Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-01-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 janvier 1919 19 janvier 1919
Description : 1919/01/19 (T11,N1050)-1919/01/20. 1919/01/19 (T11,N1050)-1919/01/20.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6216640d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
STÈRES DE LA GUERRE
ET DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1050
Paris, 19-20 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
Noir
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisée
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
--
DEMOBILISATION
Etats. Unis. - Le 14 décembre 1918
le général March annonce que la démo-
bilisation de 1. 700.000 hommes qui se
trouvaient dans les camps d'instruction
américains à la date du camps n instruction
avec une s rapidité croissante. Tb'6 s'°Pè,e
quotidienne est d'environ 15.000 démopih
sés. D'autre part, la démobilisation rapide
a été prévue de 5 653 officiers et 135.262
hommes appartenant au corps expédition-
naire Sur ce nombre 1.373 officiers et
30.750 hommes ont déjà pris la met, -
Philudelphia Record. 15.12.
Canada. - La démobilisation ce qu on
des forces deuv mMi« i a qu'on
le seront par detachemems. Les soldats
canadiens auront la prime de guerre la plus
élevée. C'est ainsi qu'un soldat canadien
recevra parfois une somme s'élevant jus
qu'à ~125, sans compter ses arriérés. -
Evening S/mHlal'd, 15.1.
VIOLATIONS DU DROIT DES GENS
L'enquête de la Wilhelmstrasse sur les
atrocites allemandes.- De Berlin, 5.1 : La
Commission du Ministère des Affaires
les documents a été ncmillée pour étudier
les documents et les archives secrètes a à-
s'occuper des documents et des archives des
autorités civiles et militaires allemandes
pendant l'occupation Belgique et du
nord de la France plus particUlièrement de
ceux du Département politique allemand
de Bruxelles des document de l'adminis-
tration civile des diverses provinces des
territoires occupés et ri f. archives militai-
res.Pendant la précipitation de l'évacuation
forcée, Plusieurs charretées de ces docu-
ments ont été transportées en hâte en Alle-
documents militaires en D[}rtif'l1ll~~ n~h,
blèrent un instant en danger particulier sem-
més par ceux en danger d'être suppri-
documents ont qui y 8vaient. Intérêt. Ces
documents ont été sauvés de l'oubli grâce
l'énérgie et à l'initiative privée d'un
membre du comité du Soviet berlinois, Léo-
pold qui fut plus tard nommé membre du
comité des Affaires étrangères, avec Kauts-
ky et Quarck. Grâce à son insistance, on
rechercha activement ces documents et ils
furent saisis partou où on les trouva. J'ai
eu une longue les trouva. J'ai
sur une longue conversation avec Leopold
sur ces questions. Il a évidemment une
opinion très nette. Malheureusement quand
il fut nommé au Comité d'Enquête, on prit
la précaution de faire de lui un fonction-
naire du Ministère f2 If de ,, 1 - 1 un fonction-
lmmédiatement
lui fit jurer le secret. Cependant j'en ai
assez appris pour assurer que les atrocités
commises par les autorités civiles et mili-
taires allemandes en Belgique et dans le
nord de la France, plus spécialement celles
qui ont été commises par certains militaires
haut placés, sont bien pires que tout ce qui
a été soupçonné jusqu'ici dans les pays de
l'Entente. Jusqu'à présent on n'a guère fait
que rassembler et classer ces documents.
Je crois pouvoir dire qu'ils éclairent complè-
tement le procès de Miss Qavell dans tous
ses révoltants détails pt de nombreuses au-
-— .v,UUaius détails, et de nombreuses au-
tres condamnations à mort moins fameuses
pour espionnage. Je crois qu'on découvrira
que le général Sauberzwei a dans ces atro-
cités joué un plus sinistre rôle que peut-
être aucun autre Allemand. On peut le re-
garder comme personnellement responsable
de la mort de Miss Cavell.La question qui se
pose est de savoir si le gouvernement alle-
mand se propose de publier ces documents.
