Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-01-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 janvier 1918 16 janvier 1918
Description : 1918/01/16 (T8,N686). 1918/01/16 (T8,N686).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63383809
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
TÈRES DE LA GUERRE
(E-M.A., 2e Ban)
': ET DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
1 N° 686
Paris, 16 janvier 1918
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAI RES
OPERATIONS
Les bruit. d'offensive allemande. Le
~front OCcid-enlal est le plu8 solide et e plus
fortement défendu. C@ est sur ce front que
les Allemands ont toujours annoncé une
offensive Lorsqu'ils y voulaient inir)aob~'liser
les effectifs de l'Entente Pour frapper un
coup ~m intente pour f
d'hui répéter la même menace. Sauf lors un
coup de tête de menace sînf?U^our~
Elle a to () uJ. ours visé, dans chacune de ses
offensives à meU", hors de eause l'un des
Etats de ¡'Enteate; et sa conduite prouve
l 'lu'elle ees s t bien certaine de ne pouvoir ob-
miner aucun résultat contre la France et
espère, aujourd'hui, éli-
miner d'Italie ; elle n'a pas réussi, mais on
n'est pas fondé à croire qu'elle veuille in-
terrompre son entrprise pour engager
ailleurs une autre action plus difficile et
moins décisive encore. - (Général Carlo
Corsi) Tribuna [ital. J, 12.1. (t,énér^ Carlo
Front occidental — Le 8 janvier, les An-
glais et les Francak ont essayé, sur le
geant des forces plus considérables les
renseignements que n'avaient pu leur don-
ner les rencontres de patrouilles des jours
pents. Ils ont subi partout de séirieux
et sanglants échecs. En Flandre, sur un
terrain où l'hiver a rendu les voies im-
randedistance en
dèe du front anglais, de forts groupes.
[anglais, précédés par de violentes rafales
ratales
vers a boue sluflntû ■ sud
~vers bois de HomhS;tjUSqu'à la lis ère sud
su bois de Houthulst; en même temps,
plusieurs compagnies anglaises attaquaient
Les va.gues d'assam anglaises, très den-
~avanralent qUes' très dans
le d,entonnoirsont^ététient?Ur dans
le feu meurtrier de nos tirs de barrage.
Quelques éléments sui avaient pu abor-
der nos lignes près de la voie ferrée Bæ-
~I singhf^SQtfaden, ont subi un échec sanglant,
dans des combats corps à échec De leur
~k'-es iAde raprg^ s déboucî haient, à 4 heu-
~es^ de Plirfev du se trouve
rquaient nos
~posiMr>ns avec de ^rroo effectifs, après un
~; tir (jaPréparation d'une violence extrême
~: ql aVit dUré un quart d'heure. L'enne-
~ ~s, en a été chassé après des combats
~Vorr0 orps, qui se pronlongés jus-
~que dans la nuit et à la suite de vigoureu-
~a subi desl-pe-rtes
~lilntl nos Dosi tions. Dans le Sundgau aus-
~ nos î)ositinna^à X Premières heures
~uest de Mulhol-
~e avaient été soumises à un violent fir
d'artillerie, des patrouilles ennemies, qui
cherchaient le contact, ont été dispersées.
Notre service d'exploration nous a don-
né, au contraire, en de nombreux points
du front, les résultats que nous cherchions
et il nous a permis de ramener de nom-
breux prisonniers et du butin. Notre ar-
tillerie a bombardé avec succès des ras-
semblements ennemis, les voies de com-
munication de l'autre côté du front, et de
nombreux dépôts de munitions et de maté-
riel. En même temps, nos escadrilles ont,
à plusieurs reprises, lancé des bombes sur
des baraquements ennemis, ainsi que sur
la ville de Dunkerque. Des incendies et dès
explosions nous ont montré que ces raids
avaient réussi. - Journaux allemands du
10.1.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MARINE MARCHANDE
Le tonnage britannique. — Il y a une in-
compréhension générale de la question du
tonnage. Notre situation a été exposée au
cours d'une série de déclarations officielles
qui indiquent les erreurs commises. 1° Si
nous avions continué nos constructions du-
rant la guerre nous aurions aujourd'hui
de 2 à 3 millions de tonnes en plus ; 2° jus-
qu à la fin de 1916,nous avons pu compenser
nos pertes par des achats, notre construc-
tion étant alors minime. Nous avions cons-
truit : en 1913, 1.920.000 tonnes ; en 1914
1.731.087 ; en 1915, 688.000 ; en 1916, 538.000:
3° vers la fin de 1916, nous n'avions plus
guère de navires à acheter, ni de navires
ennemis à confisquer. Aux torpillages nous
ne pouvions opposer que notre construc-
tion. Quelque progrès a été réalisé dans ce
sens au cours de l'année qui vient de finir.
