Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-03-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 mars 1918 05 mars 1918
Description : 1918/03/05 (T8,N734). 1918/03/05 (T8,N734).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338428p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 734
DE LA GUERRE
ET DES
ÉTRANGÈRES
Paris, 5 mars 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS. MILITAIRES
----
OPERATIONS
occidental - (1 LES PLANS D'OFFEN-
» : Nous apprenons que l'atta-
tée à louest par les nations de
doit être exécutée dans tous ses
par le commandement français.
latat capital de a Conférence de
lles est la décision prise par les
de l'ouest d'attaquer sur un trés
front, en ren nonçant définitivement
petites actions locales. Pour aboutir
~Ives dil Coril ruandelnent britanni
donnant pleins pouvoirs au géne-
français. les concessions qu'il
ont causé dans les milieux mili-
anglais un émoi extraordinaire. On
que c'est la plus téméraire des
qui ait Jamais été Prise par un
d'Etat anglais. On se demande
Lloyd George pourra rassurer
mécontents 'èsolurS et les esg'r"isres. Mais la
résolution du ro i n i s 6 donne l'im-
que l'attaque française immi-
coupera court à toute discussion et
provo quera des événements qui
rentrer tout le reste dans l'ombre.
Zeitung, - 9, 27-2.
oriental. - La marche de nos trou-
est si rapide que, sur la carte, nous
peine à les suivre. C'est au pas de
qu'elles délivrent les Populations
tyrannie de la garde rouge. Celle-ci
ses atrocités en Esthonie, sans
le moindre compte des ordres de son
ment. Cette troupes cruauté double
nos troupes, que de btu~ques
de jiitit?3 Iç^'l^ratur!!"1'' ne sauraient
dans leur élan. Elles ont atteint
(1()\1l'iev)l la ligne Pleshau (Pskov)-
(louriv), Reval. Nulle part, elles
ère- ki'lestavec les services
Elles se sont servies très
~les forêts et ran chir les maréca
de l'Esthonie et les collines de
Ila fallu que ce beau pays
par la révolution! Quelques
violence isolés, envers des enne-
aient à la rigueur se compren-
les ctt tes les Esthoniens, sont
aussi bien que les Allemands.
allemands de l' empire russe qui
en Russie subissent le même
Allemands proprement dits,
parce ^.°CcupaSL un nom de
allemand. di"Cu~at'O~ de Dorpat
et la disparition de la garcle
l'ordre. Elles rempliront
rs d'allégresse Journaux
ORGANISATION
Les passe-droits dans l'armée allemande.
— Les plaintes relatives aux passe-droits
qui se manifestent dans l'armée se fai-
saient déjà entendre au Reichstag, en temps
de paix ; pendant la guerre, elles se font
plus nombreuses et plus pressantes. La
séance d'aujourd'hui a donné lieu à une
intervention du socialdéemocrate Stücklen
et du libéral Müller. Le général von Wries-
berg a accepté le retrait progressif des
hommes de 42 ans qui se trouvent sur le
front. Mais le général von Longermann a
déclaré inacceptable un mémoire d'un so-
cialdemocrate indépendant qui tendait à la
suppression des arrêts de rigueur dans
l'armée. Le compagnon Ryssel a apporté
de nombreux éléments de preuves concer-
nant des incorporations injustifiées, des re-
fus de permission, des mauvais traitements
infligés à des soldats et le commerce de
denrées auquel se livreraient certains of-
ficiers et sous-officiers. Ces allégations créè-
rent un malaise très accentué dans l'as-
semblée. Le général Scheuch déclara que
l'on n'incorporait jamais personne pour
cause d' « opinion politique », mais que l'on
ne prenait de telles mesures que contre les
« meneurs ». Le général von Wriesberg
furieux, interpréta les remarques de Rys-
sel comme s'adressant à tous les officiers,
ce qui, d'ailleurs, n'a nullement été dit.