Tout ce qu'on peut dire, c'est que jusqu'à
présent il n'a pas donné la moindre indica-
tion d'une semblable intention, et l'opposi-
tion d'une semblable intention, et l'op,po~,ii-
tion du baron von der Lancken lors de la
saisie des Hdoc, uments n'est pas faite r-our
inspirer beaucoup d eipoir- Ltobaio
que la Commission d'Armistice allemande
demandera des documents à la Commission
d'Enquête pour s'en servir dans les ¡13,';P-
ciation de paix afin de renforcer les argu-
ments allemands. Il est évident qu'un sem-
blable usage des documents secrets serait
sans valeur pour la détermination de la
responsabilité collective et individuelle
dans les atrocités. Si Erzberger maaipuie
ces documents, ils deviennent pour ainsi
dire non-existants pour la découverte de
a vente. La meilleure méthode pour établir
la vérité serait que l'Entente exige que Leo-
pold lui-même qui a la garde de ces docu-
ments et est évidemment désireux de ré-
véler la vérité au monde, ,soit appelé lors
des négociations d'armistice et de'paix afin
d' éclaircir le sujet, ou, si le gouvernement
allemand s'y oppose, qu'un commissaire de
l'Entente soit joint à la Commission d'En-
quête allemande, avec pouvoir d'examiner
tous les documents et archives secrètes en
sa possession. — Manchester Guardian,
(Edition de Londres), 13.1.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
L'immigration au Pérou. — La fin de la
guerre pose dans toute l'Amérique du Sud,
et particulièrement au Pérou, le problème
de l' immigration européenne. Pourrons-
nous compter, par suite des pertes subies
sur les champs de bataille, sur un afflux de
la main-d' œuvre du vieux continent? La ré-
ponse est difficile à donner. On peut comp-
ter, il est vrai, sur le relèvement de la nata-
lité qui suit toujours les grandes guerres.
Après la guerre russo-japonaise, la natalité
a augmenté de deux pour mile au Japon.En
outre les vaincus abandonneront volontiers
leur pays grevé de lourdes charges finan-
cières et se rendront d'autant plus facile-
ment en Amérique du Sud que leurs colo-
nies leur auront été enlevées. Toutes ces
considérations sont pour nous de première
importance. « Nous avons besoin d'une
main-d'œuvre abondante et sélectionnée. Il
nous faut à tout prix échapper à l'influence
des impérialismes asiatiques naissants ;
dans ce but nous devons chercher à cana-
liser vers notre pays les immigrations eu-
ropéennes possibles. » Comercio [de Lima],
19.11.
BLOCUS
« L'affamement de l'Aremagne » [sous
ce titre] [Cf. Bulletin n° 1049, p. 1, col. 31.
— Au cours d'une enquête confidentielle es-
fectuée en 1917 par les soins de l'Office im-
périal de Santé dans les Etats confédérés
allemands, une demande de renseigne-
ments adressée à un hôpital reçut la brève
réponse suivante : « Les occupants sont
tous décédés. » Voilà un résultat partiel du
blocus entretenu par l'Entente, — blocus
qui n'avait pas seulement pour but de ren-
dre plus difficile le ravitaillement de l'ar-
mée mais qui tendait à nuire à la popu-
lation civile de l'Allemagne : femmes en-
fants vieillards et tous les non combat-
tants. Il est possible aujourd'hui de don-
ner quittance à nos ennemis du résultat
total : 703.000 personnes de la population
civile de l'Allemagne ont succombé par le
fait du blocus, et jusqu'à ce que cesse l'en-
cerclement, dix mille personnes environ
succomberont chaque mois. Ces chiffres ont
leur éloquence ; nous négligeons ici tout
sentimentalisme. A ceux qui, parmi nous,
déploraient le nombre des victimes faites
au co'urs des raids aériens allemands sur
Londres et Paris, nous conseillons de mé-
diter ces chiffres. Ici comme là-bas, des in-
nocents sont morts et l'on peut à bon droit
réprouver les deux procédés de guerre, -
un fait mieux en réprouvant la guerre, —
mais le blocus de la faim est le plus terri-
ble, puisqu'il a fait périr 763.000 person-
nes.
