Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-02-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 février 1920 24 février 1920
Description : 1920/02/24 (T14,N1386). 1920/02/24 (T14,N1386).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62549524
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTËRES
~PAt DES
L"?!? ÊTRANGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1386
Mardi 24 février 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés dtin astérisque.
L SOMMAIRE
I -
LLEMANDE" — Le jugement des au-
teurs d'actes criminels (Franklyrter
Zeitung). - (Frankf urter
AMÉRICAINE. - L'élection présiden-
tielie aux Etats-Unis (New York Times,
Record) ; La candidature
de \j Hoover (Boston Herald, World,
| ancien Président Taft dans Chicago
6 DQily News). - Le New York Sun and
Herald - Les banques étrangères, aux
Etats-Unis (San Francisco Chronicle).
ANrLllSr, — Les décisions de Lon-
1 dres SUr Constantinople (Times).
liOLLANDAIsE. L'extradition de
1 GuiUaume II (Algemeen Handelsblad,
graat). - Les décisions de Lon-
dres
I""1 dres sUr Constantinople (Nieuwe Cou-
PRESSE ITAL , ENNE- Pour l'application du
traité e Londres dans l'Adriatique
.llé de Londres dans l'Adriatique
(;10rnale d'Italia). - L'empire ottoman
et la Poi rr que italienne (R. Forges-Da-
: 1 dans Idea Nazionale).
1 POLITIQUE GENERALE -
ET DIPLOMATIE
EXÊCUTLON DU TRAITÉ
t'1:t ;
fr^qdS^ïDE DE GUILLAUME II.-
llement LLIP^S : Nous pouvons
SaVoir Si de répondre sur le
Ce qui si nous ne trouvons pas très
ve ce qui s'est Passé au cours de la
il ; La question ne au cours de la
^I;^ITPASTI^ cela.
6S
li^ /ujs^uen^!fssances le pensent bien
dernPSJ pouvons traduire la
"0 S e en ces termes fami-
Vnf8 : ?, Si enen^ft VOus nous aviez dit que
v eriez à ce que l'ex-empereur ne
Pui q\Je Ch Il danger ç'eüt été au moins
n9us le disons, les
^ii^ncA seront l satisfaites en dépit du
o es Phrases finales.
ALgEMEEN HANDELSBLAD
rd'Amsterdam ], 18.2.
— Quelles mesures voudra prendre notre
gouvernement pour éviter un retour clan-
destin de l'ex-Kaiser en Allemagne, -
éviter des rencontres avec l'ex-monarque,
exercer un contrôle journalier sur sa cor-
respondance par écrit ou par courriers avec
des habitants des pays centraux, c'est ce
que nous ne pouvons examiner en détail.
La tâche n'est certainement ni facile, ni
enviable. Les Alliés ont néanmoins le droit
de demander des garanties qu'aucun foyer
de troubles pour l'Europe ne soit installé
et entretenu à Doorn et le peuple néerlan-
dais y a le même droit et le même intérêt.
La solution recommandée par la presse
française, à savoir l'internement dans une
des petites îles des Indes néerlandaises
n'est nullement aussi simple ni aussi pra-
tiquement exécutable qu'elle semble l'ima-
giner. Et la Hollande n'a aucune envie de
faire de l'archipel indien une autre Sainte-
Hélène, ni de chercher ,un nouveau Hudson
Lowe ; elle n'y est, au surplus, nullement
obligée.
TELEGRAAF [d'Amsterdam], 18.2.
LE JUGEMENT DES AUTEURS D'AC-
TES CRIMINELS. — Prétendre, comme le
fait le journal national-allemand le Reichs-
bote, avoir une trop haute idée des juges
allemands pour penser, qu'un seul d'entre
eux puisse consentir à se faire le bour-
reau de l'Entente devant un tribunal d'o-
pérette, est tout simplement pousser la fri-
volité à son maximum. Les nationaux-
allemands dévoilent ainsi leur véritable
état d'esprit. Ils montrent, en exprimant de
pareilles opinions, qu'ils ne comprennent
pas que la justice la plus rigoureuse et la
plus impartiale est le bien le plus précieux
d'un peuple. En comparant la Cour Su-
prême à un tribunal d'opérette ils la bles-
sent profondément et ils montrent que,
dans cette question où se joue notre desti-
née, ils ne sont guidés que par un égoïste
fanatisme de parti.