Lorsque le député social démocrate Schöp-
flin a demandé quel était le critérium qui
permettait de reconnaître un meneur, le
général Scheuch a répliqué que des fonc-
tionnaires de la police étaient chargés de
ce soin et le député libéral Müller vint au
secours de l'administration militaire en af-
firmant que les critiques de Ryssel
n'avaient pour but que d'exciter l'étranger
contre l'Allemagne. — Leipziger Volks-
zeitung, 25.2.
PRISONNIERS
Les prisonniers autrichiens de nationalités
favorables à l'Entente. — Il convient de sé-
parer, dans nos camps de prisonniers, les
opprimés des oppresseurs, les Italiens,
les Tchéco-Slovaques, les Yougo-Slaves
les Polonais, les Roumains, des Alle-
mands et des Magyars. Parmi les sim-
ples soldats, nous trouverons souvent des
patriotes auxquels on refusait tout gra-
de dans l'armée austro-hongroise, nous
ayons entre les mains plus de 15.000 étu-
diants des universités autrichiennes ; beau-
coup d'entre eux s'intéressent à notre
science et à notre civilisation. Il est temps
de comprendre l'importance du problème
des prisonniers. Les Français nous don-
nent l'exemple sur notre front. Après l'af-
faire du Mont Grappa, ils ont mis à part
les Tchèques, qui travaillent pour eux avec
enthousiasme en arrière de leurs lignes. —
Corriere della Sera, 1.3.
———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La politique du Japon. — PRESSE BRITAN-
NIQUE :. [Cf. Bull. n° 733, p. 2, c. 1] : On sem-
ble en France avoir des idées précises sur
les mesures envisagées, par le gouverne-
ment japonais. Plusieurs journaux français,
et même le général Foch, paraissent cer-
tains que le Japon devrait occuper Vladi-
vostok, Kharbine et tout ce qu'il pourra
commodément saisir du territoire russe en
Extrême-Orient. On voit dans cette action
un grand service à la cause des Alliés. On
suppose que les Allemands, traversant la
Russie, pourraient absorber la Sibérie, s'é-
tablir sur le Pacifique, menacer le Japon.
Une semblable opération militaire est le
plus fantaisiste des cauchemars. Même s'il
s'établissait à Vladivostok, à Kharbine, le
japon laisserait encore exposé l'ensemble de
la Russie d'Europe et d'Asie. Si le Japon
se décide à prendre Vladivostok, Kharbine,
et du territoire russe en Extrême-Orient, ce
ne sera pas pour faire plaisir à la France
ou pour aider les Alliés. Ce sera parce que
depuis longtemps le Japon désire posséder
ces régions et croit que le malheur de la
Russie offre une excellente occasion de
le faire. La France verra peut-être là un
juste châtiment des maximalistes pour avoir
répudié la dette nationale, conclu une paix
séparée. Mais si le Japon, avec plus de cy-
nisme encore fait, à la frontière orientale
de la Russie, ce que l'Allemagne fait à la
frontière occidentale, comment les Alliés
pourraient-ils l'approuver sans perdre tout
droit à se réclamer d'un principe plus élevé
que celui de leurs ennemis ? Ce serait une
erreur grossière, en contradiction absolue
avec toute la politique du Président Wil- -
son. N'est-il pas grand temps que le Pré-
siden-t Wilson prenne résolument en main
la diplomatie de la guerre ? Des discours
n'y suffiront pas. — Manchester Guàrdian,
28.2.
— Le journal français qui suggère que
l'on doit engager le Japon à entrer en guer-
re, et qu'aucune question de principe ne
doit nous empêcher de satisfaire à ses re-
vendications rend un bien mauvais ser-
vice à la càuse des Alliés. C'est assez de
ces manœuvres secrètes au sujet de « com-
pensatiors», terme élégant qui veut dire
« donquêtes ». Si jamais nous sommes ap-
pelés à voir la fin de cette guerre il nous
faut non pas jeter par-dessus bord mais
rétablir nos principes, et l'intervention du
Japon, basée sur des conditions de conquê-
tes serait un crime. Les journalistes qui
pensent que les Alliés doivent imiter l'Al- *
lemagne parce que celle-ci saccage et an-
nexe la Russie sont semblables à ces diri-
geants aveugles qui, sous prétexte que les
Allemands violent les lois de la guerre et
de l'humanité, insistent pour que 'es Alliés
DE LA GUERRE
ET DES
ÉTRANGÈRES
Paris, 5 mars 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS. MILITAIRES
----
OPERATIONS
occidental - (1 LES PLANS D'OFFEN-
» : Nous apprenons que l'atta-
tée à louest par les nations de
doit être exécutée dans tous ses
par le commandement français.
