Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-09-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 septembre 1919 23 septembre 1919
Description : 1919/09/23 (N1258,T13). 1919/09/23 (N1258,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239295g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
MINISTERES
DES
,tFFAIR.ES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
i
N° 1258
Mardi 23 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
DÉMOBILISATION
(JeGbA?DE'BRETAGNE. — Le ministère
r~i Guerre britannique annonce que, de
^Hobiiis® au 17 septembre 1919, ont été
Olmobillsés :
Officiers Soldats
b' - -
déSSS"i8éa 116.640 2.843.484
heforrrté s 21.000 180.196
Terriatonaux l et auxil. 143.468
TotaL. 137.640' 3.167.148
TIMES, 20.9.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
ÉMIGRATION
P*^" — Deux cents émigrants ont
vapeEassage pour se rendre à Cuba sur le
il PaIr qUI part de Barcelone et fait escale
à 9 de Mallorca.
Cet ernlgrahon augmente tous les jours
j^qn'a, u point d'être devenue le thème de
es de tous et dans toutes les
c^sses « ?19168 • on critique l'attitude passive
auta if es qUI ne mettent point un terme
cet tat de choses. Cette île finira par
te sans bras pour y travailler.
te enUvernement civil est impuissant à
retenir toutes les personnes qui journelle-
Tllent s out,es les personnes qui journelle-
etit se Ilese tent dans les bureaux et de-
S'ernban leurs passeports pour pouvoir
les rquer.
Les 08,11868 d'une si extraordinaire émi-
^^tion
Ie trava sont dans le manque presque absolu
qUI, s'ajoutant à la cherté inusitée
s vivr rend la vie impossible.
Le n
Dire Problèrrle de la cherté des vivres em-
Brilndehaque. jour davantage et est dû en
t()tité parti q au peu d'attention que les au-
p^îtés irn ^^P611®3 chargées de le résoudre
le r, ent.
e Peuple est arrivé à un tel décourage-
ania Perrïu la foi en ceux qui le
^.o-ui ^ent et qu'il demande un rédempteur
ruing de l'état actuel de prostration
E^Herg^11 publique réclame la prompte
intervention du Gouvernement,
a ri il ue cette intervention directe mette fin
k111 cfUe m, ? intervention directe mette fin
Ile, est •lon qui, par son extrême gra-
est msoutenable.
DIA [de Madrid], 17.9.
NÉGIME DU TRAVAIL
(le - LA JOURNÉE DE HUIT
]ee l'Intérï- De Lisbonne : Au ministère
]e tept'é IOns des boutiquiers de Lisbonne,
entants des Associations du com-
1 lndustrie, des propriétaires de
ec le' 'Ji ont eu une longue conférence
° ef du gouvernement.
Les représ'entants de ces différentes clas-
ses de commerçants ont remis à M. Sà Car-
doso une note demandant des amendements
à la loi qui règle le régime des huit heures
de travail.
Le patronat commercial a l'intention de
ne pas accepter les huit heures, non seule-
ment parce que cela représente pour lui un
préjudice considérable, mais parce que
cette loi ne se justifie en rien, et que d'ail-
beurs en France et dans d'autres pays ce
régime pour les travailleurs du commerce
est sensiblement modifié.
M. Sà Cardoso a promis de prendre cette
demande en considération dans la mesure
du possible, et de traiter de la question en
Conseil des ministres.
PIUMElRO DE JANEIRO,
[de Porto], 14.9.
COMMERCE EXTÉRIEUR
RUSSIE ET SCANDINAVIE. — Les
bolcheviks font une propagande énorme
dans les pays scandinaves. Vorovski à
Stockholm, Sourits à Copenhague, ont dé-
claré qu'ils agissent sans intermédiaires ni
spéculateurs. Mais le représentant du Con-
seil commercial et industriel danois,
M. Lange, est allé voir sur place en Rus-
sie et s'est persuadé que la réalité n'était
pas aussi belle. — De plus, ces envoyés
spéciaux, sauf Vorovski, ne sont pas très
au courant des affaires commerciales. Le
gouvernement de Moscou en a envoyé d'au-
tres qui ont mission d'acheter tout ce qu'ils
peuvent. Ils le font sans méthode. L'Ekono-
mitchaskaïa Jizn [« La vie économique »,
de Moscou, organe des Soviets], s'en plaint,
disant que ceci diminue le prestige des
Soviets et aussi la valeur du rouble.
