Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-02-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 février 1917 25 février 1917
Description : 1917/02/25 (T5,N361). 1917/02/25 (T5,N361).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65033026
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2013
STÈRES DE LA GUERRE
(!.-*-» A-t , <»* Bauj
ET I) r,s
ÉTRANGÈRES
---
N° 361
Paris, 25 février 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
From OPERATIONS
qlles rOCidental. - De nombreux criti-
JeIlbur HaIres croient en France que Hin-
k! Ur £ va reprendre la marche sur Ca-
son rendant
SO['¡' prTldQTlt ainsi justice aux plans de
SSQ,, marin Falkenhayn. Le blocus
sous-marin sans limites sera appuyé par
0rrnes hnt!en- 've en vue d'installer
/t)ge dles batteries sur le littorl ranc-
•encanni i littoral franco-
du canal de la Manche. — Diario Uni-
certain, depuis les attaques an-
'S- e j,anvier' que le front
ï!;%!rls s séteind jusqu'à la route Cléry-AI-
i'v et att; r° sous peu la Somme. La
(Inne les explications les plus di-
verses de cp fait et des intentions qu'on
• et des intentions qu'on
Sfs ilt,Hbupr a cet égard, à nos adver-
''s'' Maie Il est certain que tout en al-
leurs n-es de 16 kilomètres, les
n'ont nullement affaibli la densité
Ij;lf'rl! d l'ont' ; car ils ont sans nul doute
:,rW^l,j r de nOUveaux effectifs de Grande-
serait donc une grave erreur
de croire qu'ils sont incapables d'une nou-
v^l!û 0ffensivautre part, les Français
peuvent lib, part, les Français
rpar le fait 4 à 5 divisions
Sis eittr)ln?v er ailleurs ; il ne faut pas
ive effrf v
,!J ît?U er : cela prouve que l'offen-
ç,|Wnt n'aiir i1 NivelI:e en un autre point
^ornt ^ente Pu avoir lieu sans ces
àir,ru,tf'l[¡e s, à cause des difficultés du
[¡(¡rf'Ur> dt. bEt pourquoi nous serait-il plus
ÎNt do hattre ces 4 divisions en un.
6 du front que sur la Som-
C'^iwr' confi ^nts en Hindenburg, nous
v -Cn.°hn que nous les battrons.
Nachr., 20.2.
W C**ÎIo E DES OPERATIONS
F cilt occ lrt ental. - Nous regardons no-
rogfeSsi0
gression dans la vallée de l'Ancre
¡'Qr/trlpse le début de l'offensive du
1' ^rv?9 qup comme la liquidation de
tJrr'nP ri lé§ué
Perd derTlié Par- la campagne de l'au-
a eusement, le temps
la Rupr re' ne se rattrape jamais.
el,
de notre activité a permis
à l'enn î en®ion H® notre activité a permis
oNe Té de réorganiser des divisions
Sra sur créer de solides défenses.
h front occidental la plus
i~, Illibil est 6 ses forces neuves. La
e TJerllCité guère Surprenante, étant donné
<~~6" <ïui
n Qtls rée en été donnée à nos proj ets
Iflt¡Cp Ilous lai F'ance. Il ne faut pas que
PtvcWS t ^traîner par la con-
K du lltes fi rne, tte année comme les
r1 tivf année nos trou-
rtm®non?e^cée exigera un effort
G11t Il e de PIlque de justice envers l'ar-
uard. vellir t arler comme si le succès
v l9olr tout comme si le succès
tout seul (Ed.) Manchest.
ret&ge considère désormais la
comme la clef de voûte
de l'Entente, et comme l'ennemi principal.
Aussi le blocus sous-marin a-t-il pris, dans
le temps aussi bien qu'en importance, la
première place dans ses plans. Nous pou-
vons, en termes militaires, le représenter
comme une tentative pour tourner le flanc
gauche du front allié. Si la campagne sous-
marine réussissait, les lignes allemandes
ne pourraient être rompues, et, si elles
l'étaient, notre succès s'achèverait en dé-
sastre. Une armée victorieuse, coupée de
ses bases, est une armée battue. Chose stu-
péfiante, on trouve des gens qui se deman-
dent encore quel pourra bien être, sur le
front ouest, le mouvement offensif de l'Alle-
magne. Ce mouvement est déjà commencé.
— (Student of War) Manchest. Guard., 20.2.