latat capital de a Conférence de
lles est la décision prise par les
de l'ouest d'attaquer sur un trés
front, en ren nonçant définitivement
petites actions locales. Pour aboutir
~Ives dil Coril ruandelnent britanni
donnant pleins pouvoirs au géne-
français. les concessions qu'il
ont causé dans les milieux mili-
anglais un émoi extraordinaire. On
que c'est la plus téméraire des
qui ait Jamais été Prise par un
d'Etat anglais. On se demande
Lloyd George pourra rassurer
mécontents 'èsolurS et les esg'r"isres. Mais la
résolution du ro i n i s 6 donne l'im-
que l'attaque française immi-
coupera court à toute discussion et
provo quera des événements qui
rentrer tout le reste dans l'ombre.
Zeitung, - 9, 27-2.
oriental. - La marche de nos trou-
est si rapide que, sur la carte, nous
peine à les suivre. C'est au pas de
qu'elles délivrent les Populations
tyrannie de la garde rouge. Celle-ci
ses atrocités en Esthonie, sans
le moindre compte des ordres de son
ment. Cette troupes cruauté double
nos troupes, que de btu~ques
de jiitit?3 Iç^'l^ratur!!"1'' ne sauraient
dans leur élan. Elles ont atteint
(1()\1l'iev)l la ligne Pleshau (Pskov)-
(louriv), Reval. Nulle part, elles
ère- ki'lestavec les services
Elles se sont servies très
~les forêts et ran chir les maréca
de l'Esthonie et les collines de
Ila fallu que ce beau pays
par la révolution! Quelques
violence isolés, envers des enne-
aient à la rigueur se compren-
les ctt tes les Esthoniens, sont
aussi bien que les Allemands.
allemands de l' empire russe qui
en Russie subissent le même
Allemands proprement dits,
parce ^.°CcupaSL un nom de
allemand. di"Cu~at'O~ de Dorpat
et la disparition de la garcle
l'ordre. Elles rempliront
rs d'allégresse Journaux
ORGANISATION
Les passe-droits dans l'armée allemande.
— Les plaintes relatives aux passe-droits
qui se manifestent dans l'armée se fai-
saient déjà entendre au Reichstag, en temps
de paix ; pendant la guerre, elles se font
plus nombreuses et plus pressantes. La
séance d'aujourd'hui a donné lieu à une
intervention du socialdéemocrate Stücklen
et du libéral Müller. Le général von Wries-
berg a accepté le retrait progressif des
hommes de 42 ans qui se trouvent sur le
front. Mais le général von Longermann a
déclaré inacceptable un mémoire d'un so-
cialdemocrate indépendant qui tendait à la
suppression des arrêts de rigueur dans
l'armée. Le compagnon Ryssel a apporté
de nombreux éléments de preuves concer-
nant des incorporations injustifiées, des re-
fus de permission, des mauvais traitements
infligés à des soldats et le commerce de
denrées auquel se livreraient certains of-
ficiers et sous-officiers. Ces allégations créè-
rent un malaise très accentué dans l'as-
semblée. Le général Scheuch déclara que
l'on n'incorporait jamais personne pour
cause d' « opinion politique », mais que l'on
ne prenait de telles mesures que contre les
« meneurs ». Le général von Wriesberg
furieux, interpréta les remarques de Rys-
sel comme s'adressant à tous les officiers,
ce qui, d'ailleurs, n'a nullement été dit.
Lorsque le député social démocrate Schöp-
flin a demandé quel était le critérium qui
permettait de reconnaître un meneur, le
général Scheuch a répliqué que des fonc-
tionnaires de la police étaient chargés de
ce soin et le député libéral Müller vint au
secours de l'administration militaire en af-
firmant que les critiques de Ryssel
n'avaient pour but que d'exciter l'étranger
contre l'Allemagne. — Leipziger Volks-
zeitung, 25.2.
