Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-10-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 octobre 1918 23 octobre 1918
Description : 1918/10/23 (N966). 1918/10/23 (N966).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6449717r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
~RES DE LA GUERRE
N° 966
Paris. 23 octobre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL
resse anglaise LA nouvelle attaque
lgne de la Selle, enfonçant plus profondé-
ment leld"9' coin clui- est poussé dans les
le rge COUl qui est poussé dans les
essentielles du front allemand, et
peut être amorcée la manœuvre qui
permettrair de diviser les armées ennemies
en deux Mses séparées En même temps
cela Qâte ^assAc SeParée\s. En même temps
cela hâte et harasse la retraite, de l'ennemi
des saillants vers, le nord et le sud Les
forces britaniques qui sont engagées, là,
appuyées par des le ^ord et le sud. Les
britaniques t s» °nPt ar par des Français et des Améri-
sont assez fortes pour attaquer et
triompher de la plus puissante con-
tion et de13 llleilleures troupes de tout
front allemand.- (Ed.) Daily Telegraph,
- LES
écart des CdSpn* : 10 Tenir les Alliés à
~des frontières allemandes ; 2° les
obliger à payer leur avance aussi cher que
possible. Si les Allemands n'acceptent pas
conditions équivalentes à une capitula-
tiendront aux Alliés le raisonnement qu'ils
~: «Selon toutes probabilités nous ne
aurons pas vous empêcher d'atteindre les
oir allemandes, mais nous croyons
pouvoir faire en sorte que cette opération
~allemandes, mais nous croyons
~» p. 5u« les Al 11imands désirent par-
dessus !) Ce t de centaines de mille hom-
ent , et venu mette
~in aux opérations. Un in-
ervalle de ce genre, tel un armistice non
decompagné de garanties militaires, ac-
faur de Cela.,
cela, ils combattront sur chacune
positions successives qui leur donnent
la moindre e de nous arrêter. Il y a
norvégienne. - LES LIGNES DE RÉ-
Il est peu vraisemblable que la
~burg .Il est à présumer que les Al-
mands établiront leur J?lr r^ne de défense
principale beaucoup leur ? Q en arrière Mais
la ligne Hunding raseur et
donner aux Allemands le urs emrp's d'effectuer
les énormes dépôts de troupes et de
est-elle de plus en réstance de l'en-
ands sont en retraite sur tout le front.
~configuration de ce dernier leur est des
^%t les r' faut Elle forme un grand
; il faut donc des forces très
la fois de sa défense les Alliés
~ner leur attaques concentrique-
de l'Ouest et sud. Il est
admissible pour diverses raisons que les
Allemands établiront leur ligne de défense
principale, là où ils livreront la bataille dé-
cisive, c'est-à-dire encore assez loin du front
où ils combattent actuellement. Il n'est pas
invraisemblable que cette ligne passe par
Anvers ou Bruxelles vers Namur au con-
fluent de la Sambre et de la Meuse. Avec
ces trois points d'appui d'une très forte
puissance, dans un terrain difficilement ac-
cessible, ce secteur du front que nous pou-
vons appeler le front décisif sera très solide.
De Namur la ligne du front uescendra sans
doute vers le sud le long de la Meuse qui
forme un excellent obstacle, jusqu'au point
où elle reçoit la Semois. Puis le front sui-
vra le cours sinueux de la Meuse à travers
les pays qui couronnent les Ardennes jusque
vers la frontière méridionale du Luxem-
bourg. Ensuite il passera par Metz jusqu'au
mont Donon qui forme peut-être la forte-
resse la plus puissante du monde. Quant à
une attaque sérieuse plus au sud à travers
les Vosges, les Allemands n'ont pas à l'en-
visager avec crainte. La dite ligne est celle
qui protège effectivement la frontière alle-
mande. et sur une partie du terrain assez
avancée en pays, ennemi. Mais, ce sera une
tâche très difficile pour les Allemands d'at-
teindre jusque-là. Il leur faut longtemps
pour y transporter leurs troupes et tout le
matériel sous la formidable pression
qu'exercent sur eux leurs adversaires tant
de l'ouest que du sud. Aussi ils ne reculent
que pied à pied et combattent courageuse-
ment pour chaque pouce de terrain. — [Ca-
pitaine B. W. Nörregaard) Morgenbladet
[de Christiania], 12.10.
