Entente ne
peut pas non plus n'opérer que spasmodi-
quement. On ne saurait nier, sur ce point,
la nécessité notoire de chercher une for-
mule acceptable ; et il faut admettre que
cette recherche doit prendre le pas sur tout
le reste si l'Entente doit continuer à vivre.
Le péril que court l'Entente peut être con-
juré ainsi si l'on examine froidement les
faits de chaque côté de la Manche. Nous
devons reconnaître qu'il y a certaines cho-
ses auxauelles l'Angleterre ne peut pas
consentir; qu'il en est d'autres auxquelles
la France ne peut pas souscrire ; qu'une En-
tente se traduit par une concession sur un
point, une insistance amicale sur un autre.
Et, ayant décidé que l'Entente ne peut pas
signifier la domination de la Grande-Breta-
gne ou la domination de la France; mais
qu'elle est infiniment digne des sacrifices
qu'elle peut exiger, nous devons par loyauté
à l'association nous garder de fulminer et
de vitupérer.
Mais il reste encore quelque chose à faire.
Si les diplomates doivent cesser d'essayer
de se jouer l'un l'autre en Syrie, à Constan-
tinople. en Allemagne, en Russie, en Polo-
gne; si les politiciens doivent cesser d'in-
sulter l'autre nation pour marquer un point
dans les débats parlementaires ; si la Presse
doit comprendre son véritable rôle; il n'en
reste pas moins vrai que beaucoup de mal
a déjà été fait. En France (je puis en four-
nir un témoignage personnel), le poison est
répandu dans tout l'organisme. Le traite-
ment indiqué sera lent; mais un remède
plus rapide serait trouvé si M. Lloyd Geor-
ge, si M. Millerand ou d'autres hommes
d'Etat éminents, exprimaient en termes gé-
néreux le profond besoin qu'ont deux na-
tions l'une de l'autre. Il y a longtemps que
nous n'avons entendu autre chose qu'allu-
sions conventionnelles, ou peu aimables à
la nation voisine. Commençons dès main-
tenant une vaste campagne pour ranimer
la confiance et faire revivre l'affection des
deux races.
ORSERVER, 15.8.
r
FRANCE ET ALLEMAGNE
L'ETAT D'ESPRIT DANS LES PAYS
RHENANS. — Les maigres résultats obte-
nus par d'Allemagne à Spa ont eu la
plus douloureuse répercussion, non seule-
ment dans les milieux industriels, mais
aussi dans les milieux ouvriers. On déses-
père plus que jamais de d'avenir. Des plans
en vue du prochain coup de force ont été
découverts.
Le précédent avait commencé par une
grève générale. On a l'intention, lors du
prochain, de faire occuper de nuit les fabri-
ques par des hommes armés et de faire
continuer le travail, en gardant comme ota-
ges les directeurs et autres chefs. On est
las de vivre sous un joug éternel et on ne
sait comment y échapper. C'est également
à cet état d'esprit qu'il faut attribuer la
sympathie que l'on manifeste plus ou moins
DES
Maires étrangères
ET DE LA GUERRE
N° 1527
Mercredi 18 Août 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumés. il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'état d'esprit dans les
pays rhénans (Hannoverscher Kurier).
— La reconnaissance du gouvernement
Wrangel (München-Augsburger Abend-
zeitung. Munchner Neueste Nachrich-
ten Frankfurter zeitung). — Les condi-
tions de paix des Soviets: la frontière
germano-polonaise (Munchner Neueste
Nachrichten).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et
l'Europe : d'ajournement de la collabo-
ration américaine (Boston Herald).
PRESSE ANGLAISE. — « L'Entente en dan-
ger » (Observer). — Les pourparlers de
Minsk (Times, Daily News). - L'atti-
tude du socialisme britannique ; le
« Comité d'action » (Morning Post, Daily
Telegraph, Daily Express, Daily He-
rald).
PRESSE HOLLANDAISE. — L'état d'esprit dans
les pays rhénans (Nieuwe Rotterdam-
sche Courant).
PRESSE ITALIENNE. — L'entrevue Sforza-Tus-
zar (Idea Nazionale, Giornale d'italia).
— L'Italie et le Monténégro (Idea Nazio-
nale).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
« L'ENTENTE EN DANGER » [sous ce
titre. — Cf. Bulletin n° 1522, pages 1-2]. —
De Paris : Nous avons manifestement at-
teint le point où l'Entente a cessé d'être une
réalité. Il faut que nous lui redonnions une
vie réelle ; mais nous ne pouvons y parve-
nir en discutant avec plus ou moins de vio-
lence chacune des questions qui surgit. Il
nous faut travailler sur un ensemble de
principes bien définis. Il nous faut arriver à
un accord général, à un accord qui ne s ap-
plique pas seulement à telle ou telle ques-
tion! particulière.
i
[Actuellement] l'Entente est une Entente
sans programme déterminé ni politique cen-
trale. Invariablement, les représentants des
deux pays se rencontrent dans un esprit
quelque peu hostiles. Quelquefois, comme
aujourd'hui, nous sommes à la veille d'une
rupture, bien qu'une telle perspective pa-
lisse au jugement de tous comme impos-
sible. Il est certain que constamment nous
sommes dans la même situation que le gou-
vernement et l'opposition. La France se
Plaint parce que, à chaque occasion nou-
velle, elle représente l'opposition. Souvent
elle renverse les plans britanniques, mais
elle n'y réussit que par des moyens indi-
rects, augmentant ainsi les difficultés. C'est
ainsi qu'elle en a agi au moment de Prin-
kipo, ainsi qu'elle en a agi à Spa, et une
fois de plus, ou peu s'en faut, à propos de la
question polonaise. Peut-être n'est-il jamais
venu à l'esprit des gens qui en sont venus à
considérer les entrevues Llovd George-Mil-
lerand comme des conflits diplomatiques,
qu'une telle attitude se traduira inexorable-
ment par la fin de l'Entente.