-- Nos raids accumulés ont leur impor-
tance matérielle. En janvier, nous avons
fait 1.228 prisonniers ; en février, le total
doit atteindre déjà 1.600. Ils ont aussi leur
importance morale : quelles que puissent
être les intentions de l'ennemi, nous avons
pris sur lui l'ascendant, et le gardons. Mais
si l'ennemi, comme nous le croyons, a
dans l'ouest ses forces principales, où sont-
elles massées ? Nous avons des raisons de
penser qu'elles sont accumulées devant les
lignes françaises, et se préparent à re-
nouveler cette année, avec plus d'ampleur,
l'effort de Verdun. Il ne serait pas impos-
sible que le coup fut frappé dans la région
de Soissons, au point où le front est le
plus rapproché de' Paris ; une offensive
dirigée en même temps contre les Italiens
servirait de diversion. Pourquoi les Fran-
çais ? La raison de ce choix est évidente ;
ce sont ceux de nos Alliés « qui ont le
moins de réserves ». L'Allemagne, sachant
qu'elle n'a rien à espérer de l'avenir, jet-
tera sans doute dans cette tentative toutes
ses forces. Attendons-nous à un choc très
puissant. Le rôle de l'armée britannique,
dans ces conditions, serait de prendre une
contre-offensive. Gardons toute notre con-
fiance ; mais ne commettons point l'erreur
de sous-évaluer les disponibilités de l'ad-
versaire. — (Ed.) Daily Chronicle, id.
Considérations d'ensemble. — Le public
sait que l'on prépare, sur tous les fronts,
un effort prodigieux, peut-être décisif. De
quel côté se livreront les combats les plus
formidables ? Au début de la guerre, le
public et un certain nombre de critiques
avaient une tendance à croire que les plus
importantes solutions devaient se produire
sur le front oriental. Les événements ont
corrigé cette erreur : on regarde mainte-
nant vers le front occidental et vers le
front italien. On sait que les forces les plus
puissantes sont accumulées derrière les
lignes d'Occident. Quant au front italien,
jusqu'ici trop négligé, même par les criti-
ques, il présente une valeur singulière
pour l'offensive ennemie comme pour ia
nôtre. L'ennemi peut chercher en Italie
une victoire qui obligerait l'Entente à la
paix. Notre front peut, d'autre part, ser-
vir de base à des opérations victorieuses,
qui, portant le coup de grâce à l'Autriche,
abattraient enfin la coalition ennemie.
Peut-être les plateaux du Trentin et du
Carso verront-ils le dénouement du conflit?
C'est à nous, c'est éventuellement à nos
alliés, de pourvoir à ce qu'il se dénoue par
notre victoire. — (0. Malagodi) Tribuna
(ital.), 21.2.
— Quand les attaques allemandes contre
Verdun se firent plus intenses et que le
front occidental fut sérieusement menacé,
nous vîmes le commandement italien or-
donner, sur tout l'ensemble du front autri-
chien, une forte pression. Nous attaquions
le 6 mars sur les Tofane, le 7 sur l'Isonzo
moyen, le 13 dans le bassin de Plezzo, le
14 à Lucinico et à San Martino del Carso,
le 15 à Travenanzes, le 17 sur le Sabotino,
dans la haute vallée de Dogna, et à Tol-
mino. Attaques vastes, multiples et conju-
guées, qui interdirent à l'Etat-Major autri-
chien tout déplacement de troupes ou de
matériel en faveur de ses alliés. Ainsi la
solidarité de la cause italienne et de la
cause française fut scellée à Verdun. -
(F. GiÕiIil Idea Nazion., id.
