Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-10-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 octobre 1919 25 octobre 1919
Description : 1919/10/25 (N1286,T13). 1919/10/25 (N1286,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239323b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/03/2013
MINISTERES
DES
AFFFAIRES ÉTRANGERES
Er Dt LA GUERRE
1 ':-----
1 N° 1286
Samedi 25 Octobre 1919
Bulletin - Quotidien de Presse Etrangère
,
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont de4
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Gestions économiques
CR,.,, INDUSTRIE
LA CRISE SUEDOISE. - L'industrie
suédoise est en proie à une crise sérieuse.
Certaines spécialités peuvent encore se
maintenir grande industrie électrique
suédoise l~e serait capable de soutenir la lutte,
mais l'ensemble, la situation est très
inquiétante, surtout du fait que la catastro-
phe du change allemand a fait baisser les
prix 4, Un e manière incroyable. Dans tous
les 0Ux industriel, ~'n demande que
l'Etat prenne en main les intérêts suédois
contre Cette conconcurrence allemande inso-
lite. d
Cette crise s'étend sur toute la Suède.
fait extraordinaire, On annonce que l'Al-
lemagne, malgré la pénurie de wagons
dans laquelle se trouve, en vend ce-
pendant à la Suèrslo e ^uVe> en vend ce-
Efforts extraoridnaires fait l'Allemagne
a son exportation.
En Scanie, l'industrie de la Construction
souffre vivement de cette concurrence. Les
prix l,4iigne en effet de 50 plus
bas. ^llemia^n^s ^sont Z „ &Jî.Çet de 50 plus
ses propres besoins.
NYA DAGLIGT ALLEHANDA
[de Stockholm-), 16.10.
MARINE MARCHANDE
LES CONSTRUCTIONS NAVALES AU
, - En 1918 :
> ., Tonnage
lep N omlbre brut lancé
~é V~el' ---
UÏ? 8 35.267
ai 8 33.315
> C 17 71.087
JÙill ":" 11 44.941
13 54.992
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I7 4-9.295
> 19 44.385
'totQJ 14 31.048
t -
•^OVn 83 228.215
v KEIZAI SHIMPO, 25.7.
FINANCES
LES PERTS DE GUERRE DE LA
GRANDE-BRETAGNE. 'e es - L'Angleterre a
prêtés aux Alliés la la sOmme de 1.622.000.000
de livres et aux Dominions et Colonies
d'intérêts Parllhons de livres. Le payement
par les dominions et Colonies
est prévu durant l'année financière en
cours jusqu'à concurrence de 6 millions de
livres. Sauf des exceptions peu impor-
tantes, aucun intérêt n'est payé actuelle-
ment par les Alliés. (Réponse de M. Aus-
ten Chamberlain, chancelier de l'Echiquier,
à une question parlementaire, le 22.10.).
MORNING POST, 23.10.
, IMPOTS
GRANDE-BRETAGNE. — CONTRE LA TAXA-
TION DES BÉNÉFICES DE GUERRE : La plus Sé-
rieuse objection qu'on puisse faire à tout
impôt sur le capital, c'est qu'il frappe l'éco-
nome et avantage le prodigue. M. Asquith
a déclaré qu'il ne croyait pas que le parti
libéral donnerait son appui à un impôt con-
traire aux promesses faites par l'Etat à ses
créanciers, et dont le taux ne serait pas
équitable. Durant la guerre, petits et gros
capitalistes ont été invités constamment à
prêter leur argent à l'Etat, et à le consa-
crer ainsi au placement le meilleur et le
plus sûr du monder Comment concilier ces
assurances, avec un prélèvement, ou pour
mieux dire, une confiscation d'une partie
de cette épargne ? Des industriels ont aussi,
à la demande du Gouvernement, agrandi
leurs usines et renouvelé leur outillage, afin
d'assurer l'augmentation de production né-
cessaire pendant la guerre comme durant
la paix. Comment le Gouvernement pourra-
t-il recueillir les profits de guerre déjà en-
gagés dans l'agriculture ou dans l'indus-
trie, sans causer un grave préjudice à la
prospérité nationale ? (Ed.)
DAILY TELEGRAPH, 23.10.
•
POLITIQUE GENERALE
¡ ET DIPLOMATIE
SOCIÉTÉ DES NATIONS
« LES PETITES NATIONS ET LA
LIGUE » : EN HOLLANDE ET EN SCANDINAVIE.
[sous ce titre]. — L'attitude que prennent
vis-à-vis de la Société des nations les moins
grandes des nations européennes, ayant de-
puis longtemps une existence propre, mérite
à l'heure actuelle notre sérieuse attention.
Ont-elles confiance dans le projet, ou bien
sont-elles d'accord avec les éléments irré-
conciliables du Sénat des Etats-Unis qui
affectent de croire que la Ligue n'est pas
une ligue pour le maintien de la paix, mais
une de ces alliances qui ne manquent ja-
mais d'engendrer de nouvelles guerres ?
