Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-05-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 mai 1920 22 mai 1920
Description : 1920/05/22 (T15,N1455). 1920/05/22 (T15,N1455).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6238462g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
*''aires étrangères
IT DE LA GUERRE
N° 1455
Samedi 22 mai 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui mm éM
resumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait*
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
MlVi AI K ± £
PRESSE ALLEMANDE. — La fixation de i'indem-
nité allemande (Dr Félix Pinner dans
Berliner Tageblatt ; Georg Haller dans
Neuc Badische Landeszeitung ; Frank
(tain- Zeitung ; KodrAsche Zeitung),
une déclaration du ministre des Finan-
ces allemand (Rheinisch-Wcstfaelische
Zeitung). — Déclarations électorales du
comte Bernstorff (Vossische Zeitung).
PHESSE ANGLAISE. — Les opérations des trou-
pes russes en Perse (Times, Morning
Past, Daily News, Daily >Herald).
■SSE ITAtiENNE. — Les négociations entre
1 Italie et les Yougoslaves (Idea Nazio-
naley Secolo). — La crise ministérielle :
la nouvelle combinaison Nitti (Stampa,
(;¡('Tï!(/Ie d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LEs ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
JJrtA FIXATION DE L'INDEMNITE ALLE-
~is? - La déclaration de Hythe ne
go SSe T'len présager de bon pour l'Allema-
§ne ri la Conférence de Spa. L'Allemagne
tioit af re mise à même par une prompte
exéciit-0n de ses obligations de recouvrer
s°n a tom*. € financière ». Cela a l'air d'un
bienf 31 que recevrait l'Allemagne, tandis
qu'ena. c'est lui permettre de payer ses
dettes atl&s,l vite que possible. Pour arriver
à og ultat, deux moyens sont possibles.
Tom ^bord, le système jusqu'ici employé
denpir6Vce par les Alliés, et qui consiste à
chican ®r Allemagne au point de vue poli-
tiqu et économique, peut être écarté, ou
tout au Moi'ns atténué, au point que l'Alle-
""Igne PUIS.Se développer plus largement ses
force, ^, onorndques. Notre production se
ti, Ouverait ainsi augmentée, de sorte que
serions mieux à même de faire face
aux obr
Dn sObhgations concernant les réparations.
Un second moyen en dehors d'une augmen-
hâter Ide notre production permettrait de
dernnit e paiement des indemnités. Les in-
demnités de guerre peuvent être fixées de
Manière h urnaine et à une somme supporta-
b,e PonV. lemaffne.
On cherche visiblement à faire que l'an-
nuité que l'Allemagne doit payer aux Alliés
afin ? 1 Allemagne doit payer aux Alliés
afin aiiL - sée sous forme d'un emprunt,
que les Etats alliés qui ont besoin d'ar-
gent soient à même de liquider dès mainte-
nant cette dette, c est-à-dire de la réescomp-
ter. Peut-être les Alliés, comptent-ils que
l'Amérique se chargera de ces emprunts,
mais la crise financière qui sévit depuis
quelque temps aux Etats-Unis, comme aussi
la crise affectant le crédit, rendent peu pro-
bable que le gouvernement américain donne
son approbation à des opérations de crédit
aussi formidables.
C'est très joli aussi aux Alliés de déclarer
qu'il est nécessaire de « régler toutes les
charges internationales résultant de la
guerre » afin qu'on puisse « rétablir défini-
tivement l'ère de paix ». Mais si on regarde
les choses de plus près, on voit qu'en réalité
c'est uniquement les charges de guerre des
pays ALLIÉS qui doivent être combinées avec
les charges de réparation des puissances
centrales, mais les emprunts de guerre des
Etats VAINCUS ne doivent pas, eux, être in-
corporés dans ce système de solidarité in-
ternationale.
On ne nous fera l'honneur de nous
admettre dans la communauté financière in-
ternationale que pour ce qui concerne la par-
tie de nos dettes dont l'Entente est créan-
cière, tandis que nous serons libres de faire
avec nos propres charges de guerre ce que
nous voulons. La chose principale est de sa-
voir ce que l'Amérique, qui a les charges de
guerre les moins lourdes, et qui, d'autre
part, a le plus d'argent, dira de tout ce pro-
jet et quel rôle on lui octroiera. La déclara-
tion de Folkestone soulève de grands pro-
blèmes, mais elle ne montre pas encore le
moyen de les résoudre. — D. Félix Pinner.
BERLINER TAGEBLATT, 18.5.
