Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 février 1918 26 février 1918
Description : 1918/02/26 (T8,N727). 1918/02/26 (T8,N727).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338421s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
ERES DE LA GUERRE
EIRANGÈRES
N° 727
Paris, 26 février 1918.
1
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
'-'"
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
• QUtSTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
St et ,.0uUest
e rnllcheuest, - PHEsSE ALLEMANDE. -
Le marche en avant vers Dvinsk aura
aucub doute soulevé dans beaucoup
! °°r8e Vî f centre V n- savoir si, une
encore le centre de gravité des opéra-
différé, ?uve Ms déplacé, et si par
la décision attendue à l'Ouest n'est
différée à nouveau. Ces inquiétu-
sont injus hfiees. Depuis la signature
l'armistice, notre gouvernement a tou-
te prévu la nécéssité d'une vigoureuse
invention S I ? '?8iqlue la rupture de
armistice étitr possible d'un moment
autre et elle entraînait la reprise des
rd ^t res reprise des
rationsd militaires. Toutes les forces qui
rancent vers la vina et , dans la partie
de l'Ukraine se trouvaient déjà à
Elles suffiront contre les Grands-
siens qui ne semblent pas vouloir ré-
er. Les troupes de l'Ouest n'auront pas
re n'est (Des de l'Ouest n'a!N'ont pa:'
revenit. Le centre de gravité de la
théâtre OcciJC Pas déplac2. Il reste sur
h s l'TFI l etal. La „ paix règne sur
ont de l'Ukraine. La dsituation s'éclair-
considérablement notre pourrons renforcer
Les troupes de l'Entente y seront en
chense de posture , adossés à la mer, prJ-
ées de tonnage, exposées aux coups des
sous-marins. En rm('IlI, les Turcs reJ?ren-
peu à peu le terrain Perdu La situa-
da re s est f\, peine modifiée.
La guerre aérie,nne et sous-(marine modinée.
pou l' pierre anche sous-marine. nos
er .: gleterl' tanche sont un soufflet
l'Angleterre, aux yeux du monde en-
Norswilsche J meine Zeitung,
Nous ne pouvons dIre dès maintenant
sera le cours des opértions militaires
verons les territoires des bandes de brI-
qui les manifestent; nous serons les
vers de la population et nous pouvons
g~ %ta ~t ce
re à l'avance, de sa gratitude L'ar-
Bund. IS Plesile ne peut plus comp-
Bund auraient été au nombre de 3 mIl-
se tr'Inre la ar ée russe. Nous oe-
cupons encore ont ologne* Le,, régimpnts
colonels, qui ont servi jusqu'alors la Rus-
se se sont soulevés Ontre les maximalis-
Pterit d'ailleurs que l.OOO
nommes. La prise de Smolensk et de Mohi-
ce qu'on leur avait attribu&&e, était une fa-
inventée de toutes pièces. La tâche des
plus facile qu'autrefois, lors-
caines de l¡ellSk¡ tr N les armées républi-
caines ski. Notre front russe se
de Finlande. Nous l'a du Pripet au golfe
armées austro-hongroises interviendront en
Ukraine. Une paix avec la Roumanie amé-
liorerait encore notre situation. Nous avons
de bonnes raisons d'y croire. Nous pouvons
rassurer ceux qui craignent une répercus-
sion de nos opérations à l'Est sur nos in-
tentions à l'Ouest. Ces craintes sont d'au-
tant moins justifiées que notre haut com-
mandement n'a nullement été surpris par
les machinations de Trotski et de ses asso-
ciés- — (Von Ardenne) Berliner Tageblatl,
20.2. !
- La presse hollandaise du 10 reproduit
un télégramme officiel, de source anglaise,
disant que les Allemands n'ont pas obser-
vé les clauses de l'armistice du 15 décem-
bre, au sujet du transport des troupes du
front oriental sur le front occidental. C'est
une fausse nouvelle. Elle rappelle la falsi-
fication du discours de Czernin par Reuter.
Aux termes de l'armistice, il ne devait
plus y avoir de nouveaux déplacements de
troupes. Les Puissances centrales ont tenu
leurs engagements, mais elles ont achevé
de transporter les unités dont la relève était
commencée, au moment de la signature du
traité. Voilà exactement ce qui s'est passé.
Tous les soupçons et toutes les calomnies
do l'Entente, bien que nous comprenions
les raisons qui les provoquent, n'y pourront
rien changer. — Journaux allemands du
20.2.
