Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-05-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 mai 1917 27 mai 1917
Description : 1917/05/27 (T6,N452). 1917/05/27 (T6,N452).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6484950m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
1
TERES DE LA GUERRE
(E-M.-A., 2e an) ,
ET DES
FAIRES ETRANGÈRES
N° 452 -
Paris, 27 mai 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
-
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
-'
QUESTIONS MILITAIRES
CRITIQUES DES OPERATIONS
d'ensemble. - Il est im-
d'en douter : l'inaction des Russes
l~ ^e » •" pii générale sur « le
unique elle fait obstacle à l'action
les Alliés sur les échiquiers de l'Ouest et
Centre et cette même inaction a ren-
re résistance autrichienne contre no-
re offensive de nombreuses divisions com-
aussi d'un puissant matériel. Nos vic-
oires chèrement disputées n'en seront que
glorieuses. - Preparazione, 22.5.
Les batailles récentes sur le front ouest
, quoi qu'en disent les Alle-
des Yl-eto-i. r.es aussi bien stratégi-
que tactiques pour les Alliés. Certes,
néccessités
1t loH'gterY pour comprendre
nouvelles et s'y plier
qllulut non point seul
relative, quant à l'ennemi, mais
quant au terrain, c'est-à-dire telle
secteur étendu l'on puisse dé-
- 0e®' redoutes emplacements
ses, coupoles blindées, etc., et
qu'intervienne un autre facteur
la quantité de métal, sans que le sol-
exposé dans une tâche impossible,
laquelle il n'est pas fait ; 2° facilité de
multiplier les points d'attaque, de façon à
^rf» comme fit si heureuse-
oussilov et, à cet effet organisa-
le front d'un système de che-
assez complet pour que le
ront et il l'Q\J.t rhlIene et des troupes, d'un
à l'autre, se fasse parallèlement au
uvrîails" L'expédition de 2.700
de rails canadiens l'hiver der-
avait avertis que la leçon de la
porté. Le problème à résou-
restait pas moins difficile pour
Il leur fallait prévoir, sinon
séparée, du moins l'inaction côté
4u rle n-ieilace t.U].Ours immi-
contre Calais; et deviner quds. se-
derniers points de résistance de
ré Cette j e." B.endonsl aux géné-
cette justice qu'ils ont honora-
gaî el) elqUe s sque S- P, 1®?18 de Hin-
en ont été dérangés. Ce n'est pas
au sud de Laon, dans à l'est
au sud de Laon, deux
es, qu'il faut garder en
r D]lJ &l¡dCJtlllr ertes, de peur de tout per-
e illJ)( e4ce la cetl points, c'est en
base sous-marine, et ren-
ces bassins miniers, dont
de les paralyser. Car
mme centre du quart
ense, avec Aix-laChapelle
elJ.i1' le, les mands sont
le front roprement dit
à quelque 150 ou 180 kilomètres de là dans
une région richement dotée de lignes de
transport. Hindenburg a bien vu que la
perte de Lens, de Lille et de Laon entraî-
nerait un recul en échelons qu'il faudrait
poursuivre jusque sur la Meuse ; et, pour
les raisons que nous avons dites, il vou-
drait à tout prix échapper à cette nécessite.
C'est pourquoi nous ne pouvons douter
qu'il n'ait depuis longtemps un plan d'of-
fensive que les coups répétés des Alliés lui
font successivement retarder et changer. Il
est avéré qu'il songea à frapper un coup
décisif en Italie, également en Russie, et
que, chaque fois, il fut pris de court. Il est
vrai qu'en ce qui concerne la Russie, l'es-
poir de s'accommoder avec les révolution-
naires, après avoir, au préalable, aban-
donné l'armée à son œuvre de désorgani-
sation, introduisit un élément nouveau de
calcul. Et ceci nous amène à dire que ja-
mais l'œuvre militaire n'a été plus dépen-
dante de la politique et nous ajouterons de
la volonté des nations. N'en déplaise aux
purs militaires, leur force n'est rien, si elle
n'est pas la manifestation concrète des as-
pirations longtemps obscures et inexpri-
mées des peuples. Les dirigeants allemands
peuvent encore, à cet égard, essayer de
louvoyer et de duper par de fausses pro-
messes, selon leur coutume déjà séculaire.
