Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-03-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 mars 1920 27 mars 1920
Description : 1920/03/27 (T14,N1411). 1920/03/27 (T14,N1411).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6254977z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MIN, STTRFS
DES
luD/ ETRANGERES
I>E LA GUERRE
N° 1411
Samedi 27 mars 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont Am
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraite
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^se A
ANDE. - Le traité de Ver-
Ailles et Sélection présidentielle aux
Êtat,iTT. ?ls (Frankfurter Zeitung). —
Les
Ht, rï a^ons de M. Millerand au
le g Chronicle (Koelnische Zeitung). —
Le LOuP d'Etat militaire. — Le rôle
de Lild elidorff (Frankfurter Zeitung,
^/•eur l^Un9> Deutsche Zeitung, Lokal-
4-nzeIQ Deutsche Allgemeine Zei-
'Un9)
!\t;SSEA
et ER;çAiNE.—Le traité de Versailles
et élection - présidentielle (Evening
\t'orld) 16 déclaration de M. Hoover
OPID). _— « Une armée française
irnes) d'hommes » (New York
Alliés ) , - Le Président Wilson et ses
(N ezv ydans la question adriatique.
(N'u, y xork Times.)
PRESSE ANGLAISE. - Les frontières orien-
dian) e a Pologne (Manchester Guar-
(Daily. - Un complot international
Landaise-
de SE. *— Le coup d'Etat
(Nieuerhn, — Le rôle de Ludendorff
che p We R.otterdamsche Courant, Haags-
e p Algemeen Han-
dll3b Q , Volk).
af'riati^OUGosLAVE- — La question
lt4le ~a"que * Une séance secrète au par-
* de Belgrade (Samouprava).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
S ÉTATS-UNIS ET
RAI TÉ DE VERSAILLES
'II) 't~ *
FCET L'ÉLECTICN PRÉ-
S LE. — Le pays demeure sous
fta^preoeT »S^*11 erronée que le Sénat et la
A&lannk
~d tlll traliche Se soucient de la ratifica-
tion du traité de paix avec l'Allemagne.
ïfo (h en S .agit en réalité à Washington,
rrii »r le voisin ». Voici le trai-
Nf » q~e * Wilson a établi. Voici le
1!/ &rves ajoutées par M. Lodge
u ajoutées par M. Lodge
\It h, V c. cc au traité que M. Wilson
S V0• l'amendement de M. Hitch-
2®nix deïsZ tin \ïl combattre les réserves
~e~ M. Lodge, pour faire échec
îC^lé6 m M. Wi isort a établi. VoMi
~A~n~ Borah à Hitchcock. Voi-
£ Résolution de M. Wilson pour
4Kt .t r atp 8
:. tr-a..!'ate.s d désir grandissant chez les
?Àa.iï^es dû sauver d'un échec complet
vj. Qhtt M. "Wilson ■ a lui-même établi.
~i~ qui contemple avec une
S
3WC1 e^si0n 6 -Un écœurement plus ac-
qUe jour, le grincement des
oppositions et des contre oppositions qui re-
tardent une paix, due, non en vérité à M.
Wilson, mais aux efforts et aux sacrifices
de l'Amérique, aux souffrances de l'Eu-
rope et au cours fatal des événements his-
toriques. Quel profit les laborieux créa-
teurs d'articles de Washington, espèrent-
ils tirer de leur jeu compliqué et fatiguant?
Est-ce réellement le dessein des extrémis-
tes des deux partis de jeter le traité an)
milieu de la campagne électorale prési-
dentielle? Si c'est là leur intention, alors
les extrémistes peuvent bien s'aperce-
voir à présent qu'il n'en sortira ni une
décision au sujet du traité, ni les avan-
tages de parti dont ils sont préoccupés.
.Il est devenu actuellement impossible
au pays, de faire son choix entre deux
programmes, entre lesquels le débat n'est
qu'une querelle de mots. S'il s'agit, pour
les deux partis, de se rejeter mutuellement
toute responsabilité, dans ce cas, il est im-
possible au pays, de décider entre les deux
partis, chacun d'eux ayant ses sages et
ses fous. En réalité, il y a toutes les
chances pour que le traité ne forme pas la
question essentielle de la campagne. La
décision de l'opinion en novembre pro-
chain se formulera, selon toute probabi-
lité sur des questions n'ayant aucun rap-
port avec le traité, c'est-à-dire : la réac-
tion inévitable contre le parti au pourvoir,
les problèmes de l'industrie, du travail, du
commerce, de la vie chère, de l'inflation;
monétaire. Le pays châtierait assez volon-
tiers les hommes et le parti responsables
du retard apporté à la ratification du trai-
té, mais le pays ne sera pas en position
de fixer les responsabilités. Par lassitude,
il se tournera vers d'autres préoccupa-
tions, comptant voir La réalité du traité
dominer tôt ou tard, les misérables obs-
tacles soulevés par les individus et par les
préjugés de parti.