——— «*►-
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La déclaration de Versailles et le Prési-
dent Wilson [Cf. Bull. no 722, p. 1, c. 2]. —
PRESSE ALLEMANDE : Le désaccord entre le
message de Wilson et la déclaration de guer-
re ampoulée de la Conférence de Versailles
n'a pas échappé à la Chambre des Commu-
nes anglaise. Wilson a continué à discuter
la question de la paix avec les hommes d'E-
tat des Puissances Centrales, tandis que
ceux qui étaient réunis autour du tapis Vert
à Versailles déclaraient finies les discus-
sions à ce sujet et demandaient qu'on lais-
sât parler les armes. Les journaux anglais
qui s'attachent à soutenir Lloyd George ont
vainement tenté de réduire à néant l'écart
existant entre le message de Wilson et la dé-
cision de Versailles (écart souligné encore
par le discours de Lloyd George à la Cham-
bre des Communes), et de rétablir l'unité
du front diplomatique derrière l'unité à moi-
tié réalisée du front militaire. Une décla-
ration du représentant du Times à Wa-
shington montrant les Etats-Unis intéres-
sés seulement à abattre l'autocratie militaire
de l'Allemagne, mais ne prenant pas posi-
tion dans les questions territoriales intéres-
sant les Etats de l'Europe, confirme en ter-
mes enveloppés l'aveu que Wilson refuse
poliment de suivre la politique de Versailles
et entend garder les mains libres. La con-
séquence naturelle en est une limitation de >
l'aide militaire donnée à l'Entente ; cette
aide ne doit aller que jusqu'à la limite tra-
cée par les buts politiques du gouvernement
de Washington. Le correspondant du Ti-
mes, voit les choses telles qu'on les envisage
à Londres, et propose aux Américains de ré-
partir rationnellement la besogne. Les
Etats-Unis feraient la guerre aux côtés de
l'Entente jusqu'à l'écrasement du militaris-
me allemand : mais politiquement ils gar-
deraient leur liberté d'action, n'ayant aucun
besoin de s'intéresser au programme d'an-
nexions des hommes d'Etat anglais, français
et italiens. Le correspondant du' Times pas-
se sous silence, discrètement, la question de
savoir si les Etats-Unis se sentiront, parti-
culièrement honorés du rôle qui leur est at-
tribué. Si Wilson prend au sérieux les buts
qu'il a développés dans ses récents messa-
ges, ses amis actuels de Londres se verront
obligés de réduire notablement leurs ma-
gnifiques espérances. — Milnchnel' Neuesle
Nachrichten, 20.2.
L'Allemagne perdra ses alliés dès qu'il
sera visible que nous avons abandonné le
terrain de la guerre défensive et que nous
avons entrepris une guerre de conquêtes.
En Autriche-Hongrie, les ouvriers et la
bourgeoisie, le peuple et le gouvernement
nous sont unis jusqu'à la mort tant qu'il s'a-
git d'une luite défensive ; ils ne donneront
pas un coup d'épée de plus si nous voulons
élargir nos frontières européennes même
pour les « assurer ». La grève générale en
Autriche-Hongrie vient de le révéler non
seulement à l'Allemagne, mais au monde
entier. — (Hans Delbrück) Preussische
Jahrbûcher, février.
RAPPORTS ENTRE BELLIGERANTS
ET NEUTRES
Allemagne et Suède en Finlande. -
PRESSE ANGLAISE : Bien que les opérations
actuellement en cours enchantent les pan-
germanistes, elles pourraient très facile-
ment créer de nouveaux embarras pour
l'Allemagne. Jusqu'à présent la majeure
partie de la Suède était pro-allemande par
crainte de la Russie. Maintenant cette crain-
te est dissipée. Mais si les Allemands s'a-
vancent jusqu'à Pétrograd et s'ils mettent
à exécution leur plan d'intervention en Fin-
lande, les Suédois de tous les partis ne tar-
deront pas à se rendre compte que le nou-
veau péril allemand est plus redoutable que
ne l'était la menace russe. Déjà l'opinion
suédoise est extrêmement surexcitée par les
atrocités commises envers des sujets sué-
dois habitant les îles Aland, et le gouver-
nement suédois a dù envoyer des forces na-
vales afin de protéger ses sujets. Il faut rap-
peler qu'il y a cent ans à peine que la Fin-
lande a été ravie à la Suède par la Russie,
et il est au moins possible que les Suédois
soient disposés à profiter de l'occasion pré-
sente pour reprendre possession de leur an-
cien territoire. Il est douteux que cela ca-
dre avec les projets de l'Allemagne. —
(Ed.) Daily Graphic, 22.2.
