Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-08-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 août 1919 14 août 1919
Description : 1919/08/14 (T12,N1225). 1919/08/14 (T12,N1225).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6487957f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/04/2013
MINISTÈRES
utis
A F^lHES ETRANGERES
Et de LA GUERRE
N° 1225
Jeudi 14 Août 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTÉRIEUR
E ALLEMAGNE. — L'OFFICE DU COMMERCE
EXTÉRIEUR DU MINISTÈRE DES AFFAIRES ETRAN-
GÈRES. — La nécessité pour l'Etat de venir
en alde à Vinitiative privée dans les questions
p eXportation a été reconnue dans tous les
us. L'Etat peut en particulier être très
A. lle dans le domaine de l'information.
Aussi l'Amérique, le Japon, l'Angleterre et
Wême, dans les derniers temps, la France,
"Italie et la Norvège ont étendu leur ser-
Vl'°e officiel d'informations sur l'étranger.
Office du commerce extérieur du minis-
bte des Affaires étrangères, se propose ce
W, d'organiser l'information économique
;:,ncernant l'étranger. Une condition pri-
mordiale, c'est d'avoir à l'étranger des
fffents compétents qu'il importe de former.
l'office centralise tous les renseignements
Wéressant la situation du marché mondial,
C lie centralisé aussi les informations con-
Jrnant la situation économique intérieure
et l'Allemagne; les rapports ainsi établis
et envoyés aux agents à l'étranger permet-
cnt de guider les investigations de ceux-
ci.
, ^'Office exploite les renseignements qui
lui parviennent. Il fait paraître un bulletin
quotidien intitulé : « Renseignements pour
Ê commerce, l'industrie et l'agriculture ».
en outre, il fait parvenir directement à. des
abonnés les renseignements d'ordre confi-
aentiel. Il édite des brochures périodiques
tU sont traitées les questions les plus ac-
relles qui intéressent le commerce exté-
'/Jzeur. Il prévoit également l'édition de tra-
scientifiques plus importants sur les
lueslions économiques intéressantes.
11 L'institution doit avoir un caractère émi-
('rnment pratique. Le comité directeur
d' mprcnd de 25 à 30 commerçants ou in-
ytstriels et 5 ou 6 fonctionnaires seulement.
Ce comité devra être non seulement con-
dé f,. mais il sera appelé à participer aux
Clsions d'ordre économique.
VOSSISCHE ZEITUNG, 6.8.
dTATS-UNIS. — De Washington : Un
H 5ret permettant aux citoyens amérICaInS
cancer des fonds aux commerçants étran-
pafs pour l'achat de marchandises ameri-
nes vient d'être présenté aujourd nui par
e sénateur Edge. Après en avoir discute
ver le secrétaire d'Etat Glass et le gou-
drleur. Harding, du Comité de Réserve fé-
ainsi qu'un certain nombre de finan-
cfo* [s. de New-York, il propose d'amender
j. de réserve fédérale.
<3PPne disposition de son texte prévoit que
Tles associations de moins de cinq person-
cOrn Peuvnt être formées pour établir un
tnrmerce de banque international ou étrai)-
Les buts de ces associations doivent
être spécifiés en termes généraux et les
articles doivent être soumis au Comité de
réserve fédéral. Le capital ne doit pas être
inférieur à 2 millions de dollars.
Autorisation est donnée d'établir des
agences dans les pays étrangers. Aucune
affaire ne doit être faite à l'intérieur du
pays, sauf avec l'approbation du Comité
fédéral.
Dans l'exposé des motifs, le sénateur
Edge dit : « En fait, cette mesure permet
d'affilier au Comité fédéral une ou plu-
sieurs entreprises destinées à traiter les
affaires commerciales et financières d ex-
portation des Etats-Unis. Ces entreprises
pourront non seulement remplir les fonc-
tions de banques, mais encore avancer les
fonds nécessaires aux acheteurs étrangers
d'articles américains d'exportation, contre
les valeurs, actions ou obligations, telles
que celles d'une usine étrangère ou autres.
Par exemple, une usine bege désire ache-
ter des matières premières en Amérique.
D'après ce décret, une entreprise américaine
de commerce international pourra prendre
une hypothèque sur cette usine, et payer
en échange les exportateurs américains.
Comme toute transaction de ce genre sera
placée sous la surveillance du Gouverne-
ment américain, par l'intermédiaire du Co-
mité fédéral, de tels placements seront ab-,
solumient sauvegardés. La proposition éta-
blit, de la part du Gouvernement, un con-
trôle suffisant, mais réduit au minimum,
sans participation ni garantie. »
WORLD [de New-York], 16.7.
