Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-10-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 octobre 1919 24 octobre 1919
Description : 1919/10/24 (N1285,T13). 1919/10/24 (N1285,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239322x
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/03/2013
MINISTERES
1) ES
AFFAIRES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
1 N° 1285
Vendredi 24 Octobre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
questions MILITAIRES
-
ORGANISATION
L'ARMEE FRANÇAISE )) [sous ce ti-
- Sans cesse l'Entente nous menace
mesures militaires dès qu'elle croit re-
au traité de paix
jà un de ses édits. *A plusieurs reprises
là le Gouvernement allemand a été inti-
dé par ces menaces. L'opinion publique
fort mal renseignée sur la puissance
militaire dont pourraient disposer nos en-
passer
li. actes. s voudraient passer
tlla/ion ne étude (les mesures de démobi-
lisation et des effectifs dont disposerait ac-
tullement l'armée française : 800.000 hom-
mes soit defalcation faite des contingents
nécessaires au Maroc dans le Levant en
Syrie aux colonies, etc., 543.000 hommes
disponibles en France.
Par suite du maintien du plus grand
nombre des anciennes formations et du
renforcements des corps de couverture de
ltés de nnt
l'Est les unités de l'intérieur de la France
fi 4 des L'ffecti 's si réduits qu'on ne pour-
rait les mobiliser sans les compléter par
servistes. Or un a e^ de réservistes
heurterait à de grandes difficultés. Le
refuserait d'assumer un accroisse-
ment de charges militaires très sugges-
est à cet égard la lecture des deux
des anciens combattants, le
des mutilés et des réformés et
nouvelle revue Le poilu. de 2e classe.
le voit également ^n ll7lt (}e 2e classe.
ie, dont i a^itude vis-à-
de la Russie, dont les gouvernements
S EXNNA vistes T appuyer les géné-
antibolchevistes. La crainte de leur
les empêche d'y envoyer des troupes ;
autre part ils n'osent pas permettre de
sur place aux soldats allemands qui
raient disposés à fournir leur aide.
tout celà 11 résulte que la menace
l'Allemagne ne pourrait, à l'Ouest,
$het>able ?ée san que par une armée,
es le,, Les sans doute mais peu
Les officiers et une partie
des hommes verraient une avance avec
o la masse des soldats, surtout
l\Oç ^-co^^se Sa;Sn ne la feraient
cœur. Avec une pareille armée
re les très loin en Ane-
les Alliés anglo-saxons y étant en-
moins disposés Cette armée suffit
W \'IaS5 Occuper le. bassin de la
, 'l¡s eim,à quoi les Français
par-dessus tout et de Francfort.
'ÎS • cip^, Pas non plus que nous
tÏNri Gr à UnP ^i.sion par les
nous rlou avons ni la volonté ni
force; Mais no us pouvons donner à notre
- ne v. €t , au
er bOlllle rvart au pays l'assurance
%T. lN'S P^sS S françaises
DANS L'ETAT ACTUEL DES CHOSES
PAS LIEU DE CEDER EN TOUT ET
En remplissant les engagements
no° r s avons con-
mais ces engagement seulement et
s les seulement et
les extensions qui appa-
raissent incessamment, comme le montrent
les derniers débats de la Chambre fran-
çaise, nous n'avons aucune raison de
craindre la force réelle de la France. Nous
pouvons d'autant plus refuser de nous
plier aux exigences illégitimes qu'une af-
firmation nette et digne de notre droit nous
attirera des sympathies et des appuis
même chez les ennemis. Tout n'est perdu
que pour le lâche qui s'abandonne. Au-
jourd'hui encore la fortune sourit aux au-
dacieux.
La situation de la France ne s'amélio-
rera pas dans l'avenir. Le Gouvernement
ne s'est pas encore prononcé sur le régime
militaire à venir. Mais une réduction de
la durée du service militaire s'impose.
La durée du service militaire détermi-
nera le chiffre des effectifs. Aussitôt cette
durée descendue au-dessous de deux ans,
le chiffre des effectifs deviendra inférieur
au chiffre actuel. Toute la question est de
savoir si la décision s'inspirera de la né-
cessité d'un minimum d'effectifs ou du
temps minimum nécessaire à la formation
d'un soldat. La première solution serait
une solution « militaire » au même titre
que le rétablissement de la loi de trois ans
en 1913. Mais il se peut qu'aujourd'hui
le Gouvernement ait de la peine à la faire
admettre. S'il n'y parvient pas, l'armée
française sera petite. D'où les nouvelles
tendances à désarmer l'Allemagne plus
encore que ne le prévoyait le traité de paix.
