Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-01-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 janvier 1917 16 janvier 1917
Description : 1917/01/16 (T5,N321). 1917/01/16 (T5,N321).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65032624
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2013
MINISTÈRES DE LA GUERRE
(E.-M.-A., 5e Bau)
ET DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 321
Paris, 16 janvier 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Les critiques militaires allemands sem-
blent croire que la Conférence de Rome a
décidé Une offensive commune contre la
Turquie. Une campagne heureuse en Pales-
tine et en Syrie nous permettrait de couper
le ch emin de fer de Bagdad, et s'ajusterait
aux opérations d'Arménie et de Mésopota-
o e. 1. Y a là une hypothèse plausible. On
rence i également supposer que la Confé-
111é ce, de ome a résolu de renforcer l'ar-
mée Sarrail en vue d'une attaque contre les
Bulsir Nous devons nous contenter de
formul fces deux alternatives sans décider
entre « n
tent e elles ; il faut que nos intentions res-
tent 'ip i s longtemps possible, absolument
le es. Quelles qu'elles soient, d'ailleurs,
écarts fr d'une attaque grecque doit être
sée av Grande-Bretagne s'est trop lais-
pou aeugler par.sa tendresse traditionnelle
Pour Turcs, et a trop compté conclure
avec p une paix séparée. N'oublions pas
o Empire ottoman est le plus grand
dresseur du monde. Sans l'anéantir, nous
denns le rejeter hors de l'Europe. — (Stu-
dent of War) Manchest. Guard, 13.1.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Prout rournain. — Pendant que les Alle-
ses nps et les. Bulgares enlèvent aux Rus-
ses a flve méridionale du Séreth, les con-
tinsent allemands et austro-hongrois pé-
nètrpfnt en Moldavie par les vallées des
• Les hauts sommets et les intem-
et res formaient des obstacles redoutables
tralpedant nos troupes, qui ont réussi à
traîner JUsqu'à de l'artillerie lourde au tra-
Vers des massifs montagneux, pressent l'en-
nemi Sc,tns arrêt. L'aile gauche de nos trou-
pes Stans arrêt. L'aile gauche de nos trou-
et les vallées de la Putna et de
laSusita t' à quelques kilomètres de la plaine
et men le flanc russe au nord de Foc-
les au Nord, dans la vallée de l'Oituz,
che en sses essayèrent d'arrêter notre mar-
che en r2Slstant sur deux positions élevées
et fortifi sur deux positions élevées
ses f ortifiées. Ces deux positions furent pri-
Ses d'as*ut et toutes les furieuses contre-
Fr s repoussées. — Frankf. Ztg., 12.1.
Un jt égyptien. La prise de Rafa est
Ei a d armes. Notre progression jus-
sernent av et au delà, contraste curieu-
nos 0 é avc la <( prudence extrême » de
rnirabYeabons en 1915-16. Nous avons ad-
une for ent réussi à lancer rapidement
Urle force éd hoc capable de remporter un
Inlfent 15 biSIf. Les troupes britanniques
Ui sépa eures pour couvrir les 30 milles
tlm sénarVRafa de El Arish : elles at-
néantis t ar surprise, et les Turcs furent
l'ès bien. otre service de renseignements,
nuvrer ,Ulformé, nous a permis de ma-
n Ouvrer eilnerni fort habilement. — (Ed.)
aric h Guard., V2A.
MATERIEL
Dans une brochure parue à Berne sous
le titre : Maschinengewehre [« mitrailleu-
ses »], le colonel brigadier F. Gertsch, tirant
des enseignements de la guerre actuelle,
préconise la transformation de l'infanterie
en corps de mitrailleurs. Le fantassin,
exercé au maniement de la mitrailleuse,
serait débarrassé de son sac et armé d'une
carabine. — Volksrecht, 8.1
ORGANISATION
Allemagne. — » L'Office de guerre » pu.
blie l'avis suivant : « Des réclamations se
sont produites au sujet des ouvriers spé-
cialistes actuellement au front et demandés
dans les usines de guerre. Il importe de
donner très exactement le nom de ces
hommes et de fournir toutes les indications
qui permettront de les atteindre immédia-
tement. Beaucoup d'adresses sont inexac-
tes, ou se rapportent à des hommes tués
ou disparus. Il en résulte d'inutiles com-
plications d'écritures. D'une façon générale,
tout homme, dont le travail est absolument
nécessaire aux usines de guerre est rap-
pelé du front, pourvu que les opérations
militaires le permettent. » — Berlin.
Tag bl., 11.1.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
Angleterre. — Dans son discours de Gor-
ton, le 7.1, M. Hodge, ministre du Travail,
a dit deux choses importantes : Si les me-
sures pour améliorer la situation matérielle
des ouvriers sont bonnes en temps de guer-
re, elles ne sont pas moins bonnes en
temps de paix ; et si elles sont bonnes pour
les établissements placés sous le contrôle
de l'Etat, elles le sont aussi pour les autres.
Des progrès ont été réalisés, pour porter au
maximum l'effort national, qui auraient dif-
ficilement abouti dans des circonstances nor-
males. C'est un devoir, envers la postérité
comme envers les morts, de pousser ces
progrès toujours plus loin. Les améliora-
tions sociales ne sont pas un luxe ; la vé-
ritable économie nationale les exige.- (Ed.)
Manchest. Guard., 8.1.