La droite déclare que le gouvernement
d'empire fait acte de trahison envers l'hon-
neur de notre peuple en se disant prêt à
entamer la procédure devant la Cour de
Leipzig en prenant même pour base la loi
du 18 décembre 1919. Quelle hypocrisie !
Les nationaux-allemands, à l'Assemblée
nationale, aussi bien dans la commission
qu'à l'assemblée plénière, ont donné leur
adhésion à ce projet de loi et dans ce pro-
jet de loi il est expressément stipulé que
d'après le droit allemand tout crime com-
mis pendant la guerre par un Allemand à
l'intérieur même du pays ou à l'étranger
contre des ressortissants des pays ennemis
ou contre la propriété ennemie doit être
poursuivi.
FRANKFURTER ZEITUNG, 19.2, matin.
LA QUESTION ADRIATIQUE
POUR LE TRAITE DE LONDRES. —
M. Nitti, comme d'autres partisans de la
politique dénommée « renonedataire » ne
voulut jamais comprendre que le conflit
historique italo-slave en Adriatique ne
peut être résolu amicalement parce qu'au-
cune renonciation de notre côté ne suffira
jamais à rassasier l'appétit de nos voisins,
et surtout ne réussira jamais à apaiser la
haine que les Croates et les Slovènes por-
tent naturellement à la race italienne, et
que l'Autriche-Hongrie exploita admirable-
ment.
Selon le programme national slave, nous
n'avons aucun droit à nous installer sur la
rive est de l'Adriatique : aujourd'hui l'on
dispute pour Fiume, Zara et Sebenico, mais
nos voisins vont jusqu'à contester nos
droits sur Pola, sur Trieste et sur Gorizia.
Ils veulent bien se résigner pour le mo-
ment à nous laisser l'Istrie occidentale,
mais leur programme de renonciation nous
repousse jusqu'à l'Isonzo, et ils préparent
déjà l'appareil diplomatique qui leur per-
mettrait de prendre plus facilement leur re.
vanche contre l'Italie. Il nous est impossi-
ble de faire disparaître cette rivalité adria-
tique par des concessions, et bien moins
encore par de la faiblesse et de la dou-
ceur ; ce sont là des ingrédients qui n'ont
pour effet que d'exciter davantage encore
les races balkaniques. Nous devons affron-
ter résolument leur rivalité, en commen-
çant par bien fermer la porte orientale de
l'Italie et désarmer l'Adriatique, résultat
que l'on obtient précisément par l'applica-
tion du traité de Londres. Il est inutile de
faire des offres d'amitié aux Slaves qui
nous détestent ; il est préférable de prendre
des précautions contre eux. -
M. Nitti a poursuivi la chimère d'un ac-
cord avec les Slaves, et pour l'obtenir il a
abandonné des choses précieuses comme la
ligne des Alpes Juliennes, et nos positions
stratégiques en Dalmatie, sans obtenir ce-
pendant aucun résultat positif. Bien au con-
traire, il se trouve aujourd'hui empêtré
dans un vaste conflit diplomatique avec nos
alliés européens.
M. Nitti est obligé de suivre aujourd'hui
une politique contraire à celle qui a tou-
jours été dans ses goûts et ses aspirations.
Ceci signifie, en d'autres termes, qu'il, a
échoué dans sa tâche, et que les événe-
ments ont été plus forts que lui. Mais l'es-
sentiel, c'est que l'opinion publique se rende
compte de l'importance de la question
adriatique et de la nécessité de la résoudre
favorablement, fût-ce au prix d'une longue
lutte diplomatique qui en tous cas devra
être soutenue par une attitude énergique
du gouvernement et du pays.
GIORNALE D'ITALIA, 20.2.
L'EMPIRE OTTOMAN
LA POLITIQUE ITALIENNE. — Au
point de vue diplomatique l'Italie peut rap-
porter son action à l'article 9 du traité de
Londres et à l'accord de Londres du mois
d'août 1917, plus connu sous le nom d'ac-
~PAt DES
L"?!? ÊTRANGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1386
Mardi 24 février 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés dtin astérisque.
