Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-07-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 juillet 1917 25 juillet 1917
Description : 1917/07/25 (T6,N511). 1917/07/25 (T6,N511).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6485009n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
I --
Itères DE LA GUERRE
1 (E.-M. A., 2e Bau)
I ET DES
('FAIRES ÉTRANGÈRES -
N° 511
Paris, 25 juillet 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
-
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES -
OPERATIONS
Front oriental. — « Il y a impossibilité
absolue à ce quel les Allemands massent
leurs réserves stratégiques pour une grande
offensive sur le front oriental. Lei péril, ils
le savent bien, est pour eux à l'Occident.
, C'est là que se tiennelnt leurs principaux
ennemis avec leur outillage, Leurs muni-
tions, leurs grandes ressources industrielles
à proximité de leurs bases. Suggérer,
comme la font quelques alarmistes, que la
nouvelle offensive est une répétition de l'at-
taque de 1915 sur les lignes de la Dunajlec
est une hypothèse tellement absurde qu'elle
ne vaut pas la peine d'être discutée. C'est
parce que l'Allemaggne commence à flairer
la force de la Russie et le ressentiment qui,
en certaines parties de la République, va
presque jusqu'à dEJ la haine contre Pétro-
grad, c'est parce qu'elle sait que, d'ici
très peu dei temps, les relèves et les ren-
forts arriveront automatiquement, qu'elle
essaie de ravir unlEI sorte de victoire avant
que ne puisse s'accomplir la consolidation
de T'armée russe. Il y a beaucoup de chan-
ces pour que le Gouvernement Provisoire
se transporte dans l'atmosphère moins
■ troublante de Moscou, laissant Pétrograd
aux bons soins d'une garnison loyaliste,
événement que tous les vrais amis de la
; Russie saluerakrit avec plaisir. » -
Birmingham Daily Post, 21.7.
ORGANISATION
Coopération des Etats-Unis. — Le pro-
blème de l'instruction des futurs officiers
d'artillerie du camp d'élèves officiers de
Plattsburg a été résolu [Cf. Bull. n° 503,
P- 1, col. 2]. Ils disposeront pour leur ins-
truction -des six batteries du régiment
yartIlIIE/I'ie de la Garde nationale de New-
York. — New York, Times, 23.6.
- Les Alliés ont naturellement été en-
couragés par l'arrivée de nos destroyers
pans les eaux anglaises, et du général
erslung en France. Et nous n'en reste-
rons pas là. Déjà, six des grands hôpitaux
de campagne de l'Angleterre ont été pour-
vus d'un personnel entièrement américain.
Nous espérons porter notre armée régu-
tère et notre garde nationale à leur effec-
il de guerre avant qu'il soit longtemps.
Xous nous occupons de lever un premier
contingent additionnel de 625.000 hommes.
Il ne fait plus de doute que nous fabri-
querons des avions, et que nous formerons
1 S pilotes, en très grand nombre. La seu-
le question, sur ce dernier point, est de
nous commençons tout avec lenteur. Un
op grand nombre de nos préparatifs sont
encore à l'état de projet. Aussi ferait-on
bien de prévenir nos alliés de ne pas trop
attendre de nous une coopération rapide.
'.otIs sommes en route, nous savons où
nous aLons, mais on ne peut dire que nous
faisons les choses avec précipitation. Nous
ferons notre part, et peut-être un peu plus,
quand le moment en .sera venu. En atten-
dant, l'espoir français, exprimé dans une
dépêche que nous avons publiée hier, que
les soldats américains arriveront bientôt
en France en assez grand nombre pour
permettre de retirer de la ligne de feu
les plus vieilles classes, dont la présence
serait nécessaire à l'intérieur, ne peut être
encouragé. Nos alliés ne peuvent se per-
mettre de relâcher leur effort à l'heure.
actuelle. Ils rivent continuer à combattre,
avec espoir et confiance. En temps voulu,
nos renforts seront abondants et effica-
ces, sur terre comme sur rrier. Mais, pour
le moment, nous ne faisons que nous pré-
parer. » — (Ed.) New York Times, 23.6.
— Le ministre de la Guerre annonce que
la construction des cantonnements dans les
camps d'instruction de la nouvelle armée
ne subira pas' de retard sérieux. On espè-
re que tous seront prêts pour le 1er septem
bre. — New York Tribune, id.