Presse suisse. — L'armée et le peuple
allemand ont-ils depuis juillet épuisé si
complètement leur force de résistance que
l'empire soit obligé d'accepter la paix à tout
prix? Certes les armées allemandes de Fran-
ce ont considérablement souffert des offen-
sives die l'Entente. Mais sans 'aUCUlIl\ doute
aussi le parti adverse a subi de lourdes
pertes. Il lui est plus aisé qu'à l'armée al-
lemande de combler les vides, mais il en
fut toujours ainsi depuis le début de la
guerre. Il est à présumer que le haut com-
mandement allemand donnera aux parle-
mentaires dirigeants, avant la prochaine
séance du Reichstag, tous les renseigne-
ments nécessaires sur la situation, militaire.
Les événements montreront d'ailleurs bien-
tôt s'il faut attendre la débâcle complète
de l'Allemagne ou si l'armée est capable de
continuer une lutte défensive, ou même de
passer à des offensives tactiques. L'expé-
rience des derniers mois a confirmé la
vieille doctrine d'après laquelle la simple
défensive conduit tôt ou tard à la défaite.
L'Entente a atteint son but, puisque l'Alle-
magne a accepté les conditions de Wilson.
Mais si elle exige davantage et réclame
la capitulation sans conditions, c'est qu'elle
veut recommencer 1806. La situation est
pourtant bien différente. Bien qu'ils soient
prêts à l'évacuation, les Allemands sont en-
core en territoire ennemi, et ils sont sans
doute encore en état, sinon de remporter
des victoires décisives, du moins d'oppo-
ser pendant longtemps à leurs adversaires
une résistance opiniâtre. L'armée, il est
vrai, a besoin pour cela d'être soutenue
par la ferme volonté du pays entier de tout
sacrifier, fors l'honneur. — (Colonel Egli)
Basler Nachrichten, 18.10.
Presse allemande. — L'attaque de l'en-
nemi, en Flandre, de la côte à la Lys, a
été pour lui un échec complet. Le front
allemand tient sur ses positions nouvel-
les, et c'est à tort que l'ennemi depuis plu-
sieurs semaines expliquait notre repli par
le sentiment que nous aurions eu de notre
faiblesse et de l'écroulement de nos forces.
Les événements du front prouveront à nos
ennemis que l'Allemagne n'est nullement
prête à se soumettre à leurs exigences ri-
dicules. Leurs stratèges en chambre de-
mandent que notre armée soit désar-
mée, que nous livrions notre flotte, que
la Belgique soit occupée par des trou-
pes de l'Entente. Pour cette occupation
de la Belgique, on pourrait peut-être s'a-
dresser à la Hollande, ou envisager le re-
tour de l'armée belge dans son pays. Le
Pape a demandé l'évacuation du Luxem-
bourg par les troupes allemandes. L'Alle-
magne n'y verrait aucun inconvénient si
le front occidental venait à être évacué.
Les nouvelles les plus invraisemblables
sont publiées par la presse étrangère, au
sujet des garanties à demander à l'Allema-
gne. Nous attendons patiemment la répon-
se de Wilson, et nous avons confiance dans
l'armée allemande qui est toujours assez
forte pour nous préserver d'une paix qui
ne serait ni honorable, ni durable. —
Gcrmania, 15.10.
LE SAILLANT DE LA FÈRE. — Notre état-ma-
jor n'a pas hésité à effectuer de nouveaux
replis, par application de sa nouvelle mé-
thode stratégique. Il a. procédé avec tant
d'habileté que l'ennemi ne s'est pas aperçu
à temps de nos mouvements et qu'il n'a pu
les gêner. La résistance héroïque de nos
troupes au Chemin des Dames nous a per-
mis de soustraire à un encerclement les
troupes du saillant de La Fère, menacées
par la progression ennemie du côté de
Saint-Quentin et sur l'Aisne. De même.
l'armée von Einem a tenu pendant deux se-
maines notre ligne à l'est, contre les ien-
tatives de percée désespérées des Français
et des Américains, jusqu'au moment de la
complète évacuation du saillant de La Fère.