L SOMMAIRE
I -
LLEMANDE" — Le jugement des au-
teurs d'actes criminels (Franklyrter
Zeitung). - (Frankf urter
AMÉRICAINE. - L'élection présiden-
tielie aux Etats-Unis (New York Times,
Record) ; La candidature
de \j Hoover (Boston Herald, World,
| ancien Président Taft dans Chicago
6 DQily News). - Le New York Sun and
Herald - Les banques étrangères, aux
Etats-Unis (San Francisco Chronicle).
ANrLllSr, — Les décisions de Lon-
1 dres SUr Constantinople (Times).
liOLLANDAIsE. L'extradition de
1 GuiUaume II (Algemeen Handelsblad,
graat). - Les décisions de Lon-
dres
I""1 dres sUr Constantinople (Nieuwe Cou-
PRESSE ITAL , ENNE- Pour l'application du
traité e Londres dans l'Adriatique
.llé de Londres dans l'Adriatique
(;10rnale d'Italia). - L'empire ottoman
et la Poi rr que italienne (R. Forges-Da-
: 1 dans Idea Nazionale).
1 POLITIQUE GENERALE -
ET DIPLOMATIE
EXÊCUTLON DU TRAITÉ
t'1:t ;
fr^qdS^ïDE DE GUILLAUME II.-
llement LLIP^S : Nous pouvons
SaVoir Si de répondre sur le
Ce qui si nous ne trouvons pas très
ve ce qui s'est Passé au cours de la
il ; La question ne au cours de la
^I;^ITPASTI^ cela.
6S
li^ /ujs^uen^!fssances le pensent bien
dernPSJ pouvons traduire la
"0 S e en ces termes fami-
Vnf8 : ?, Si enen^ft VOus nous aviez dit que
v eriez à ce que l'ex-empereur ne
Pui q\Je Ch Il danger ç'eüt été au moins
n9us le disons, les
^ii^ncA seront l satisfaites en dépit du
o es Phrases finales.
ALgEMEEN HANDELSBLAD
rd'Amsterdam ], 18.2.
— Quelles mesures voudra prendre notre
gouvernement pour éviter un retour clan-
destin de l'ex-Kaiser en Allemagne, -
éviter des rencontres avec l'ex-monarque,
exercer un contrôle journalier sur sa cor-
respondance par écrit ou par courriers avec
des habitants des pays centraux, c'est ce
que nous ne pouvons examiner en détail.
La tâche n'est certainement ni facile, ni
enviable. Les Alliés ont néanmoins le droit
de demander des garanties qu'aucun foyer
de troubles pour l'Europe ne soit installé
et entretenu à Doorn et le peuple néerlan-
dais y a le même droit et le même intérêt.
La solution recommandée par la presse
française, à savoir l'internement dans une
des petites îles des Indes néerlandaises
n'est nullement aussi simple ni aussi pra-
tiquement exécutable qu'elle semble l'ima-
giner. Et la Hollande n'a aucune envie de
faire de l'archipel indien une autre Sainte-
Hélène, ni de chercher ,un nouveau Hudson
Lowe ; elle n'y est, au surplus, nullement
obligée.
TELEGRAAF [d'Amsterdam], 18.2.
LE JUGEMENT DES AUTEURS D'AC-
TES CRIMINELS. — Prétendre, comme le
fait le journal national-allemand le Reichs-
bote, avoir une trop haute idée des juges
allemands pour penser, qu'un seul d'entre
eux puisse consentir à se faire le bour-
reau de l'Entente devant un tribunal d'o-
pérette, est tout simplement pousser la fri-
volité à son maximum. Les nationaux-
allemands dévoilent ainsi leur véritable
état d'esprit. Ils montrent, en exprimant de
pareilles opinions, qu'ils ne comprennent
pas que la justice la plus rigoureuse et la
plus impartiale est le bien le plus précieux
d'un peuple. En comparant la Cour Su-
prême à un tribunal d'opérette ils la bles-
sent profondément et ils montrent que,
dans cette question où se joue notre desti-
née, ils ne sont guidés que par un égoïste
fanatisme de parti.