Deux dépêches reçues de nos correspon-
dants à l'étranger contribueront à l'éluci-
dation de cette question. v
D'après M. W. J. Z. Kiehl : « on s'attend
pleinement à la Haye, à ce que la Hollande
demande bientôt à faire partie de la Ligue.»
Ni les juristes, ni les hommes d'Etat hol-
landais ne sont satisfaits du pacte, tel qu'il
est constitué pour l'instant, mais, ajoute
notre correspondant, ils ont l'intention, aus-
sitôt que la Ligue aura commencé de fonc-
tionner, « d'aider à la rendre aussi parfaite
que peut l'être une institution humaine ».
Evidemment les juristes et les hommes
d'Etat hollandais ne sont pas d'avis que
la Ligue n'est qu'une « très peu sainte »
alliance, capable seulement d'engendrer la
guerre. 1
Il s'est tenu, d'autre part, à Stockholm,
une très importante conférence, réunissant
des membres des cabinets des divers pays
Scandinaves et d'autres hommes d'Etat in-
fluents. Le but de la réunion était d'appré-
cier le caractère de la Ligue et de déter-
miner l'attitude à prendre à son égard par
les nations représentées, à la conférence.
Là encore, comme en Hollande, le pacte
a été l'objet de vives critiques ; néanmoins
le projet fut accueilli comme étant un grand
pas fait dans la bonne direction.
L'assemblée déclara, en conséquence,
qu'il était du devoir de toutes les nations
civilisées, grandes ou petites, d'entrer dans
la Ligue, de travailler à y introduire les
améliorations nécessaires lorsque l'occasion
s'en présentera, et d'aider ainsi à sauver la
démocratie, à empêcher les agressions et
le gaspillage criminel de vies humaines et
de trésors. *
Les nations scandinaves, pas plus que la
Hollande, ne craignent donc que la Ligue
ne produise des guerres. Elles comprennent
que le but de la grande alliance des peu-
ples est au contraire, de les éviter et leur
désir le plus cher est de contribuer au suc-
cès de cette magnifique expérience.
CHICAGO DAILY NEWS, 18.9.
LES ÉTATS-UNIS ET LA PAIX
LA DISCUSSION DU TRAITE DE PAIX.
- De Washington : Les chances de suc-
cès du Président semblent être plus gran-
des qu'elles ne l'ont jamais été depuis son
refus d'accepter les compromis proposés
par les partisans des réserves modérées.
Il y a 43 démocrates prêts à voter pour
le traité tel que le président l'a présenté.
Sur les quatre autres qui restent, Reed est
le seul sur lequel le parti ne puissé pas
compter, bien que la rentrée de Gore au
bercail ne soit pas non plus très certaine.
On s'attend à voir Walsh, du Massachu-
setts, voter pour l'un des amendements de
texte - l'amendement dirigé contre la
Grande-Bretagne - mais une fois cet
amendement rejeté on suppose qu'il votera
avec ses frères. De même Hoke Smith, qui
a l'intention de proposer de son chef quel-
ques réserves, ne fait pas désespérer de
son retour au moment de la décision finale.
Le quatrième démocrate douteux est
Shields, de Tennessee.
Il y a donc quarante-trois démocrates en
ligne et on peut ajouter à leur nombre
quatre républicains Me. Cumber, « Nelson,
Colt et Me. Nary) qui, entre l'acceptation
du traité sans réserves et son rejet, choi-
siront la première alternative. Ceci porte
le total à quarante-sept sénateurs qui peu-
vent être considérés comme prêts à tenir
DES
AFFFAIRES ÉTRANGERES
Er Dt LA GUERRE
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1 N° 1286
Samedi 25 Octobre 1919
Bulletin - Quotidien de Presse Etrangère
,
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont de4
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Gestions économiques
CR,.,, INDUSTRIE
LA CRISE SUEDOISE. - L'industrie
suédoise est en proie à une crise sérieuse.
Certaines spécialités peuvent encore se
maintenir grande industrie électrique
suédoise l~e serait capable de soutenir la lutte,
mais l'ensemble, la situation est très
inquiétante, surtout du fait que la catastro-
phe du change allemand a fait baisser les
prix 4, Un e manière incroyable. Dans tous
les 0Ux industriel, ~'n demande que
l'Etat prenne en main les intérêts suédois
contre Cette conconcurrence allemande inso-
lite. d
Cette crise s'étend sur toute la Suède.
fait extraordinaire, On annonce que l'Al-
lemagne, malgré la pénurie de wagons
dans laquelle se trouve, en vend ce-
pendant à la Suèrslo e ^uVe> en vend ce-
Efforts extraoridnaires fait l'Allemagne
a son exportation.
En Scanie, l'industrie de la Construction
souffre vivement de cette concurrence. Les
prix l,4iigne en effet de 50 plus
bas. ^llemia^n^s ^sont Z „ &Jî.Çet de 50 plus
ses propres besoins.
NYA DAGLIGT ALLEHANDA
[de Stockholm-), 16.10.