Les résultats de ce commerce sont fort
maigres. De Suède on a exporté 1.470 ton-
nes de marchandises : machines agricoles,
faux, serpes, machines, appareils, pièces
séparées, produits chimiques, allumettes,
aniline, couleurs, plâtre, produits diaman-
taires, semences, papier et imprimés.
D'Allemagne on a exporté 43.850 tonnes de
charbon. Pour compenser il est venu de
Russie pour l'Allemagne, la Suède et le
Danemark : cuivre, 290 tonnes ; cuivre en
barres, .en copeaux, laiton, 890 tonnes ;
déchets de cuivre jaune, 880 tonnes ; fer-
blanc, 147 tonnes ; étain, 16 tonnes ; barres
de fer, 320 tonnes ; huile, 995 tonnes ; lin,
3.200 tonnes : chanvre, 1.200 tonnes ; bois
de plaquage, 640 tonnes et plus de 3 millions
de planches. Il s'ensuit au total une expor-
tation de 8.600 tonnes environ, plus 3 mil-
lions de planches.
Et c'est tout ! Quels résultats misérables !
VOZROJDENIE [« La Renaissance »,
journal russe de Copenhague], 19.8.
CHEMINS DE FER
GRANDE-BRETAGNE. — L'exploitation
des chemins de fer (passés sous la direc-
tion de l'Etat au début de la guerre) a lieu
actuellement dans des conditions onéreu-
ses, et n'est possible qu'au prix d'une im-
portante subvention. Il est déplorable
qu'une industrie qui avant la guerre re-
cueillait des bénéfices doive maintenant re-
cevoir un appui financier. Il est inévitable
que la hausse des dépenses se répercute
sur le prix du produit, et le prix se main-
tient dans la mesure où le consommateur
est en état de payer. Les subsides accordés
à une petite partie de la communauté aux
dépens du public sont bîen rarement jus-
tifiés, et un bon gouvernement veille à ce
que les salaires élevés ne proviennent pas
de secours déguisés. Lorsqu'il a fait droit
aux demandes des mineurs, le gouverne-
ment a été bien avisé en élevant propor-
tionnellement le prix du charbon ; le pau-
vre et le riche ont contribué ainsi chacun
dans leur mesure à donner aux mineurs des
salaires plus élevés et des journées de tra-
vail plus courtes. Il faut faire de même en
ce qui concerne les chemins de fer. De ren-
seignements que nous avons publiés il ré-
sulte que le déficit n'est pas causé par le
trafic des voyageurs ; comme le prix des
billets a été augmenté de 50 %, cette bran-
che des transports équilibre ses profits et
ses dépenses. En revanche, le déficit vient
du trafic des marchandises, car les tarifs
n'ont pas été élevés à cet égard depuis le
début de la guerre. Si les évaluations du
Chancelier de l'Echiquier se rapprochent,
comme il semble, de la réalité des faits, les
commerçants et industriels, qui emploient
les chemins de fer pour le transport de
leurs produits, reçoivent une subvention
annuelle de 60 millions de livres. Si nous
voulons échapper à la banqueroute, nous
devons mettre fin à cette pratique. — (Ed.)
DAILY TELEGRAPH, 18.9.
CHANGE
ALLEMAGNE. - Si la devise allemande
baisse, il en est de même pour les devises
italienne et française. Toute l'Europe est
menacée de tomber dans un état chaotique,
qu'elle ne peut éviter qu'en recourant à un
consortium économique des peuples. Il ne
faut pas s'imaginer que l'Allemagne, pri-
vée d'importantes parties agricoles et in-
dustrielles de son territoire pourra charger
par-dessus sa détresse, celle des autres peu-
ples. On parle beaucoup, en Allemagne,
d'émigration, mais ce n'est pas en émigrant
d'un endroit à un autre, sur une terre déjà
surpeuplée, que l'on remédiera à l'effondre-
ment du crédit mondial, entraînant avec lui
une catastrophe universelle.