Maintenant que le repli est un fait accom-
pli, nous pouvons reconnaître que le haut
commandement allemand n'avait pas caché
ses intentions à la presse. L'Entente parle
du grand succès tactique qu'elle a rempor-
té. Elle annonce l'occupation de La Fère
et de Laon : elle publie ses listes de villa-
ges reconquis, mais elle oublie de dire que
N° 966
Paris. 23 octobre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL
resse anglaise LA nouvelle attaque
l
ment leld"9' coin clui- est poussé dans les
le rge COUl qui est poussé dans les
essentielles du front allemand, et
peut être amorcée la manœuvre qui
permettrair de diviser les armées ennemies
en deux Mses séparées En même temps
cela Qâte ^assAc SeParée\s. En même temps
cela hâte et harasse la retraite, de l'ennemi
des saillants vers, le nord et le sud Les
forces britaniques qui sont engagées, là,
appuyées par des le ^ord et le sud. Les
britaniques t s» °nPt ar
sont assez fortes pour attaquer et
triompher de la plus puissante con-
tion et de13 llleilleures troupes de tout
front allemand.- (Ed.) Daily Telegraph,
- LES
écart des CdSpn* : 10 Tenir les Alliés à
~des frontières allemandes ; 2° les
obliger à payer leur avance aussi cher que
possible. Si les Allemands n'acceptent pas
conditions équivalentes à une capitula-
tiendront aux Alliés le raisonnement qu'ils
~: «Selon toutes probabilités nous ne
aurons pas vous empêcher d'atteindre les
oir allemandes, mais nous croyons
pouvoir faire en sorte que cette opération
~allemandes, mais nous croyons
~» p. 5u« les Al 11imands désirent par-
dessus !) Ce t de centaines de mille hom-
ent , et venu mette
~in aux opérations. Un in-
ervalle de ce genre, tel un armistice non
decompagné de garanties militaires, ac-
faur de Cela.,
cela, ils combattront sur chacune
positions successives qui leur donnent
la moindre e de nous arrêter. Il y a
norvégienne. - LES LIGNES DE RÉ-
Il est peu vraisemblable que la
~burg .Il est à présumer que les Al-
mands établiront leur J?lr r^ne de défense
principale beaucoup leur ? Q en arrière Mais
la ligne Hunding raseur et
donner aux Allemands le urs emrp's d'effectuer
les énormes dépôts de troupes et de
est-elle de plus en réstance de l'en-
ands sont en retraite sur tout le front.
~configuration de ce dernier leur est des
^%t les r' faut Elle forme un grand
; il faut donc des forces très
la fois de sa défense les Alliés
~ner leur attaques concentrique-
de l'Ouest et sud. Il est
admissible pour diverses raisons que les
Allemands établiront leur ligne de défense
principale, là où ils livreront la bataille dé-
cisive, c'est-à-dire encore assez loin du front
où ils combattent actuellement. Il n'est pas
invraisemblable que cette ligne passe par
Anvers ou Bruxelles vers Namur au con-
fluent de la Sambre et de la Meuse. Avec
ces trois points d'appui d'une très forte
puissance, dans un terrain difficilement ac-
cessible, ce secteur du front que nous pou-
vons appeler le front décisif sera très solide.
De Namur la ligne du front uescendra sans
doute vers le sud le long de la Meuse qui
forme un excellent obstacle, jusqu'au point
où elle reçoit la Semois. Puis le front sui-
vra le cours sinueux de la Meuse à travers
les pays qui couronnent les Ardennes jusque
vers la frontière méridionale du Luxem-
bourg. Ensuite il passera par Metz jusqu'au
mont Donon qui forme peut-être la forte-
resse la plus puissante du monde. Quant à
une attaque sérieuse plus au sud à travers
les Vosges, les Allemands n'ont pas à l'en-
visager avec crainte. La dite ligne est celle
qui protège effectivement la frontière alle-
mande. et sur une partie du terrain assez
avancée en pays, ennemi. Mais, ce sera une
tâche très difficile pour les Allemands d'at-
teindre jusque-là. Il leur faut longtemps
pour y transporter leurs troupes et tout le
matériel sous la formidable pression
qu'exercent sur eux leurs adversaires tant
de l'ouest que du sud. Aussi ils ne reculent
que pied à pied et combattent courageuse-
ment pour chaque pouce de terrain. — [Ca-
pitaine B. W. Nörregaard) Morgenbladet
[de Christiania], 12.10.