— La nouvelle nous parvient de Paris que
les chefs des gouvernements de l'Entente se
sont mis d'accord pour exiger de l'Allema-
gne une indemnité de 120 milliards de
marks-or payable en 33 annuités.
On peut considérer une partie de cette
somme comme l'expression de la complai-
sance par laquelle Lloyd George, à San
Remo, a empêché une rupture de l'Entente
par suite du différend franco-anglais. Et
cela lui était d'autant plus facile que la
chose se faisait aux dépens de l'Allemagne.
Malgré tout ce que l'Entente, depuis la con-
clusion de l'armistice, a voulu nous impo-
ser, nous devons espérer, devant cette exi-
gence, qu'il ne s'agit pas là du dernier
mot de la partie adverse ; sinon ce serait
ajouter aux nombreuses conditions inexé-
cutables une nouvelle exigence bien faite
pour ôter au peuple allemand, écrasé par
une charge fiscale formidable, tout esprit
d'entreprise et tout courage.
Est-ce précisément ce but que l'on vou-
drait atteindre ? Cela est peu probable,
étant données les expériences que les pays
de l'Entente ont faites eux aussi avec les
variations du charité et c'est pourquoi la
somme indiquée ne peut faire que l'objet
de négociations à Spa.
Tout homme, et l'homme d'affaires an-
glais avant tout, comprend que l'Allemagne
ne peut pas fournir ce qu'on lui demande,
mais qu'il faut procéder à une révision du
Traité de Versailles. Sinon l'Allemagne
sombrera au point de vue économique et la
France subira le même sort. — (Georg Hal-
ler.)
NEUE BADISCHE LANDES-ZEITUNG,
18.5.
— Le texte prodigieusement obscur de la
déclaration officielle de Hythe signifie eri-
réalité, d'après le Daily News, à peu près
ceci : la Grande-Bretagne est d'accord pour
que la France, à l'égard de laquelle elle se
trouve dans la situation dun créancier vis-
à-vis d'un débiteur, n'ait à payer ses dettes
à ses alliés britanniques, que dans la me-
sure où elle recevra des indemnités de l'Al-
lemagne. Or, s'il arrive que l'Allemagne ne
soit pas en état, dans les deux années qui
vont suivre, de payer une indemnité, la
France, durant cette période, n'aura pas à
effectuer le paiement de ses dettes à la
Grande-Bretagne, Et si le paiement des in-
demnités doit s'étendre pour l'Allemagne
sur une période de trente années, le paie-
ment de la dette française à la Grande-Bre-
tagne s'étendra également sur trente an-
nées.
Le Daily News ajoute que cet accord est
beaucoup moins que ce que la France at-
tendait ; qu'il ne concerne que les dettes de
la France vis-à-vis de l'Angleterre et non
le paiement des dettes de la France aux
Etats-Unis, bien que — la plupart des dettes
de la France en Amérique ayant été reprises
par l'Angleterre — la concession de Hythe
ait une ZD signification plus grande qu'on
pourrait le croire.
Quoi qu'il en soit, le soulagement que
l'Angleterre accorde là à la France n'est cer-
tainement qu'un commencement. Mais le
fait qu'il y ait un tel commencement est un
progrès que nous aussi pouvons accueillir
avec une vive satisfaction. Nous ne pen-
sons nullement à nier les difficultés de la
situation financière de la France ; le niveau
très bas du franc français le montre suffi-
samment. Nous avons aussi la ferme vo-
lonté de faire, dans les limites du possible,
ce que nous pourrons pour alléger les sou-
cis de la France, mais ce contre quoi nous
nous élevons, c'est l'idée fausse que l'on
se fait que l'Allemagne pourrait, seule, re-
médier à toute la détresse économique des
vainqueurs.
FRANKFURTER ZEITUNG,
19-5 matin.
— L'opinion de la presse française reste
incertaine au sujet du résultat de l'entrevue
de Hythe. Cette incertitude a été favorisée,
comme l'a dit un journal, du fait que les
communiqués officiels sur le résultat de
Hythe ont posé une énigme à l'opinion pu-
blique. Mais, depuis, la presse française et
la presse anglaise ont contribué à résoudre
cette énigme, et ce qui restait obscur a été
soudainement éclairé par la démission brus-
que de M. Poincaré de ses fonctions de pré-
sident de la Commission des Réparations.
