Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-03-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 mars 1918 06 mars 1918
Description : 1918/03/06 (T8,N735). 1918/03/06 (T8,N735).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63384293
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
STERE DE LA g ES ÉTRANGÈRES
N° 735
Paris, 6 mars 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS 1[ILITAIRES
Dations
marche en avant, à l'Est ». Le
tion suivante au Reichstag, le 25 février :
patrie. Nos attaques elles-mêmes sont
défensives. Nous marchons au
l'humanité et nous ne pensons pas
nous établir en Esthonie et en Livonie.
n'avons après désir : avoir de bon-
relations après la guerre avec les na-
qui se eonshtuent aujourd'hui tout
nous. La mise n militaire
de cette a ^se k pY^ a été rapi de,
habitudes de la stratégie alleman-
brillantes improvisations ne sont
qu'à des troupes parfaitement dis-
et V,go'ureusement organisées.
l'ensemble, ces OPérations de no trulL
pourraient être désignées sous le nom
guerre ». Il s'agissait moins de
résistance ennemie, que de suppor-
ill"ues de longues étapes et d'as-
le ravitaillement, en dépot des diffi
de toutes ortes. nos soldatls ont
fait la guerre avec leurs jambes.
rapidité de leur marche a empêché tou-
mesures que l'ennemi .,"' ---
-.-.. u.ué:l.H pu
de regrouper ses for-
succès militaires auront des con.
des cou.
de l'Allemagne ne sera pas
modifié. Nous sommes liés par la parole
ling. Au cours de ces opéra-
n'avons fait aucun prélèvement
le front occidental. Nous n'en avons
Ç^&nc n' 0 aiié,,4 obus. Notre
est n'a allégé en rien la tâche
:IS. Les opérations militai-
nous suggèrent les réflexions sui-
le grou d e 110 armées de Linsi»ngen dé-
ce p~t 1 oppression bolchéviste et
à ce parti 0?niser son armée.
parti de la ligne générale
Au sud, il s'est avancé au
Sh 6 ^Ho part dan s la direc-
et de Rowno, d'autre part
de la voie ferrée de Kowel à Sar-
des colonnes volantes ont
gagné J i tomir pa r 1\.1",.- -_. -
.-. nvwugra;o-
ces opérations dans le
raient, le cas échéant, une
Linsingen, partant de Pinsk,
passé Mosyr. Les marches for-
ont faites ne les ont Pas em-
W>utrr^sire! s içoienk-ovitchi des
révolutionnaires russes, qui leur
vo fl!tes rieures en nombre. Ces co-
tes se signalent par leur ini-
cran. o. EUes doivent e tirer
.avec leurs propres ressources.
moraliser l'ennemi. C'est une
oupes allemandes excellent.
Le groupe d'armées de Eichhorn opère sur
des bases encore plus larges. Il est parti
de la région qui se trouve à l'ouest de
Dvinsk et de l'île de Worms pour met-
tre un terme aux exactions des bolchévis-
tes. A l'extrême nord, le froid a favorisé
les opérations, qui avaient leur base dans
les îles de Worms et de Moon- Ils ont gagné
la ligne Pernau-Reval. Partant de Riga nos
troupes ont délivré les villes de Wenden,
Wolmar, Walk et Dorpat. Une action pa-
rallèle sur la routé de Ronnebourg à Pskov
nous mettait en liaison avec les colonnes
qui s'avançaient de Dvinsk sur Ries-
kitza-Ljuzin. Nous n'avons encore reçu au-
cun renseignement sur une opération de
Dvinsk vers Polozk. La résistance en-
nemie, sérieuse en quelques points, par
exemple à Reval, a été partout brisée. Lors
des premières négociations de paix, les
bolchévistes et l'Entente redoutaient que
nous n'exercions une pression sur les pro-
vinces russes de la Baltique. en leur impo-
sant un plébiscite. La manière d'agir des
bolchévistes rend toute pression superflue.
Le prestige de la Russie, là où il pouvait
encore exister dans ces régions, s'est com-
plètement évanoui. — (Major Cari Endres)
Münchner Neueste Nachrichten, 28.2.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L intervention du Japon. - PRESSE AN-
GLAISE: Sans aucun doute, le Japon aussi
bien que l'Amérique agissent en pleine in-
telligence avec le reste de l'Entente. Il est
également probable, si l'on s'en rapporte
aux idées que le président Wilson a si
souvent exprimées sur la sainteté du prin-
cipe des nationalités, que l'on tiendra
compte de l'opinion de la Russie, si tou-
tefois on peut la connaître dans les con-
ditions actuelles d'anarchie. En tous cas,
s'il doit y avoir une intervention commune,
la présence de l'Amérique rassurera la Rus-
sie en lui montrant que l'on ne projette
aucun acte d'agression voilée. — (Ed.)