Mais le jeune Empereur autrichien se sent
apparemment plus pressé. C'est une ques-
tion pour lui dé savoir combien de temps
encore il pourra maintenir unis des élé-
ments divergents et sourdement ennemis ;
d'autant plus que les révolutionnaires rus-
ses pourraient bien être saisis d'un esprit
de croisade qui les emporterait à travers
le Danube pour délivrer les peuples asser-
vis : ne fut-ce pas là la premier effet de
l'enthousiasme révolutionnaire français ?
Et alors que ferait l'Autriche, que ni les
Turcs ne pourraient secourir, ni les Bul-
gares, las de la guerre et désespérés de la
perte de Monastir, ne consentiraient à ai-
der ? En vérité, pourvu que l'on ne se
laisse point affaiblir par la guerre sous-
marine, jamais -les Alliés n'ont été plus
sûrs du succès ; mais aussi ce succès est
encore éloigné, à moins que l'on n'arrive à
tourner contre la Puissance danubienne
les ardeurs qui embrasent la Russie d'un
éclat stérile. — (Revue de la Guerre)
Springfield Republican, 22.4.
— L'Allemagne n'a pas remporté une
seule victoire depuis la conquête de la Rou-
manie. La France et l'Angleterre lui. ont
porté et lui portent encore des coups terri-
bles. Tout semble faire prévoir que les terri-
toires français seront libérés. Mais cela ne
voudra pas dire que la fin de la guerre
sera proche et que de grands sacrifices
ne nous seront pas demandés. Nous som-
mes en guerre contre les Hohenzollern,
et nous ne déposerons les armes que vic-
torieux. Faut-il attendre cette victoire d'une
révolution allemande ? M. Gérard ne le
pense pas. Et, de toute façon, il nous
faut faire nos préparatifs comme si cette
possibilité n'existait, pas. (Ed.) Brooklyn
Eagle, 20.4.
ORGANISATION
Allemagne. — A en croire une dépêche
d'Amsterdam, la solde des équipages de
sous-marins est de beaucoup la plus élevée
en Allemagne. De plus, la moitié de la
valeur de tout navire capturé leur est li-
vrée, de même qu'une récompense leur est -
accordée pour chaque navire torpillé, pro-
portionnellement à la valeur assurée : il
y a 1 pour le commandant, autant pour
le mécanicien-chef, 4 pour le reste des
officiers et 10 pour l'équipage. Des pri-
mes spéciales sont en outre prévues pour
les Exploits hors de pair. Comment ne pas
admirer l'héroïsme désintéressé de ces
braves équipages, dont l'Allemagne célè-
bre tous les jours la gloire ! On se deman-
de quelle extraordinaire récompense ont dû
mériter ceux qui, en quatre jours, cou-
lèrent quatre navires chargés de l'appro-
visionnement de la Belgique, détruisant
'ainsi froidement, et en dépit de tous les
signes reconnaissables, et au milieu même
du chenal de sûreté (ironiquement nom-
mé), 17.000 tonnes de bonne marchandise !
En vérité, ces gens-là sont pourvus d'une
façon de penser et de sentir inconnue du
reste des hommes ! (Ed.). — Sun, 21.4.
COMMANDEMENT
France. — Pétain se trouve devant une -
lourde tâche. Il n'a pas les coudées fran-
ches, car la bataille qu'il doit gagner
est déjà commencée. De deux choses l'une :
ou bien il suit le système de son
cesseur et dans de cas il y a très peu de
probabilités pour que ses succès soient plus
grands, vu qu'il ne dispose ni de plus de
.moyens ni de moyens plus puissants que
celui-ci, ou bien lie général Pétain emploie
une nouvelle méthode, et alors il a besoin
d'un délai pour ses préparatifs. Une métho-
de de guerre en usage depuis longtemps
ne peut être modifiée du jour au lendemain.
D'autre part. le général Pétain est lié en ce
sens que sa direction doit concorder avec
celle des Anglais ; or, le maréchal Haig est
indépendant et il ne peut sans raison plau-
sible être décidé à adopter une nouvelle-
tactique.-Cela pourrait se faire au moyen
d'un accord et celui-ci serait difficile, à réa-
liser. Pour le moment, il est peu vraisem-
blable que le nouveau généralissime fran-
çais amène, à bref délai, un changement
de la situation militaire sur le front occi-
dental. — (Col. Egli) Basler Nachr., 19.5.
— Quelques Français viennent seulement
de découvrir Foch. C'est pourtant le général
français qui réunit peut-être les plus
grands mérites, c'est un homme d'étude ;
ce qui n'empêche pas que sur la Marne et
sur l'Yser, il sut faire preuve d'une éner-
gie indomptable ; et nous qui imitons nos
voisins, nous n'avons pas encore su co-
pier ce qu'ils font de bien. Foch est vieux.