MORAL DES TROUPES
Russie. — Après quelques difficultés in-
hérentes au changement de régime et ac-
tuellement aplanies, les troupes russes de
réserve, 3.000 hommes environ, destinées
à compléter Les brigades qui combattent
sur le front français, étaient prêtes à par-
tir. Au camp de Louga où, depuis plus de
3 mois, avait été formé ce contingent, cer-
tains groupes avaient refusé, il est vrai,
de partir pour la France ; énervés par
l'incertitude du départ, ils avaient deman-
dé à être envoyés au front russe ; mais,
les videfc comblés, on avait déjà dirigé
quelques compagnies verte le Nord sur un
port de l'Océan quand l'ordre arriva de
surseoir à l'embarquement. Renseigne-
ments pris, 'ce sursis fut décidé sur les indi-
cations de l'ambassade de France. Et quel-
ques jours auparavant, le représentant du
Gouvernement français assurait de sa
pleine confiance dans les troupes russes,
le commandant de ces réserves. Les Fran-
çais ne sont-ils pals trop soupçonneux à no-
tre égard ? Ils se montrent trop nerveux
devant les manifestations naturelles de
notre révolution, leur méfiance peut nous
froisser. - (Biélaev) Vetcherniéïé Vrémia,
5/1 R. 6,
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
N
COMMERCE EXTERIEUR
Japon. — Le ministère de l'Agriculture
et du Commerce vient de publier un an-
nuaire ayant pour titre : Exporters'Direc-
tory of Japan, où l'on trouve les adresses
des commerçants et industriels qui font au
Japon des affaires avec l'étranger. Cette
liste a été établie d'après les rapporte of-
fids dés préfectures et du contrôle des
douanes, et Les indications fournies par le
Mrusée Impérial de Commerce. L'annuaire
a pour but de renseigner lep commerçants
et industriels étrangers qui désireraient
se mettre en relations d'affaires avec le
Japon. On s'étonne de n'y trouver men-
tionnées que deux firmes étrangères, alors
qu'il y en a d'autres établies au Japon qui
semblent également recommandables. Par-
mi les commerçants japonais qui figu-
rent dans la liste officielle, il en est qui
ont été condamnés par les tribunaux, pour
n'avoir pas tenu leurs engagements ; on
est surpris de les voir couverts par une
recommandation, qui court le risque de se
trouver un jour ou l'autre compromise. -
Japan Chronicle, 6.6.
FINANCES
Japon. — D'après le compte rendu du mi-
nistère des Finances, la réserve d'or ja-
ponais s'élevait, le 2 juin, à 860.0
yen (environ 2 milliards 350 millions de
francs), sur lesquels 537.000.000 yen sont en
dépôt à l'étranger. A la fin de juillet 1914,
la réserve d'or était de 353.000.000 yen,
dont 133 millions en dépôt au Japon, et le
reste à l'étranger. — Japan Chronicle, 7.6.,
Etats-Unis. — L'expérience nous prouve
combien la nation la été sage en modifiant
la Constitution, de façon à permettre la
levée de l'impôt fédéral sur le revenu. Déjà
cette année les $ 331 millions qu'il nous
rapporte sont une aide puissante dans la
préparation de la guerre. Nous n'en som-
mes pas encore aux $ 641 millions qu'il a
donnés à l'Angleterre ni .aux$757 millions
que l'on prévoit qu'il lui donnera dans l'an-
née courante. Mais nous y viendrons par
la force des choses: Comment, sans cet im-
pôt, l'Angleterre eût-elle financé la guerre
actuelle ? Comment, sans les mêmes res-
sources, pourrions-nous faire face aux pro-
digieuses dépenses que nous sommes en
voie d'engager ? (Ed.) Times-Picayune, 19.6.
— On propose un impôt sur les profits
de guerre qui monterait jusqu'à 75 Le
trust de l'acier serait naturellement le plus
touché, car on lui demanderait $ 261 mil-
lions. Mais que les bonnes gens qui se-
raient disposées à verser des larmes sur les
pauvres actionnaires se rassurent, car il
leur resterait un profit net de $ 203 mil-
lions. Le trust voit, en effet, ses bénéfices
s'accroître d'année en .année : ils étaient de
$ 104 millions en 1911 ; ils sont de $ 113
millions pour le premier trimestre de 1917,
et l'on a de bonnes raisons de croire qu'ils
seront de $ 520 millions pour toute l'an-
née ! — (Ed.) Springfield Republican id
Grèce. — Le Gouvernement provisoire de
Salonique avait décidé d'émettre un em-
prunt de 25 millions à 5 t Cet emprunt.
qui ne devait p.~ être mis en souscription
publique, est déjà presque entièrement cou-
vert par des souscriptions privées venus
de Salonîçpjg, de Syra '-.et d'Andros.. Un dé-
cret reyal va faire de cet emprunt un
entrant du .Gouvernement grec. - lIcglia
Itères DE LA GUERRE
1 (E.-M. A., 2e Bau)
I ET DES
('FAIRES ÉTRANGÈRES -
N° 511
Paris, 25 juillet 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
-
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES -
OPERATIONS
Front oriental. — « Il y a impossibilité
absolue à ce quel les Allemands massent
leurs réserves stratégiques pour une grande
offensive sur le front oriental. Lei péril, ils
le savent bien, est pour eux à l'Occident.