Ce chiffre est indiscutable. A une séance
extraordinaire de l'Association des Sociétés
médicales de Berlin, le 18 décembre 1918,
on l'a fait connaître sous la présidence du
Conseiller Orth. Des autorités telles que le
professeur Rubner, directeur de l'Institut
psychologique, Kraus, directeur de la Cha-
rité, Czerny, directeur de la Clinique des
maladies enfantines, le Conseiller Hamel,
conseiller technique médical au ministère
de l'Intérieur; le professeur Weber,
Conseiller médical de Berlin, Kuttner,
directeur de l'Hôpital Virchow, etc.,
ont rendu compte chacun de leurs en-
ET DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1050
Paris, 19-20 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
Noir
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisée
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
--
DEMOBILISATION
Etats. Unis. - Le 14 décembre 1918
le général March annonce que la démo-
bilisation de 1. 700.000 hommes qui se
trouvaient dans les camps d'instruction
américains à la date du camps n instruction
avec une s rapidité croissante. Tb'6 s'°Pè,e
quotidienne est d'environ 15.000 démopih
sés. D'autre part, la démobilisation rapide
a été prévue de 5 653 officiers et 135.262
hommes appartenant au corps expédition-
naire Sur ce nombre 1.373 officiers et
30.750 hommes ont déjà pris la met, -
Philudelphia Record. 15.12.
Canada. - La démobilisation ce qu on
des forces deuv mMi« i a qu'on
le seront par detachemems. Les soldats
canadiens auront la prime de guerre la plus
élevée. C'est ainsi qu'un soldat canadien
recevra parfois une somme s'élevant jus
qu'à ~125, sans compter ses arriérés. -
Evening S/mHlal'd, 15.1.
VIOLATIONS DU DROIT DES GENS
L'enquête de la Wilhelmstrasse sur les
atrocites allemandes.- De Berlin, 5.1 : La
Commission du Ministère des Affaires
les documents a été ncmillée pour étudier
les documents et les archives secrètes a à-
s'occuper des documents et des archives des
autorités civiles et militaires allemandes
pendant l'occupation Belgique et du
nord de la France plus particUlièrement de
ceux du Département politique allemand
de Bruxelles des document de l'adminis-
tration civile des diverses provinces des
territoires occupés et ri f. archives militai-
res.Pendant la précipitation de l'évacuation
forcée, Plusieurs charretées de ces docu-
ments ont été transportées en hâte en Alle-
documents militaires en D[}rtif'l1ll~~ n~h,
blèrent un instant en danger particulier sem-
més par ceux en danger d'être suppri-
documents ont qui y 8vaient. Intérêt. Ces
documents ont été sauvés de l'oubli grâce
l'énérgie et à l'initiative privée d'un
membre du comité du Soviet berlinois, Léo-
pold qui fut plus tard nommé membre du
comité des Affaires étrangères, avec Kauts-
ky et Quarck. Grâce à son insistance, on
rechercha activement ces documents et ils
furent saisis partou où on les trouva. J'ai
eu une longue les trouva. J'ai
sur une longue conversation avec Leopold
sur ces questions. Il a évidemment une
opinion très nette. Malheureusement quand
il fut nommé au Comité d'Enquête, on prit
la précaution de faire de lui un fonction-
naire du Ministère f2 If de ,, 1 - 1 un fonction-
lmmédiatement
lui fit jurer le secret. Cependant j'en ai
assez appris pour assurer que les atrocités
commises par les autorités civiles et mili-
taires allemandes en Belgique et dans le
nord de la France, plus spécialement celles
qui ont été commises par certains militaires
haut placés, sont bien pires que tout ce qui
a été soupçonné jusqu'ici dans les pays de
l'Entente. Jusqu'à présent on n'a guère fait
que rassembler et classer ces documents.
Je crois pouvoir dire qu'ils éclairent complè-
tement le procès de Miss Qavell dans tous
ses révoltants détails pt de nombreuses au-
-— .v,UUaius détails, et de nombreuses au-
tres condamnations à mort moins fameuses
pour espionnage. Je crois qu'on découvrira
que le général Sauberzwei a dans ces atro-
cités joué un plus sinistre rôle que peut-
être aucun autre Allemand. On peut le re-
garder comme personnellement responsable
de la mort de Miss Cavell.La question qui se
pose est de savoir si le gouvernement alle-
mand se propose de publier ces documents.
