Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-06-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 juin 1920 12 juin 1920
Description : 1920/06/12 (T15,N1472). 1920/06/12 (T15,N1472).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6238479r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
-V ~:
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J MINrSTERES
DES
ttt HES ËTRANGERES
Ir DE LA GUERRE
1 N° 1472
Samedi 12 Juin 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
I NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui *M 1 W résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
I Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
f SOMMAIRE
PresseA^LIrMANDE- — Les livraisons de char-
bori a la France (Post). — Les clauses
miiitl- res du Traité (Dr Gessler, minis-
tre de la Défense d'empire dans Frank-
jw Zeitung).- La politique britan-
plque et les bolcheviks (H. R. dans
fDst). - Allemagne et Japon : déclara-
pti olis du Dr Solf (VOssische Zeitung). —
* WPou r un gouvernement de droite (Frank-
(Urter ZHtunq).
PftEsSP M^R1CAINE* - Les possibilités d'in-
; (Nrvenhon de Société des Nations
fÀ^ York Times). — Le Parti du Tra-
Van en Amérique et en France (Was-
T Post). - La marine des Etats-
ma~ : ,J'amiral Simset le ministre de la
t canne Daniels (Chicago Tribune, Chi-
ago Daily News.
(ManrhRester - Le conflIt de Teschen
lero
lers anglo-russes et l'offensive du géné-
W"1** (Evening Standard, Daily
Ws).
té r:AGl"\OLE. — Les possibilités d'in-
- 0n de la Société des Nations
P orrespondencia de España).
I0LLANDAISE- —Interview de M. Bi-
P deebaaariay (Telegraaf).
P~~s SE ITALIENNE. — Le mouvement gré-
• viSfp ®n France (Avanti). — La crise
v Ministérielle (Corriere della Sera, Gior-
rierP- d' Gazzetta del Povolo, Cor-
riere d'Italia; Mussolini dans Popolo
1 POLITIQUE GENERALE
1 ET DIPLOMATIE
'———
I ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
i éieA^C^GVRAïS0]SfS DE CHARBON A LA
ées rmr jilauteur rappelle les plaintes
et ees par ndustrie allemande et les
sin^ties n ï Erzberger à la France ; il
djnale qUe Puis la ratification du traité
rdje V
trôpe fronçai!1 e des commissions de con-
c ans, ta situ ef dans le syndicat des char-
rle °n a encore empiré. Durant
ti chaTbo re semaine, pas un seul wagon
de eh Qrb de la Ruhr ne serait parvenu à
îiïiçi Jtstrie a]f0 mande. Toute la production
TtlQrnHesi nlnf en France. L'Allemagne du
lùe f tout entv,V^a^e et l'industrie alle-
IW l'A.ll entilère comme la vie economi-
Cie 1, Allernag., se trouvent menacées.
es COnditions, la France devrait st,
est l'Allemagne pourrait
ét'e clair qU e faire droit à ses obligations
I t r que, pendant quelques semaines,
quelques mois peut-être, cette politique d'a-
néantissement et de chantage économiques
peut avoir un certain succès, mais toute la
vie économique allemande elle aussi s'effon-
drera ; sans compter que, l'outillage n'é-
tant pas renouvelé, la production des mi-
nes cessera bientôt. Mais ce qui est clair
avant tout c'est que cet arrêt de l'industrie
va avoir la répercussion la plus terrible
sur la situation des ouvriers allemands.
POST [de Berlin], 9.6, matin:
LES CLAUSES MILITAIRES LU TRAITE.
— Depuis mon entrée au ministère j'ai tout
fait pour exécuter aussi loyalement que
possible toutes les clauses du traité de paix.
Je suis heureux de voir que, du côté de
l'Entente, on commence à reconnaître que
nous comptons sérieusement remplir nos
engagements. Je crois avoir servi ainsi au
mieux les intérêts du peuple allemand et
avoir établi une base pour qu'il puisse se
faire une entente sur les points qui seront
discutés à Spa et dont l'exécution pratique
est impossible et, si on voulait l'obtenir par
force, menacerait d'ébranler fortement non
seulement l'Allemagne, mais encore l'Euro-
pe tout entière.
Rien que la solution du problème-de l'of-
ficier montre les prodigieuses difficultés
que suscitera l'exécution des clauses mili-
taires du traité de paix. C'est que sur 30.000
officiers de carrière, 20.000 doivent être li-
cenciés et il y en aurait encore des milliers
d'autres à congédier si nous ne devions
avoir vraiment qu'une armée de 100.000
hommes. Il faut ajouter à cela que les temps
nouveaux veulent qu'un pourcentage assez
important de sous-officiers soient nommés
aux quelques grades d'officiers qui exis-
tent.
