Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 février 1918 28 février 1918
Description : 1918/02/28 (T8,N729). 1918/02/28 (T8,N729).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338423m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1) ES
ÉTRANGÈRES
N° 729
Paris, 28 février 1918.
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
---=
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Situation générale. - « POINTS OBSCURs
LA SITUATION MILITAIRE DE L'ENTENTE ». -
de l'Entente n'ont pas pu tom-
d'accord sur le choix d'un genéralis-
Le Daily News du 5 tcvrietr, le dis-
Orlando du 12 ravouent. La pre:;se
met bien en avant le nom du ge-
la question de l'unité de
n'est pas résolue. L'accu-
de Respington contre Lloyd George
que des tentatives ont été faites à
pour la défense dïntlrêts paL tl-
Lloyd George a parlé d'opérations
du côté du Sinaï ; sans doute.
a a protesté, Il lallait s'y alten.
1" <'? ::ter, e ne parlant pas de ren-
qu'elle veut et si l'Entente
d'obtenir les ressources dont
~i IIIllqUe sei'ait-p' e m:ssion spé-
ippnf AT envoyée à
~'1 t' i'eut-êt~ une nouvelle
déloyale de Lloyd George. Com-
il Voudrait J?r con tm un IOn
et il voudrait faire supporter à
une part de responsabilité dans
aux propositions de Hert-
L'allusion que Lloyd George a
changement de situation, sur le
~1.' rllprll 1:\[ prouve que l'idée d'ti ut
~> est ïPu* SSlb'« d es f 6 l'idée d'un
possible des forces de l'En-
venue à l'espprit. Les questions
~Iii. ,l¡. Une taque d'H i que provoque
d'une attaque d'Hindenburg sont
ve de nervc>sité ,
de nervosité. La commission
~ij( :,', I,'i'illl(era sns doute à Washington
~t■ A'Îgleterie sont eneore
~'■■ S •i d'une vigoureuse offensive, avec
se. ^mière T Puissances
L'Amérique; mais que cette of-
au transport d'une forte armée
existe. Et à ce propos, elles po-
à Washington la question de saVOI r
Amérique sera prête à négocier com-
~des nouveaux saC-ritires, en vips
Cldent 1
~en ûlT'gent, - Post, 22.2.
~il' :rl\I\\fJ:, -:., - LES BRUITS D'OFFEN-
~l' !<'iiïï f,e or Nous nous attendons à
de grande envergure contre le
entre Verdun et la Suisse, à
formidable britannique, et plus tard
la partie centrale du front italien.
révoyons pas (l'a ttaq ue da n s le
pas d'attaque dans le
~!>Vr cou-
," diffi u ,
verait des difficultés à mouvoir son ar-
sans laquelle il ne peut avan-
sUcres de l'ennemi à cet
endroit ne ferait que reculer notre ligne, et
nous aiderait à la rétrécir. Par les succès
sur la partie droite de notre front, l'ennemi
se trouverait amené sur un terrain plus
découvert, et plus convenable, et il pour-
rait peut-être séparer les Anglais de leurs
Alliés et les acculer contre une côte dépour-
vue de ports appropriés. — (Correspondant
militaire) Pall Mall Gazette, 23.2.
Front italien. — POSSIBILITÉS D'UNE OFFEN-
SIVE. - Le feld-maréchal Conrad reste in-
vesti de son important commandement sur
le front italien. Et non seulement la con-
fiance de l'empereur Charles le maintient à
son poste, mais, de plus, il paraît très pos-
sible qu'on lui confie en * particulier la pré-
paration d'une nouvelte offensive de prin-
temps contre l'Italie. On peut présumer
que l'ennemi a déjà choisi, comme front
d'attaque, le secteur qui s'étend à l'ouest du
canal de la Brenta et dont les vallées des-
cendent vers Vicence, Vérone, Brescia.