Le 1er novembre. Sir Eric Geddes a déclaré
que la construction en ces neuf premiers
mois était de 123 plus élevée que dans
la période correspondante de l'année précé-
dente. Depuis 1916 nous produisîmes donc :
538.000 en 1917, soit la moitié de notre
construction de 1913 ; 4° en novembre
l'Amirauté admit que nous avions non pas
2 à 3 millions de t. en plus mais 2.500.000
tonnes en moins. Les difficultés de l'ali-
mentation qui se produisent en ce moment
sont les résultats de nos erreurs passées,
erreurs qui peuvent être résumées comme
suit : a) , si les spécialistes actuellement
dans l'armée avaient été à leurs postes
dans les chantiers ; b) si les 40.000 agricul-
teurs envoyés en France au début de la
guerre avaient été renvoyés chez nous
c) si l'on avait prévu des approvisionne-
ments suffisants en aciers, nous ne nous
trouverions pas dans de telles difficultés.
- Si nous voulons gagner la guerre, nous
devons prévoir les exigences des chantiers
maritimes. Une nation qui ne mange pas
assez ne peut pas combattre. Le ration-
nement n'est pas un remède radical et la
seule solution de ce problème se trouve
dans des chantiers bien équipés. Si cette
solution n'est pas réalisée, nos armées de-
viennent impuissantes et inutiles. - (Archi-
bald Hurd) Daily Telegraph, 11.1.
GUERRE ECONOMIQUE
Allemagne. — Pour l'Allemagne, la liberté
de se ravitailler en matières premières est
une condition absolue d'existence. Elle en
faisait venir annuellement pour plus de
5 milliards de marks. On peut se demander
si, dans le cas où elle réussirait à conclure
avec la Rusisie une paix séparée, elle ne
pourrait pas se libérer de la dépendance
économique où elle se trouvait à l'égard de
l'Entente, et si de la sorte la menace de la
guerre économique ne perdrait pas tout ou
partie de son efficacité. Mais le marché
russe ne fournissait guère à l'Allemagne
que du bois et des denrées alimentaires ;
d'importantes industries allemands, celles
du coton, de la laine, des peaux, du caout-
chouc, sont nécessairement liées au système
économique de l'Entente. L'industrie textile
de l'Allemagne, d'après le recensement du
12.6.1907, occupait 1.088.280 ouvriers, et les
capitaux qui s'y trouvaient engagés, à ne
compter que les Sociétés anonymes ou en
commandite, dépassaient un milliard de li-
res. L'Allemagne achetait chaque année,
pour environ 2 milliards de lires, pres-
que entièrement aux pays et aux colonies
alliés, les matières premières utilisées par
cette industrie. Sur 4.440.000 quintaux de
coton brut importé en 1911. 4.434.000 ve-
naient des Etats-Unis, de l'Inde anglaise et
de l'Egypte. Quant à la laine, elle l'achetait,
pour les sept dixièmes, à l'Australie ; pour
les peaux, elle dépendait surtout de l'Argen-
tine ; pour le cuivre, des Etats-Unis ; pour
le caoutchouc, du Congo belge. Une paix sé-
parée avec la Russie ne lui fournirait aucune
de ces matières premières. La culture du
coton, développée dans les régions méridio-
nales de l'ancien empire, par les soins de
Witte et surtout de Krivostchéinie, alimente
à peine la moitié de l'industrie indigène.
Ainsi la Russie des maximalistes ne réussira
pas à remettre en train un seul métier alle-
mand. La constitution même de la Moyenne-
Europe n'aboutirait pas à créer un système
économique indépendant et capable de se
suffire à lui-même. La menace formulée par
Lloyd George de priver éventuellement l'AIl\--
lemagne des matières premières dont dis-
posent les Alliée et leurs colonies est donc
une arme formidable. — (Filippo Carli)
Idea Nazionale, 12.1.