FRANKFURTER ZEITUNG, 11.9. soir.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
« LUDENDORFF ET LE LIVRE BLANC»
[sous ce titre]. — Le général Ludendorff a
fait paraître une brochure à propos du Li,
vre Blanc relatif à l'armistice, où il exa-
mine la compétence de l'autorité politique et
DES
,tFFAIR.ES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
i
N° 1258
Mardi 23 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
DÉMOBILISATION
(JeGbA?DE'BRETAGNE. — Le ministère
r~i Guerre britannique annonce que, de
^Hobiiis® au 17 septembre 1919, ont été
Olmobillsés :
Officiers Soldats
b' - -
déSSS"i8éa 116.640 2.843.484
heforrrté s 21.000 180.196
Terriatonaux l et auxil. 143.468
TotaL. 137.640' 3.167.148
TIMES, 20.9.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
ÉMIGRATION
P*^" — Deux cents émigrants ont
vapeEassage pour se rendre à Cuba sur le
il PaIr qUI part de Barcelone et fait escale
à 9 de Mallorca.
Cet ernlgrahon augmente tous les jours
j^qn'a, u point d'être devenue le thème de
es de tous et dans toutes les
c^sses « ?19168 • on critique l'attitude passive
auta if es qUI ne mettent point un terme
cet tat de choses. Cette île finira par
te sans bras pour y travailler.
te enUvernement civil est impuissant à
retenir toutes les personnes qui journelle-
Tllent s out,es les personnes qui journelle-
etit se Ilese tent dans les bureaux et de-
S'ernban leurs passeports pour pouvoir
les rquer.
Les 08,11868 d'une si extraordinaire émi-
^^tion
Ie trava sont dans le manque presque absolu
qUI, s'ajoutant à la cherté inusitée
s vivr rend la vie impossible.
Le n
Dire Problèrrle de la cherté des vivres em-
Brilndehaque. jour davantage et est dû en
t()tité parti q au peu d'attention que les au-
p^îtés irn ^^P611®3 chargées de le résoudre
le r, ent.
e Peuple est arrivé à un tel décourage-
ania Perrïu la foi en ceux qui le
^.o-ui ^ent et qu'il demande un rédempteur
ruing de l'état actuel de prostration
E^Herg^11 publique réclame la prompte
intervention du Gouvernement,
a ri il ue cette intervention directe mette fin
k111 cfUe m, ? intervention directe mette fin
Ile, est •lon qui, par son extrême gra-
est msoutenable.
DIA [de Madrid], 17.9.
NÉGIME DU TRAVAIL
(le - LA JOURNÉE DE HUIT
]ee l'Intérï- De Lisbonne : Au ministère
entants des Associations du com-
1 lndustrie, des propriétaires de
ec le' 'Ji ont eu une longue conférence
° ef du gouvernement.
Les représ'entants de ces différentes clas-
ses de commerçants ont remis à M. Sà Car-
doso une note demandant des amendements
à la loi qui règle le régime des huit heures
de travail.
Le patronat commercial a l'intention de
ne pas accepter les huit heures, non seule-
ment parce que cela représente pour lui un
préjudice considérable, mais parce que
cette loi ne se justifie en rien, et que d'ail-
beurs en France et dans d'autres pays ce
régime pour les travailleurs du commerce
est sensiblement modifié.
M. Sà Cardoso a promis de prendre cette
demande en considération dans la mesure
du possible, et de traiter de la question en
Conseil des ministres.
PIUMElRO DE JANEIRO,
[de Porto], 14.9.
COMMERCE EXTÉRIEUR
RUSSIE ET SCANDINAVIE. — Les
bolcheviks font une propagande énorme
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Stockholm, Sourits à Copenhague, ont dé-
claré qu'ils agissent sans intermédiaires ni
spéculateurs. Mais le représentant du Con-
seil commercial et industriel danois,
M. Lange, est allé voir sur place en Rus-
sie et s'est persuadé que la réalité n'était
pas aussi belle. — De plus, ces envoyés
spéciaux, sauf Vorovski, ne sont pas très
au courant des affaires commerciales. Le
gouvernement de Moscou en a envoyé d'au-
tres qui ont mission d'acheter tout ce qu'ils
peuvent. Ils le font sans méthode. L'Ekono-
mitchaskaïa Jizn [« La vie économique »,
de Moscou, organe des Soviets], s'en plaint,
disant que ceci diminue le prestige des
Soviets et aussi la valeur du rouble.