- Le fait tangible, c'est que l'Amérique ne
peut pas se délivrer des conséquences de
la guerre et de sa part dans la recons-
tructions de l'Europe. Notre attitude, en
face des perplexités du monde, ne se for-
mulera pas dans les arguties d'un instru-
ment de ratification, mais par des actes
essentiels. Nous n'en avons pas de meil-
leures preuves que la derrière note de M.
Wilson à propos, de Fiume, dans laquelle
le Président a relié lia question de l'Adria-
tique à l'article X. M. Wilson entend-il
que l'article X est essentiel à une juste
consolidation de paix, exactement comme
il l'a écrit? Dans ce cas, il est en contra-
diction avec les circonstances mêmes dei
cet événement. Il a rédigé sa note sur
Fiume bien que nous ne fussions pas en-
trés dans la Société et que l'article X
n'eût aucune valeur opérante en ce qui
nous concerne. Nous n'avons pas ratifié le
traité, et cependant Lloyd George et Mille-
rand ont aussitôt reconnu la validité du
véto américain. Mais si l'Amérique, tout
en restant en dehors de la Société, peut
arriver à modifier le cours de la politique
européenne, ne doit-on pas supposa que
toute réserve verbale, dictée par la mau-
vaise inspiration de Lodge, puisse porter
préjudice à notre influence ou à l'efficacité
de notre action ? Vraiment il n'est plus
question pour l'Amérique, d'entrer dans la
Société. Nous y sommes. Et, tout ce qui
s'agite autour de ce fait, appartient à la
politique de personnes ou de partis. Il n'y
a qu'une sorte d'intrigue que le pays ver-
rait avec plaisir à Washington. Ce serait
une entente entre les républicains et les
démocrates sensés afin d'embarrasser le
Président en le mettant en face d'un trai-
té ratifié. Que le Sénat fasse son devoir
sans tenir compte des menaces de Borah
ni des avertissements de la Maison-Blan-
che.
EVENING POST [de New-York], 1.3.
UNE DÉCLARATION DE M. HOOVER.
- Dans un discours prononcé à l'Univer-
sité Johns Hopkins à Baltimore, M. Hoo-
ver, s'est déclaré en faveur de la ratifica-
tion immédiats du traité, avec des réserves;
mùder&es. D'après lui les deux partis
n'ont rien à gagner à la mêler à la cam-
pagne pour l'élection présidentielle: les'
différences d'opinions au sujet des réser-
ves ne serviraient qu'à obscurcir les solu-
tions des grandes questions intérieures.
La majoMte du peuple américain est de
l'avis de M. Hoover. Même les réaction-
naires endurcis de la Convention républi-
caine de l'Etat de New-York ont demandé
la ratification immédiate, sans spécifier
que les réserves Lodge, étaient les seules
acceptables
Mais, CM ce qui concerne, le traité, le Sé-
nat des Etats-.Unis a cessé d'être un corps
délibérant pour devenir un état d'esprit 11
discute le traité depuis plus de sept mois
et plus la discussion continue, moins le
Sénat montre d'intelligence et d'aptituae
à une action concertée
Les hommes d'état européens, se tour-
nent du Président vers le Sénat et du Sé-
nat vers le Président pour découvrir qu'il
n'y a plus aux Etats-Unis, de puissance
pour conclure les traités.
Le prestige américain n'avait jamais su-
bi pareille atteinte et il ne semble pas que
la situation doive s'améliorer 80 séna-
teurs au moins sur « 96, sont en faveur de
la ratification et pourtant ils sont inca-
pables de s'entendre..
Pendant ce temps, comme le dit M. Hoo-
ver, le mande est dans l'incertitude; la mi-
sère s'accumule. et le Sénat ne fait rien
au, point qu'il semble indifférent à tout ce
qui se passe.
La question n'est pas de savoir si le
traité devrait ou ne devrait pas être une
des grandes questions de la campagne
présidentielle, mais s'il est peut être tenu
en dehors de la campagne, En cas de non
ratification par le Sénat, il deviendra au-
tomatiquement une partie essentielle des
plateformes électorales. (Ed).