Tout ce qu'on peut dire, c'est que jusqu'à
présent il n'a pas donné la moindre indica-
tion d'une semblable intention, et l'opposi-
tion d'une semblable intention, et l'op,po~,ii-
tion du baron von der Lancken lors de la
saisie des Hdoc, uments n'est pas faite r-our
inspirer beaucoup d eipoir- Ltobaio
que la Commission d'Armistice allemande
demandera des documents à la Commission
d'Enquête pour s'en servir dans les ¡13,';P-
ciation de paix afin de renforcer les argu-
ments allemands. Il est évident qu'un sem-
blable usage des documents secrets serait
sans valeur pour la détermination de la
responsabilité collective et individuelle
dans les atrocités. Si Erzberger maaipuie
ces documents, ils deviennent pour ainsi
dire non-existants pour la découverte de
a vente. La meilleure méthode pour établir
la vérité serait que l'Entente exige que Leo-
pold lui-même qui a la garde de ces docu-
ments et est évidemment désireux de ré-
véler la vérité au monde, ,soit appelé lors
des négociations d'armistice et de'paix afin
d' éclaircir le sujet, ou, si le gouvernement
allemand s'y oppose, qu'un commissaire de
l'Entente soit joint à la Commission d'En-
quête allemande, avec pouvoir d'examiner
tous les documents et archives secrètes en
sa possession. — Manchester Guardian,
(Edition de Londres), 13.1.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
L'immigration au Pérou. — La fin de la
guerre pose dans toute l'Amérique du Sud,
et particulièrement au Pérou, le problème
de l' immigration européenne. Pourrons-
nous compter, par suite des pertes subies
sur les champs de bataille, sur un afflux de
la main-d' œuvre du vieux continent? La ré-
ponse est difficile à donner. On peut comp-
ter, il est vrai, sur le relèvement de la nata-
lité qui suit toujours les grandes guerres.
Après la guerre russo-japonaise, la natalité
a augmenté de deux pour mile au Japon.En
outre les vaincus abandonneront volontiers
leur pays grevé de lourdes charges finan-
cières et se rendront d'autant plus facile-
ment en Amérique du Sud que leurs colo-
nies leur auront été enlevées. Toutes ces
considérations sont pour nous de première
importance. « Nous avons besoin d'une
main-d'œuvre abondante et sélectionnée. Il
nous faut à tout prix échapper à l'influence
des impérialismes asiatiques naissants ;
dans ce but nous devons chercher à cana-
liser vers notre pays les immigrations eu-
ropéennes possibles. » Comercio [de Lima],
19.11.
BLOCUS
« L'affamement de l'Aremagne » [sous
ce titre] [Cf. Bulletin n° 1049, p. 1, col. 31.
— Au cours d'une enquête confidentielle es-
fectuée en 1917 par les soins de l'Office im-
périal de Santé dans les Etats confédérés
allemands, une demande de renseigne-
ments adressée à un hôpital reçut la brève
réponse suivante : « Les occupants sont
tous décédés. » Voilà un résultat partiel du
blocus entretenu par l'Entente, — blocus
qui n'avait pas seulement pour but de ren-
dre plus difficile le ravitaillement de l'ar-
mée mais qui tendait à nuire à la popu-
lation civile de l'Allemagne : femmes en-
fants vieillards et tous les non combat-
tants. Il est possible aujourd'hui de don-
ner quittance à nos ennemis du résultat
total : 703.000 personnes de la population
civile de l'Allemagne ont succombé par le
fait du blocus, et jusqu'à ce que cesse l'en-
cerclement, dix mille personnes environ
succomberont chaque mois. Ces chiffres ont
leur éloquence ; nous négligeons ici tout
sentimentalisme. A ceux qui, parmi nous,
déploraient le nombre des victimes faites
au co'urs des raids aériens allemands sur
Londres et Paris, nous conseillons de mé-
diter ces chiffres. Ici comme là-bas, des in-
nocents sont morts et l'on peut à bon droit
réprouver les deux procédés de guerre, -
un fait mieux en réprouvant la guerre, —
mais le blocus de la faim est le plus terri-
ble, puisqu'il a fait périr 763.000 person-
nes.
Ce chiffre est indiscutable. A une séance
extraordinaire de l'Association des Sociétés
médicales de Berlin, le 18 décembre 1918,
on l'a fait connaître sous la présidence du
Conseiller Orth. Des autorités telles que le
professeur Rubner, directeur de l'Institut
psychologique, Kraus, directeur de la Cha-
rité, Czerny, directeur de la Clinique des
maladies enfantines, le Conseiller Hamel,
conseiller technique médical au ministère
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