Liverpool Post, 1.3.
— Les journaux de Paris spéculent sur
les chances qu'a le Japon d'occuper les par
ties orientales de la Russie asiatique pour
en faire un rempart contre les Allemands
et contre le maximalisme, et ils ne font pas
attention à cette difficulté qu'au cas d'une
paix entre l'Allemagne et la Russie, le Ja-
pon ne serait plus dans la position d'un
allié venant à l'aide de la Russie contre
l'ennemi, mais qu'il envahirait le territoire
d'un neutre, à moins que rapparition de
troupes japonaises ne fasse naître une al-
liance grotesque entre la Russie et l'Al-
lemagne. Mais les projets ne s'arrêtent pas
là. et il ne serait pas impossible pour le
Japon et l'Amérique de s'engager dans une
coopération active et serait-il avanta-
geux pour la grande alliance d'approuver
ce projet plutôt que de favoriser l'exécu-
tion du plan primitif qui consiste à con-
centrer toutes les forces combattantes de
l'Amérique sur le front occidental. En
tous cas une action militaire du Japon aug-
menterait les difficultés de l'Allemagne. —
(Ed.) Western Daily Press, 1.3.
— Sous le titre : « Le général Foch
et la situation en Orient ». Le général
Foch est honorablement connu comme
l'un des meilleurs tacticiens d'Europe, et
il a aussi l'œil d'un stratège, car personne
ne comprend mieux que lui que la France
pourra être délivrée de l'invasion par des
victoires remportées hors de France. Si
l'envahisseur de la France peut être ame-
né à lâcher prise par des coups portés en
Italie ou même en Turquie, l'invasion de
la Russie, d'après le même principe, pour-
rait être contrecarrée en Sibérie. Mais, en
fait, il y a des objections politiques déci-
sives contre toute action du Japon aux dé-
pens de la Russie, et on ne voit pas clai-
rement de quelle utilité militaire pourrait
être une avance des Japonais en Sibérie.
Il se peut que le sens véritable des paroles
du général Foch n'ait pas été parfaitement
clair aux journalistes américains. Il dési-
rait peut-être, non pas tant recommander
une certaine politique à l'Amérique et au
Japon, que rappeler à l'Amérique les
fautes commises par les Alliés au commen-
cement de la guerre. En d'autres termes,
il voulait peut-être dire simplement ceci :
« Ne tombez pas dans notre erreur, qui fut
de nous conformer à la stratégie adverse ;
ayez votre propre plan ; prévenez les des-
seins de l'ennemi. » Mais, cependant, mê-
me si dans l'interprétation des paroles du
général Foch, on s'en tient à cet excellent
principe, les exemples particuliers qu'il a
donnés ne nous paraissent pas heureuse-
ment choisis. — Manchester Guardian, 1.3.
— L'appel adressé par le général Foch,
par la voie de la presse américaine, en vue
d'une intervention japonaise ou américano-
japonaise sur le front oriental est formulé
sur un ton si pressant et si péremptoire que
l'on est amené à supposer que des décisions
ont déjà été prises à ce sujet par le Conseil
interallié, ou qu'elles sont sur le point d'être
prises à Versailles, en même temps qu'à
Washington et à Tokio. Dans ce cas,
M. Clemenceau aura gagné la cause qu'il
plaidait depuis trois ans. L'homme d'Etat
allié qui nierait aujourd'hui l'impérieuse né-
cessité de l'intervention militaire du Japon
en Europe mériterait d'être classé au rang
des imbéciles. Celui qui, sans le nier, sou-
lèverait une objection quelconque, soit sen-
timentale, soit politique, soit économique,
mériterait d'être considéré comme un traî-
tre vis-à-vis de la cause commune. A moins
que Versailles ne produise un génie straté-
gique qui révolutionne la science et l'art de
la guerre moderne, les Alliés ne pourront,
même avec l'aide de l'Amérique, rétablir,
N° 735
Paris, 6 mars 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS 1[ILITAIRES
Dations
marche en avant, à l'Est ». Le
tion suivante au Reichstag, le 25 février :
patrie. Nos attaques elles-mêmes sont
défensives. Nous marchons au
l'humanité et nous ne pensons pas
nous établir en Esthonie et en Livonie.