Les 100.000 hommes pourraient devenir
trop dangereux. (Rudolf V. Xylander).
MUENCHEN-AUGSBURGER ABENDZEI-
TUNG, 15.10, soir.
——— ———
I
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
GRÈVES
LA GREVE DE L'ACIER AUX ETATS-
UNIS. - De Pittsburg, 27.9 : La grève de
l'acier fait partie du mouvement révolution-
naire qui se manifeste dans le commerce
et l'industrie de tout le pays. Or le Con-
grès est en grande partie responsable de
cette agitation, en n'accordant pas au Ser-
vice de l'Immigration des Etats-Unis du Dé-
partement du Travail les fonds nécessaires
pour permettre au gouvernement fédéral de
déporter les révolutionnaires, il est la cause
que 300 de ceux-ci prêchent aujourd'hui aux
Etats-Unis l'anarchie et le bolchevisme. La
situation peut être résumée comme suit :
1° Il y a aujourd'hui aux Etats-Unis une
minorité d'hommes et de femmes énergiques
et excessivement actifs qui travaillent sans
relâche à amener une révolution dans l'in-
dustrie et dans le gouvernement ;
2° La campagne révolutionnaire est abon-
damment financée et elle émane des com-
munautés industrielles ;
3° Depuis février le mouvement s'est con-
tinuellecent accentué. Chaque tentative de
révolution a eu plus de résultats que la pré-
cédente ;
4° La stratégie des leaders révolutionnai-
res a comme point de départ unique l'in-
tention de s'emparer du contrôle de l'orga-
nisation des unions du travail de qui dé-
pendrait l'industrie ;
5° L'agitation révolutionnaire n'est pas
due seulement aux- étrangers et aux enne-
mis, bien qu'ils se soient montrés les plus
agressifs ;
6° L'esprit révolutionnaire s'est répandu
par suite de la réaction après la tension du
temps de guerre, du progrès de la pensée
humaine, de la faute du gouvernement en
ne s'occupant pas immédiatement des pro-
blèmes domestiques urgents, de l'agitation
générale contre l'organisation de l'industrie,
de la corruption politique et de l'impuis-
sance des affaires et du gouvernement en
général à changer rapidement les lois et les
coutumes selon les besoins d'un peuple en
progrès ;
7° Parce qu'une grande majorité de ci,
toyens américains a refusé de prendre au
sérieux les nombreux symptômes d'acti-
vité révolutionnaire, parce qu'un grand
nombre de ces citoyens sont restés indiffé-
rents au besoin de changement pressant
dans les affaires et dans l'industrie, - les
radicaux ont pu aller de l'avant avec une
rapidité étonnante ;
8° Il n'y a aucun danger de révolution
immédiate à moins que la minorité, qui
cherche à faire éclater cette révolution, ne
parvienne à provoquer une grève géné-
rale dans toutes les branches des affaires et
de l'industrie et gagner l'appui de la police
du pays. - (Carl W. Ackerman.)
PUBLIC LEDGER [ de Philadelphie], 28.9.
IMPOTS
GRANDE-BRETAGNE. - Les derniers
chiffres fournis par le Trésor, d'après la
London Gazette (21.10), montrent que, au
18.10, les dépenses pour l'année financière
dépassent les recettes de £ 309.418.285. Le
déficit hebdomadaire moyen est encore de
£ 12 millions, et les dépenses continuent à
ce taux même. La semaine dernière, le
Trésor a emprunté encore £ 55 millions,
mettant le total de ses dettes à £ 976 mil-
lions 621.000.
La colère contre les dépenses excessives
du Gouvernement a été augmentée dans
tout le pays à la réception des feuilles de
contributions par les contribuables.
DAILY MAIL, 22.10.
DISCOURS DE M. ASQUITH SUR LA QUESTION
FINANCIÈRE [21.10], - M. Asquith, parlant
hier soir dans une réunion publique du
parti libéral, développa entre autres choses
les points suivants :
Il est parfaitement clair que vous ne
pouvez continuer à augmenter les impôts
sur les objets nécessaires au simple confort
de la vie.