Le journal parisien Excelsior (3 juin), en
prétendant ces jours-ci que je n'étais pas
tout à fait hostile aux projets de Dorten, se
trompe absolument. L'unité de l'Empire
passe tout pour moi. Certesr je suis Bava-
rois et suis attaché à ma belle patrie bava-
roise et à ses robustes habitants, mais
avant tout je suis Allemand. — Dr Gessler.
ministre de la Défense d'Empire.
FRANKFURTER ZEITUNG;
6-6, matin.
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
SES POSSIBILITES D INTERVENTION.
— OPINION AMÉRICAINE. - - Lord. Robert Cecil
a semblé croire ces temps derniers que la
Société des Nations pourrait intervenir en-
tre les Polonais et les Bolcheviks et arrêter
la lutte. C'était méconnaître les conditions
actuelles. La Société, telle qu'elle est cons-
tituée, ne peut avoir d'action que sur un
monde ordonné comme L'était celui de 1914.
Si la Société alors eût existé, il est
probable que l'Etat qui aurait pensé à la
guerre eût été découragé par 'l'hostilité de
l'opinion de tous et par la levée de l'intérêt
de tous contre ile perturbateur de la paix.
Si cet Etat avait persisté, on lui eût appli-
qué le blocus économique. Si ce blocus fût
demeuré sans effet, d'Etat guerrier aurait
vu se dresser contre lui les nations directe-
ment menacées, c'est-à-dire celles seule-
ment qui eussent préféré la guerre. Dans
l'état actuel des choses, dans un monde en-
core en désordre et où tant d'obstacles s'op-
posent à une action concertée, on peut dou-
ter que la Société, ne puisse empêcher une
guerre, si ce n'est entre les plus petits
Etats ; les conditions économiques ont créé
un état qui équivaut au blocus de plusieurs
nations et le sentiment de l'intérêt commun
n'est pas encore assez fort pour amener les
nations à une action militaire: lorsque leur
propre sécurité n'est pas visiblement me-
nacée. Dans une, dizaine d'années, les cho-
ses seront sans doute différentes, au moins
pouvons-nous l'espérer. Actuellement, Lord
Robert, avec les meilleures intentions, ne
pourrait que briser le mécanisme de la
Société en l'appliquant à une tâche impos-
sible.
NEW YORK TIMES, 24.5.
OPINION ESPAGNOLE. — La Perse est mem-
bre de la Société des nations ; la Russie
ne l'est pas. Le Conseil devrait donc com-
mencer par inviter le gouvernement russe
à accepter la médiation de la Société des
Nations. Mais si elle le faisait, cela équi-
vaudrait implicitement à prendre collective-
ment des décisions tout à fait graves, que
n'ont pas encore voulu prendre séparément
les Etats qui font partie de la Société des
Nations. En premier lieu, le gouvernement
des Soviets serait reconnu « ipso facto »,
comme un gouvernement de droit. Et com-
me conséquence de ces négociations, un
état permanent de rapports entre la Société
des Nations et le gouvernement des Soviets
serait institué en vue d'assurer et de con-
trôler l'exécution des accords conclus. Ces
conséquences de la démarche entreprise par
la Perse pour solliciter l'intervention de la
Société des Nations posent à tous les EtfltCJ
qui font partie de cette Société — et l'Espa-
gne est du. nombre — une question intéres-
sante.
Ne serait-il pas prématuré de mettre en
mouvement le mécanisme encore débile de
la Société des Nations à cause d'un incident
surgi sur les bords de la mer Caspienne en-
tre un gouvernement musulman médiatisé
et un gouvernement.— celui des Soviets —
qu'aucune grande Puissance du monde civi-
lisé n'a reconnu ?
Il serait véritablement lamentable que
pour une cause de si peu d'importance on
compromette dans la plus petite mesure
le pacte d'e la Société des Nations, qui, il
faut y songer, est une des bases princi-
pales du Traité de Versailles.
CORRESPONDENCIA DE ESPANA, 7.6.
L'EUROPE CENTRALE
LE CONFLIT DE TESCHEN. — Il sem-
ble fort heureusement qu'un conflit armé
entre la Pologne et la Tchéco-Slovaquie à
propos de Teschen puisse être évité ; la. nou-
velle annonçant la rupture des relations di-
plomatiques était controuvée, et, malgré
la tension des esprits en Pologne, il ne pa-
raît. pas que le résultat des opérations de
Russie doive encourager le gouvernement de
Varsovie à augmenter l'étendue de ses char-
ges militaires.