ESPIONNAGE
Italie. — Des Allemands s'étant servis
ou ayant tenté de se servir de disques
de gramophones ou de phonographes pour
transmettre des informations de caractère
militaire, la Sûreté générale italienne a pris
les mesures nécessaires pour que tous les
disques destinés à l'exportation soient exa-
minés par les soins du ministère de l'Inté-
rieur. — Osservat. Romano, 18.2.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne. — Le conseil supérieur de
l'agriculture de l'empire d'Allemagne s'est
réuni à Berlin le 17 février, sous la pré-
sidence du comte de Schwerin-Lôwitz, en
une assemblée plénière à laquelle ont pris
part, outre les représentants de tous les
Etats fédéraux, le ministre de l'Intérieur
Helfferich, le ministre de la Guerre von
Stein et le ministre du Ravitaillement von
Batocki. L'objet des délibérations a été
l'établissement d'un plan général d'exploi-
tation agricole pour l'année 1917-1918. L'in-
tensification @ de la production doit primer,
en effet, à l'heure présente, toutes les au-
tres préoccupations. Bien que le conseil su-
périeur ait écarté la fixation d'un règlement
de contrainte, il n'en a pas moins marqué
expressément la confiance qu'il met dans
le patriotisme des agriculteurs. La popula-
tion des villes et des districts industriels
s'est comportée avec un véritable héroïs-
me pendant la guerre. Elle a forgé les ar-
mes qu'ont maniées les soldats du front
pour la défense de la patrie, et son tra-
vail a été aussi dur et aussi important
que celui des agriculteurs. Il importe que
(!.-*-» A-t , <»* Bauj
ET I) r,s
ÉTRANGÈRES
---
N° 361
Paris, 25 février 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
From OPERATIONS
qlles rOCidental. - De nombreux criti-
JeIlbur HaIres croient en France que Hin-
k! Ur £ va reprendre la marche sur Ca-
son rendant
SO['¡' prTldQTlt ainsi justice aux plans de
SSQ,, marin Falkenhayn. Le blocus
sous-marin sans limites sera appuyé par
0rrnes hnt!en- 've en vue d'installer
/t)ge dles batteries sur le littorl ranc-
•encanni i littoral franco-
du canal de la Manche. — Diario Uni-
certain, depuis les attaques an-
'S- e j,anvier' que le front
ï!;%!rls s séteind jusqu'à la route Cléry-AI-
i'v et att; r° sous peu la Somme. La
(Inne les explications les plus di-
verses de cp fait et des intentions qu'on
• et des intentions qu'on
Sfs ilt,Hbupr a cet égard, à nos adver-
''s'' Maie Il est certain que tout en al-
leurs n-es de 16 kilomètres, les
n'ont nullement affaibli la densité
:,rW^l,j r de nOUveaux effectifs de Grande-
serait donc une grave erreur
de croire qu'ils sont incapables d'une nou-
v^l!û 0ffensivautre part, les Français
peuvent lib, part, les Français
rpar le fait 4 à 5 divisions
Sis eittr)ln?v er ailleurs ; il ne faut pas
ive effrf v
,!J ît?U er : cela prouve que l'offen-
ç,|Wnt n'aiir i1 NivelI:e en un autre point
^ornt ^ente Pu avoir lieu sans ces
àir,ru,tf'l[¡e s, à cause des difficultés du
[¡(¡rf'Ur> dt. bEt pourquoi nous serait-il plus
ÎNt do hattre ces 4 divisions en un.
6 du front que sur la Som-
C'^iwr' confi ^nts en Hindenburg, nous
v -Cn.°hn que nous les battrons.
Nachr., 20.2.
W C**ÎIo E DES OPERATIONS
F cilt occ lrt ental. - Nous regardons no-
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gression dans la vallée de l'Ancre
¡'Qr/trlpse le début de l'offensive du
1' ^rv?9 qup comme la liquidation de
tJrr'nP ri lé§ué
Perd derTlié Par- la campagne de l'au-
a eusement, le temps
la Rupr re' ne se rattrape jamais.
el,
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oNe Té de réorganiser des divisions
Sra sur créer de solides défenses.
h front occidental la plus
i~, Illibil est 6 ses forces neuves. La
e TJerllCité guère Surprenante, étant donné
<~~6" <ïui
n Qtls rée en été donnée à nos proj ets
Iflt¡Cp Ilous lai F'ance. Il ne faut pas que
PtvcWS t ^traîner par la con-
K du lltes fi rne, tte année comme les
r1 tivf année nos trou-
rtm®non?e^cée exigera un effort
G11t Il e de PIlque de justice envers l'ar-
uard. vellir t arler comme si le succès
v l9olr tout comme si le succès
tout seul (Ed.) Manchest.
ret&ge considère désormais la
comme la clef de voûte
de l'Entente, et comme l'ennemi principal.
Aussi le blocus sous-marin a-t-il pris, dans
le temps aussi bien qu'en importance, la
première place dans ses plans. Nous pou-
vons, en termes militaires, le représenter
comme une tentative pour tourner le flanc
gauche du front allié. Si la campagne sous-
marine réussissait, les lignes allemandes
ne pourraient être rompues, et, si elles
l'étaient, notre succès s'achèverait en dé-
sastre. Une armée victorieuse, coupée de
ses bases, est une armée battue. Chose stu-
péfiante, on trouve des gens qui se deman-
dent encore quel pourra bien être, sur le
front ouest, le mouvement offensif de l'Alle-
magne. Ce mouvement est déjà commencé.
— (Student of War) Manchest. Guard., 20.2.