, C'est là que se tiennelnt leurs principaux
ennemis avec leur outillage, Leurs muni-
tions, leurs grandes ressources industrielles
à proximité de leurs bases. Suggérer,
comme la font quelques alarmistes, que la
nouvelle offensive est une répétition de l'at-
taque de 1915 sur les lignes de la Dunajlec
est une hypothèse tellement absurde qu'elle
ne vaut pas la peine d'être discutée. C'est
parce que l'Allemaggne commence à flairer
la force de la Russie et le ressentiment qui,
en certaines parties de la République, va
presque jusqu'à dEJ la haine contre Pétro-
grad, c'est parce qu'elle sait que, d'ici
très peu dei temps, les relèves et les ren-
forts arriveront automatiquement, qu'elle
essaie de ravir unlEI sorte de victoire avant
que ne puisse s'accomplir la consolidation
de T'armée russe. Il y a beaucoup de chan-
ces pour que le Gouvernement Provisoire
se transporte dans l'atmosphère moins
■ troublante de Moscou, laissant Pétrograd
aux bons soins d'une garnison loyaliste,
événement que tous les vrais amis de la
; Russie saluerakrit avec plaisir. » -
Birmingham Daily Post, 21.7.
ORGANISATION
Coopération des Etats-Unis. — Le pro-
blème de l'instruction des futurs officiers
d'artillerie du camp d'élèves officiers de
Plattsburg a été résolu [Cf. Bull. n° 503,
P- 1, col. 2]. Ils disposeront pour leur ins-
truction -des six batteries du régiment
yartIlIIE/I'ie de la Garde nationale de New-
York. — New York, Times, 23.6.
- Les Alliés ont naturellement été en-
couragés par l'arrivée de nos destroyers
pans les eaux anglaises, et du général
erslung en France. Et nous n'en reste-
rons pas là. Déjà, six des grands hôpitaux
de campagne de l'Angleterre ont été pour-
vus d'un personnel entièrement américain.
Nous espérons porter notre armée régu-
tère et notre garde nationale à leur effec-
il de guerre avant qu'il soit longtemps.
Xous nous occupons de lever un premier
contingent additionnel de 625.000 hommes.
Il ne fait plus de doute que nous fabri-
querons des avions, et que nous formerons
1 S pilotes, en très grand nombre. La seu-
le question, sur ce dernier point, est de
nous commençons tout avec lenteur. Un
op grand nombre de nos préparatifs sont
encore à l'état de projet. Aussi ferait-on
bien de prévenir nos alliés de ne pas trop
attendre de nous une coopération rapide.
'.otIs sommes en route, nous savons où
nous aLons, mais on ne peut dire que nous
faisons les choses avec précipitation. Nous
ferons notre part, et peut-être un peu plus,
quand le moment en .sera venu. En atten-
dant, l'espoir français, exprimé dans une
dépêche que nous avons publiée hier, que
les soldats américains arriveront bientôt
en France en assez grand nombre pour
permettre de retirer de la ligne de feu
les plus vieilles classes, dont la présence
serait nécessaire à l'intérieur, ne peut être
encouragé. Nos alliés ne peuvent se per-
mettre de relâcher leur effort à l'heure.
actuelle. Ils rivent continuer à combattre,
avec espoir et confiance. En temps voulu,
nos renforts seront abondants et effica-
ces, sur terre comme sur rrier. Mais, pour
le moment, nous ne faisons que nous pré-
parer. » — (Ed.) New York Times, 23.6.
— Le ministre de la Guerre annonce que
la construction des cantonnements dans les
camps d'instruction de la nouvelle armée
ne subira pas' de retard sérieux. On espè-
re que tous seront prêts pour le 1er septem
bre. — New York Tribune, id.