TERES DE LA GUERRE
(E-M.-A., 2e an) ,
ET DES
FAIRES ETRANGÈRES
N° 452 -
Paris, 27 mai 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
-
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
-'
QUESTIONS MILITAIRES
CRITIQUES DES OPERATIONS
d'ensemble. - Il est im-
d'en douter : l'inaction des Russes
l~ ^e » •" pii générale sur « le
unique elle fait obstacle à l'action
les Alliés sur les échiquiers de l'Ouest et
Centre et cette même inaction a ren-
re résistance autrichienne contre no-
re offensive de nombreuses divisions com-
aussi d'un puissant matériel. Nos vic-
oires chèrement disputées n'en seront que
glorieuses. - Preparazione, 22.5.
Les batailles récentes sur le front ouest
, quoi qu'en disent les Alle-
des Yl-eto-i. r.es aussi bien stratégi-
que tactiques pour les Alliés. Certes,
néccessités
1t loH'gterY pour comprendre
nouvelles et s'y plier
qllulut non point seul
relative, quant à l'ennemi, mais
quant au terrain, c'est-à-dire telle
secteur étendu l'on puisse dé-
- 0e®' redoutes emplacements
ses, coupoles blindées, etc., et
qu'intervienne un autre facteur
la quantité de métal, sans que le sol-
exposé dans une tâche impossible,
laquelle il n'est pas fait ; 2° facilité de
multiplier les points d'attaque, de façon à
^rf» comme fit si heureuse-
oussilov et, à cet effet organisa-
le front d'un système de che-
assez complet pour que le
ront et il l'Q\J.t rhlIene et des troupes, d'un
à l'autre, se fasse parallèlement au
uvrîails" L'expédition de 2.700
de rails canadiens l'hiver der-
avait avertis que la leçon de la
porté. Le problème à résou-
restait pas moins difficile pour
Il leur fallait prévoir, sinon
séparée, du moins l'inaction côté
4u rle n-ieilace t.U].Ours immi-
contre Calais; et deviner quds. se-
derniers points de résistance de
ré Cette j e." B.endonsl aux géné-
cette justice qu'ils ont honora-
gaî el) elqUe s sque S- P, 1®?18 de Hin-
en ont été dérangés. Ce n'est pas
au sud de Laon, dans à l'est
au sud de Laon, deux
es, qu'il faut garder en
r D]lJ &l¡dCJtlllr ertes, de peur de tout per-
e illJ)( e4ce la cetl points, c'est en
base sous-marine, et ren-
ces bassins miniers, dont
de les paralyser. Car
mme centre du quart
ense, avec Aix-laChapelle
elJ.i1' le, les mands sont
le front roprement dit
à quelque 150 ou 180 kilomètres de là dans
une région richement dotée de lignes de
transport. Hindenburg a bien vu que la
perte de Lens, de Lille et de Laon entraî-
nerait un recul en échelons qu'il faudrait
poursuivre jusque sur la Meuse ; et, pour
les raisons que nous avons dites, il vou-
drait à tout prix échapper à cette nécessite.
C'est pourquoi nous ne pouvons douter
qu'il n'ait depuis longtemps un plan d'of-
fensive que les coups répétés des Alliés lui
font successivement retarder et changer. Il
est avéré qu'il songea à frapper un coup
décisif en Italie, également en Russie, et
que, chaque fois, il fut pris de court. Il est
vrai qu'en ce qui concerne la Russie, l'es-
poir de s'accommoder avec les révolution-
naires, après avoir, au préalable, aban-
donné l'armée à son œuvre de désorgani-
sation, introduisit un élément nouveau de
calcul. Et ceci nous amène à dire que ja-
mais l'œuvre militaire n'a été plus dépen-
dante de la politique et nous ajouterons de
la volonté des nations. N'en déplaise aux
purs militaires, leur force n'est rien, si elle
n'est pas la manifestation concrète des as-
pirations longtemps obscures et inexpri-
mées des peuples. Les dirigeants allemands
peuvent encore, à cet égard, essayer de
louvoyer et de duper par de fausses pro-
messes, selon leur coutume déjà séculaire.
Mais le jeune Empereur autrichien se sent
apparemment plus pressé. C'est une ques-
tion pour lui dé savoir combien de temps
encore il pourra maintenir unis des élé-
ments divergents et sourdement ennemis ;
d'autant plus que les révolutionnaires rus-
ses pourraient bien être saisis d'un esprit
de croisade qui les emporterait à travers
le Danube pour délivrer les peuples asser-
vis : ne fut-ce pas là la premier effet de
l'enthousiasme révolutionnaire français ?
