Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-03-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 mars 1918 19 mars 1918
Description : 1918/03/19 (T8,N748). 1918/03/19 (T8,N748).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338442z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
~DE LA GUERRE
I\I 1 bRs
~RES ÉTRANGÈRES
N" 748
Paris, 19 mars 1918.
1
IUlIetiD Quotidien de Presse Etrangère
Confidentiel.
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
b. OPERATIONS
~bruits d'offensive. - PRESSE ALLE-
MANDE. - Sur le front occidental, la période
de calme Cet eprolonge. Nos adversaires ont
mettre à l'abri dans les opérations pour se
titre I'Qbti dans les acrue, p a' r tous, les
moyens possible. Ils ont prévu une péné-
~dans leurs hgnes et la nécessité pour
~de se battre sur des positions détruites
de fond en comble. Ils ont constitué, d wu-
une part, sous les ordres du général Foch
une armée de réserve, dont les effectifs se
~de 400.000 OU de 600.000 hommes ; les
chiffre donnés jusqu'à présent ne sont pas
plus précis. Les opérations de cette armée de
QUel Ont gênées par l'étendue du
ront. Quel que soit son point de concentra-
tion elle ne sera pas en mesure d'inter-
~au mpoment opportum, en tous les
points du front. En réalité Son intervention
n'est prévu [î, e I)0lJr nï rêfp'rmain-forte aux
a.ngl que J!'Û'u Pr-êter main-forte aux
en Ital- te Une attaque alle-
mande en Italie la prendrait au dépourvu.
ce des communicatoions entre la France et
~entioo en ItÎ'liB à el e : « qu'une
~vention en Italie de l'armée de réserve
~ennemis se produirait trop tard, SI
~allemande ne sudissait aucul
~à partir du moment où elle "u.,mt
e. 1) - (Max von Versen) Post,
- A l'heure actuelle, tous les belligé-
rents se rendent compte que c'est à 1,0uost
qu'interviendra la décision définitive. Il ne
it e de savoir quel es~ celui des
~saires qui prendra l'initiative.
Chez les Allemands les victoires récentes
des chef , le moral des troupes,
la tradition, tout pousse à l'ofensive. Tout -
~dans l'offensive, semble, au premier
~fait et t:uueml, puisque
~fait et cause Pour lui.
~¡'iorcS i) desein : au Premier abord.
~américaines ne compenseront
jamais en effet les pertes russes et rou-
~Il faut pas oublier non plus
activité de nos sous-marins, le manque de
~toujours plus sensible -+ chez nos
il COl\centr fficulté de ravitailler de
fortes concetr rat IOns d,- , troupes. De tout
~il résulte que nous sommes les mai-
~l'heure. Fermement résolus à une
~choisirons 1e S qu'elle réussira,
~rons le moment le plus favo-
~la déclencher. En attendant,
~sera résduit à des actes aussi dé-
<1<, pSI lnu liles que les récentes
~des Français en Lorraine. Ta-
~par la guerre sous-marine, l'ennemi
~obligé de passer à une dernière ten-
itqili r.. à une dernière corïl"
se préCédée. Le militaire Pé-
~I fc se ranger 4 r?-o du civil
qui est partisan de l'offensive,
une offensive de 'désespoir. L'Angleterre se
souvient de Cambrai. Elle ne paraît vouloir
soutenir l'offensive française que par une
diversion. Notre guerre sous-marine, il est
vrai, la mettra dans l'obligation, si nous
différons notre offensive, de déclencher la
sienne contre nos bases sous-marines, mor-
telles four elle. Nous forcerions l'ennemi à
se donner à lui-même une saignée ; une fois
qu'il serait affaibli nous lui porterions les
derniers coups, pour mettre fin à cette
guerre tragique. De toute façon c'est notre
commandement qui a les atouts en main. Il
donnera, à l'heure dite, le signal de la ba-
taille, si l'adversaire ne nous fait pas le
plaisir de nous attaquer le premier. Nous
avons confiance en lui. Les amis de la paix
ont fini eux aussi par se rendre compte, que
seule la force du glaive peut trancher les
questions en suspens. — Tag, 12.3.
La guerre sous-marine « limitée » de M. de
Bethmann-Hollweg a laissé à l'Angleterre
le moyen de se préparer, le temps de fa-
briquer les canons nécessaires à l'arme-
ment des bateaux de commerce. Nous avons
perdu tous les avantages que nous aurions
pu nous assurer en'attaquant à l'impro-
viste un adversaire non préparé. Nous
avons permis à l'ennemi de construire des
milliers de nouveaux navires, d'organiser
ses services de surveillance et de chas-
se sans parler des filets de barrage, des
mines, des hydravions. La guerre sous-ma-
rine limitée a laissé à nos ennemis le loi-
sir de s'instruire, et de gagner un temps
précieux. Les conseillers de M. de Beth-
mann sont fort ennuyés. On comprend leur
dépit et tout le mal qu'ils se donnent, pour
arranger les choses de leur mieux. — (E.