MORAL DES TROUPES
Russie. — Après quelques difficultés in-
hérentes au changement de régime et ac-
tuellement aplanies, les troupes russes de
réserve, 3.000 hommes environ, destinées
à compléter Les brigades qui combattent
sur le front français, étaient prêtes à par-
tir. Au camp de Louga où, depuis plus de
3 mois, avait été formé ce contingent, cer-
tains groupes avaient refusé, il est vrai,
de partir pour la France ; énervés par
l'incertitude du départ, ils avaient deman-
dé à être envoyés au front russe ; mais,
les videfc comblés, on avait déjà dirigé
quelques compagnies verte le Nord sur un
port de l'Océan quand l'ordre arriva de
surseoir à l'embarquement. Renseigne-
ments pris, 'ce sursis fut décidé sur les indi-
cations de l'ambassade de France. Et quel-
ques jours auparavant, le représentant du
Gouvernement français assurait de sa
pleine confiance dans les troupes russes,
le commandant de ces réserves. Les Fran-
çais ne sont-ils pals trop soupçonneux à no-
tre égard ? Ils se montrent trop nerveux
devant les manifestations naturelles de
notre révolution, leur méfiance peut nous
froisser. - (Biélaev) Vetcherniéïé Vrémia,
5/1 R. 6,
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
N
COMMERCE EXTERIEUR
Japon. — Le ministère de l'Agriculture
et du Commerce vient de publier un an-
nuaire ayant pour titre : Exporters'Direc-
tory of Japan, où l'on trouve les adresses
des commerçants et industriels qui font au
Japon des affaires avec l'étranger. Cette
liste a été établie d'après les rapporte of-
fids dés préfectures et du contrôle des
douanes, et Les indications fournies par le
Mrusée Impérial de Commerce. L'annuaire
a pour but de renseigner lep commerçants
et industriels étrangers qui désireraient
se mettre en relations d'affaires avec le
Japon. On s'étonne de n'y trouver men-
tionnées que deux firmes étrangères, alors
qu'il y en a d'autres établies au Japon qui
semblent également recommandables. Par-
mi les commerçants japonais qui figu-
rent dans la liste officielle, il en est qui
ont été condamnés par les tribunaux, pour
n'avoir pas tenu leurs engagements ; on
est surpris de les voir couverts par une
recommandation, qui court le risque de se
trouver un jour ou l'autre compromise. -
Japan Chronicle, 6.6.
FINANCES
Japon. — D'après le compte rendu du mi-
nistère des Finances, la réserve d'or ja-
ponais s'élevait, le 2 juin, à 860.0
yen (environ 2 milliards 350 millions de
francs), sur lesquels 537.000.000 yen sont en
dépôt à l'étranger. A la fin de juillet 1914,
la réserve d'or était de 353.000.000 yen,
dont 133 millions en dépôt au Japon, et le
reste à l'étranger. — Japan Chronicle, 7.6.,
Etats-Unis. — L'expérience nous prouve
combien la nation la été sage en modifiant
la Constitution, de façon à permettre la
levée de l'impôt fédéral sur le revenu. Déjà
cette année les $ 331 millions qu'il nous
rapporte sont une aide puissante dans la
préparation de la guerre. Nous n'en som-
mes pas encore aux $ 641 millions qu'il a
donnés à l'Angleterre ni .aux$757 millions
que l'on prévoit qu'il lui donnera dans l'an-
née courante. Mais nous y viendrons par
la force des choses: Comment, sans cet im-
pôt, l'Angleterre eût-elle financé la guerre
actuelle ? Comment, sans les mêmes res-
sources, pourrions-nous faire face aux pro-
digieuses dépenses que nous sommes en
voie d'engager ? (Ed.) Times-Picayune, 19.6.
— On propose un impôt sur les profits
de guerre qui monterait jusqu'à 75 Le
trust de l'acier serait naturellement le plus
touché, car on lui demanderait $ 261 mil-
lions. Mais que les bonnes gens qui se-
raient disposées à verser des larmes sur les
pauvres actionnaires se rassurent, car il
leur resterait un profit net de $ 203 mil-
lions. Le trust voit, en effet, ses bénéfices
s'accroître d'année en .année : ils étaient de
$ 104 millions en 1911 ; ils sont de $ 113
millions pour le premier trimestre de 1917,
et l'on a de bonnes raisons de croire qu'ils
seront de $ 520 millions pour toute l'an-
née ! — (Ed.) Springfield Republican id
Grèce. — Le Gouvernement provisoire de
Salonique avait décidé d'émettre un em-
prunt de 25 millions à 5 t Cet emprunt.
qui ne devait p.~ être mis en souscription
publique, est déjà presque entièrement cou-
vert par des souscriptions privées venus
de Salonîçpjg, de Syra '-.et d'Andros.. Un dé-
cret reyal va faire de cet emprunt un
entrant du .Gouvernement grec. - lIcglia
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