~t t
J MINrSTERES
DES
ttt HES ËTRANGERES
Ir DE LA GUERRE
1 N° 1472
Samedi 12 Juin 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
I NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui *M
I Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
f SOMMAIRE
PresseA^LIrMANDE- — Les livraisons de char-
bori a la France (Post). — Les clauses
miiitl- res du Traité (Dr Gessler, minis-
tre de la Défense d'empire dans Frank-
jw Zeitung).- La politique britan-
plque et les bolcheviks (H. R. dans
fDst). - Allemagne et Japon : déclara-
pti olis du Dr Solf (VOssische Zeitung). —
* WPou r un gouvernement de droite (Frank-
(Urter ZHtunq).
PftEsSP M^R1CAINE* - Les possibilités d'in-
; (Nrvenhon de Société des Nations
fÀ^ York Times). — Le Parti du Tra-
Van en Amérique et en France (Was-
T Post). - La marine des Etats-
ma~ : ,J'amiral Simset le ministre de la
t canne Daniels (Chicago Tribune, Chi-
ago Daily News.
(ManrhRester - Le conflIt de Teschen
lero
lers anglo-russes et l'offensive du géné-
W"1** (Evening Standard, Daily
Ws).
té r:AGl"\OLE. — Les possibilités d'in-
- 0n de la Société des Nations
P orrespondencia de España).
I0LLANDAISE- —Interview de M. Bi-
P deebaaariay (Telegraaf).
P~~s SE ITALIENNE. — Le mouvement gré-
• viSfp ®n France (Avanti). — La crise
v Ministérielle (Corriere della Sera, Gior-
rierP- d' Gazzetta del Povolo, Cor-
riere d'Italia; Mussolini dans Popolo
1 POLITIQUE GENERALE
1 ET DIPLOMATIE
'———
I ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
i éieA^C^GVRAïS0]SfS DE CHARBON A LA
ées rmr jilauteur rappelle les plaintes
et ees par ndustrie allemande et les
sin^ties n ï Erzberger à la France ; il
djnale qUe Puis la ratification du traité
rdje V
trôpe fronçai!1 e des commissions de con-
c ans, ta situ ef dans le syndicat des char-
rle °n a encore empiré. Durant
ti chaTbo re semaine, pas un seul wagon
de eh Qrb de la Ruhr ne serait parvenu à
îiïiçi Jtstrie a]f0 mande. Toute la production
TtlQrnHesi nlnf en France. L'Allemagne du
lùe f tout entv,V^a^e et l'industrie alle-
IW l'A.ll entilère comme la vie economi-
Cie 1, Allernag., se trouvent menacées.
es COnditions, la France devrait st,
est l'Allemagne pourrait
ét'e clair qU e faire droit à ses obligations
I t r que, pendant quelques semaines,
quelques mois peut-être, cette politique d'a-
néantissement et de chantage économiques
peut avoir un certain succès, mais toute la
vie économique allemande elle aussi s'effon-
drera ; sans compter que, l'outillage n'é-
tant pas renouvelé, la production des mi-
nes cessera bientôt. Mais ce qui est clair
avant tout c'est que cet arrêt de l'industrie
va avoir la répercussion la plus terrible
sur la situation des ouvriers allemands.
POST [de Berlin], 9.6, matin:
LES CLAUSES MILITAIRES LU TRAITE.
— Depuis mon entrée au ministère j'ai tout
fait pour exécuter aussi loyalement que
possible toutes les clauses du traité de paix.
Je suis heureux de voir que, du côté de
l'Entente, on commence à reconnaître que
nous comptons sérieusement remplir nos
engagements. Je crois avoir servi ainsi au
mieux les intérêts du peuple allemand et
avoir établi une base pour qu'il puisse se
faire une entente sur les points qui seront
discutés à Spa et dont l'exécution pratique
est impossible et, si on voulait l'obtenir par
force, menacerait d'ébranler fortement non
seulement l'Allemagne, mais encore l'Euro-
pe tout entière.
Rien que la solution du problème-de l'of-
ficier montre les prodigieuses difficultés
que suscitera l'exécution des clauses mili-
taires du traité de paix. C'est que sur 30.000
officiers de carrière, 20.000 doivent être li-
cenciés et il y en aurait encore des milliers
d'autres à congédier si nous ne devions
avoir vraiment qu'une armée de 100.000
hommes. Il faut ajouter à cela que les temps
nouveaux veulent qu'un pourcentage assez
important de sous-officiers soient nommés
aux quelques grades d'officiers qui exis-
tent.