AVENIR ECONOMIQUE
Les relations des Etats-Unis avec l'Alle-
magne. — La Chambre de Commerce de
Boston se montre favorable à une reprise
des relations économiques avec l'Allema-
gne, après la guerre. Dans une récente ré-
solution, elle s'est exprimée ainsi : « Les
Etats-Unis sont un des marchés les plus
productifs vers lequel l'Allemagne pourrait
(E-M.A., 2e Ban)
': ET DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
1 N° 686
Paris, 16 janvier 1918
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAI RES
OPERATIONS
Les bruit. d'offensive allemande. Le
~front OCcid-enlal est le plu8 solide et e plus
fortement défendu. C@ est sur ce front que
les Allemands ont toujours annoncé une
offensive Lorsqu'ils y voulaient inir)aob~'liser
les effectifs de l'Entente Pour frapper un
coup ~m intente pour f
d'hui répéter la même menace. Sauf lors un
coup de tête de menace sînf?U^our~
Elle a to () uJ. ours visé, dans chacune de ses
offensives à meU", hors de eause l'un des
Etats de ¡'Enteate; et sa conduite prouve
l 'lu'elle ees s t bien certaine de ne pouvoir ob-
miner aucun résultat contre la France et
espère, aujourd'hui, éli-
miner d'Italie ; elle n'a pas réussi, mais on
n'est pas fondé à croire qu'elle veuille in-
terrompre son entrprise pour engager
ailleurs une autre action plus difficile et
moins décisive encore. - (Général Carlo
Corsi) Tribuna [ital. J, 12.1. (t,énér^ Carlo
Front occidental — Le 8 janvier, les An-
glais et les Francak ont essayé, sur le
geant des forces plus considérables les
renseignements que n'avaient pu leur don-
ner les rencontres de patrouilles des jours
pents. Ils ont subi partout de séirieux
et sanglants échecs. En Flandre, sur un
terrain où l'hiver a rendu les voies im-
randedistance en
dèe du front anglais, de forts groupes.
[anglais, précédés par de violentes rafales
ratales
vers a boue sluflntû ■ sud
~vers bois de HomhS;tjUSqu'à la lis ère sud
su bois de Houthulst; en même temps,
plusieurs compagnies anglaises attaquaient
Les va.gues d'assam anglaises, très den-
~avanralent qUes' très dans
le d,entonnoirsont^ététient?Ur dans
le feu meurtrier de nos tirs de barrage.
Quelques éléments sui avaient pu abor-
der nos lignes près de la voie ferrée Bæ-
~I singhf^SQtfaden, ont subi un échec sanglant,
dans des combats corps à échec De leur
~k'-es iAde raprg^ s déboucî haient, à 4 heu-
~es^ de Plirfev du se trouve
rquaient nos
~posiMr>ns avec de ^rroo effectifs, après un
~; tir (jaPréparation d'une violence extrême
~: ql aVit dUré un quart d'heure. L'enne-
~
~Vorr0 orps, qui se pronlongés jus-
~que dans la nuit et à la suite de vigoureu-
~a subi desl-pe-rtes
~lilntl nos Dosi tions. Dans le Sundgau aus-
~
~uest de Mulhol-
~e avaient été soumises à un violent fir
d'artillerie, des patrouilles ennemies, qui
cherchaient le contact, ont été dispersées.
Notre service d'exploration nous a don-
né, au contraire, en de nombreux points
du front, les résultats que nous cherchions
et il nous a permis de ramener de nom-
breux prisonniers et du butin. Notre ar-
tillerie a bombardé avec succès des ras-
semblements ennemis, les voies de com-
munication de l'autre côté du front, et de
nombreux dépôts de munitions et de maté-
riel. En même temps, nos escadrilles ont,
à plusieurs reprises, lancé des bombes sur
des baraquements ennemis, ainsi que sur
la ville de Dunkerque. Des incendies et dès
explosions nous ont montré que ces raids
avaient réussi. - Journaux allemands du
10.1.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MARINE MARCHANDE
Le tonnage britannique. — Il y a une in-
compréhension générale de la question du
tonnage. Notre situation a été exposée au
cours d'une série de déclarations officielles
qui indiquent les erreurs commises. 1° Si
nous avions continué nos constructions du-
rant la guerre nous aurions aujourd'hui
de 2 à 3 millions de tonnes en plus ; 2° jus-
qu à la fin de 1916,nous avons pu compenser
nos pertes par des achats, notre construc-
tion étant alors minime. Nous avions cons-
truit : en 1913, 1.920.000 tonnes ; en 1914
1.731.087 ; en 1915, 688.000 ; en 1916, 538.000:
3° vers la fin de 1916, nous n'avions plus
guère de navires à acheter, ni de navires
ennemis à confisquer. Aux torpillages nous
ne pouvions opposer que notre construc-
tion. Quelque progrès a été réalisé dans ce
sens au cours de l'année qui vient de finir.