PRISONNIERS
Les prisonniers autrichiens de nationalités
favorables à l'Entente. — Il convient de sé-
parer, dans nos camps de prisonniers, les
opprimés des oppresseurs, les Italiens,
les Tchéco-Slovaques, les Yougo-Slaves
les Polonais, les Roumains, des Alle-
mands et des Magyars. Parmi les sim-
ples soldats, nous trouverons souvent des
patriotes auxquels on refusait tout gra-
de dans l'armée austro-hongroise, nous
ayons entre les mains plus de 15.000 étu-
diants des universités autrichiennes ; beau-
coup d'entre eux s'intéressent à notre
science et à notre civilisation. Il est temps
de comprendre l'importance du problème
des prisonniers. Les Français nous don-
nent l'exemple sur notre front. Après l'af-
faire du Mont Grappa, ils ont mis à part
les Tchèques, qui travaillent pour eux avec
enthousiasme en arrière de leurs lignes. —
Corriere della Sera, 1.3.
———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La politique du Japon. — PRESSE BRITAN-
NIQUE :. [Cf. Bull. n° 733, p. 2, c. 1] : On sem-
ble en France avoir des idées précises sur
les mesures envisagées, par le gouverne-
ment japonais. Plusieurs journaux français,
et même le général Foch, paraissent cer-
tains que le Japon devrait occuper Vladi-
vostok, Kharbine et tout ce qu'il pourra
commodément saisir du territoire russe en
Extrême-Orient. On voit dans cette action
un grand service à la cause des Alliés. On
suppose que les Allemands, traversant la
Russie, pourraient absorber la Sibérie, s'é-
tablir sur le Pacifique, menacer le Japon.
Une semblable opération militaire est le
plus fantaisiste des cauchemars. Même s'il
s'établissait à Vladivostok, à Kharbine, le
japon laisserait encore exposé l'ensemble de
la Russie d'Europe et d'Asie. Si le Japon
se décide à prendre Vladivostok, Kharbine,
et du territoire russe en Extrême-Orient, ce
ne sera pas pour faire plaisir à la France
ou pour aider les Alliés. Ce sera parce que
depuis longtemps le Japon désire posséder
ces régions et croit que le malheur de la
Russie offre une excellente occasion de
le faire. La France verra peut-être là un
juste châtiment des maximalistes pour avoir
répudié la dette nationale, conclu une paix
séparée. Mais si le Japon, avec plus de cy-
nisme encore fait, à la frontière orientale
de la Russie, ce que l'Allemagne fait à la
frontière occidentale, comment les Alliés
pourraient-ils l'approuver sans perdre tout
droit à se réclamer d'un principe plus élevé
que celui de leurs ennemis ? Ce serait une
erreur grossière, en contradiction absolue
avec toute la politique du Président Wil- -
son. N'est-il pas grand temps que le Pré-
siden-t Wilson prenne résolument en main
la diplomatie de la guerre ? Des discours
n'y suffiront pas. — Manchester Guàrdian,
28.2.
— Le journal français qui suggère que
l'on doit engager le Japon à entrer en guer-
re, et qu'aucune question de principe ne
doit nous empêcher de satisfaire à ses re-
vendications rend un bien mauvais ser-
vice à la càuse des Alliés. C'est assez de
ces manœuvres secrètes au sujet de « com-
pensatiors», terme élégant qui veut dire
« donquêtes ». Si jamais nous sommes ap-
pelés à voir la fin de cette guerre il nous
faut non pas jeter par-dessus bord mais
rétablir nos principes, et l'intervention du
Japon, basée sur des conditions de conquê-
tes serait un crime. Les journalistes qui
pensent que les Alliés doivent imiter l'Al- *
lemagne parce que celle-ci saccage et an-
nexe la Russie sont semblables à ces diri-
geants aveugles qui, sous prétexte que les
Allemands violent les lois de la guerre et
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