Reventlow) Deutsche Tageszeitung, 11.3.
ORGANISATION
Espagne. — LE DÉCRET DU 9 MARS [Cf. Bull.
n° 742, p. 4, col. 1.] — Le nombre des di-
visions existantes est complété selon les
exigences de la défense nationale et selon
nos ressources en hommes. En conséquen-
ce, on crée les divisions 15 et 16. Les 16
divisions se composeront de deux brigades
d'infanterie et d'une brigade d'artillerie.
Toute la cavalerie sera groupée en neuf
brigades de trois régiments, avec lesquelles
on constituera trois divisions. Pour les ap-
puyer, 'On crée trois (bataillons de chas-
seurs cyclistes. Les troupes de sapeurs cor-
respondant aux divisions constituées et à
celles de cavalerie se groupent en six régi-
ments, et celles des télégraphistes en deux.
Comme unités indépendantes, on crée, dans
l'infanterie, huit bataillons de chasseurs de
montagne et l'on transforme également en
troupes de montagne les six bataillons de
la brigade de Catalogne. En outre, on crée
trois régiments d'infanterie qui auront leur
garnissons respectives dans chacune des trois
bases navales, et un bataillon d'instruction
qui servira d'école pratique permanente des
diverses spécialités de l'arme De même,
dans la cavalerie, on crée un escadron af-
fecté à l'Ecole de tir, et dans l'artillerie un
groupe de trois batteries, dépendant de la
même école. L'artillerie comprendra enco-
re comme unités indépendantes celles qui
sont sous les ordres des commandants de
places actuels, lesquels disposeront de cinq
groupes lourds avec trois régiments d'ar-
tillerie de montagne, dont un lourd et un
autre monté, ce dernier comme appui des
divisions de cavalerie. Dans le génie on
maintient les deux régiments de chemins de
fer et de pontonniers existants, et l'on crée
un bataillon de radiotélégraphistes, un au-
tre pour le service de l'éclairage, et enfin
deux d'aérostiers. Chacune des huit for-
mations d'intendance existantes sera com-
posée d autant de compagnies qu'il y aura
de divisions dans la région, plus deux au-
tres affectées au service de place et de
parc Pour le service sanitaire, on consti-
tue huit formations analogues à celles de
l'intendance. En ce qui concerne les délimi-
tations territoriales, on maintient les huit
régions actuelles avec leurs chefs-lieux de
corps, mais on regroupe les provinces afin
de faciliter le recrutement et la mobilisa-
tion On établit des moyens et des mé-
thodes destinés à intensifier les industries
militaire et privée, en vue d'obtenir d'elles
en temps de paix comme en temps de guer-
re, le rendement et le matériel nécessai-
res, sans qu'il soit besoin de recourir à
l'étranger. A cet effet, on organise des Jun-
tes centrales et régionales, appelées à ré-
gler la mobilisation de certaines industries
et on fixe des règles générales pour la mo-
bilisation du personnel ouvrier. — La solde
des généraux de brigade et de division est
augmentée de 5.000 pesetas ; celle des colo-
nels de 2.000 : lieutenants-colonels 1.500 ;
commandants et capitaines, 1.000 : lieute-
nants, 500 ; sous-lieutenants, 385 —
Correspondencia Militar, 10.3.
—— -
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MARINE MARCHANDE
Angleterre : LES CONSTRUCTIONS MARITIMES
— Les deux plus grands périls que l'Em-
pire ait courus pendant la guerre, sont :
1° le brigandage sous-marin ; 2° l'échec du
Gouvernement dans la reconstruction du
tonnage. L'attention du Gouvernement sem-
ble enfin s'éveiller à l'immensité d'u dan-
ger mortel auquel la Nation est exposée.
Non seulement le Gouvernement n'a pas
réussi à augmenter le nombre des navires
marchands, mais il a laissé la construc-
tion maritime tomber à une moyenne in-
férieure à celle de l'avan-guerre. Ce qu'il
faut maintenant,ce n'est rien de moins qu'un
tremblement de terre pour renverser ceux
qui dirigent ces services sans avoir de •
connaissances approfondies de la question
et les remplacer par des experts de la cons-
truction maritime qui ont donné des preu-
ves de leur valeur. — (Lettre de M. Archi-
bald Grove) Daily Tehgraph, 15.3.
