Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-05-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 mai 1917 03 mai 1917
Description : 1917/05/03 (T6,N428). 1917/05/03 (T6,N428).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6484926z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
!S!ÈS LA GUERRE
(E. ^-A ., 2. Ba,, )
1 W,VES
: tT^ANGÈRE3
j ------
N° 428
Paris, 3 mai 1947.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UESTIONS MILITAIRES
G tète OPERATIONS
éU d, - On affirme dans certains mi-
P(J¡'itd Athènes que quelques-unes des
eptentrionales vont être occupées
s Allif!a ^0ur servir de point d'atta-
Seraient A^e' Quinze bâtiments an-
irn. ky ralllt déjà à l'ancre dans la baie
IvZ, °9rès>. 2/15.4. — Les com-
Pépiions cJeiégraphiques seraient cou-
pta Ii: re Scopélos , et la Grèce continen-
Un habitant de
lOs, a rrqUI a Pu gagner en barque Skia-
t ¡lUit d ttcllté que Scopélos a été occupée
lH^c 29 ^/i, au 30.3/12.4, par un dé-
Ji ellt de l'armée révolutionnaire com-
tenant et commandé par un
1.4\ \1nl)ant. Néon Asty, 3/16.4. - Le
fr. Jréos (Nscadre anglaise aurait mouillé
"tt[¡:,itis Se rù de ¡l'Eubée). Six navires
eint dans le port de Navarin.
IIiTném 4/17.4.
""h-
f'to "l'I'IQUE DES OPERATIONS
quer d'llrlCl entaI. - Mindenburg doit dis-
eUlasse importante de réserve,
;.eri aient H t un million d'hommes.
.'J'l'iiiKjaes' il n' dit quelques critiques trop
": e've i 11 n est Pas probable que ces
folies été entamées pour remplir
• front en Artois ou en Champa-
tranouin s sont encore par-
S et peuvent fournir
1ïS* t'et!} ?18, Faut-il s'attendre à une con-
Sfé 1 'LIS bu vardages qui courent, nous
IJr¡re ls b allemande de grand style ?
!i4i,r aVardges qui courent, nous
f^iN l'a mai mformés de la situation
.¡\\j(; Peu{l11ee allemande. Un organisme
^accomplir des efforts
ttJl e- a en Pnm?ace de contre-offensive
de -e. A. F rance soit définitivement
tarder constamment une atti-
*Ae ive, Hinn rn urg perdrait son
Peut-être en urg perdraI son
^Cl?^SSfT U^i le, ertitude qui plane
russe« a-t-elle dé-
6 ent dent II £ • de s'engager
S'.Pouî^e Len Il faudrait attendre leur
fVi8 An es et x la mer du Nord.
^tj^ands PréParer cette opéra-
devraient opposer aux
, sur la Scarpe, l'Aisne et
une résistance inébranlable -
fi
'Notent'1? lon°guene rartillerie de Ni-
ail Ci plus leur que celle des Anglais
1 t este leur attaque d'Arras : la
r, Olt, ré es railçaise<î à 3 jours. Pourtant,
5 uLComme s, ne Paraissent pas
^Cï et le- Je* troupes britanni-
l'e de ,es autres ont fait le mê-
M~ra ; mais les An- j
glais ont occupé beaucoup plus de terrain.
Cela prouverait que! les lignes ennemies
dans le secteur français étaient tenues par
des effectifs plus élevés. Les contre-atta-
ques répétées des Allemands dans ce sec-
teur viennent à l'appui de cette opinion. —
Maasbode, 17.4.
— Les Anglais prétendent avoir atteint
le.but qu'ils s'étaient fixé.pour leur offen-
sive du 19. Nous n'avons pas lieu de dou-
ter de leur sincérité, mais on peut trouver
que la prise de deux villages est un ré-
sultat un peu mince pour une armée aussi
nombreuse. Il est naturel, dans ces condi-
tions, que l'offensive française se soit bor-
née à des entreprises restreintes. Les pre-
miers plans du général Nivelle étaient
pourtant moins limités, comme il ressort
de documents que les Allemands ont pu-
bliés et que les Français n'ont ni rectifiés,
ni contestés. De ces documents, on peut
conclure que deux armées, ou deux grou-
pes d'armées, ont attaqué, le 16 avril, en-
tre Reims et Soissons, l'un ayant pour
mission, avec le gros des troupes, d'avan-
cer au nord de Reims vers le nord-est, tan-
dis que l'autre devait gagner les hauteurs
qui se trouvent au nord de l'Aisne. Ainsi
devait s'ouvrir, dans le front allemand,
vers la région de Berry-au-Bac — La Ville-
aux-Bois, un passage par où l'armée de ré-
serve pouvait avancer et achever la per-
cée. — (Colonel Egli) Basler Nachr., 28.4.