EIRANGÈRES
N° 727
Paris, 26 février 1918.
1
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
'-'"
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
• QUtSTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
St et ,.0uUest
e rnllcheuest, - PHEsSE ALLEMANDE. -
Le marche en avant vers Dvinsk aura
aucub doute soulevé dans beaucoup
! °°r8e Vî f centre V n- savoir si, une
encore le centre de gravité des opéra-
différé, ?uve Ms déplacé, et si par
la décision attendue à l'Ouest n'est
différée à nouveau. Ces inquiétu-
sont injus hfiees. Depuis la signature
l'armistice, notre gouvernement a tou-
te prévu la nécéssité d'une vigoureuse
invention S I ? '?8iqlue la rupture de
armistice étitr possible d'un moment
autre et elle entraînait la reprise des
rd ^t res reprise des
rationsd militaires. Toutes les forces qui
rancent vers la vina et , dans la partie
de l'Ukraine se trouvaient déjà à
Elles suffiront contre les Grands-
siens qui ne semblent pas vouloir ré-
er. Les troupes de l'Ouest n'auront pas
re n'est (Des de l'Ouest n'a!N'ont pa:'
revenit. Le centre de gravité de la
théâtre OcciJC Pas déplac2. Il reste sur
h s l'TFI l etal. La „ paix règne sur
ont de l'Ukraine. La dsituation s'éclair-
considérablement notre pourrons renforcer
Les troupes de l'Entente y seront en
chense de posture , adossés à la mer, prJ-
ées de tonnage, exposées aux coups des
sous-marins. En rm('IlI, les Turcs reJ?ren-
peu à peu le terrain Perdu La situa-
da re s est f\, peine modifiée.
La guerre aérie,nne et sous-(marine modinée.
pou l' pierre anche sous-marine. nos
er .: gleterl' tanche sont un soufflet
l'Angleterre, aux yeux du monde en-
Norswilsche J meine Zeitung,
Nous ne pouvons dIre dès maintenant
sera le cours des opértions militaires
verons les territoires des bandes de brI-
qui les manifestent; nous serons les
vers de la population et nous pouvons
g~ %ta ~t ce
re à l'avance, de sa gratitude L'ar-
Bund. IS Plesile ne peut plus comp-
Bund auraient été au nombre de 3 mIl-
se tr'Inre la ar ée russe. Nous oe-
cupons encore ont ologne* Le,, régimpnts
colonels, qui ont servi jusqu'alors la Rus-
se se sont soulevés Ontre les maximalis-
Pterit d'ailleurs que l.OOO
nommes. La prise de Smolensk et de Mohi-
ce qu'on leur avait attribu&&e, était une fa-
inventée de toutes pièces. La tâche des
plus facile qu'autrefois, lors-
caines de l¡ellSk¡ tr N les armées républi-
caines ski. Notre front russe se
de Finlande. Nous l'a du Pripet au golfe
armées austro-hongroises interviendront en
Ukraine. Une paix avec la Roumanie amé-
liorerait encore notre situation. Nous avons
de bonnes raisons d'y croire. Nous pouvons
rassurer ceux qui craignent une répercus-
sion de nos opérations à l'Est sur nos in-
tentions à l'Ouest. Ces craintes sont d'au-
tant moins justifiées que notre haut com-
mandement n'a nullement été surpris par
les machinations de Trotski et de ses asso-
ciés- — (Von Ardenne) Berliner Tageblatl,
20.2. !
- La presse hollandaise du 10 reproduit
un télégramme officiel, de source anglaise,
disant que les Allemands n'ont pas obser-
vé les clauses de l'armistice du 15 décem-
bre, au sujet du transport des troupes du
front oriental sur le front occidental. C'est
une fausse nouvelle. Elle rappelle la falsi-
fication du discours de Czernin par Reuter.
Aux termes de l'armistice, il ne devait
plus y avoir de nouveaux déplacements de
troupes. Les Puissances centrales ont tenu
leurs engagements, mais elles ont achevé
de transporter les unités dont la relève était
commencée, au moment de la signature du
traité. Voilà exactement ce qui s'est passé.
Tous les soupçons et toutes les calomnies
do l'Entente, bien que nous comprenions
les raisons qui les provoquent, n'y pourront
rien changer. — Journaux allemands du
20.2.