WORLD [de New-York], 24-2.
OPINION ALLEMANDE. — Lors de l'élec-
tion présidentielle en Amérique, les pro-
blèmes de politique intérieure passèrent 4
DES
luD/ ETRANGERES
I>E LA GUERRE
N° 1411
Samedi 27 mars 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont Am
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraite
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^se A
ANDE. - Le traité de Ver-
Ailles et Sélection présidentielle aux
Êtat,iTT. ?ls (Frankfurter Zeitung). —
Les
Ht, rï a^ons de M. Millerand au
le g Chronicle (Koelnische Zeitung). —
Le LOuP d'Etat militaire. — Le rôle
de Lild elidorff (Frankfurter Zeitung,
^/•eur l^Un9> Deutsche Zeitung, Lokal-
4-nzeIQ Deutsche Allgemeine Zei-
'Un9)
!\t;SSEA
et ER;çAiNE.—Le traité de Versailles
et élection - présidentielle (Evening
\t'orld) 16 déclaration de M. Hoover
OPID). _— « Une armée française
irnes) d'hommes » (New York
Alliés ) , - Le Président Wilson et ses
(N ezv ydans la question adriatique.
(N'u, y xork Times.)
PRESSE ANGLAISE. - Les frontières orien-
dian) e a Pologne (Manchester Guar-
(Daily. - Un complot international
Landaise-
de SE. *— Le coup d'Etat
(Nieuerhn, — Le rôle de Ludendorff
che p We R.otterdamsche Courant, Haags-
e p Algemeen Han-
dll3b Q , Volk).
af'riati^OUGosLAVE- — La question
lt4le ~a"que * Une séance secrète au par-
* de Belgrade (Samouprava).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
S ÉTATS-UNIS ET
RAI TÉ DE VERSAILLES
'II) 't~ *
FCET L'ÉLECTICN PRÉ-
S LE. — Le pays demeure sous
fta^preoeT »S^*11 erronée que le Sénat et la
A&lannk
~d tlll traliche Se soucient de la ratifica-
tion du traité de paix avec l'Allemagne.
ïfo (h en S .agit en réalité à Washington,
rrii »r le voisin ». Voici le trai-
Nf » q~e * Wilson a établi. Voici le
1!/ &rves ajoutées par M. Lodge
u ajoutées par M. Lodge
\It h, V c. cc au traité que M. Wilson
S V0• l'amendement de M. Hitch-
2®nix deïsZ tin \ïl combattre les réserves
~e~ M. Lodge, pour faire échec
îC^lé6 m M. Wi isort a établi. VoMi
~A~n~ Borah à Hitchcock. Voi-
£ Résolution de M. Wilson pour
4Kt .t r atp 8
:. tr-a..!'ate.s d désir grandissant chez les
?Àa.iï^es dû sauver d'un échec complet
vj. Qhtt M. "Wilson ■ a lui-même établi.
~i~ qui contemple avec une
S
3WC1 e^si0n 6 -Un écœurement plus ac-
qUe jour, le grincement des
oppositions et des contre oppositions qui re-
tardent une paix, due, non en vérité à M.
Wilson, mais aux efforts et aux sacrifices
de l'Amérique, aux souffrances de l'Eu-
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toriques. Quel profit les laborieux créa-
teurs d'articles de Washington, espèrent-
ils tirer de leur jeu compliqué et fatiguant?
Est-ce réellement le dessein des extrémis-
tes des deux partis de jeter le traité an)
milieu de la campagne électorale prési-
dentielle? Si c'est là leur intention, alors
les extrémistes peuvent bien s'aperce-
voir à présent qu'il n'en sortira ni une
décision au sujet du traité, ni les avan-
tages de parti dont ils sont préoccupés.
.Il est devenu actuellement impossible
au pays, de faire son choix entre deux
programmes, entre lesquels le débat n'est
qu'une querelle de mots. S'il s'agit, pour
les deux partis, de se rejeter mutuellement
toute responsabilité, dans ce cas, il est im-
possible au pays, de décider entre les deux
partis, chacun d'eux ayant ses sages et
ses fous. En réalité, il y a toutes les
chances pour que le traité ne forme pas la
question essentielle de la campagne. La
décision de l'opinion en novembre pro-
chain se formulera, selon toute probabi-
lité sur des questions n'ayant aucun rap-
port avec le traité, c'est-à-dire : la réac-
tion inévitable contre le parti au pourvoir,
les problèmes de l'industrie, du travail, du
commerce, de la vie chère, de l'inflation;
monétaire. Le pays châtierait assez volon-
tiers les hommes et le parti responsables
du retard apporté à la ratification du trai-
té, mais le pays ne sera pas en position
de fixer les responsabilités. Par lassitude,
il se tournera vers d'autres préoccupa-
tions, comptant voir La réalité du traité
dominer tôt ou tard, les misérables obs-
tacles soulevés par les individus et par les
préjugés de parti.