— On ne peut s'expliquer pour l'instant
pour quelles raisons les commandements
anglais et français ont engagé leurs offen-
sives à des dates différentes, attendu que
cette façon de procéder offrait aux Alle-
mands de grands avantages pour l'utilisa-
tion de leurs réserves. On a, malgré soi,
l'impression que de tels désaccords dans la
collaboration des Anglais et des Français
ne sont possibles que faute d'un comman-
dement suprême ayant la direction des
deux armées, sans être obligé de soumet-
tre ses plans aux gouvernements de l'ar-
rière. — (Colonel Egli) Id., 29.4.
Front oriental. — Le communiqué de
l'Etat-Major général nous instruit, avec une
franchise à laquelle ne nous avait pas ha-
bitués l'ancien régime, de l'importance de
notre échec sur le Stokhod. C'est une perte
d'un corps d'armée environ et l'abandon de
nos positions sur la rive gauche de la ri-
vière. D'ailleurs, si la perte d'hommes est
sensible, la nouvelle position n'a rien d'in-
quiétant pour l'avenir. « Il ne faut surtout
pas voir là une conséquence des événe-
ments de l'intérieur, ainsi que le laissent
entendre certains critiques militaires. Les
délégations militaires qui viennent à Pétro-
grad témoignent que les qualités combatti-
ves de nos troupes n'ont point été enta-
méffl. » — (Dimitriev) Dién, 26.3/8.4.
MATERIEL
Etats-Unis. — Jamais pays ne fut si
mal préparé à la guerre que les Etats-
Unis. Nous n'avons ni hommes, ni canons,
ni munitions, nous sommes arrivés m seuil
même de la guerre sans une armée. Nous
n'avons qu'une poignée d'hommes, et sans
canons, sans poudre et sans obus. Ni une
armée exercée, ni des canons ne se peu-
vent improviser. Des stocks de munitions
peuvent être créés beaucoup plus rapide-
ment, grâce à la situation que les achats
des Alliés ont créée chez nous. Il faut à
la France un an pour instruire ses sol-
dats. Il nous faudra de nombreux mois,
un an ou plus, pour mettre sur le pied de
guerre toute armée importante levée chez
nous. Même si nous envoyons un petit
contingent en France ou en Belgique, les
Alliés devront lui fournir toutes les armes
modernes créées par la guerre. Il n'aurait ni
artillerie lourde, ni aéroplanes d'un type
militaire, peu ou point de fusées éclairan-
tes, pas de mortiers de tranchée, et seu-
lement une quantité négligeabe de bombes
ou de grenades. Nous ne pourrions même
mettre en ligne une brigade équipée à la
moderne. Pour une armée importante, nous
manquons, non seulement de tous ces ins-
truments de la guerre moderne, mais de
tout. Même l'équipement de notre petite
armée régulière est insuffisant. Prenons
les armes portatives. Une armée moderne
doit avoir de trois à cinq fusils pour cha-
que soldat. Une armée d'un million d'hom-
mes aurait besoin, pour son infanterie de
3.000.000 de fusils. Nous en avons 700.000.
Pour les mitrailleuses, nous sommes dans
une situation déplorable. Nous avons adop-
té une mitrailleuse lourde, du type Vic-
kers, mais nous n'en avons pas commen-
cé la fabrication. Nous n'avons pas enco-
re adopté de type de mitrailleuse légère.
Celles que nous avons sont inutilisables.
à l'exception d'un petit nombre obtenues
avec le consentement de l'Angleterre au
moment de notre récente excursion au
Mexique. Les Anglais ont 36 mitrailleuses
par 1.000 hommes. Notre commission des
mitrailleuses en a recommandé 6 par 1.800
hommes. L'aéroplane militaire moderne a
été perfectionné au cours de la guerre.
Rien qui y ressemble n'est fabriqué aux
Etats-Unis. Un avion de combat a une vi-
tesse de 190 à 200 kilomètres à l'heure. Nos
aéroplanes font de 95 à 100 kilomètres. Les
moteurs étrangers produisent une énergie
de 1 HP pour 2 livres de métal. Les nôtres
ne peuvent donner que 1 HP pour 4 livres
et demie. Il serait possible de multiplier les
exemples. J'ai donné les plus frappants. Ils
montrent que les leçons de la grande guer-
re ont été négligées. Nous ne sommes pas
prêts du tout. Nous ne serons pas avant
de longs mois en mesure de produire une
octBèm efficace. — (C, W. Gilbert) New
York Tribune, 31.3.