Il y a de grandes accumulations de ri-
chesses qui Se sont constituées pendant la
guerre et qui, pour la plupart, ont été une
conséquence de la guerre ; ces richesses
devnaient, en toute justice et équité, con-
1) ES
AFFAIRES ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
1 N° 1285
Vendredi 24 Octobre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
questions MILITAIRES
-
ORGANISATION
L'ARMEE FRANÇAISE )) [sous ce ti-
- Sans cesse l'Entente nous menace
mesures militaires dès qu'elle croit re-
au traité de paix
jà un de ses édits. *A plusieurs reprises
là le Gouvernement allemand a été inti-
dé par ces menaces. L'opinion publique
fort mal renseignée sur la puissance
militaire dont pourraient disposer nos en-
passer
li. actes. s voudraient passer
tlla/ion ne étude (les mesures de démobi-
lisation et des effectifs dont disposerait ac-
tullement l'armée française : 800.000 hom-
mes soit defalcation faite des contingents
nécessaires au Maroc dans le Levant en
Syrie aux colonies, etc., 543.000 hommes
disponibles en France.
Par suite du maintien du plus grand
nombre des anciennes formations et du
renforcements des corps de couverture de
ltés de nnt
l'Est les unités de l'intérieur de la France
fi 4 des L'ffecti 's si réduits qu'on ne pour-
rait les mobiliser sans les compléter par
servistes. Or un a e^ de réservistes
heurterait à de grandes difficultés. Le
refuserait d'assumer un accroisse-
ment de charges militaires très sugges-
est à cet égard la lecture des deux
des anciens combattants, le
des mutilés et des réformés et
nouvelle revue Le poilu. de 2e classe.
le voit également ^n ll7lt (}e 2e classe.
ie, dont i a^itude vis-à-
de la Russie, dont les gouvernements
S EXNNA vistes T appuyer les géné-
antibolchevistes. La crainte de leur
les empêche d'y envoyer des troupes ;
autre part ils n'osent pas permettre de
sur place aux soldats allemands qui
raient disposés à fournir leur aide.
tout celà 11 résulte que la menace
l'Allemagne ne pourrait, à l'Ouest,
$het>able ?ée san que par une armée,
es le,, Les sans doute mais peu
Les officiers et une partie
des hommes verraient une avance avec
o la masse des soldats, surtout
l\Oç ^-co^^se Sa;Sn ne la feraient
cœur. Avec une pareille armée
re les très loin en Ane-
les Alliés anglo-saxons y étant en-
moins disposés Cette armée suffit
W \'IaS5 Occuper le. bassin de la
, 'l¡s eim,à quoi les Français
par-dessus tout et de Francfort.
'ÎS • cip^, Pas non plus que nous
tÏNri Gr à UnP ^i.sion par les
nous rlou avons ni la volonté ni
force; Mais no us pouvons donner à notre
- ne v. €t , au
er bOlllle rvart au pays l'assurance
%T. lN'S P^sS S françaises
DANS L'ETAT ACTUEL DES CHOSES
PAS LIEU DE CEDER EN TOUT ET
En remplissant les engagements
no° r s avons con-
mais ces engagement seulement et
s les seulement et
les extensions qui appa-
raissent incessamment, comme le montrent
les derniers débats de la Chambre fran-
çaise, nous n'avons aucune raison de
craindre la force réelle de la France. Nous
pouvons d'autant plus refuser de nous
plier aux exigences illégitimes qu'une af-
firmation nette et digne de notre droit nous
attirera des sympathies et des appuis
même chez les ennemis. Tout n'est perdu
que pour le lâche qui s'abandonne. Au-
jourd'hui encore la fortune sourit aux au-
dacieux.
La situation de la France ne s'amélio-
rera pas dans l'avenir. Le Gouvernement
ne s'est pas encore prononcé sur le régime
militaire à venir. Mais une réduction de
la durée du service militaire s'impose.
La durée du service militaire détermi-
nera le chiffre des effectifs. Aussitôt cette
durée descendue au-dessous de deux ans,
le chiffre des effectifs deviendra inférieur
au chiffre actuel. Toute la question est de
savoir si la décision s'inspirera de la né-
cessité d'un minimum d'effectifs ou du
temps minimum nécessaire à la formation
d'un soldat. La première solution serait
une solution « militaire » au même titre
que le rétablissement de la loi de trois ans
en 1913. Mais il se peut qu'aujourd'hui
le Gouvernement ait de la peine à la faire
admettre. S'il n'y parvient pas, l'armée
française sera petite. D'où les nouvelles
tendances à désarmer l'Allemagne plus
encore que ne le prévoyait le traité de paix.