-- Nos raids accumulés ont leur impor-
tance matérielle. En janvier, nous avons
fait 1.228 prisonniers ; en février, le total
doit atteindre déjà 1.600. Ils ont aussi leur
importance morale : quelles que puissent
être les intentions de l'ennemi, nous avons
pris sur lui l'ascendant, et le gardons. Mais
si l'ennemi, comme nous le croyons, a
dans l'ouest ses forces principales, où sont-
elles massées ? Nous avons des raisons de
penser qu'elles sont accumulées devant les
lignes françaises, et se préparent à re-
nouveler cette année, avec plus d'ampleur,
l'effort de Verdun. Il ne serait pas impos-
sible que le coup fut frappé dans la région
de Soissons, au point où le front est le
plus rapproché de' Paris ; une offensive
dirigée en même temps contre les Italiens
servirait de diversion. Pourquoi les Fran-
çais ? La raison de ce choix est évidente ;
ce sont ceux de nos Alliés « qui ont le
moins de réserves ». L'Allemagne, sachant
qu'elle n'a rien à espérer de l'avenir, jet-
tera sans doute dans cette tentative toutes
ses forces. Attendons-nous à un choc très
puissant. Le rôle de l'armée britannique,
dans ces conditions, serait de prendre une
contre-offensive. Gardons toute notre con-
fiance ; mais ne commettons point l'erreur
de sous-évaluer les disponibilités de l'ad-
versaire. — (Ed.) Daily Chronicle, id.
Considérations d'ensemble. — Le public
sait que l'on prépare, sur tous les fronts,
un effort prodigieux, peut-être décisif. De
quel côté se livreront les combats les plus
formidables ? Au début de la guerre, le
public et un certain nombre de critiques
avaient une tendance à croire que les plus
importantes solutions devaient se produire
sur le front oriental. Les événements ont
corrigé cette erreur : on regarde mainte-
nant vers le front occidental et vers le
front italien. On sait que les forces les plus
puissantes sont accumulées derrière les
lignes d'Occident. Quant au front italien,
jusqu'ici trop négligé, même par les criti-
ques, il présente une valeur singulière
pour l'offensive ennemie comme pour ia
nôtre. L'ennemi peut chercher en Italie
une victoire qui obligerait l'Entente à la
paix. Notre front peut, d'autre part, ser-
vir de base à des opérations victorieuses,
qui, portant le coup de grâce à l'Autriche,
abattraient enfin la coalition ennemie.
Peut-être les plateaux du Trentin et du
Carso verront-ils le dénouement du conflit?
C'est à nous, c'est éventuellement à nos
alliés, de pourvoir à ce qu'il se dénoue par
notre victoire. — (0. Malagodi) Tribuna
(ital.), 21.2.
— Quand les attaques allemandes contre
Verdun se firent plus intenses et que le
front occidental fut sérieusement menacé,
nous vîmes le commandement italien or-
donner, sur tout l'ensemble du front autri-
chien, une forte pression. Nous attaquions
le 6 mars sur les Tofane, le 7 sur l'Isonzo
moyen, le 13 dans le bassin de Plezzo, le
14 à Lucinico et à San Martino del Carso,
le 15 à Travenanzes, le 17 sur le Sabotino,
dans la haute vallée de Dogna, et à Tol-
mino. Attaques vastes, multiples et conju-
guées, qui interdirent à l'Etat-Major autri-
chien tout déplacement de troupes ou de
matériel en faveur de ses alliés. Ainsi la
solidarité de la cause italienne et de la
cause française fut scellée à Verdun. -
(F. GiÕiIil Idea Nazion., id.
ESPIONNAGE
Italie. — Des Allemands s'étant servis
ou ayant tenté de se servir de disques
de gramophones ou de phonographes pour
transmettre des informations de caractère
militaire, la Sûreté générale italienne a pris
les mesures nécessaires pour que tous les
disques destinés à l'exportation soient exa-
minés par les soins du ministère de l'Inté-
rieur. — Osservat. Romano, 18.2.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne. — Le conseil supérieur de
l'agriculture de l'empire d'Allemagne s'est
réuni à Berlin le 17 février, sous la pré-
sidence du comte de Schwerin-Lôwitz, en
une assemblée plénière à laquelle ont pris
part, outre les représentants de tous les
Etats fédéraux, le ministre de l'Intérieur
Helfferich, le ministre de la Guerre von
Stein et le ministre du Ravitaillement von
Batocki. L'objet des délibérations a été
l'établissement d'un plan général d'exploi-
tation agricole pour l'année 1917-1918. L'in-
tensification @ de la production doit primer,
en effet, à l'heure présente, toutes les au-
tres préoccupations. Bien que le conseil su-
périeur ait écarté la fixation d'un règlement
de contrainte, il n'en a pas moins marqué
expressément la confiance qu'il met dans
le patriotisme des agriculteurs. La popula-
tion des villes et des districts industriels
s'est comportée avec un véritable héroïs-
me pendant la guerre. Elle a forgé les ar-
mes qu'ont maniées les soldats du front
pour la défense de la patrie, et son tra-
vail a été aussi dur et aussi important
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