Presse suisse. — L'armée et le peuple
allemand ont-ils depuis juillet épuisé si
complètement leur force de résistance que
l'empire soit obligé d'accepter la paix à tout
prix? Certes les armées allemandes de Fran-
ce ont considérablement souffert des offen-
sives die l'Entente. Mais sans 'aUCUlIl\ doute
aussi le parti adverse a subi de lourdes
pertes. Il lui est plus aisé qu'à l'armée al-
lemande de combler les vides, mais il en
fut toujours ainsi depuis le début de la
guerre. Il est à présumer que le haut com-
mandement allemand donnera aux parle-
mentaires dirigeants, avant la prochaine
séance du Reichstag, tous les renseigne-
ments nécessaires sur la situation, militaire.
Les événements montreront d'ailleurs bien-
tôt s'il faut attendre la débâcle complète
de l'Allemagne ou si l'armée est capable de
continuer une lutte défensive, ou même de
passer à des offensives tactiques. L'expé-
rience des derniers mois a confirmé la
vieille doctrine d'après laquelle la simple
défensive conduit tôt ou tard à la défaite.
L'Entente a atteint son but, puisque l'Alle-
magne a accepté les conditions de Wilson.
Mais si elle exige davantage et réclame
la capitulation sans conditions, c'est qu'elle
veut recommencer 1806. La situation est
pourtant bien différente. Bien qu'ils soient
prêts à l'évacuation, les Allemands sont en-
core en territoire ennemi, et ils sont sans
doute encore en état, sinon de remporter
des victoires décisives, du moins d'oppo-
ser pendant longtemps à leurs adversaires
une résistance opiniâtre. L'armée, il est
vrai, a besoin pour cela d'être soutenue
par la ferme volonté du pays entier de tout
sacrifier, fors l'honneur. — (Colonel Egli)
Basler Nachrichten, 18.10.
Presse allemande. — L'attaque de l'en-
nemi, en Flandre, de la côte à la Lys, a
été pour lui un échec complet. Le front
allemand tient sur ses positions nouvel-
les, et c'est à tort que l'ennemi depuis plu-
sieurs semaines expliquait notre repli par
le sentiment que nous aurions eu de notre
faiblesse et de l'écroulement de nos forces.
Les événements du front prouveront à nos
ennemis que l'Allemagne n'est nullement
prête à se soumettre à leurs exigences ri-
dicules. Leurs stratèges en chambre de-
mandent que notre armée soit désar-
mée, que nous livrions notre flotte, que
la Belgique soit occupée par des trou-
pes de l'Entente. Pour cette occupation
de la Belgique, on pourrait peut-être s'a-
dresser à la Hollande, ou envisager le re-
tour de l'armée belge dans son pays. Le
Pape a demandé l'évacuation du Luxem-
bourg par les troupes allemandes. L'Alle-
magne n'y verrait aucun inconvénient si
le front occidental venait à être évacué.
Les nouvelles les plus invraisemblables
sont publiées par la presse étrangère, au
sujet des garanties à demander à l'Allema-
gne. Nous attendons patiemment la répon-
se de Wilson, et nous avons confiance dans
l'armée allemande qui est toujours assez
forte pour nous préserver d'une paix qui
ne serait ni honorable, ni durable. —
Gcrmania, 15.10.
LE SAILLANT DE LA FÈRE. — Notre état-ma-
jor n'a pas hésité à effectuer de nouveaux
replis, par application de sa nouvelle mé-
thode stratégique. Il a. procédé avec tant
d'habileté que l'ennemi ne s'est pas aperçu
à temps de nos mouvements et qu'il n'a pu
les gêner. La résistance héroïque de nos
troupes au Chemin des Dames nous a per-
mis de soustraire à un encerclement les
troupes du saillant de La Fère, menacées
par la progression ennemie du côté de
Saint-Quentin et sur l'Aisne. De même.
l'armée von Einem a tenu pendant deux se-
maines notre ligne à l'est, contre les ien-
tatives de percée désespérées des Français
et des Américains, jusqu'au moment de la
complète évacuation du saillant de La Fère.
Maintenant que le repli est un fait accom-
pli, nous pouvons reconnaître que le haut
commandement allemand n'avait pas caché
ses intentions à la presse. L'Entente parle
du grand succès tactique qu'elle a rempor-
té. Elle annonce l'occupation de La Fère
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