FINANCES
ITALIE. — LA LEVÉE DU CAPITAL. — La
Commission qui étudie le projet d'applica-
tion d'un impôt .extraordinaire sur les for-
tunes, est réunie à Rome, sous la présiden-
ce du ministre des Finances, M. Tedesco.
Il y a lieu de féliciter M. Nitti d'avoir ins-
crit dans son programme cette mesure au-
dacieuse.
Le problème de la levée du capital a été
discuté tellement à fond, depuis 1917, en
Angletetrre, en Allemagne et aux Etats-
Unis, qu'il est inutile de répéter les argu-
ments pour et contre la thèse.
JUSTE RÉPARATION. — Il convient de faire
une observation dont on n'a pas assez tenu
compte jusqu'à présent. Le professeur Pi-
gnon dans son Wealth and Welfare, l'œu-
vre peut-être la plus profonde qu'on ait ja-
mais écrite sur ce sujet, étudie les cas ex-
ceptionnels dans lesquels l'Etat intervenant
dans le libre jeu des forces économiques,
et enlevant aux plus riches une partie de
leur fortune en faveur des plus pauvres,
augmente le bien-être de la collectivité.
La situation actuelle semble justement
une de celles-là. Elle a provoqué un dépla-
cement artificiel des richesses, et leurs
concentrations entre les mains de person-
nes qui ne doivent pas cette puissance
financière à des dons naturels, et ne l'ont
pas obtenue non plus par un processus de
concurrence et de sélection. Des causes ex-
térieures et occasionnelles les ont seules
enrichies. Ce résultat de la guerre est une
source de dangers, non seulement sociaux
et moraux, mais encore économiques.
L'auteur cite les gaspillages et les mala-
droits placements de capital. L'Etal, par
son intervention, servira la société entière.
Evoquons notre situation financière. Les
cdlculs officiels nous apprennent qu'une lois
la démobilisation achevée et nos dépenses
redevenues normales. elles seront de neuf
milliards de lires ; ce chiffre ne comprend
point le déficit de l'exploitation des chemins
de fer.
Plus de 3 milliards et demi, — peut-être
4 — de ces 9 milliards sont absorbés
par les intérêts et l'amortissement des di-
verses dettes publiques. N'oublions pas
que notre ravitaillement va encore nous
endetter, dans les trois années prochaines,
de huit milliards envers l'étranger.
Quant aux recettes on peut compter sur
5 milliards, peut-être, en faisant un effort
suprême, sur 5 milliards et demi. Restent
donc à couvrir 3 milliards et demi à 4 mil-
liards, c'est-à-dire exactement ce qu'il faut
pour le service de la dette publique.
LA RICHESSE NATIONALE. — Il est juste que
l'impôt doive toucher toute la fortune pri-
vée existante, sauf à frapper plus énergi-
quement les « surfortunes » provenant de
la guerre. Quelle pourra être le résultat de
la mesure ?
M. Nitti a déclaré qu'il en attend un bé-
néfice de 20 à 25 milliards, en prenant pour
base une taxation moyenne, de 15 Le
statisticien le plus autorisé d'Italie, le pro-
fesseur Benini de l'université de Rome, es-
time notre patrimoine privé d'avant la
guerre à 85 milliards 400 millions dont 6
milliards 800 millions composés par les for-
tunes dépassant 40.000 lires, 43 milliards
des 61 milliards 800 millions sont consti-
tués par les fortunes supérieures à 200.000
lires et 30 milliards par celles dépassant
500.000. Or, la fortune de l'Italie peut s'é-
valuer aujourd'hui, en valeur actuelle, bien
entendu, à 250 milliards, c'est-à-dire trois
fois plus qu'avant la guerre. Si cette ri-
chesse était encore distribuée selon les
mêmes proportions qu'en 1914, les fortunes
de plus de 40.000 francs formeraient à peu
près 180 milliards, et un impôt moyen de
15 sur elles, en donnerait 27. Mais la
proportion de l'avoir privé, s'est modifiée
dans le sens d'une formidable concentra-
tion. Les fortunes de plus de 500.000 lires
ont beaucoup augmenté, au lieu de 30 mil-
liards on peut aisément les totaliser à
100 milliards.