Et alors que ferait l'Autriche, que ni les
Turcs ne pourraient secourir, ni les Bul-
gares, las de la guerre et désespérés de la
perte de Monastir, ne consentiraient à ai-
der ? En vérité, pourvu que l'on ne se
laisse point affaiblir par la guerre sous-
marine, jamais -les Alliés n'ont été plus
sûrs du succès ; mais aussi ce succès est
encore éloigné, à moins que l'on n'arrive à
tourner contre la Puissance danubienne
les ardeurs qui embrasent la Russie d'un
éclat stérile. — (Revue de la Guerre)
Springfield Republican, 22.4.
— L'Allemagne n'a pas remporté une
seule victoire depuis la conquête de la Rou-
manie. La France et l'Angleterre lui. ont
porté et lui portent encore des coups terri-
bles. Tout semble faire prévoir que les terri-
toires français seront libérés. Mais cela ne
voudra pas dire que la fin de la guerre
sera proche et que de grands sacrifices
ne nous seront pas demandés. Nous som-
mes en guerre contre les Hohenzollern,
et nous ne déposerons les armes que vic-
torieux. Faut-il attendre cette victoire d'une
révolution allemande ? M. Gérard ne le
pense pas. Et, de toute façon, il nous
faut faire nos préparatifs comme si cette
possibilité n'existait, pas. (Ed.) Brooklyn
Eagle, 20.4.
ORGANISATION
Allemagne. — A en croire une dépêche
d'Amsterdam, la solde des équipages de
sous-marins est de beaucoup la plus élevée
en Allemagne. De plus, la moitié de la
valeur de tout navire capturé leur est li-
vrée, de même qu'une récompense leur est -
accordée pour chaque navire torpillé, pro-
portionnellement à la valeur assurée : il
y a 1 pour le commandant, autant pour
le mécanicien-chef, 4 pour le reste des
officiers et 10 pour l'équipage. Des pri-
mes spéciales sont en outre prévues pour
les Exploits hors de pair. Comment ne pas
admirer l'héroïsme désintéressé de ces
braves équipages, dont l'Allemagne célè-
bre tous les jours la gloire ! On se deman-
de quelle extraordinaire récompense ont dû
mériter ceux qui, en quatre jours, cou-
lèrent quatre navires chargés de l'appro-
visionnement de la Belgique, détruisant
'ainsi froidement, et en dépit de tous les
signes reconnaissables, et au milieu même
du chenal de sûreté (ironiquement nom-
mé), 17.000 tonnes de bonne marchandise !
En vérité, ces gens-là sont pourvus d'une
façon de penser et de sentir inconnue du
reste des hommes ! (Ed.). — Sun, 21.4.
COMMANDEMENT
France. — Pétain se trouve devant une -
lourde tâche. Il n'a pas les coudées fran-
ches, car la bataille qu'il doit gagner
est déjà commencée. De deux choses l'une :
ou bien il suit le système de son
cesseur et dans de cas il y a très peu de
probabilités pour que ses succès soient plus
grands, vu qu'il ne dispose ni de plus de
.moyens ni de moyens plus puissants que
celui-ci, ou bien lie général Pétain emploie
une nouvelle méthode, et alors il a besoin
d'un délai pour ses préparatifs. Une métho-
de de guerre en usage depuis longtemps
ne peut être modifiée du jour au lendemain.
D'autre part. le général Pétain est lié en ce
sens que sa direction doit concorder avec
celle des Anglais ; or, le maréchal Haig est
indépendant et il ne peut sans raison plau-
sible être décidé à adopter une nouvelle-
tactique.-Cela pourrait se faire au moyen
d'un accord et celui-ci serait difficile, à réa-
liser. Pour le moment, il est peu vraisem-
blable que le nouveau généralissime fran-
çais amène, à bref délai, un changement
de la situation militaire sur le front occi-
dental. — (Col. Egli) Basler Nachr., 19.5.
— Quelques Français viennent seulement
de découvrir Foch. C'est pourtant le général
français qui réunit peut-être les plus
grands mérites, c'est un homme d'étude ;
ce qui n'empêche pas que sur la Marne et
sur l'Yser, il sut faire preuve d'une éner-
gie indomptable ; et nous qui imitons nos
voisins, nous n'avons pas encore su co-
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