Nous continuons à croire que si une offen-
sive se produit au printemps, ce sera dans
la montagne et qu'elle visera à descendre
par les passages des Alpes. Ni le mois de
mars, ni le mois d'avril ne sont propres
à des opérations de ce genre : c'est au mois
de mai seulement qu'elles deviennent pos-
sibles. Mais ce n'est pas la saison seule qui
déterminera la date de l'action ; il faut pré-
voir que l'offensive contre l'Italie sera en
liaison très étroite avec l'offensive contre
la France. Les renseignements que nous
possédons nous montrent que l'ennemi
fait des préparatifs méthodiques et d'assez
grande envergure. Nous ne devons pas
nous borner à surveiller les rebords
montagneux sur lesquels l'adversaire nous
fait face, mais observer aussi les pas-
sages qui sont plus éloignés et à l'ar-
rière. — Quant à la Basse et à la
Moyenne Piave, où le commandement est
passé des mains de Boroevic en celles de
Kirchback, les sondages opérés dans les
lignes ennemies nous les montrent assez
éclaircies. Kirchback a sous son comman-
dement deux généraux d'armée connus,
Wurms et Henriquez. C'est le front de la
Priula, situé au milieu d'un groupe d'ar-
mées, qui paraît devoir jouer plutôt un
rôle défensif. En somme, qu'il s'agisse du
front italien ou du front français, c'est vers
l'Ouest que les Austro-Allemands dépla-
cent les masses stratégiques avec lesquelles
ils espèrent réaliser la guerre de manœu-
vre. Sur notre front, il ne reste, comme
éléments allemands, que les aviateurs char-
gés de bombarder de nuit l'arrière et les
villes ouvertes. Quant aux Autrichiens, ils
n'auraient, d'après nos renseignements, en-
voyé sur le front français qu'un contin-
gent très inférieur au contingent allemand
qui joua un rôle si important dans l'offen-
sive de Caporretto. Leurs généraux y dé-
pendront de l'Etat-Major de Guillaume. Il
n'est pas risqué de suproser que cet envoi
de troupes autrichiennes sur le front fran-
çais n'a pas d'autre but que de nous donner
le change sur les projets de l'Autriche con-
cernant le front italien, sur lequel on vou-
drait taire croire que l'ennemi n'a pas l'in-
tention de pousser de véritable offensive.
(Luigi Ambrosini) Stampa, 23.2.
Front oriental. — LA MARCHE EN AVANT DE::;
ALLEMANDS : Une opinion courante était QUI'
toute avance de troupes importantes à l'in-
térieur de la Russie était impossible en
raison des difficultés qu'il y aurait à les
ravitailler. Le souvenir des désastres de
l'armée française en Russie il y a cent ans
effrayait les généraux. Il semblait impos-
sible de vaincre l'armée russe si elle se
repliait dans les régions de l'Est où il était
difticile de la suivre. Mais l'armée russe a
montré elle-même, au cours de cette guerre
que son ravitaillement et ses déplacements
de troupes se faisaient exclusivement par
les voies ferrées. Ces voies ferrées existent
La nature du terrain ne permet pas de les
rendre pour longtemps impraticables D'au-
tre part, l'armée russe, qui en temps, nor-
mal avait des points d'appui dans tout l'in-
térieur du pays, n'a plus qu'une hRj;¡P et
qu'un refuge, Pétrograd. Cette - situation
militaire, facilite notre tâche. Après s'être
emparées de Leal, nos troupes continuent à
progresser au nord de la ligne Pernau
Dorpat. D'autres unités allemandes venant
du sud, ont atteint la région de Salis et de
Walk. L'importance de notre butin, le nom-
bre des canons que nous avons pris sont
une preuve de la, complète désorganisation
de l'armée russe. Elle n'a résisté un peu
qu'à Lemsal. Notre avance est favorisée
par cette désorganisation des troupes en-
nemies. Une poursuite rapide nous permet
de nous emparer de tout le matériel de
guerre des Russes. — (Max von Versen),
Post, 22.2. -
-- Le 18 février, à midi, l'armistice a pris
fin. Dans le secteur du lac de Drysviaty-
Illuxt nos troupes ont marché sur Dvinsk
par des voies, différentes. Les avions
avaient annoncé que les tranchées enne-
mies étaient vides, en bien des points, que
les ponts sur la Dvina n'etaient pas dé-
truits. Nos troupes franchirent rapidement
le « no man's land ». Elles essuyèrent
quelques coups de feu près du grand pont
de chemin de fer sur la Dvina ; elles réus-
sirent à empêcher l'ennemi de faire sauter
ce pont et les autres ponts sur la Dvina,
qui étaient minés ou prêts à être incendiés,
A 16 heures, la ville était occupée, sans
résistance. Le premier jour, nos troupes se
portèrent jusqu'à la ligne du lac de Drys-
viaty, de Strudelino, de la lisière est de
Dvinsk. Vers le nord, elles atteignirent la
crête de Tweten. Le deuxième jour, elles
arrivèrent. à Dubno, au moment où un train
de 40 wagons. venant de Pétrograd entrait
en gare. Elles capturèrent le tnain et elles
s'emparèrent d'un important butin. Les
tentatives russes pour arrêter notre avance
échouèrent partout. La population fit bon
accueil à nos troupes. Beaucoup d'officiers
russes saluaient les Allemands comme des
ÉTRANGÈRES
N° 729
Paris, 28 février 1918.