n'avons après désir : avoir de bon-
relations après la guerre avec les na-
qui se eonshtuent aujourd'hui tout
nous. La mise n militaire
de cette a ^se k pY^ a été rapi de,
habitudes de la stratégie alleman-
brillantes improvisations ne sont
qu'à des troupes parfaitement dis-
et V,go'ureusement organisées.
l'ensemble, ces OPérations de no trulL
pourraient être désignées sous le nom
guerre ». Il s'agissait moins de
résistance ennemie, que de suppor-
ill"ues de longues étapes et d'as-
le ravitaillement, en dépot des diffi
de toutes ortes. nos soldatls ont
fait la guerre avec leurs jambes.
rapidité de leur marche a empêché tou-
mesures que l'ennemi .,"' ---
-.-.. u.ué:l.H pu
de regrouper ses for-
succès militaires auront des con.
des cou.
de l'Allemagne ne sera pas
modifié. Nous sommes liés par la parole
ling. Au cours de ces opéra-
n'avons fait aucun prélèvement
le front occidental. Nous n'en avons
Ç^&nc n' 0 aiié,,4 obus. Notre
est n'a allégé en rien la tâche
:IS. Les opérations militai-
nous suggèrent les réflexions sui-
le grou d e 110 armées de Linsi»ngen dé-
ce p~t 1 oppression bolchéviste et
à ce parti 0?niser son armée.
parti de la ligne générale
Au sud, il s'est avancé au
Sh 6 ^Ho part dan s la direc-
et de Rowno, d'autre part
de la voie ferrée de Kowel à Sar-
des colonnes volantes ont
gagné J i tomir pa r 1\.1",.- -_. -
.-. nvwugra;o-
ces opérations dans le
raient, le cas échéant, une
Linsingen, partant de Pinsk,
passé Mosyr. Les marches for-
ont faites ne les ont Pas em-
W>utrr^sire! s içoienk-ovitchi des
révolutionnaires russes, qui leur
vo fl!tes rieures en nombre. Ces co-
tes se signalent par leur ini-
cran. o. EUes doivent e tirer
.avec leurs propres ressources.
moraliser l'ennemi. C'est une
oupes allemandes excellent.
Le groupe d'armées de Eichhorn opère sur
des bases encore plus larges. Il est parti
de la région qui se trouve à l'ouest de
Dvinsk et de l'île de Worms pour met-
tre un terme aux exactions des bolchévis-
tes. A l'extrême nord, le froid a favorisé
les opérations, qui avaient leur base dans
les îles de Worms et de Moon- Ils ont gagné
la ligne Pernau-Reval. Partant de Riga nos
troupes ont délivré les villes de Wenden,
Wolmar, Walk et Dorpat. Une action pa-
rallèle sur la routé de Ronnebourg à Pskov
nous mettait en liaison avec les colonnes
qui s'avançaient de Dvinsk sur Ries-
kitza-Ljuzin. Nous n'avons encore reçu au-
cun renseignement sur une opération de
Dvinsk vers Polozk. La résistance en-
nemie, sérieuse en quelques points, par
exemple à Reval, a été partout brisée. Lors
des premières négociations de paix, les
bolchévistes et l'Entente redoutaient que
nous n'exercions une pression sur les pro-
vinces russes de la Baltique. en leur impo-
sant un plébiscite. La manière d'agir des
bolchévistes rend toute pression superflue.
Le prestige de la Russie, là où il pouvait
encore exister dans ces régions, s'est com-
plètement évanoui. — (Major Cari Endres)
Münchner Neueste Nachrichten, 28.2.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L intervention du Japon. - PRESSE AN-
GLAISE: Sans aucun doute, le Japon aussi
bien que l'Amérique agissent en pleine in-
telligence avec le reste de l'Entente. Il est
également probable, si l'on s'en rapporte
aux idées que le président Wilson a si
souvent exprimées sur la sainteté du prin-
cipe des nationalités, que l'on tiendra
compte de l'opinion de la Russie, si tou-
tefois on peut la connaître dans les con-
ditions actuelles d'anarchie. En tous cas,
s'il doit y avoir une intervention commune,
la présence de l'Amérique rassurera la Rus-
sie en lui montrant que l'on ne projette
aucun acte d'agression voilée. — (Ed.)