L'ancien Président de la République, qui
avait déjà conduit, lors de San Remo, le
chœur des mécontents avait été fortement
blân é pour cela par un journal anglais :
« Coi. merit pouvait-il, comme président
d'une commission interalliée, discréditer pu-
DES
*''aires étrangères
IT DE LA GUERRE
N° 1455
Samedi 22 mai 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui mm éM
resumés, il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait*
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
MlVi AI K ± £
PRESSE ALLEMANDE. — La fixation de i'indem-
nité allemande (Dr Félix Pinner dans
Berliner Tageblatt ; Georg Haller dans
Neuc Badische Landeszeitung ; Frank
(tain- Zeitung ; KodrAsche Zeitung),
une déclaration du ministre des Finan-
ces allemand (Rheinisch-Wcstfaelische
Zeitung). — Déclarations électorales du
comte Bernstorff (Vossische Zeitung).
PHESSE ANGLAISE. — Les opérations des trou-
pes russes en Perse (Times, Morning
Past, Daily News, Daily >Herald).
■SSE ITAtiENNE. — Les négociations entre
1 Italie et les Yougoslaves (Idea Nazio-
naley Secolo). — La crise ministérielle :
la nouvelle combinaison Nitti (Stampa,
(;¡('Tï!(/Ie d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LEs ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
JJrtA FIXATION DE L'INDEMNITE ALLE-
~is? - La déclaration de Hythe ne
go SSe T'len présager de bon pour l'Allema-
§ne ri la Conférence de Spa. L'Allemagne
tioit af re mise à même par une prompte
exéciit-0n de ses obligations de recouvrer
s°n a tom*. € financière ». Cela a l'air d'un
bienf 31 que recevrait l'Allemagne, tandis
qu'ena. c'est lui permettre de payer ses
dettes atl&s,l vite que possible. Pour arriver
à og ultat, deux moyens sont possibles.
Tom ^bord, le système jusqu'ici employé
denpir6Vce par les Alliés, et qui consiste à
chican ®r Allemagne au point de vue poli-
tiqu et économique, peut être écarté, ou
tout au Moi'ns atténué, au point que l'Alle-
""Igne PUIS.Se développer plus largement ses
force, ^, onorndques. Notre production se
ti, Ouverait ainsi augmentée, de sorte que
serions mieux à même de faire face
aux obr
Dn sObhgations concernant les réparations.
Un second moyen en dehors d'une augmen-
hâter Ide notre production permettrait de
dernnit e paiement des indemnités. Les in-
demnités de guerre peuvent être fixées de
Manière h urnaine et à une somme supporta-
b,e PonV. lemaffne.
On cherche visiblement à faire que l'an-
nuité que l'Allemagne doit payer aux Alliés
afin ? 1 Allemagne doit payer aux Alliés
afin aiiL - sée sous forme d'un emprunt,
que les Etats alliés qui ont besoin d'ar-
gent soient à même de liquider dès mainte-
nant cette dette, c est-à-dire de la réescomp-
ter. Peut-être les Alliés, comptent-ils que
l'Amérique se chargera de ces emprunts,
mais la crise financière qui sévit depuis
quelque temps aux Etats-Unis, comme aussi
la crise affectant le crédit, rendent peu pro-
bable que le gouvernement américain donne
son approbation à des opérations de crédit
aussi formidables.
C'est très joli aussi aux Alliés de déclarer
qu'il est nécessaire de « régler toutes les
charges internationales résultant de la
guerre » afin qu'on puisse « rétablir défini-
tivement l'ère de paix ». Mais si on regarde
les choses de plus près, on voit qu'en réalité
c'est uniquement les charges de guerre des
pays ALLIÉS qui doivent être combinées avec
les charges de réparation des puissances
centrales, mais les emprunts de guerre des
Etats VAINCUS ne doivent pas, eux, être in-
corporés dans ce système de solidarité in-
ternationale.
On ne nous fera l'honneur de nous
admettre dans la communauté financière in-
ternationale que pour ce qui concerne la par-
tie de nos dettes dont l'Entente est créan-
cière, tandis que nous serons libres de faire
avec nos propres charges de guerre ce que
nous voulons. La chose principale est de sa-
voir ce que l'Amérique, qui a les charges de
guerre les moins lourdes, et qui, d'autre
part, a le plus d'argent, dira de tout ce pro-
jet et quel rôle on lui octroiera. La déclara-
tion de Folkestone soulève de grands pro-
blèmes, mais elle ne montre pas encore le
moyen de les résoudre. — D. Félix Pinner.
BERLINER TAGEBLATT, 18.5.