ORGANISATION
Coopération des Etats-Unis. — Quand
nos capitalistes ont commencé à vouloir
augmenter notre armée et renforcer notre
marine, ils se sont défendus de tomber
dans le militarisme, et ont affirmé n'avoir
(E. ^-A ., 2. Ba,, )
1 W,VES
: tT^ANGÈRE3
j ------
N° 428
Paris, 3 mai 1947.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UESTIONS MILITAIRES
G tète OPERATIONS
éU d, - On affirme dans certains mi-
P(J¡'itd Athènes que quelques-unes des
eptentrionales vont être occupées
s Allif!a ^0ur servir de point d'atta-
irn. ky ralllt déjà à l'ancre dans la baie
IvZ, °9rès>. 2/15.4. — Les com-
Pépiions cJeiégraphiques seraient cou-
pta Ii: re Scopélos , et la Grèce continen-
Un habitant de
lOs, a rrqUI a Pu gagner en barque Skia-
t ¡lUit d ttcllté que Scopélos a été occupée
lH^c 29 ^/i, au 30.3/12.4, par un dé-
Ji ellt de l'armée révolutionnaire com-
tenant et commandé par un
1.4\ \1nl)ant. Néon Asty, 3/16.4. - Le
fr. Jréos (Nscadre anglaise aurait mouillé
"tt[¡:,itis Se rù de ¡l'Eubée). Six navires
eint dans le port de Navarin.
IIiTném 4/17.4.
""h-
f'to "l'I'IQUE DES OPERATIONS
quer d'llrlCl entaI. - Mindenburg doit dis-
eUlasse importante de réserve,
;.eri aient H t un million d'hommes.
.'J'l'iiiKjaes' il n' dit quelques critiques trop
": e've i 11 n est Pas probable que ces
folies été entamées pour remplir
• front en Artois ou en Champa-
tranouin s sont encore par-
S et peuvent fournir
1ïS* t'et!} ?18, Faut-il s'attendre à une con-
Sfé 1 'LIS bu vardages qui courent, nous
IJr¡re ls b allemande de grand style ?
!i4i,r aVardges qui courent, nous
f^iN l'a mai mformés de la situation
.¡\\j(; Peu{l11ee allemande. Un organisme
^accomplir des efforts
ttJl e- a en Pnm?ace de contre-offensive
de -e. A. F rance soit définitivement
tarder constamment une atti-
*Ae ive, Hinn rn urg perdrait son
Peut-être en urg perdraI son
^Cl?^SSfT U^i le, ertitude qui plane
russe« a-t-elle dé-
6 ent dent II £ • de s'engager
S'.Pouî^e Len Il faudrait attendre leur
fVi8 An es et x la mer du Nord.
^tj^ands PréParer cette opéra-
devraient opposer aux
, sur la Scarpe, l'Aisne et
une résistance inébranlable -
fi
'Notent'1? lon°guene rartillerie de Ni-
ail Ci plus leur que celle des Anglais
1 t este leur attaque d'Arras : la
r, Olt, ré es railçaise<î à 3 jours. Pourtant,
5 uLComme s, ne Paraissent pas
^Cï et le- Je* troupes britanni-
l'e de ,es autres ont fait le mê-
M~ra ; mais les An- j
glais ont occupé beaucoup plus de terrain.
Cela prouverait que! les lignes ennemies
dans le secteur français étaient tenues par
des effectifs plus élevés. Les contre-atta-
ques répétées des Allemands dans ce sec-
teur viennent à l'appui de cette opinion. —
Maasbode, 17.4.
— Les Anglais prétendent avoir atteint
le.but qu'ils s'étaient fixé.pour leur offen-
sive du 19. Nous n'avons pas lieu de dou-
ter de leur sincérité, mais on peut trouver
que la prise de deux villages est un ré-
sultat un peu mince pour une armée aussi
nombreuse. Il est naturel, dans ces condi-
tions, que l'offensive française se soit bor-
née à des entreprises restreintes. Les pre-
miers plans du général Nivelle étaient
pourtant moins limités, comme il ressort
de documents que les Allemands ont pu-
bliés et que les Français n'ont ni rectifiés,
ni contestés. De ces documents, on peut
conclure que deux armées, ou deux grou-
pes d'armées, ont attaqué, le 16 avril, en-
tre Reims et Soissons, l'un ayant pour
mission, avec le gros des troupes, d'avan-
cer au nord de Reims vers le nord-est, tan-
dis que l'autre devait gagner les hauteurs
qui se trouvent au nord de l'Aisne. Ainsi
devait s'ouvrir, dans le front allemand,
vers la région de Berry-au-Bac — La Ville-
aux-Bois, un passage par où l'armée de ré-
serve pouvait avancer et achever la per-
cée. — (Colonel Egli) Basler Nachr., 28.4.
— On ne peut s'expliquer pour l'instant
pour quelles raisons les commandements
anglais et français ont engagé leurs offen-
sives à des dates différentes, attendu que
cette façon de procéder offrait aux Alle-
mands de grands avantages pour l'utilisa-
tion de leurs réserves. On a, malgré soi,
l'impression que de tels désaccords dans la
collaboration des Anglais et des Français
ne sont possibles que faute d'un comman-
dement suprême ayant la direction des
deux armées, sans être obligé de soumet-
tre ses plans aux gouvernements de l'ar-
rière. — (Colonel Egli) Id., 29.4.
Front oriental. — Le communiqué de
l'Etat-Major général nous instruit, avec une
franchise à laquelle ne nous avait pas ha-
bitués l'ancien régime, de l'importance de
notre échec sur le Stokhod. C'est une perte
d'un corps d'armée environ et l'abandon de
nos positions sur la rive gauche de la ri-
vière. D'ailleurs, si la perte d'hommes est
sensible, la nouvelle position n'a rien d'in-
quiétant pour l'avenir. « Il ne faut surtout
pas voir là une conséquence des événe-
ments de l'intérieur, ainsi que le laissent
entendre certains critiques militaires. Les
délégations militaires qui viennent à Pétro-
grad témoignent que les qualités combatti-
ves de nos troupes n'ont point été enta-
méffl. » — (Dimitriev) Dién, 26.3/8.4.
MATERIEL
Etats-Unis. — Jamais pays ne fut si
mal préparé à la guerre que les Etats-
Unis. Nous n'avons ni hommes, ni canons,
ni munitions, nous sommes arrivés m seuil
même de la guerre sans une armée. Nous
n'avons qu'une poignée d'hommes, et sans
canons, sans poudre et sans obus. Ni une
armée exercée, ni des canons ne se peu-
vent improviser. Des stocks de munitions
peuvent être créés beaucoup plus rapide-
ment, grâce à la situation que les achats
des Alliés ont créée chez nous. Il faut à
la France un an pour instruire ses sol-
dats. Il nous faudra de nombreux mois,
un an ou plus, pour mettre sur le pied de
guerre toute armée importante levée chez
nous. Même si nous envoyons un petit
contingent en France ou en Belgique, les
Alliés devront lui fournir toutes les armes
modernes créées par la guerre. Il n'aurait ni
artillerie lourde, ni aéroplanes d'un type
militaire, peu ou point de fusées éclairan-
tes, pas de mortiers de tranchée, et seu-
lement une quantité négligeabe de bombes
ou de grenades. Nous ne pourrions même
mettre en ligne une brigade équipée à la
moderne. Pour une armée importante, nous
manquons, non seulement de tous ces ins-
truments de la guerre moderne, mais de
tout. Même l'équipement de notre petite
armée régulière est insuffisant. Prenons
les armes portatives. Une armée moderne
doit avoir de trois à cinq fusils pour cha-
que soldat. Une armée d'un million d'hom-
mes aurait besoin, pour son infanterie de
3.000.000 de fusils. Nous en avons 700.000.
Pour les mitrailleuses, nous sommes dans
une situation déplorable. Nous avons adop-
té une mitrailleuse lourde, du type Vic-
kers, mais nous n'en avons pas commen-
cé la fabrication. Nous n'avons pas enco-
re adopté de type de mitrailleuse légère.
Celles que nous avons sont inutilisables.
à l'exception d'un petit nombre obtenues
avec le consentement de l'Angleterre au
moment de notre récente excursion au
Mexique. Les Anglais ont 36 mitrailleuses
par 1.000 hommes. Notre commission des
mitrailleuses en a recommandé 6 par 1.800
hommes. L'aéroplane militaire moderne a
été perfectionné au cours de la guerre.
Rien qui y ressemble n'est fabriqué aux
Etats-Unis. Un avion de combat a une vi-
tesse de 190 à 200 kilomètres à l'heure. Nos
aéroplanes font de 95 à 100 kilomètres. Les
moteurs étrangers produisent une énergie
de 1 HP pour 2 livres de métal. Les nôtres
ne peuvent donner que 1 HP pour 4 livres
et demie. Il serait possible de multiplier les
exemples. J'ai donné les plus frappants. Ils
montrent que les leçons de la grande guer-
re ont été négligées. Nous ne sommes pas
prêts du tout. Nous ne serons pas avant
de longs mois en mesure de produire une
octBèm efficace. — (C, W. Gilbert) New
York Tribune, 31.3.
ORGANISATION
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nos capitalistes ont commencé à vouloir
augmenter notre armée et renforcer notre
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