Les résultats de ce commerce sont fort
maigres. De Suède on a exporté 1.470 ton-
nes de marchandises : machines agricoles,
faux, serpes, machines, appareils, pièces
séparées, produits chimiques, allumettes,
aniline, couleurs, plâtre, produits diaman-
taires, semences, papier et imprimés.
D'Allemagne on a exporté 43.850 tonnes de
charbon. Pour compenser il est venu de
Russie pour l'Allemagne, la Suède et le
Danemark : cuivre, 290 tonnes ; cuivre en
barres, .en copeaux, laiton, 890 tonnes ;
déchets de cuivre jaune, 880 tonnes ; fer-
blanc, 147 tonnes ; étain, 16 tonnes ; barres
de fer, 320 tonnes ; huile, 995 tonnes ; lin,
3.200 tonnes : chanvre, 1.200 tonnes ; bois
de plaquage, 640 tonnes et plus de 3 millions
de planches. Il s'ensuit au total une expor-
tation de 8.600 tonnes environ, plus 3 mil-
lions de planches.
Et c'est tout ! Quels résultats misérables !
VOZROJDENIE [« La Renaissance »,
journal russe de Copenhague], 19.8.
CHEMINS DE FER
GRANDE-BRETAGNE. — L'exploitation
des chemins de fer (passés sous la direc-
tion de l'Etat au début de la guerre) a lieu
actuellement dans des conditions onéreu-
ses, et n'est possible qu'au prix d'une im-
portante subvention. Il est déplorable
qu'une industrie qui avant la guerre re-
cueillait des bénéfices doive maintenant re-
cevoir un appui financier. Il est inévitable
que la hausse des dépenses se répercute
sur le prix du produit, et le prix se main-
tient dans la mesure où le consommateur
est en état de payer. Les subsides accordés
à une petite partie de la communauté aux
dépens du public sont bîen rarement jus-
tifiés, et un bon gouvernement veille à ce
que les salaires élevés ne proviennent pas
de secours déguisés. Lorsqu'il a fait droit
aux demandes des mineurs, le gouverne-
ment a été bien avisé en élevant propor-
tionnellement le prix du charbon ; le pau-
vre et le riche ont contribué ainsi chacun
dans leur mesure à donner aux mineurs des
salaires plus élevés et des journées de tra-
vail plus courtes. Il faut faire de même en
ce qui concerne les chemins de fer. De ren-
seignements que nous avons publiés il ré-
sulte que le déficit n'est pas causé par le
trafic des voyageurs ; comme le prix des
billets a été augmenté de 50 %, cette bran-
che des transports équilibre ses profits et
ses dépenses. En revanche, le déficit vient
du trafic des marchandises, car les tarifs
n'ont pas été élevés à cet égard depuis le
début de la guerre. Si les évaluations du
Chancelier de l'Echiquier se rapprochent,
comme il semble, de la réalité des faits, les
commerçants et industriels, qui emploient
les chemins de fer pour le transport de
leurs produits, reçoivent une subvention
annuelle de 60 millions de livres. Si nous
voulons échapper à la banqueroute, nous
devons mettre fin à cette pratique. — (Ed.)
DAILY TELEGRAPH, 18.9.
CHANGE
ALLEMAGNE. - Si la devise allemande
baisse, il en est de même pour les devises
italienne et française. Toute l'Europe est
menacée de tomber dans un état chaotique,
qu'elle ne peut éviter qu'en recourant à un
consortium économique des peuples. Il ne
faut pas s'imaginer que l'Allemagne, pri-
vée d'importantes parties agricoles et in-
dustrielles de son territoire pourra charger
par-dessus sa détresse, celle des autres peu-
ples. On parle beaucoup, en Allemagne,
d'émigration, mais ce n'est pas en émigrant
d'un endroit à un autre, sur une terre déjà
surpeuplée, que l'on remédiera à l'effondre-
ment du crédit mondial, entraînant avec lui
une catastrophe universelle.
FRANKFURTER ZEITUNG, 11.9. soir.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
« LUDENDORFF ET LE LIVRE BLANC»
[sous ce titre]. — Le général Ludendorff a
fait paraître une brochure à propos du Li,
vre Blanc relatif à l'armistice, où il exa-
mine la compétence de l'autorité politique et
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