Les 100.000 hommes pourraient devenir
trop dangereux. (Rudolf V. Xylander).
MUENCHEN-AUGSBURGER ABENDZEI-
TUNG, 15.10, soir.
——— ———
I
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
GRÈVES
LA GREVE DE L'ACIER AUX ETATS-
UNIS. - De Pittsburg, 27.9 : La grève de
l'acier fait partie du mouvement révolution-
naire qui se manifeste dans le commerce
et l'industrie de tout le pays. Or le Con-
grès est en grande partie responsable de
cette agitation, en n'accordant pas au Ser-
vice de l'Immigration des Etats-Unis du Dé-
partement du Travail les fonds nécessaires
pour permettre au gouvernement fédéral de
déporter les révolutionnaires, il est la cause
que 300 de ceux-ci prêchent aujourd'hui aux
Etats-Unis l'anarchie et le bolchevisme. La
situation peut être résumée comme suit :
1° Il y a aujourd'hui aux Etats-Unis une
minorité d'hommes et de femmes énergiques
et excessivement actifs qui travaillent sans
relâche à amener une révolution dans l'in-
dustrie et dans le gouvernement ;
2° La campagne révolutionnaire est abon-
damment financée et elle émane des com-
munautés industrielles ;
3° Depuis février le mouvement s'est con-
tinuellecent accentué. Chaque tentative de
révolution a eu plus de résultats que la pré-
cédente ;
4° La stratégie des leaders révolutionnai-
res a comme point de départ unique l'in-
tention de s'emparer du contrôle de l'orga-
nisation des unions du travail de qui dé-
pendrait l'industrie ;
5° L'agitation révolutionnaire n'est pas
due seulement aux- étrangers et aux enne-
mis, bien qu'ils se soient montrés les plus
agressifs ;
6° L'esprit révolutionnaire s'est répandu
par suite de la réaction après la tension du
temps de guerre, du progrès de la pensée
humaine, de la faute du gouvernement en
ne s'occupant pas immédiatement des pro-
blèmes domestiques urgents, de l'agitation
générale contre l'organisation de l'industrie,
de la corruption politique et de l'impuis-
sance des affaires et du gouvernement en
général à changer rapidement les lois et les
coutumes selon les besoins d'un peuple en
progrès ;
7° Parce qu'une grande majorité de ci,
toyens américains a refusé de prendre au
sérieux les nombreux symptômes d'acti-
vité révolutionnaire, parce qu'un grand
nombre de ces citoyens sont restés indiffé-
rents au besoin de changement pressant
dans les affaires et dans l'industrie, - les
radicaux ont pu aller de l'avant avec une
rapidité étonnante ;
8° Il n'y a aucun danger de révolution
immédiate à moins que la minorité, qui
cherche à faire éclater cette révolution, ne
parvienne à provoquer une grève géné-
rale dans toutes les branches des affaires et
de l'industrie et gagner l'appui de la police
du pays. - (Carl W. Ackerman.)
PUBLIC LEDGER [ de Philadelphie], 28.9.
IMPOTS
GRANDE-BRETAGNE. - Les derniers
chiffres fournis par le Trésor, d'après la
London Gazette (21.10), montrent que, au
18.10, les dépenses pour l'année financière
dépassent les recettes de £ 309.418.285. Le
déficit hebdomadaire moyen est encore de
£ 12 millions, et les dépenses continuent à
ce taux même. La semaine dernière, le
Trésor a emprunté encore £ 55 millions,
mettant le total de ses dettes à £ 976 mil-
lions 621.000.
La colère contre les dépenses excessives
du Gouvernement a été augmentée dans
tout le pays à la réception des feuilles de
contributions par les contribuables.
DAILY MAIL, 22.10.
DISCOURS DE M. ASQUITH SUR LA QUESTION
FINANCIÈRE [21.10], - M. Asquith, parlant
hier soir dans une réunion publique du
parti libéral, développa entre autres choses
les points suivants :
Il est parfaitement clair que vous ne
pouvez continuer à augmenter les impôts
sur les objets nécessaires au simple confort
de la vie.
Il y a de grandes accumulations de ri-
chesses qui Se sont constituées pendant la
guerre et qui, pour la plupart, ont été une
conséquence de la guerre ; ces richesses
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