— La nouvelle nous parvient de Paris que
les chefs des gouvernements de l'Entente se
sont mis d'accord pour exiger de l'Allema-
gne une indemnité de 120 milliards de
marks-or payable en 33 annuités.
On peut considérer une partie de cette
somme comme l'expression de la complai-
sance par laquelle Lloyd George, à San
Remo, a empêché une rupture de l'Entente
par suite du différend franco-anglais. Et
cela lui était d'autant plus facile que la
chose se faisait aux dépens de l'Allemagne.
Malgré tout ce que l'Entente, depuis la con-
clusion de l'armistice, a voulu nous impo-
ser, nous devons espérer, devant cette exi-
gence, qu'il ne s'agit pas là du dernier
mot de la partie adverse ; sinon ce serait
ajouter aux nombreuses conditions inexé-
cutables une nouvelle exigence bien faite
pour ôter au peuple allemand, écrasé par
une charge fiscale formidable, tout esprit
d'entreprise et tout courage.
Est-ce précisément ce but que l'on vou-
drait atteindre ? Cela est peu probable,
étant données les expériences que les pays
de l'Entente ont faites eux aussi avec les
variations du charité et c'est pourquoi la
somme indiquée ne peut faire que l'objet
de négociations à Spa.
Tout homme, et l'homme d'affaires an-
glais avant tout, comprend que l'Allemagne
ne peut pas fournir ce qu'on lui demande,
mais qu'il faut procéder à une révision du
Traité de Versailles. Sinon l'Allemagne
sombrera au point de vue économique et la
France subira le même sort. — (Georg Hal-
ler.)
NEUE BADISCHE LANDES-ZEITUNG,
18.5.
— Le texte prodigieusement obscur de la
déclaration officielle de Hythe signifie eri-
réalité, d'après le Daily News, à peu près
ceci : la Grande-Bretagne est d'accord pour
que la France, à l'égard de laquelle elle se
trouve dans la situation dun créancier vis-
à-vis d'un débiteur, n'ait à payer ses dettes
à ses alliés britanniques, que dans la me-
sure où elle recevra des indemnités de l'Al-
lemagne. Or, s'il arrive que l'Allemagne ne
soit pas en état, dans les deux années qui
vont suivre, de payer une indemnité, la
France, durant cette période, n'aura pas à
effectuer le paiement de ses dettes à la
Grande-Bretagne, Et si le paiement des in-
demnités doit s'étendre pour l'Allemagne
sur une période de trente années, le paie-
ment de la dette française à la Grande-Bre-
tagne s'étendra également sur trente an-
nées.
Le Daily News ajoute que cet accord est
beaucoup moins que ce que la France at-
tendait ; qu'il ne concerne que les dettes de
la France vis-à-vis de l'Angleterre et non
le paiement des dettes de la France aux
Etats-Unis, bien que — la plupart des dettes
de la France en Amérique ayant été reprises
par l'Angleterre — la concession de Hythe
ait une ZD signification plus grande qu'on
pourrait le croire.
Quoi qu'il en soit, le soulagement que
l'Angleterre accorde là à la France n'est cer-
tainement qu'un commencement. Mais le
fait qu'il y ait un tel commencement est un
progrès que nous aussi pouvons accueillir
avec une vive satisfaction. Nous ne pen-
sons nullement à nier les difficultés de la
situation financière de la France ; le niveau
très bas du franc français le montre suffi-
samment. Nous avons aussi la ferme vo-
lonté de faire, dans les limites du possible,
ce que nous pourrons pour alléger les sou-
cis de la France, mais ce contre quoi nous
nous élevons, c'est l'idée fausse que l'on
se fait que l'Allemagne pourrait, seule, re-
médier à toute la détresse économique des
vainqueurs.
FRANKFURTER ZEITUNG,
19-5 matin.
— L'opinion de la presse française reste
incertaine au sujet du résultat de l'entrevue
de Hythe. Cette incertitude a été favorisée,
comme l'a dit un journal, du fait que les
communiqués officiels sur le résultat de
Hythe ont posé une énigme à l'opinion pu-
blique. Mais, depuis, la presse française et
la presse anglaise ont contribué à résoudre
cette énigme, et ce qui restait obscur a été
soudainement éclairé par la démission brus-
que de M. Poincaré de ses fonctions de pré-
sident de la Commission des Réparations.
L'ancien Président de la République, qui
avait déjà conduit, lors de San Remo, le
chœur des mécontents avait été fortement
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