La droite déclare que le gouvernement
d'empire fait acte de trahison envers l'hon-
neur de notre peuple en se disant prêt à
entamer la procédure devant la Cour de
Leipzig en prenant même pour base la loi
du 18 décembre 1919. Quelle hypocrisie !
Les nationaux-allemands, à l'Assemblée
nationale, aussi bien dans la commission
qu'à l'assemblée plénière, ont donné leur
adhésion à ce projet de loi et dans ce pro-
jet de loi il est expressément stipulé que
d'après le droit allemand tout crime com-
mis pendant la guerre par un Allemand à
l'intérieur même du pays ou à l'étranger
contre des ressortissants des pays ennemis
ou contre la propriété ennemie doit être
poursuivi.
FRANKFURTER ZEITUNG, 19.2, matin.
LA QUESTION ADRIATIQUE
POUR LE TRAITE DE LONDRES. —
M. Nitti, comme d'autres partisans de la
politique dénommée « renonedataire » ne
voulut jamais comprendre que le conflit
historique italo-slave en Adriatique ne
peut être résolu amicalement parce qu'au-
cune renonciation de notre côté ne suffira
jamais à rassasier l'appétit de nos voisins,
et surtout ne réussira jamais à apaiser la
haine que les Croates et les Slovènes por-
tent naturellement à la race italienne, et
que l'Autriche-Hongrie exploita admirable-
ment.
Selon le programme national slave, nous
n'avons aucun droit à nous installer sur la
rive est de l'Adriatique : aujourd'hui l'on
dispute pour Fiume, Zara et Sebenico, mais
nos voisins vont jusqu'à contester nos
droits sur Pola, sur Trieste et sur Gorizia.
Ils veulent bien se résigner pour le mo-
ment à nous laisser l'Istrie occidentale,
mais leur programme de renonciation nous
repousse jusqu'à l'Isonzo, et ils préparent
déjà l'appareil diplomatique qui leur per-
mettrait de prendre plus facilement leur re.
vanche contre l'Italie. Il nous est impossi-
ble de faire disparaître cette rivalité adria-
tique par des concessions, et bien moins
encore par de la faiblesse et de la dou-
ceur ; ce sont là des ingrédients qui n'ont
pour effet que d'exciter davantage encore
les races balkaniques. Nous devons affron-
ter résolument leur rivalité, en commen-
çant par bien fermer la porte orientale de
l'Italie et désarmer l'Adriatique, résultat
que l'on obtient précisément par l'applica-
tion du traité de Londres. Il est inutile de
faire des offres d'amitié aux Slaves qui
nous détestent ; il est préférable de prendre
des précautions contre eux. -
M. Nitti a poursuivi la chimère d'un ac-
cord avec les Slaves, et pour l'obtenir il a
abandonné des choses précieuses comme la
ligne des Alpes Juliennes, et nos positions
stratégiques en Dalmatie, sans obtenir ce-
pendant aucun résultat positif. Bien au con-
traire, il se trouve aujourd'hui empêtré
dans un vaste conflit diplomatique avec nos
alliés européens.
M. Nitti est obligé de suivre aujourd'hui
une politique contraire à celle qui a tou-
jours été dans ses goûts et ses aspirations.
Ceci signifie, en d'autres termes, qu'il, a
échoué dans sa tâche, et que les événe-
ments ont été plus forts que lui. Mais l'es-
sentiel, c'est que l'opinion publique se rende
compte de l'importance de la question
adriatique et de la nécessité de la résoudre
favorablement, fût-ce au prix d'une longue
lutte diplomatique qui en tous cas devra
être soutenue par une attitude énergique
du gouvernement et du pays.
GIORNALE D'ITALIA, 20.2.
L'EMPIRE OTTOMAN
LA POLITIQUE ITALIENNE. — Au
point de vue diplomatique l'Italie peut rap-
porter son action à l'article 9 du traité de
Londres et à l'accord de Londres du mois
d'août 1917, plus connu sous le nom d'ac-
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