Sous ces conditions, même en tenant
compte des fonds des œuvres de bienfai-.
sance,
envers lesquels il faudra user de
ménagements spéciaux, le nouvel impôt
devrait donner un bénéfice de 5 milliards
sans porter aucune atteinte à notre solidité
économique. Ces trente milliards, ajoutés
utis
A F^lHES ETRANGERES
Et de LA GUERRE
N° 1225
Jeudi 14 Août 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTÉRIEUR
E ALLEMAGNE. — L'OFFICE DU COMMERCE
EXTÉRIEUR DU MINISTÈRE DES AFFAIRES ETRAN-
GÈRES. — La nécessité pour l'Etat de venir
en alde à Vinitiative privée dans les questions
p eXportation a été reconnue dans tous les
us. L'Etat peut en particulier être très
A. lle dans le domaine de l'information.
Aussi l'Amérique, le Japon, l'Angleterre et
Wême, dans les derniers temps, la France,
"Italie et la Norvège ont étendu leur ser-
Vl'°e officiel d'informations sur l'étranger.
Office du commerce extérieur du minis-
bte des Affaires étrangères, se propose ce
W, d'organiser l'information économique
;:,ncernant l'étranger. Une condition pri-
mordiale, c'est d'avoir à l'étranger des
fffents compétents qu'il importe de former.
l'office centralise tous les renseignements
Wéressant la situation du marché mondial,
C lie centralisé aussi les informations con-
Jrnant la situation économique intérieure
et l'Allemagne; les rapports ainsi établis
et envoyés aux agents à l'étranger permet-
cnt de guider les investigations de ceux-
ci.
, ^'Office exploite les renseignements qui
lui parviennent. Il fait paraître un bulletin
quotidien intitulé : « Renseignements pour
Ê commerce, l'industrie et l'agriculture ».
en outre, il fait parvenir directement à. des
abonnés les renseignements d'ordre confi-
aentiel. Il édite des brochures périodiques
tU sont traitées les questions les plus ac-
relles qui intéressent le commerce exté-
'/Jzeur. Il prévoit également l'édition de tra-
scientifiques plus importants sur les
lueslions économiques intéressantes.
11 L'institution doit avoir un caractère émi-
('rnment pratique. Le comité directeur
d' mprcnd de 25 à 30 commerçants ou in-
ytstriels et 5 ou 6 fonctionnaires seulement.
Ce comité devra être non seulement con-
dé f,. mais il sera appelé à participer aux
Clsions d'ordre économique.
VOSSISCHE ZEITUNG, 6.8.
dTATS-UNIS. — De Washington : Un
H 5ret permettant aux citoyens amérICaInS
cancer des fonds aux commerçants étran-
pafs pour l'achat de marchandises ameri-
nes vient d'être présenté aujourd nui par
e sénateur Edge. Après en avoir discute
ver le secrétaire d'Etat Glass et le gou-
drleur. Harding, du Comité de Réserve fé-
ainsi qu'un certain nombre de finan-
cfo* [s. de New-York, il propose d'amender
j. de réserve fédérale.
<3PPne disposition de son texte prévoit que
Tles associations de moins de cinq person-
cOrn Peuvnt être formées pour établir un
tnrmerce de banque international ou étrai)-
Les buts de ces associations doivent
être spécifiés en termes généraux et les
articles doivent être soumis au Comité de
réserve fédéral. Le capital ne doit pas être
inférieur à 2 millions de dollars.
Autorisation est donnée d'établir des
agences dans les pays étrangers. Aucune
affaire ne doit être faite à l'intérieur du
pays, sauf avec l'approbation du Comité
fédéral.
Dans l'exposé des motifs, le sénateur
Edge dit : « En fait, cette mesure permet
d'affilier au Comité fédéral une ou plu-
sieurs entreprises destinées à traiter les
affaires commerciales et financières d ex-
portation des Etats-Unis. Ces entreprises
pourront non seulement remplir les fonc-
tions de banques, mais encore avancer les
fonds nécessaires aux acheteurs étrangers
d'articles américains d'exportation, contre
les valeurs, actions ou obligations, telles
que celles d'une usine étrangère ou autres.
Par exemple, une usine bege désire ache-
ter des matières premières en Amérique.
D'après ce décret, une entreprise américaine
de commerce international pourra prendre
une hypothèque sur cette usine, et payer
en échange les exportateurs américains.
Comme toute transaction de ce genre sera
placée sous la surveillance du Gouverne-
ment américain, par l'intermédiaire du Co-
mité fédéral, de tels placements seront ab-,
solumient sauvegardés. La proposition éta-
blit, de la part du Gouvernement, un con-
trôle suffisant, mais réduit au minimum,
sans participation ni garantie. »
WORLD [de New-York], 16.7.