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
---=
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Situation générale. - « POINTS OBSCURs
LA SITUATION MILITAIRE DE L'ENTENTE ». -
de l'Entente n'ont pas pu tom-
d'accord sur le choix d'un genéralis-
Le Daily News du 5 tcvrietr, le dis-
Orlando du 12 ravouent. La pre:;se
met bien en avant le nom du ge-
la question de l'unité de
n'est pas résolue. L'accu-
de Respington contre Lloyd George
que des tentatives ont été faites à
pour la défense dïntlrêts paL tl-
Lloyd George a parlé d'opérations
du côté du Sinaï ; sans doute.
a a protesté, Il lallait s'y alten.
1" <'? ::ter, e ne parlant pas de ren-
qu'elle veut et si l'Entente
d'obtenir les ressources dont
~i IIIllqUe sei'ait-p' e m:ssion spé-
ippnf AT envoyée à
~'1 t' i'eut-êt~ une nouvelle
déloyale de Lloyd George. Com-
il Voudrait J?r con tm un IOn
et il voudrait faire supporter à
une part de responsabilité dans
aux propositions de Hert-
L'allusion que Lloyd George a
changement de situation, sur le
~1.' rllprll 1:\[ prouve que l'idée d'ti ut
~> est ïPu* SSlb'« d es f 6 l'idée d'un
possible des forces de l'En-
venue à l'espprit. Les questions
~Iii. ,l¡. Une taque d'H i que provoque
d'une attaque d'Hindenburg sont
ve de nervc>sité ,
de nervosité. La commission
~ij( :,', I,'i'illl(era sns doute à Washington
~t■ A'Îgleterie sont eneore
~'■■ S •i d'une vigoureuse offensive, avec
se. ^mière T Puissances
L'Amérique; mais que cette of-
au transport d'une forte armée
existe. Et à ce propos, elles po-
à Washington la question de saVOI r
Amérique sera prête à négocier com-
~des nouveaux saC-ritires, en vips
Cldent 1
~en ûlT'gent, - Post, 22.2.
~il' :rl\I\\fJ:, -:., - LES BRUITS D'OFFEN-
~l' !<'iiïï f,e or Nous nous attendons à
de grande envergure contre le
entre Verdun et la Suisse, à
formidable britannique, et plus tard
la partie centrale du front italien.
révoyons pas (l'a ttaq ue da n s le
pas d'attaque dans le
~!>
," diffi u ,
verait des difficultés à mouvoir son ar-
sans laquelle il ne peut avan-
sUcres de l'ennemi à cet
endroit ne ferait que reculer notre ligne, et
nous aiderait à la rétrécir. Par les succès
sur la partie droite de notre front, l'ennemi
se trouverait amené sur un terrain plus
découvert, et plus convenable, et il pour-
rait peut-être séparer les Anglais de leurs
Alliés et les acculer contre une côte dépour-
vue de ports appropriés. — (Correspondant
militaire) Pall Mall Gazette, 23.2.
Front italien. — POSSIBILITÉS D'UNE OFFEN-
SIVE. - Le feld-maréchal Conrad reste in-
vesti de son important commandement sur
le front italien. Et non seulement la con-
fiance de l'empereur Charles le maintient à
son poste, mais, de plus, il paraît très pos-
sible qu'on lui confie en * particulier la pré-
paration d'une nouvelte offensive de prin-
temps contre l'Italie. On peut présumer
que l'ennemi a déjà choisi, comme front
d'attaque, le secteur qui s'étend à l'ouest du
canal de la Brenta et dont les vallées des-
cendent vers Vicence, Vérone, Brescia.