I\I 1 bRs
~RES ÉTRANGÈRES
N" 748
Paris, 19 mars 1918.
1
IUlIetiD Quotidien de Presse Etrangère
Confidentiel.
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
b. OPERATIONS
~bruits d'offensive. - PRESSE ALLE-
MANDE. - Sur le front occidental, la période
de calme Cet eprolonge. Nos adversaires ont
mettre à l'abri dans les opérations pour se
titre I'Qbti dans les acrue, p a' r tous, les
moyens possible. Ils ont prévu une péné-
~dans leurs hgnes et la nécessité pour
~de se battre sur des positions détruites
de fond en comble. Ils ont constitué, d wu-
une part, sous les ordres du général Foch
une armée de réserve, dont les effectifs se
~de 400.000 OU de 600.000 hommes ; les
chiffre donnés jusqu'à présent ne sont pas
plus précis. Les opérations de cette armée de
QUel Ont gênées par l'étendue du
ront. Quel que soit son point de concentra-
tion elle ne sera pas en mesure d'inter-
~au mpoment opportum, en tous les
points du front. En réalité Son intervention
n'est prévu [î, e I)0lJr nï rêfp'rmain-forte aux
a.ngl que J!'Û'u Pr-êter main-forte aux
en Ital- te Une attaque alle-
mande en Italie la prendrait au dépourvu.
ce des communicatoions entre la France et
~entioo en ItÎ'liB à el e : « qu'une
~vention en Italie de l'armée de réserve
~ennemis se produirait trop tard, SI
~allemande ne sudissait aucul
~à partir du moment où elle "u.,mt
e. 1) - (Max von Versen) Post,
- A l'heure actuelle, tous les belligé-
rents se rendent compte que c'est à 1,0uost
qu'interviendra la décision définitive. Il ne
it e de savoir quel es~ celui des
~saires qui prendra l'initiative.
Chez les Allemands les victoires récentes
des chef , le moral des troupes,
la tradition, tout pousse à l'ofensive. Tout -
~dans l'offensive, semble, au premier
~fait et t:uueml, puisque
~fait et cause Pour lui.
~¡'iorcS i) desein : au Premier abord.
~américaines ne compenseront
jamais en effet les pertes russes et rou-
~Il faut pas oublier non plus
activité de nos sous-marins, le manque de
~toujours plus sensible -+ chez nos
il COl\centr fficulté de ravitailler de
fortes concetr rat IOns d,- , troupes. De tout
~il résulte que nous sommes les mai-
~l'heure. Fermement résolus à une
~choisirons 1e S qu'elle réussira,
~rons le moment le plus favo-
~la déclencher. En attendant,
~sera résduit à des actes aussi dé-
<1<, pSI lnu liles que les récentes
~des Français en Lorraine. Ta-
~par la guerre sous-marine, l'ennemi
~obligé de passer à une dernière ten-
itqili r.. à une dernière corïl"
se préCédée. Le militaire Pé-
~I fc se ranger 4 r?-o du civil
qui est partisan de l'offensive,
une offensive de 'désespoir. L'Angleterre se
souvient de Cambrai. Elle ne paraît vouloir
soutenir l'offensive française que par une
diversion. Notre guerre sous-marine, il est
vrai, la mettra dans l'obligation, si nous
différons notre offensive, de déclencher la
sienne contre nos bases sous-marines, mor-
telles four elle. Nous forcerions l'ennemi à
se donner à lui-même une saignée ; une fois
qu'il serait affaibli nous lui porterions les
derniers coups, pour mettre fin à cette
guerre tragique. De toute façon c'est notre
commandement qui a les atouts en main. Il
donnera, à l'heure dite, le signal de la ba-
taille, si l'adversaire ne nous fait pas le
plaisir de nous attaquer le premier. Nous
avons confiance en lui. Les amis de la paix
ont fini eux aussi par se rendre compte, que
seule la force du glaive peut trancher les
questions en suspens. — Tag, 12.3.
La guerre sous-marine « limitée » de M. de
Bethmann-Hollweg a laissé à l'Angleterre
le moyen de se préparer, le temps de fa-
briquer les canons nécessaires à l'arme-
ment des bateaux de commerce. Nous avons
perdu tous les avantages que nous aurions
pu nous assurer en'attaquant à l'impro-
viste un adversaire non préparé. Nous
avons permis à l'ennemi de construire des
milliers de nouveaux navires, d'organiser
ses services de surveillance et de chas-
se sans parler des filets de barrage, des
mines, des hydravions. La guerre sous-ma-
rine limitée a laissé à nos ennemis le loi-
sir de s'instruire, et de gagner un temps
précieux. Les conseillers de M. de Beth-
mann sont fort ennuyés. On comprend leur
dépit et tout le mal qu'ils se donnent, pour
arranger les choses de leur mieux. — (E.