Le journal parisien Excelsior (3 juin), en
prétendant ces jours-ci que je n'étais pas
tout à fait hostile aux projets de Dorten, se
trompe absolument. L'unité de l'Empire
passe tout pour moi. Certesr je suis Bava-
rois et suis attaché à ma belle patrie bava-
roise et à ses robustes habitants, mais
avant tout je suis Allemand. — Dr Gessler.
ministre de la Défense d'Empire.
FRANKFURTER ZEITUNG;
6-6, matin.
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
SES POSSIBILITES D INTERVENTION.
— OPINION AMÉRICAINE. - - Lord. Robert Cecil
a semblé croire ces temps derniers que la
Société des Nations pourrait intervenir en-
tre les Polonais et les Bolcheviks et arrêter
la lutte. C'était méconnaître les conditions
actuelles. La Société, telle qu'elle est cons-
tituée, ne peut avoir d'action que sur un
monde ordonné comme L'était celui de 1914.
Si la Société alors eût existé, il est
probable que l'Etat qui aurait pensé à la
guerre eût été découragé par 'l'hostilité de
l'opinion de tous et par la levée de l'intérêt
de tous contre ile perturbateur de la paix.
Si cet Etat avait persisté, on lui eût appli-
qué le blocus économique. Si ce blocus fût
demeuré sans effet, d'Etat guerrier aurait
vu se dresser contre lui les nations directe-
ment menacées, c'est-à-dire celles seule-
ment qui eussent préféré la guerre. Dans
l'état actuel des choses, dans un monde en-
core en désordre et où tant d'obstacles s'op-
posent à une action concertée, on peut dou-
ter que la Société, ne puisse empêcher une
guerre, si ce n'est entre les plus petits
Etats ; les conditions économiques ont créé
un état qui équivaut au blocus de plusieurs
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n'est pas encore assez fort pour amener les
nations à une action militaire: lorsque leur
propre sécurité n'est pas visiblement me-
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pouvons-nous l'espérer. Actuellement, Lord
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pourrait que briser le mécanisme de la
Société en l'appliquant à une tâche impos-
sible.
NEW YORK TIMES, 24.5.
OPINION ESPAGNOLE. — La Perse est mem-
bre de la Société des nations ; la Russie
ne l'est pas. Le Conseil devrait donc com-
mencer par inviter le gouvernement russe
à accepter la médiation de la Société des
Nations. Mais si elle le faisait, cela équi-
vaudrait implicitement à prendre collective-
ment des décisions tout à fait graves, que
n'ont pas encore voulu prendre séparément
les Etats qui font partie de la Société des
Nations. En premier lieu, le gouvernement
des Soviets serait reconnu « ipso facto »,
comme un gouvernement de droit. Et com-
me conséquence de ces négociations, un
état permanent de rapports entre la Société
des Nations et le gouvernement des Soviets
serait institué en vue d'assurer et de con-
trôler l'exécution des accords conclus. Ces
conséquences de la démarche entreprise par
la Perse pour solliciter l'intervention de la
Société des Nations posent à tous les EtfltCJ
qui font partie de cette Société — et l'Espa-
gne est du. nombre — une question intéres-
sante.
Ne serait-il pas prématuré de mettre en
mouvement le mécanisme encore débile de
la Société des Nations à cause d'un incident
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tre un gouvernement musulman médiatisé
et un gouvernement.— celui des Soviets —
qu'aucune grande Puissance du monde civi-
lisé n'a reconnu ?
Il serait véritablement lamentable que
pour une cause de si peu d'importance on
compromette dans la plus petite mesure
le pacte d'e la Société des Nations, qui, il
faut y songer, est une des bases princi-
pales du Traité de Versailles.
CORRESPONDENCIA DE ESPANA, 7.6.
L'EUROPE CENTRALE
LE CONFLIT DE TESCHEN. — Il sem-
ble fort heureusement qu'un conflit armé
entre la Pologne et la Tchéco-Slovaquie à
propos de Teschen puisse être évité ; la. nou-
velle annonçant la rupture des relations di-
plomatiques était controuvée, et, malgré
la tension des esprits en Pologne, il ne pa-
raît. pas que le résultat des opérations de
Russie doive encourager le gouvernement de
Varsovie à augmenter l'étendue de ses char-
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