FINANCES
ITALIE. — LA LEVÉE DU CAPITAL. — La
Commission qui étudie le projet d'applica-
tion d'un impôt .extraordinaire sur les for-
tunes, est réunie à Rome, sous la présiden-
ce du ministre des Finances, M. Tedesco.
Il y a lieu de féliciter M. Nitti d'avoir ins-
crit dans son programme cette mesure au-
dacieuse.
Le problème de la levée du capital a été
discuté tellement à fond, depuis 1917, en
Angletetrre, en Allemagne et aux Etats-
Unis, qu'il est inutile de répéter les argu-
ments pour et contre la thèse.
JUSTE RÉPARATION. — Il convient de faire
une observation dont on n'a pas assez tenu
compte jusqu'à présent. Le professeur Pi-
gnon dans son Wealth and Welfare, l'œu-
vre peut-être la plus profonde qu'on ait ja-
mais écrite sur ce sujet, étudie les cas ex-
ceptionnels dans lesquels l'Etat intervenant
dans le libre jeu des forces économiques,
et enlevant aux plus riches une partie de
leur fortune en faveur des plus pauvres,
augmente le bien-être de la collectivité.
La situation actuelle semble justement
une de celles-là. Elle a provoqué un dépla-
cement artificiel des richesses, et leurs
concentrations entre les mains de person-
nes qui ne doivent pas cette puissance
financière à des dons naturels, et ne l'ont
pas obtenue non plus par un processus de
concurrence et de sélection. Des causes ex-
térieures et occasionnelles les ont seules
enrichies. Ce résultat de la guerre est une
source de dangers, non seulement sociaux
et moraux, mais encore économiques.
L'auteur cite les gaspillages et les mala-
droits placements de capital. L'Etal, par
son intervention, servira la société entière.
Evoquons notre situation financière. Les
cdlculs officiels nous apprennent qu'une lois
la démobilisation achevée et nos dépenses
redevenues normales. elles seront de neuf
milliards de lires ; ce chiffre ne comprend
point le déficit de l'exploitation des chemins
de fer.
Plus de 3 milliards et demi, — peut-être
4 — de ces 9 milliards sont absorbés
par les intérêts et l'amortissement des di-
verses dettes publiques. N'oublions pas
que notre ravitaillement va encore nous
endetter, dans les trois années prochaines,
de huit milliards envers l'étranger.
Quant aux recettes on peut compter sur
5 milliards, peut-être, en faisant un effort
suprême, sur 5 milliards et demi. Restent
donc à couvrir 3 milliards et demi à 4 mil-
liards, c'est-à-dire exactement ce qu'il faut
pour le service de la dette publique.
LA RICHESSE NATIONALE. — Il est juste que
l'impôt doive toucher toute la fortune pri-
vée existante, sauf à frapper plus énergi-
quement les « surfortunes » provenant de
la guerre. Quelle pourra être le résultat de
la mesure ?
M. Nitti a déclaré qu'il en attend un bé-
néfice de 20 à 25 milliards, en prenant pour
base une taxation moyenne, de 15 Le
statisticien le plus autorisé d'Italie, le pro-
fesseur Benini de l'université de Rome, es-
time notre patrimoine privé d'avant la
guerre à 85 milliards 400 millions dont 6
milliards 800 millions composés par les for-
tunes dépassant 40.000 lires, 43 milliards
des 61 milliards 800 millions sont consti-
tués par les fortunes supérieures à 200.000
lires et 30 milliards par celles dépassant
500.000. Or, la fortune de l'Italie peut s'é-
valuer aujourd'hui, en valeur actuelle, bien
entendu, à 250 milliards, c'est-à-dire trois
fois plus qu'avant la guerre. Si cette ri-
chesse était encore distribuée selon les
mêmes proportions qu'en 1914, les fortunes
de plus de 40.000 francs formeraient à peu
près 180 milliards, et un impôt moyen de
15 sur elles, en donnerait 27. Mais la
proportion de l'avoir privé, s'est modifiée
dans le sens d'une formidable concentra-
tion. Les fortunes de plus de 500.000 lires
ont beaucoup augmenté, au lieu de 30 mil-
liards on peut aisément les totaliser à
100 milliards.
Sous ces conditions, même en tenant
compte des fonds des œuvres de bienfai-.
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envers lesquels il faudra user de
ménagements spéciaux, le nouvel impôt
devrait donner un bénéfice de 5 milliards
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