Reventlow) Deutsche Tageszeitung, 11.3.
ORGANISATION
Espagne. — LE DÉCRET DU 9 MARS [Cf. Bull.
n° 742, p. 4, col. 1.] — Le nombre des di-
visions existantes est complété selon les
exigences de la défense nationale et selon
nos ressources en hommes. En conséquen-
ce, on crée les divisions 15 et 16. Les 16
divisions se composeront de deux brigades
d'infanterie et d'une brigade d'artillerie.
Toute la cavalerie sera groupée en neuf
brigades de trois régiments, avec lesquelles
on constituera trois divisions. Pour les ap-
puyer, 'On crée trois (bataillons de chas-
seurs cyclistes. Les troupes de sapeurs cor-
respondant aux divisions constituées et à
celles de cavalerie se groupent en six régi-
ments, et celles des télégraphistes en deux.
Comme unités indépendantes, on crée, dans
l'infanterie, huit bataillons de chasseurs de
montagne et l'on transforme également en
troupes de montagne les six bataillons de
la brigade de Catalogne. En outre, on crée
trois régiments d'infanterie qui auront leur
garnissons respectives dans chacune des trois
bases navales, et un bataillon d'instruction
qui servira d'école pratique permanente des
diverses spécialités de l'arme De même,
dans la cavalerie, on crée un escadron af-
fecté à l'Ecole de tir, et dans l'artillerie un
groupe de trois batteries, dépendant de la
même école. L'artillerie comprendra enco-
re comme unités indépendantes celles qui
sont sous les ordres des commandants de
places actuels, lesquels disposeront de cinq
groupes lourds avec trois régiments d'ar-
tillerie de montagne, dont un lourd et un
autre monté, ce dernier comme appui des
divisions de cavalerie. Dans le génie on
maintient les deux régiments de chemins de
fer et de pontonniers existants, et l'on crée
un bataillon de radiotélégraphistes, un au-
tre pour le service de l'éclairage, et enfin
deux d'aérostiers. Chacune des huit for-
mations d'intendance existantes sera com-
posée d autant de compagnies qu'il y aura
de divisions dans la région, plus deux au-
tres affectées au service de place et de
parc Pour le service sanitaire, on consti-
tue huit formations analogues à celles de
l'intendance. En ce qui concerne les délimi-
tations territoriales, on maintient les huit
régions actuelles avec leurs chefs-lieux de
corps, mais on regroupe les provinces afin
de faciliter le recrutement et la mobilisa-
tion On établit des moyens et des mé-
thodes destinés à intensifier les industries
militaire et privée, en vue d'obtenir d'elles
en temps de paix comme en temps de guer-
re, le rendement et le matériel nécessai-
res, sans qu'il soit besoin de recourir à
l'étranger. A cet effet, on organise des Jun-
tes centrales et régionales, appelées à ré-
gler la mobilisation de certaines industries
et on fixe des règles générales pour la mo-
bilisation du personnel ouvrier. — La solde
des généraux de brigade et de division est
augmentée de 5.000 pesetas ; celle des colo-
nels de 2.000 : lieutenants-colonels 1.500 ;
commandants et capitaines, 1.000 : lieute-
nants, 500 ; sous-lieutenants, 385 —
Correspondencia Militar, 10.3.
—— -
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MARINE MARCHANDE
Angleterre : LES CONSTRUCTIONS MARITIMES
— Les deux plus grands périls que l'Em-
pire ait courus pendant la guerre, sont :
1° le brigandage sous-marin ; 2° l'échec du
Gouvernement dans la reconstruction du
tonnage. L'attention du Gouvernement sem-
ble enfin s'éveiller à l'immensité d'u dan-
ger mortel auquel la Nation est exposée.
Non seulement le Gouvernement n'a pas
réussi à augmenter le nombre des navires
marchands, mais il a laissé la construc-
tion maritime tomber à une moyenne in-
férieure à celle de l'avan-guerre. Ce qu'il
faut maintenant,ce n'est rien de moins qu'un
tremblement de terre pour renverser ceux
qui dirigent ces services sans avoir de •
connaissances approfondies de la question
et les remplacer par des experts de la cons-
truction maritime qui ont donné des preu-
ves de leur valeur. — (Lettre de M. Archi-
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