Liverpool Post, 1.3.
— Les journaux de Paris spéculent sur
les chances qu'a le Japon d'occuper les par
ties orientales de la Russie asiatique pour
en faire un rempart contre les Allemands
et contre le maximalisme, et ils ne font pas
attention à cette difficulté qu'au cas d'une
paix entre l'Allemagne et la Russie, le Ja-
pon ne serait plus dans la position d'un
allié venant à l'aide de la Russie contre
l'ennemi, mais qu'il envahirait le territoire
d'un neutre, à moins que rapparition de
troupes japonaises ne fasse naître une al-
liance grotesque entre la Russie et l'Al-
lemagne. Mais les projets ne s'arrêtent pas
là. et il ne serait pas impossible pour le
Japon et l'Amérique de s'engager dans une
coopération active et serait-il avanta-
geux pour la grande alliance d'approuver
ce projet plutôt que de favoriser l'exécu-
tion du plan primitif qui consiste à con-
centrer toutes les forces combattantes de
l'Amérique sur le front occidental. En
tous cas une action militaire du Japon aug-
menterait les difficultés de l'Allemagne. —
(Ed.) Western Daily Press, 1.3.
— Sous le titre : « Le général Foch
et la situation en Orient ». Le général
Foch est honorablement connu comme
l'un des meilleurs tacticiens d'Europe, et
il a aussi l'œil d'un stratège, car personne
ne comprend mieux que lui que la France
pourra être délivrée de l'invasion par des
victoires remportées hors de France. Si
l'envahisseur de la France peut être ame-
né à lâcher prise par des coups portés en
Italie ou même en Turquie, l'invasion de
la Russie, d'après le même principe, pour-
rait être contrecarrée en Sibérie. Mais, en
fait, il y a des objections politiques déci-
sives contre toute action du Japon aux dé-
pens de la Russie, et on ne voit pas clai-
rement de quelle utilité militaire pourrait
être une avance des Japonais en Sibérie.
Il se peut que le sens véritable des paroles
du général Foch n'ait pas été parfaitement
clair aux journalistes américains. Il dési-
rait peut-être, non pas tant recommander
une certaine politique à l'Amérique et au
Japon, que rappeler à l'Amérique les
fautes commises par les Alliés au commen-
cement de la guerre. En d'autres termes,
il voulait peut-être dire simplement ceci :
« Ne tombez pas dans notre erreur, qui fut
de nous conformer à la stratégie adverse ;
ayez votre propre plan ; prévenez les des-
seins de l'ennemi. » Mais, cependant, mê-
me si dans l'interprétation des paroles du
général Foch, on s'en tient à cet excellent
principe, les exemples particuliers qu'il a
donnés ne nous paraissent pas heureuse-
ment choisis. — Manchester Guardian, 1.3.
— L'appel adressé par le général Foch,
par la voie de la presse américaine, en vue
d'une intervention japonaise ou américano-
japonaise sur le front oriental est formulé
sur un ton si pressant et si péremptoire que
l'on est amené à supposer que des décisions
ont déjà été prises à ce sujet par le Conseil
interallié, ou qu'elles sont sur le point d'être
prises à Versailles, en même temps qu'à
Washington et à Tokio. Dans ce cas,
M. Clemenceau aura gagné la cause qu'il
plaidait depuis trois ans. L'homme d'Etat
allié qui nierait aujourd'hui l'impérieuse né-
cessité de l'intervention militaire du Japon
en Europe mériterait d'être classé au rang
des imbéciles. Celui qui, sans le nier, sou-
lèverait une objection quelconque, soit sen-
timentale, soit politique, soit économique,
mériterait d'être considéré comme un traî-
tre vis-à-vis de la cause commune. A moins
que Versailles ne produise un génie straté-
gique qui révolutionne la science et l'art de
la guerre moderne, les Alliés ne pourront,
même avec l'aide de l'Amérique, rétablir,
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")Les Monuments historiques de la France : bulletin des diverses sections de la Commission des monuments historiques et de la Commission supérieure des monuments naturels et des sites /ark:/12148/bd6t5377978f.highres Annales de la Société des architectes de l'Est et Annuaire du bâtiment : Ardennes, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Vosges /ark:/12148/bd6t543240573.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k63384293/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k63384293/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k63384293/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k63384293/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k63384293
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k63384293
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k63384293/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest