Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-03-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 mars 1917 21 mars 1917
Description : 1917/03/21 (T5,N385). 1917/03/21 (T5,N385).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6503326m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2013
N° 385
DE LA GUERRE
¡ tE.-i.-A.,. Ban)
ET DES
lIllES ÉTRANGÈRES
Paris, 21 mars 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Le Flensborg Avis reproduit d'après la
Nonderb-urger Zeitung les déclarations que
Jel a faites le commandant de la garnison
de Sonderborg (Ile d'Als, Slesvig annexé) au
,let des bruits sensationnels mis en circu-
,lün sur les mouvements des troupes alle-
¿t\G.des dans le Slesvig annexé : Un a pré-
.Ildu que Sônderborg allait recevoir 7.000
nommes ou même 15.000 parce que les An-
glais avaient projeté d'occuper une île dans
Baltique. Il a été parlé, en outre, d'une
concentration de troupes dans le Slesvig du
Nord et l'on a prononcé à ce propos le chif-
de 35.000 hommes. On a prétendu aussi
!Ie.les hommes de la garnison de l'île d'Als
:¡!a.lent être remplacés par des soldats
lue le Dernièi-ement on a, de même, raconté
i le croiseur Augsburg avait sombré.
¡,úus ces bruits sont de pure fantaisie. —
JC¡'lingske Tidende, 28.2.
Front balkanique. — Il n'est pas vrai-
¡,Illblable que, sur le front de Salonique,
f3 Germano-Bulgares se décident à sortir
;: leur passivité. En effet, le front allié est
eXpugnable et l'unique objectif que les
paillants pourraient poursuivre — la
opération avec la Grèce - n'est pas en
:,l'úportion de l'immense effort et des grands
Orifices qui seraient nécessaires pour faire
CUer les lignes de Sarrail. Cette attaque
(rillt une folie. — (Commandant Alvaro)
JQceta del Norte, 13.3.
¡,'- « Que prépare le grand Etat-Major al-
Jand ?. Selon toute vraisemblance, une
¡: aql1e du front de Macédoine, qui sera
planchée au printemps. En raison de la
gueerre sous-marine et de la composition
o l'armée Sarrail, où les Africains et les
Régalais sont en majorité, en raison aus-
, ÙU refus de l'Italie d'envoyer des ren-
8 dans les Balkans, le front macédonien
, le talon d'Achille de l'Entente. Les Al-
,^ands pourront y concentrer des forces
"us de deux fois supérieures à celles de
"ail * L'armée de Vénizélos ne se monte
:}.à 3 ou 4.000 hommes, recrutés de force.
arasement de l'armée Sarrail entraîne-
if!, la chute de Briand et de Lloyd George,
;,!Iènerait le triomphe des pacifistes, et dé-
rlf erait la Russie à conclure une paix sé-
> moyennant le libre passage des Dé-
•rr,;^4 s. » — (Ed.) Scrip, 19.2/4.3.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Ollt occidental. — Il est à présumer que
li Allemands possèdent de fortes réserves
lignées sur un front s'étendant de la Flan-
re a la région de La Fère, et couvrant
Lens et Cambrai. Ils ont peut-être
sein de concentrer brusquement ces ré-
es contre l'une de nos têtes de colon-
':tt ot de nous attaquer en terrain décou-
Mais nous pouvons répondre victo-
rieusement à cette tactique ; il n'y a pas
lieu de « faire la grimace » devant la re-
traite allemande, car elle constitue un
signe de faiblesse précis et des plus encou-
rageants — (Student of War) Manchesl.
Guard., 17.3.
— Que tous ceux qui sont disposés à te-
nir pour articles de foi les commentaires
des Alliés et des ententophiles sur le recul
allemand se mettent bien dans la tête que
le puissant système de défense établi par
les Allemands sur la « ligne principale »
est d'une solidité et d'une efficacité telles
que tous les efforts des Anglais ou des
Français, essayant de dépasser la limite
fixée d'avance, viendront se briser devant
cet obstacle. Et si l'on ne veut pas nous
croire, on le verra bien. — (Léonidas) Siglo
Futnro, 113.
— Du Grand Quartier, 14.3 : Contraire-
ment à ce que l'on pouvait croire, l'Entente
ne triomphe pas de notre recul volontaire.
Naguère il suffisait qu'un village en ruines
fût pris par les Français et les Anglais
pour qu'immédiatement un ordre du jour
l'apprît aux troupes, dans un style empha-
tique. Cette fois, il n'en est plus ainsi, à
en croire les nombreux prisonniers faits
par nous, lors de la correction de notre
front sur l'Ancre. Il était en effet difficile
d'exciter l'enthousiasme à la vue de l'hor-
rible dévastation du territoire par les ca-
nons français et anglais. Ajoutez les lour-
des pertes infligées par nos troupes à l'en-
nemi obligé de creuser de nouveaux abris
sous notre l'eu, ou se retrouvant subitement
en contact avec nous. On croyait les Alle-
mands déjà loin et on les retrouve enta-
mant la lutte. Dernièrement, nous avions
tendu le piège accoutumé, c'est-à-dire nous
avions évacué un terrain, prêts à fondre
de loin sur l'ennemi quand il s'approche-
rait. Mais l'ennemi restait coi. Tout à coup,
nous vîmes s'élever au-dessus du parapet
d'en face une pancarte sur laquelle était
écrit en allemand : Nous avons éventé le
piège de Hindenburg. — (Scheurmann)
Deutsche Tagesztg., 15.3.
Turquie. — D'après les dépêches diplo-
matiques de Constantinople, la chute de
Bagdad a produit, dans les milieux politi-
ques de l'Empire turc, un profond abatte-
ment et une vive préoccupation. Les im-
pressions furent encore aggravées par les
nouvelles de Perse, où la 6e armée risque
d'être prise entre les Anglais et les Rus-
ses ; de Syrie, où les Anglais menacent de
rejeter Djemal Pacha sur Jérusalem ; de
Mésopotamie, où la retraite de l'année de
Bagdad vers le Nord est sérieusement me-
nacée par l'aile droite de Baratov. On
avait installé à Bagdad de vastes magasins
pour l'approvisionnement des armées de
Mésopotamie, de Perse, et d'une partie des
forces engagées en Arabie. Ces diverses
troupes se trouvent privées de leur base
de ravitaillement. (P. Mari) Idea Nazion.,
14.3.
Guerre sous-marine. — Un document of-
ficiel déclare que l'Allemagne n'a pas per-
du un seul sous-marin depuis le 1er février.
Cela doit être vrai, car si les Alliés avaient
détruit des sous.marins, nous en aurions
certainement entendu parler. Et, si l'on-
songe que les navires marchands des Al-
liés sont armés, c'est une nouvelle fort in-
téressante, car elle prouve que, lorsqu'ils
attaquent sans avertissement, les sous-ma-
rins peuvent faire subir de grosses pertes
à l'ennemi sans courir eux-mêmes de ris-
ques sérieux. — (Major Dayton) Milwaukee
Free Press, 15.2.
MATERIEL
France. — « Pour moi, j'ai volé au-dessus
de mainte grande cité, mais aucune, vue
des nuages, n'approche de Paris pour la
beauté. La caractéristique la plus impres-
sionnante de l'aviation française est le
grand nombre de ses aéroplanes et l'extrê-
me diversité de ses types. J'en ai vu des
centaines et des milliers. Les seuls han-
gars du Bourget sont un spectacle pro-
digieux. L'aéroplane qui nous emporta au-
dessus de Paris, mon compagnon et moi,
était la plus petite machine récente que
j'eusse jamais vue. On eût dit un oiseau-
mouche pour l'aisance, la souplesse et la
légéreté, et cependant c'est un des instru-
ments les plus mortels de la guerre. La
France est en avance de dix ans sur les
autres peuples ; sous la pression de la
nécessité, elle nous a laissés loin derriè-
re elle. Je salue les Français, leurs aéro-
dromes, leurs avions et leurs merveilleux
aviateurs. » — (Ruth Law) World, 19.2.
———- a .———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
i MAIN-D'ŒUVRE, GREVES
Angleterre. — Les comtés de l'Est se
montrent hostiles à l'enrôlement des agri-
culteurs pour le Service national. Une véri-
table campagne menace de contrecarrer sé-
rieusement l'effort de recrutement des en-
voyés de M. N. Chamberlain. — ManchesE.
Guard., 17.3.
Espagne. — De Barcelone, 12.3 : La Con-
fédération nationale du Travail vienV de
nommer son nouveau Comité, qui est cons-
titué par des ouvriers de tous corps d'état.
On a décxlé d'accorder des secours aux gré-
vistes et de ne pas envoyer de délégué à
l'Assemblée de travailleurs qui se réunira à
Madrid. — Debate, 13.3.
— De Barcelone, 12.3 : Les patrons « ap-
prêteurs et cylinctreurs » ont déclaré ïe
« lock-out » et n'ont pas ouvert leurs usines
ce matin. De nombreux ouvriers sont venus
stationner devant ces établissements dans
une attitude menaçante, mais il n'y a pas
eu de désordres. Des milliers d'ouvriers se
DE LA GUERRE
¡ tE.-i.-A.,. Ban)
ET DES
lIllES ÉTRANGÈRES
Paris, 21 mars 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Le Flensborg Avis reproduit d'après la
Nonderb-urger Zeitung les déclarations que
Jel a faites le commandant de la garnison
de Sonderborg (Ile d'Als, Slesvig annexé) au
,let des bruits sensationnels mis en circu-
,lün sur les mouvements des troupes alle-
¿t\G.des dans le Slesvig annexé : Un a pré-
.Ildu que Sônderborg allait recevoir 7.000
nommes ou même 15.000 parce que les An-
glais avaient projeté d'occuper une île dans
Baltique. Il a été parlé, en outre, d'une
concentration de troupes dans le Slesvig du
Nord et l'on a prononcé à ce propos le chif-
de 35.000 hommes. On a prétendu aussi
!Ie.les hommes de la garnison de l'île d'Als
:¡!a.lent être remplacés par des soldats
lue le Dernièi-ement on a, de même, raconté
i le croiseur Augsburg avait sombré.
¡,úus ces bruits sont de pure fantaisie. —
JC¡'lingske Tidende, 28.2.
Front balkanique. — Il n'est pas vrai-
¡,Illblable que, sur le front de Salonique,
f3 Germano-Bulgares se décident à sortir
;: leur passivité. En effet, le front allié est
eXpugnable et l'unique objectif que les
paillants pourraient poursuivre — la
opération avec la Grèce - n'est pas en
:,l'úportion de l'immense effort et des grands
Orifices qui seraient nécessaires pour faire
CUer les lignes de Sarrail. Cette attaque
(rillt une folie. — (Commandant Alvaro)
JQceta del Norte, 13.3.
¡,'- « Que prépare le grand Etat-Major al-
Jand ?. Selon toute vraisemblance, une
¡: aql1e du front de Macédoine, qui sera
planchée au printemps. En raison de la
gueerre sous-marine et de la composition
o l'armée Sarrail, où les Africains et les
Régalais sont en majorité, en raison aus-
, ÙU refus de l'Italie d'envoyer des ren-
8 dans les Balkans, le front macédonien
, le talon d'Achille de l'Entente. Les Al-
,^ands pourront y concentrer des forces
"us de deux fois supérieures à celles de
"ail * L'armée de Vénizélos ne se monte
:}.à 3 ou 4.000 hommes, recrutés de force.
arasement de l'armée Sarrail entraîne-
if!, la chute de Briand et de Lloyd George,
;,!Iènerait le triomphe des pacifistes, et dé-
rlf erait la Russie à conclure une paix sé-
> moyennant le libre passage des Dé-
•rr,;^4 s. » — (Ed.) Scrip, 19.2/4.3.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Ollt occidental. — Il est à présumer que
li Allemands possèdent de fortes réserves
lignées sur un front s'étendant de la Flan-
re a la région de La Fère, et couvrant
Lens et Cambrai. Ils ont peut-être
sein de concentrer brusquement ces ré-
es contre l'une de nos têtes de colon-
':tt ot de nous attaquer en terrain décou-
Mais nous pouvons répondre victo-
rieusement à cette tactique ; il n'y a pas
lieu de « faire la grimace » devant la re-
traite allemande, car elle constitue un
signe de faiblesse précis et des plus encou-
rageants — (Student of War) Manchesl.
Guard., 17.3.
— Que tous ceux qui sont disposés à te-
nir pour articles de foi les commentaires
des Alliés et des ententophiles sur le recul
allemand se mettent bien dans la tête que
le puissant système de défense établi par
les Allemands sur la « ligne principale »
est d'une solidité et d'une efficacité telles
que tous les efforts des Anglais ou des
Français, essayant de dépasser la limite
fixée d'avance, viendront se briser devant
cet obstacle. Et si l'on ne veut pas nous
croire, on le verra bien. — (Léonidas) Siglo
Futnro, 113.
— Du Grand Quartier, 14.3 : Contraire-
ment à ce que l'on pouvait croire, l'Entente
ne triomphe pas de notre recul volontaire.
Naguère il suffisait qu'un village en ruines
fût pris par les Français et les Anglais
pour qu'immédiatement un ordre du jour
l'apprît aux troupes, dans un style empha-
tique. Cette fois, il n'en est plus ainsi, à
en croire les nombreux prisonniers faits
par nous, lors de la correction de notre
front sur l'Ancre. Il était en effet difficile
d'exciter l'enthousiasme à la vue de l'hor-
rible dévastation du territoire par les ca-
nons français et anglais. Ajoutez les lour-
des pertes infligées par nos troupes à l'en-
nemi obligé de creuser de nouveaux abris
sous notre l'eu, ou se retrouvant subitement
en contact avec nous. On croyait les Alle-
mands déjà loin et on les retrouve enta-
mant la lutte. Dernièrement, nous avions
tendu le piège accoutumé, c'est-à-dire nous
avions évacué un terrain, prêts à fondre
de loin sur l'ennemi quand il s'approche-
rait. Mais l'ennemi restait coi. Tout à coup,
nous vîmes s'élever au-dessus du parapet
d'en face une pancarte sur laquelle était
écrit en allemand : Nous avons éventé le
piège de Hindenburg. — (Scheurmann)
Deutsche Tagesztg., 15.3.
Turquie. — D'après les dépêches diplo-
matiques de Constantinople, la chute de
Bagdad a produit, dans les milieux politi-
ques de l'Empire turc, un profond abatte-
ment et une vive préoccupation. Les im-
pressions furent encore aggravées par les
nouvelles de Perse, où la 6e armée risque
d'être prise entre les Anglais et les Rus-
ses ; de Syrie, où les Anglais menacent de
rejeter Djemal Pacha sur Jérusalem ; de
Mésopotamie, où la retraite de l'année de
Bagdad vers le Nord est sérieusement me-
nacée par l'aile droite de Baratov. On
avait installé à Bagdad de vastes magasins
pour l'approvisionnement des armées de
Mésopotamie, de Perse, et d'une partie des
forces engagées en Arabie. Ces diverses
troupes se trouvent privées de leur base
de ravitaillement. (P. Mari) Idea Nazion.,
14.3.
Guerre sous-marine. — Un document of-
ficiel déclare que l'Allemagne n'a pas per-
du un seul sous-marin depuis le 1er février.
Cela doit être vrai, car si les Alliés avaient
détruit des sous.marins, nous en aurions
certainement entendu parler. Et, si l'on-
songe que les navires marchands des Al-
liés sont armés, c'est une nouvelle fort in-
téressante, car elle prouve que, lorsqu'ils
attaquent sans avertissement, les sous-ma-
rins peuvent faire subir de grosses pertes
à l'ennemi sans courir eux-mêmes de ris-
ques sérieux. — (Major Dayton) Milwaukee
Free Press, 15.2.
MATERIEL
France. — « Pour moi, j'ai volé au-dessus
de mainte grande cité, mais aucune, vue
des nuages, n'approche de Paris pour la
beauté. La caractéristique la plus impres-
sionnante de l'aviation française est le
grand nombre de ses aéroplanes et l'extrê-
me diversité de ses types. J'en ai vu des
centaines et des milliers. Les seuls han-
gars du Bourget sont un spectacle pro-
digieux. L'aéroplane qui nous emporta au-
dessus de Paris, mon compagnon et moi,
était la plus petite machine récente que
j'eusse jamais vue. On eût dit un oiseau-
mouche pour l'aisance, la souplesse et la
légéreté, et cependant c'est un des instru-
ments les plus mortels de la guerre. La
France est en avance de dix ans sur les
autres peuples ; sous la pression de la
nécessité, elle nous a laissés loin derriè-
re elle. Je salue les Français, leurs aéro-
dromes, leurs avions et leurs merveilleux
aviateurs. » — (Ruth Law) World, 19.2.
———- a .———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
i MAIN-D'ŒUVRE, GREVES
Angleterre. — Les comtés de l'Est se
montrent hostiles à l'enrôlement des agri-
culteurs pour le Service national. Une véri-
table campagne menace de contrecarrer sé-
rieusement l'effort de recrutement des en-
voyés de M. N. Chamberlain. — ManchesE.
Guard., 17.3.
Espagne. — De Barcelone, 12.3 : La Con-
fédération nationale du Travail vienV de
nommer son nouveau Comité, qui est cons-
titué par des ouvriers de tous corps d'état.
On a décxlé d'accorder des secours aux gré-
vistes et de ne pas envoyer de délégué à
l'Assemblée de travailleurs qui se réunira à
Madrid. — Debate, 13.3.
— De Barcelone, 12.3 : Les patrons « ap-
prêteurs et cylinctreurs » ont déclaré ïe
« lock-out » et n'ont pas ouvert leurs usines
ce matin. De nombreux ouvriers sont venus
stationner devant ces établissements dans
une attitude menaçante, mais il n'y a pas
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