Nous avons donné notre diagnostic du
mal; nous en avons indiqué les causes. Si
nous voulons maintenant en chercher la
guérison, il faut affirmer franchement qtw
le premier remède, et le plus indispensable,
est la modification radicale de l'état d'esprit
actuel de nos diplomates. D'un côté comme
de l'autre ils doivent comprendre ce qu'est
une Entente et ce qu'elle n'est pas..
Ce n'est pas une association dans laquelle
chacun des deux partis essaie constamment
d'avoir le dessus. Pour parler franc — et
c'est une nécessité impérieuse — la disso-
lution de l'Entente date réellement du jour
où M. Millerand a proclamé son intention de
pénétrer en Allemagne « avec ou sans les
Alliés ». Ces paroles ont sonné le glas de
l'Entente. Néanmoins la France a trop be-
soin de l'Angleterre, et l'Angleterre trop
besoin de la France, pour que cet incident
seul suffise à détruire l'Entente, mais il y
a malheureusement des raisons de craindre
que la philosophie qui. a dicté cette attitude
soit la philosophie qui inspire maintes ac-
tions politiques. C'est une manifestation de
nationalisme. Or le nationalisme est parfai-
tement légitime. ; mais il peut trop aisé-
ment d'avenir anti-ententiste. Une Entente
exige jusqu'à un certain point la subordina-
tion du nationalisme.
La diplomatie nouvelle [d'autre part],
s'est complue à une nouvelle espèce de duel
On a employé les canons à longue portée de
la presse ; et des deux côtés on tire à toute
vitesse. Quiconque, par exemple, s'est
trouvé à San Remo (et ceci s'applique égale-
ment aux conférences plus récentes) doit
être parfaitement conscient que la Presse
a été manipulée tant par l'Angleterre que
par la France pour faire céder le parti ad-
verse. Pratique dangereuse! De telles vic-
toires sont chèrement payées. Elles s'achè-
tent au prix de l'Entente.
Ç'a été une faute, une faute presque
fatale, que d'annoncer solennellement que
dorénavant l'Entente n'existait plus en ce
qui touchait aux affaires de Russie. On s'est
accordé pour déclarer que la Grande-Rreta-
gne et la France négocieraient séparément.
La France a répudié toute responsabilité
pour la présence de Krassine à Londres.
Elle a proclamé dès l'origine, qu'elle ne
prendrait aucune part aux négociations.
Il est, natllrellement, toujours possible de
se retirer d'une association; mais lorsque
la politique est manifestement différente,
comme elle l'est depuis longtemps sur la
question russe, on ne peut pas en même
temps rester dans l'association et prendre
une position indépendante. Une Entente ne
peut pas non plus n'opérer que spasmodi-
quement. On ne saurait nier, sur ce point,
la nécessité notoire de chercher une for-
mule acceptable ; et il faut admettre que
cette recherche doit prendre le pas sur tout
le reste si l'Entente doit continuer à vivre.
Le péril que court l'Entente peut être con-
juré ainsi si l'on examine froidement les
faits de chaque côté de la Manche. Nous
devons reconnaître qu'il y a certaines cho-
ses auxauelles l'Angleterre ne peut pas
consentir; qu'il en est d'autres auxquelles
la France ne peut pas souscrire ; qu'une En-
tente se traduit par une concession sur un
point, une insistance amicale sur un autre.
Et, ayant décidé que l'Entente ne peut pas
signifier la domination de la Grande-Breta-
gne ou la domination de la France; mais
qu'elle est infiniment digne des sacrifices
qu'elle peut exiger, nous devons par loyauté
à l'association nous garder de fulminer et
de vitupérer.
Mais il reste encore quelque chose à faire.
Si les diplomates doivent cesser d'essayer
de se jouer l'un l'autre en Syrie, à Constan-
tinople. en Allemagne, en Russie, en Polo-
gne; si les politiciens doivent cesser d'in-
sulter l'autre nation pour marquer un point
dans les débats parlementaires ; si la Presse
doit comprendre son véritable rôle; il n'en
reste pas moins vrai que beaucoup de mal
a déjà été fait. En France (je puis en four-
nir un témoignage personnel), le poison est
répandu dans tout l'organisme. Le traite-
ment indiqué sera lent; mais un remède
plus rapide serait trouvé si M. Lloyd Geor-
ge, si M. Millerand ou d'autres hommes
d'Etat éminents, exprimaient en termes gé-
néreux le profond besoin qu'ont deux na-
tions l'une de l'autre. Il y a longtemps que
nous n'avons entendu autre chose qu'allu-
sions conventionnelles, ou peu aimables à
la nation voisine. Commençons dès main-
tenant une vaste campagne pour ranimer
la confiance et faire revivre l'affection des
deux races.
ORSERVER, 15.8.
r
FRANCE ET ALLEMAGNE
L'ETAT D'ESPRIT DANS LES PAYS
RHENANS. — Les maigres résultats obte-
nus par d'Allemagne à Spa ont eu la
plus douloureuse répercussion, non seule-
ment dans les milieux industriels, mais
aussi dans les milieux ouvriers. On déses-
père plus que jamais de d'avenir. Des plans
en vue du prochain coup de force ont été
découverts.
Le précédent avait commencé par une
grève générale. On a l'intention, lors du
prochain, de faire occuper de nuit les fabri-
ques par des hommes armés et de faire
continuer le travail, en gardant comme ota-
ges les directeurs et autres chefs. On est
las de vivre sous un joug éternel et on ne
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