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LES CONSTRUCTIONS NAVALES AU
, - En 1918 :
> ., Tonnage
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~é V~el' ---
UÏ? 8 35.267
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FINANCES
LES PERTS DE GUERRE DE LA
GRANDE-BRETAGNE. 'e es - L'Angleterre a
prêtés aux Alliés la la sOmme de 1.622.000.000
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d'intérêts Parllhons de livres. Le payement
par les dominions et Colonies
est prévu durant l'année financière en
cours jusqu'à concurrence de 6 millions de
livres. Sauf des exceptions peu impor-
tantes, aucun intérêt n'est payé actuelle-
ment par les Alliés. (Réponse de M. Aus-
ten Chamberlain, chancelier de l'Echiquier,
à une question parlementaire, le 22.10.).
MORNING POST, 23.10.
, IMPOTS
GRANDE-BRETAGNE. — CONTRE LA TAXA-
TION DES BÉNÉFICES DE GUERRE : La plus Sé-
rieuse objection qu'on puisse faire à tout
impôt sur le capital, c'est qu'il frappe l'éco-
nome et avantage le prodigue. M. Asquith
a déclaré qu'il ne croyait pas que le parti
libéral donnerait son appui à un impôt con-
traire aux promesses faites par l'Etat à ses
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équitable. Durant la guerre, petits et gros
capitalistes ont été invités constamment à
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crer ainsi au placement le meilleur et le
plus sûr du monder Comment concilier ces
assurances, avec un prélèvement, ou pour
mieux dire, une confiscation d'une partie
de cette épargne ? Des industriels ont aussi,
à la demande du Gouvernement, agrandi
leurs usines et renouvelé leur outillage, afin
d'assurer l'augmentation de production né-
cessaire pendant la guerre comme durant
la paix. Comment le Gouvernement pourra-
t-il recueillir les profits de guerre déjà en-
gagés dans l'agriculture ou dans l'indus-
trie, sans causer un grave préjudice à la
prospérité nationale ? (Ed.)
DAILY TELEGRAPH, 23.10.
•
POLITIQUE GENERALE
¡ ET DIPLOMATIE
SOCIÉTÉ DES NATIONS
« LES PETITES NATIONS ET LA
LIGUE » : EN HOLLANDE ET EN SCANDINAVIE.
[sous ce titre]. — L'attitude que prennent
vis-à-vis de la Société des nations les moins
grandes des nations européennes, ayant de-
puis longtemps une existence propre, mérite
à l'heure actuelle notre sérieuse attention.
Ont-elles confiance dans le projet, ou bien
sont-elles d'accord avec les éléments irré-
conciliables du Sénat des Etats-Unis qui
affectent de croire que la Ligue n'est pas
une ligue pour le maintien de la paix, mais
une de ces alliances qui ne manquent ja-
mais d'engendrer de nouvelles guerres ?
Deux dépêches reçues de nos correspon-
dants à l'étranger contribueront à l'éluci-
dation de cette question. v
D'après M. W. J. Z. Kiehl : « on s'attend
pleinement à la Haye, à ce que la Hollande
demande bientôt à faire partie de la Ligue.»
Ni les juristes, ni les hommes d'Etat hol-
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est constitué pour l'instant, mais, ajoute
notre correspondant, ils ont l'intention, aus-
sitôt que la Ligue aura commencé de fonc-
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que peut l'être une institution humaine ».
Evidemment les juristes et les hommes
d'Etat hollandais ne sont pas d'avis que
la Ligue n'est qu'une « très peu sainte »
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Il s'est tenu, d'autre part, à Stockholm,
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Scandinaves et d'autres hommes d'Etat in-
fluents. Le but de la réunion était d'appré-
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les nations représentées, à la conférence.
Là encore, comme en Hollande, le pacte
a été l'objet de vives critiques ; néanmoins
le projet fut accueilli comme étant un grand
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L'assemblée déclara, en conséquence,
qu'il était du devoir de toutes les nations
civilisées, grandes ou petites, d'entrer dans
la Ligue, de travailler à y introduire les
améliorations nécessaires lorsque l'occasion
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démocratie, à empêcher les agressions et
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Les nations scandinaves, pas plus que la
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ne produise des guerres. Elles comprennent
que le but de la grande alliance des peu-
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désir le plus cher est de contribuer au suc-
cès de cette magnifique expérience.
CHICAGO DAILY NEWS, 18.9.
LES ÉTATS-UNIS ET LA PAIX
LA DISCUSSION DU TRAITE DE PAIX.
- De Washington : Les chances de suc-
cès du Président semblent être plus gran-
des qu'elles ne l'ont jamais été depuis son
refus d'accepter les compromis proposés
par les partisans des réserves modérées.
Il y a 43 démocrates prêts à voter pour
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Sur les quatre autres qui restent, Reed est
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On s'attend à voir Walsh, du Massachu-
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avec ses frères. De même Hoke Smith, qui
a l'intention de proposer de son chef quel-
ques réserves, ne fait pas désespérer de
son retour au moment de la décision finale.
Le quatrième démocrate douteux est
Shields, de Tennessee.
Il y a donc quarante-trois démocrates en
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Colt et Me. Nary) qui, entre l'acceptation
du traité sans réserves et son rejet, choi-
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