- Le fait tangible, c'est que l'Amérique ne
peut pas se délivrer des conséquences de
la guerre et de sa part dans la recons-
tructions de l'Europe. Notre attitude, en
face des perplexités du monde, ne se for-
mulera pas dans les arguties d'un instru-
ment de ratification, mais par des actes
essentiels. Nous n'en avons pas de meil-
leures preuves que la derrière note de M.
Wilson à propos, de Fiume, dans laquelle
le Président a relié lia question de l'Adria-
tique à l'article X. M. Wilson entend-il
que l'article X est essentiel à une juste
consolidation de paix, exactement comme
il l'a écrit? Dans ce cas, il est en contra-
diction avec les circonstances mêmes dei
cet événement. Il a rédigé sa note sur
Fiume bien que nous ne fussions pas en-
trés dans la Société et que l'article X
n'eût aucune valeur opérante en ce qui
nous concerne. Nous n'avons pas ratifié le
traité, et cependant Lloyd George et Mille-
rand ont aussitôt reconnu la validité du
véto américain. Mais si l'Amérique, tout
en restant en dehors de la Société, peut
arriver à modifier le cours de la politique
européenne, ne doit-on pas supposa que
toute réserve verbale, dictée par la mau-
vaise inspiration de Lodge, puisse porter
préjudice à notre influence ou à l'efficacité
de notre action ? Vraiment il n'est plus
question pour l'Amérique, d'entrer dans la
Société. Nous y sommes. Et, tout ce qui
s'agite autour de ce fait, appartient à la
politique de personnes ou de partis. Il n'y
a qu'une sorte d'intrigue que le pays ver-
rait avec plaisir à Washington. Ce serait
une entente entre les républicains et les
démocrates sensés afin d'embarrasser le
Président en le mettant en face d'un trai-
té ratifié. Que le Sénat fasse son devoir
sans tenir compte des menaces de Borah
ni des avertissements de la Maison-Blan-
che.
EVENING POST [de New-York], 1.3.
UNE DÉCLARATION DE M. HOOVER.
- Dans un discours prononcé à l'Univer-
sité Johns Hopkins à Baltimore, M. Hoo-
ver, s'est déclaré en faveur de la ratifica-
tion immédiats du traité, avec des réserves;
mùder&es. D'après lui les deux partis
n'ont rien à gagner à la mêler à la cam-
pagne pour l'élection présidentielle: les'
différences d'opinions au sujet des réser-
ves ne serviraient qu'à obscurcir les solu-
tions des grandes questions intérieures.
La majoMte du peuple américain est de
l'avis de M. Hoover. Même les réaction-
naires endurcis de la Convention républi-
caine de l'Etat de New-York ont demandé
la ratification immédiate, sans spécifier
que les réserves Lodge, étaient les seules
acceptables
Mais, CM ce qui concerne, le traité, le Sé-
nat des Etats-.Unis a cessé d'être un corps
délibérant pour devenir un état d'esprit 11
discute le traité depuis plus de sept mois
et plus la discussion continue, moins le
Sénat montre d'intelligence et d'aptituae
à une action concertée
Les hommes d'état européens, se tour-
nent du Président vers le Sénat et du Sé-
nat vers le Président pour découvrir qu'il
n'y a plus aux Etats-Unis, de puissance
pour conclure les traités.
Le prestige américain n'avait jamais su-
bi pareille atteinte et il ne semble pas que
la situation doive s'améliorer 80 séna-
teurs au moins sur « 96, sont en faveur de
la ratification et pourtant ils sont inca-
pables de s'entendre..
Pendant ce temps, comme le dit M. Hoo-
ver, le mande est dans l'incertitude; la mi-
sère s'accumule. et le Sénat ne fait rien
au, point qu'il semble indifférent à tout ce
qui se passe.
La question n'est pas de savoir si le
traité devrait ou ne devrait pas être une
des grandes questions de la campagne
présidentielle, mais s'il est peut être tenu
en dehors de la campagne, En cas de non
ratification par le Sénat, il deviendra au-
tomatiquement une partie essentielle des
plateformes électorales. (Ed).
WORLD [de New-York], 24-2.
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