Nous continuons à croire que si une offen-
sive se produit au printemps, ce sera dans
la montagne et qu'elle visera à descendre
par les passages des Alpes. Ni le mois de
mars, ni le mois d'avril ne sont propres
à des opérations de ce genre : c'est au mois
de mai seulement qu'elles deviennent pos-
sibles. Mais ce n'est pas la saison seule qui
déterminera la date de l'action ; il faut pré-
voir que l'offensive contre l'Italie sera en
liaison très étroite avec l'offensive contre
la France. Les renseignements que nous
possédons nous montrent que l'ennemi
fait des préparatifs méthodiques et d'assez
grande envergure. Nous ne devons pas
nous borner à surveiller les rebords
montagneux sur lesquels l'adversaire nous
fait face, mais observer aussi les pas-
sages qui sont plus éloignés et à l'ar-
rière. — Quant à la Basse et à la
Moyenne Piave, où le commandement est
passé des mains de Boroevic en celles de
Kirchback, les sondages opérés dans les
lignes ennemies nous les montrent assez
éclaircies. Kirchback a sous son comman-
dement deux généraux d'armée connus,
Wurms et Henriquez. C'est le front de la
Priula, situé au milieu d'un groupe d'ar-
mées, qui paraît devoir jouer plutôt un
rôle défensif. En somme, qu'il s'agisse du
front italien ou du front français, c'est vers
l'Ouest que les Austro-Allemands dépla-
cent les masses stratégiques avec lesquelles
ils espèrent réaliser la guerre de manœu-
vre. Sur notre front, il ne reste, comme
éléments allemands, que les aviateurs char-
gés de bombarder de nuit l'arrière et les
villes ouvertes. Quant aux Autrichiens, ils
n'auraient, d'après nos renseignements, en-
voyé sur le front français qu'un contin-
gent très inférieur au contingent allemand
qui joua un rôle si important dans l'offen-
sive de Caporretto. Leurs généraux y dé-
pendront de l'Etat-Major de Guillaume. Il
n'est pas risqué de suproser que cet envoi
de troupes autrichiennes sur le front fran-
çais n'a pas d'autre but que de nous donner
le change sur les projets de l'Autriche con-
cernant le front italien, sur lequel on vou-
drait taire croire que l'ennemi n'a pas l'in-
tention de pousser de véritable offensive.
(Luigi Ambrosini) Stampa, 23.2.
Front oriental. — LA MARCHE EN AVANT DE::;
ALLEMANDS : Une opinion courante était QUI'
toute avance de troupes importantes à l'in-
térieur de la Russie était impossible en
raison des difficultés qu'il y aurait à les
ravitailler. Le souvenir des désastres de
l'armée française en Russie il y a cent ans
effrayait les généraux. Il semblait impos-
sible de vaincre l'armée russe si elle se
repliait dans les régions de l'Est où il était
difticile de la suivre. Mais l'armée russe a
montré elle-même, au cours de cette guerre
que son ravitaillement et ses déplacements
de troupes se faisaient exclusivement par
les voies ferrées. Ces voies ferrées existent
La nature du terrain ne permet pas de les
rendre pour longtemps impraticables D'au-
tre part, l'armée russe, qui en temps, nor-
mal avait des points d'appui dans tout l'in-
térieur du pays, n'a plus qu'une hRj;¡P et
qu'un refuge, Pétrograd. Cette - situation
militaire, facilite notre tâche. Après s'être
emparées de Leal, nos troupes continuent à
progresser au nord de la ligne Pernau
Dorpat. D'autres unités allemandes venant
du sud, ont atteint la région de Salis et de
Walk. L'importance de notre butin, le nom-
bre des canons que nous avons pris sont
une preuve de la, complète désorganisation
de l'armée russe. Elle n'a résisté un peu
qu'à Lemsal. Notre avance est favorisée
par cette désorganisation des troupes en-
nemies. Une poursuite rapide nous permet
de nous emparer de tout le matériel de
guerre des Russes. — (Max von Versen),
Post, 22.2. -
-- Le 18 février, à midi, l'armistice a pris
fin. Dans le secteur du lac de Drysviaty-
Illuxt nos troupes ont marché sur Dvinsk
par des voies, différentes. Les avions
avaient annoncé que les tranchées enne-
mies étaient vides, en bien des points, que
les ponts sur la Dvina n'etaient pas dé-
truits. Nos troupes franchirent rapidement
le « no man's land ». Elles essuyèrent
quelques coups de feu près du grand pont
de chemin de fer sur la Dvina ; elles réus-
sirent à empêcher l'ennemi de faire sauter
ce pont et les autres ponts sur la Dvina,
qui étaient minés ou prêts à être incendiés,
A 16 heures, la ville était occupée, sans
résistance. Le premier jour, nos troupes se
portèrent jusqu'à la ligne du lac de Drys-
viaty, de Strudelino, de la lisière est de
Dvinsk. Vers le nord, elles atteignirent la
crête de Tweten. Le deuxième jour, elles
arrivèrent. à Dubno, au moment où un train
de 40 wagons. venant de Pétrograd entrait
en gare. Elles capturèrent le tnain et elles
s'emparèrent d'un important butin. Les
tentatives russes pour arrêter notre avance
échouèrent partout. La population fit bon
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