——— «*►-
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La déclaration de Versailles et le Prési-
dent Wilson [Cf. Bull. no 722, p. 1, c. 2]. —
PRESSE ALLEMANDE : Le désaccord entre le
message de Wilson et la déclaration de guer-
re ampoulée de la Conférence de Versailles
n'a pas échappé à la Chambre des Commu-
nes anglaise. Wilson a continué à discuter
la question de la paix avec les hommes d'E-
tat des Puissances Centrales, tandis que
ceux qui étaient réunis autour du tapis Vert
à Versailles déclaraient finies les discus-
sions à ce sujet et demandaient qu'on lais-
sât parler les armes. Les journaux anglais
qui s'attachent à soutenir Lloyd George ont
vainement tenté de réduire à néant l'écart
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cision de Versailles (écart souligné encore
par le discours de Lloyd George à la Cham-
bre des Communes), et de rétablir l'unité
du front diplomatique derrière l'unité à moi-
tié réalisée du front militaire. Une décla-
ration du représentant du Times à Wa-
shington montrant les Etats-Unis intéres-
sés seulement à abattre l'autocratie militaire
de l'Allemagne, mais ne prenant pas posi-
tion dans les questions territoriales intéres-
sant les Etats de l'Europe, confirme en ter-
mes enveloppés l'aveu que Wilson refuse
poliment de suivre la politique de Versailles
et entend garder les mains libres. La con-
séquence naturelle en est une limitation de >
l'aide militaire donnée à l'Entente ; cette
aide ne doit aller que jusqu'à la limite tra-
cée par les buts politiques du gouvernement
de Washington. Le correspondant du Ti-
mes, voit les choses telles qu'on les envisage
à Londres, et propose aux Américains de ré-
partir rationnellement la besogne. Les
Etats-Unis feraient la guerre aux côtés de
l'Entente jusqu'à l'écrasement du militaris-
me allemand : mais politiquement ils gar-
deraient leur liberté d'action, n'ayant aucun
besoin de s'intéresser au programme d'an-
nexions des hommes d'Etat anglais, français
et italiens. Le correspondant du' Times pas-
se sous silence, discrètement, la question de
savoir si les Etats-Unis se sentiront, parti-
culièrement honorés du rôle qui leur est at-
tribué. Si Wilson prend au sérieux les buts
qu'il a développés dans ses récents messa-
ges, ses amis actuels de Londres se verront
obligés de réduire notablement leurs ma-
gnifiques espérances. — Milnchnel' Neuesle
Nachrichten, 20.2.
L'Allemagne perdra ses alliés dès qu'il
sera visible que nous avons abandonné le
terrain de la guerre défensive et que nous
avons entrepris une guerre de conquêtes.
En Autriche-Hongrie, les ouvriers et la
bourgeoisie, le peuple et le gouvernement
nous sont unis jusqu'à la mort tant qu'il s'a-
git d'une luite défensive ; ils ne donneront
pas un coup d'épée de plus si nous voulons
élargir nos frontières européennes même
pour les « assurer ». La grève générale en
Autriche-Hongrie vient de le révéler non
seulement à l'Allemagne, mais au monde
entier. — (Hans Delbrück) Preussische
Jahrbûcher, février.
RAPPORTS ENTRE BELLIGERANTS
ET NEUTRES
Allemagne et Suède en Finlande. -
PRESSE ANGLAISE : Bien que les opérations
actuellement en cours enchantent les pan-
germanistes, elles pourraient très facile-
ment créer de nouveaux embarras pour
l'Allemagne. Jusqu'à présent la majeure
partie de la Suède était pro-allemande par
crainte de la Russie. Maintenant cette crain-
te est dissipée. Mais si les Allemands s'a-
vancent jusqu'à Pétrograd et s'ils mettent
à exécution leur plan d'intervention en Fin-
lande, les Suédois de tous les partis ne tar-
deront pas à se rendre compte que le nou-
veau péril allemand est plus redoutable que
ne l'était la menace russe. Déjà l'opinion
suédoise est extrêmement surexcitée par les
atrocités commises envers des sujets sué-
dois habitant les îles Aland, et le gouver-
nement suédois a dù envoyer des forces na-
vales afin de protéger ses sujets. Il faut rap-
peler qu'il y a cent ans à peine que la Fin-
lande a été ravie à la Suède par la Russie,
et il est au moins possible que les Suédois
soient disposés à profiter de l'occasion pré-
sente pour reprendre possession de leur an-
cien territoire. Il est douteux que cela ca-
dre avec les projets de l'Allemagne. —
(Ed.) Daily Graphic, 22.2.
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