Le 1er novembre. Sir Eric Geddes a déclaré
que la construction en ces neuf premiers
mois était de 123 plus élevée que dans
la période correspondante de l'année précé-
dente. Depuis 1916 nous produisîmes donc :
538.000 en 1917, soit la moitié de notre
construction de 1913 ; 4° en novembre
l'Amirauté admit que nous avions non pas
2 à 3 millions de t. en plus mais 2.500.000
tonnes en moins. Les difficultés de l'ali-
mentation qui se produisent en ce moment
sont les résultats de nos erreurs passées,
erreurs qui peuvent être résumées comme
suit : a) , si les spécialistes actuellement
dans l'armée avaient été à leurs postes
dans les chantiers ; b) si les 40.000 agricul-
teurs envoyés en France au début de la
guerre avaient été renvoyés chez nous
c) si l'on avait prévu des approvisionne-
ments suffisants en aciers, nous ne nous
trouverions pas dans de telles difficultés.
- Si nous voulons gagner la guerre, nous
devons prévoir les exigences des chantiers
maritimes. Une nation qui ne mange pas
assez ne peut pas combattre. Le ration-
nement n'est pas un remède radical et la
seule solution de ce problème se trouve
dans des chantiers bien équipés. Si cette
solution n'est pas réalisée, nos armées de-
viennent impuissantes et inutiles. - (Archi-
bald Hurd) Daily Telegraph, 11.1.
GUERRE ECONOMIQUE
Allemagne. — Pour l'Allemagne, la liberté
de se ravitailler en matières premières est
une condition absolue d'existence. Elle en
faisait venir annuellement pour plus de
5 milliards de marks. On peut se demander
si, dans le cas où elle réussirait à conclure
avec la Rusisie une paix séparée, elle ne
pourrait pas se libérer de la dépendance
économique où elle se trouvait à l'égard de
l'Entente, et si de la sorte la menace de la
guerre économique ne perdrait pas tout ou
partie de son efficacité. Mais le marché
russe ne fournissait guère à l'Allemagne
que du bois et des denrées alimentaires ;
d'importantes industries allemands, celles
du coton, de la laine, des peaux, du caout-
chouc, sont nécessairement liées au système
économique de l'Entente. L'industrie textile
de l'Allemagne, d'après le recensement du
12.6.1907, occupait 1.088.280 ouvriers, et les
capitaux qui s'y trouvaient engagés, à ne
compter que les Sociétés anonymes ou en
commandite, dépassaient un milliard de li-
res. L'Allemagne achetait chaque année,
pour environ 2 milliards de lires, pres-
que entièrement aux pays et aux colonies
alliés, les matières premières utilisées par
cette industrie. Sur 4.440.000 quintaux de
coton brut importé en 1911. 4.434.000 ve-
naient des Etats-Unis, de l'Inde anglaise et
de l'Egypte. Quant à la laine, elle l'achetait,
pour les sept dixièmes, à l'Australie ; pour
les peaux, elle dépendait surtout de l'Argen-
tine ; pour le cuivre, des Etats-Unis ; pour
le caoutchouc, du Congo belge. Une paix sé-
parée avec la Russie ne lui fournirait aucune
de ces matières premières. La culture du
coton, développée dans les régions méridio-
nales de l'ancien empire, par les soins de
Witte et surtout de Krivostchéinie, alimente
à peine la moitié de l'industrie indigène.
Ainsi la Russie des maximalistes ne réussira
pas à remettre en train un seul métier alle-
mand. La constitution même de la Moyenne-
Europe n'aboutirait pas à créer un système
économique indépendant et capable de se
suffire à lui-même. La menace formulée par
Lloyd George de priver éventuellement l'AIl\--
lemagne des matières premières dont dis-
posent les Alliée et leurs colonies est donc
une arme formidable. — (Filippo Carli)
Idea Nazionale, 12.1.
AVENIR ECONOMIQUE
Les relations des Etats-Unis avec l'Alle-
magne. — La Chambre de Commerce de
Boston se montre favorable à une reprise
des relations économiques avec l'Allema-
gne, après la guerre. Dans une récente ré-
solution, elle s'est exprimée ainsi : « Les
Etats-Unis sont un des marchés les plus
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