BLOCUS
Angleterre. — M. Lloyd George a parlé
de nationaliser toute la marine marchande.
Cela signifie que, mis entièrement à la dis-
position de l'Etat, les navires seraient ar-
més et prendraient le caractère de flotte
auxiliaire ; c'est-à-dire cesseraient de navi-
guer sous le couvert des lois internationa-
les pour courir tous les risques des trans-
ports de guerre. Cela signifie aussi qu'une
partie notable des navires qui desservent
les ports américains passeront à l'Ami-
rauté. Il nous faudra donc compter exclusi-
vement sur nos propres ressources. Il s'agit
de les augmenter sans délai, si nous ne
voulons pas être pris à court. — (Ed.)
World, 21.12.
— Si l'Amirauté anglaise s'empare de la
flotte marchande, nous cessons d'y prendre
aucun intérêt du point de vue des lois inter-
nationales. Car tout alors devient navire de
guerre. — (Ed.) Springfield Republican, id.
Espagne. — M. Antonio Maura a dit
dans son discours de Beranga : « Les na-
tions ne succombent pas parce qu'elles sont
débiles, mais parce qu'elles sont viles ».
Allons-nous donc nous soumettre à la vo-
lonté de l'Allemagne et solliciter humble-
ment des sauf-conduits pour nos navires ?
Bientôt il nous faudra un sauf-conduit ger-
manique pour porter un nouveau-né sur les
fonts baptismaux. Il est facile de prévoir
la destruction prochaine de quelque navire,
pourvu pourtant du tutélaire sauf-conduit.
« Que n'en avait-il quatre ou cinq ? » diront
alors les germanophiles. Qu'ils aient ou non
une sanction officielle, ces sauf-conduits doi-
vent être regardés par tout Espagnol en-
core digne de ce nom comme un stigmate
de servitude appliqué sur le front de l'Es-
pagne. Solliciter et accepter des sanctions
et des permis injustifiés, c'est une vilenie
manifeste. Est-ce donc par la vilenie qu'on
prétend porter remède à la faiblesse de l'Es-
pagne ? Le résultat d'un tel système, c'est
que si les Espagnols ne se ressaisissent pas,
la nation ne mourra pas seulement de fai-
blesse, elle ne mourra pas seulement de vile-
nie. Au train dont vont les choses, elle
mourra des deux. — (Mariano de Caviá)
Imparcial, 9,1.
FINANCES
Brésil. — Les principaux journaux com-
mentent les déclarations du Dr Wenceslau
Braz, Président de la République, et le rap-
port du Dr Pandiá Calogeras, ministre des
Finances, sur l'état financier du Brésil et
le paiement du funding. La presse incite les
autorités de tous les Etats à persévérer
dans la voie des économies, afin de conso-
lider le crédit du Brésil à l'étranger et d'ai-
der à la renaissance économique du pays.
Les cercles financiers affirment que les ban-
ques anglaises et nord-américaines étudient
la conclusion d'un accord destiné à fournir
au Brésil les capitaux nécessaires à son dé-
veloppement agricole et industriel, en aidant
le gouvernement fédéral à réaliser ses pro-
jets financiers. — Seculo, 6.1.
ALIMENTATION, RAVITAILLEMENT
France et Angleterre. — La question de
l'alimentation devient sérieuse en Angle-
terre et en France. Ces deux puissances
pourront bientôt avoir à souffrir de la faim
comme l'Allemagne et surtout l'Autriche en
souffrent depuis un an. Il suffit, pour s'en
convaincre, de recueillir les chiffres donnés
par les journaux anglais. Il y a sept mois
les sous-marins coulaient un navire anglais
ou neutre par jour. Il y a cinq mois la
(E.-M.-A., 5e Bau)
ET DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 321
Paris, 16 janvier 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Les critiques militaires allemands sem-
blent croire que la Conférence de Rome a
décidé Une offensive commune contre la
Turquie. Une campagne heureuse en Pales-
tine et en Syrie nous permettrait de couper
le ch emin de fer de Bagdad, et s'ajusterait
aux opérations d'Arménie et de Mésopota-
o e. 1. Y a là une hypothèse plausible. On
rence i également supposer que la Confé-
111é ce, de ome a résolu de renforcer l'ar-
mée Sarrail en vue d'une attaque contre les
Bulsir Nous devons nous contenter de
formul fces deux alternatives sans décider
entre « n
tent e elles ; il faut que nos intentions res-
tent 'ip i s longtemps possible, absolument
le es. Quelles qu'elles soient, d'ailleurs,
écarts fr d'une attaque grecque doit être
sée av Grande-Bretagne s'est trop lais-
pou aeugler par.sa tendresse traditionnelle
Pour Turcs, et a trop compté conclure
avec p une paix séparée. N'oublions pas
o Empire ottoman est le plus grand
dresseur du monde. Sans l'anéantir, nous
denns le rejeter hors de l'Europe. — (Stu-
dent of War) Manchest. Guard, 13.1.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Prout rournain. — Pendant que les Alle-
ses nps et les. Bulgares enlèvent aux Rus-
ses a flve méridionale du Séreth, les con-
tinsent allemands et austro-hongrois pé-
nètrpfnt en Moldavie par les vallées des
• Les hauts sommets et les intem-
et res formaient des obstacles redoutables
tralpedant nos troupes, qui ont réussi à
traîner JUsqu'à de l'artillerie lourde au tra-
Vers des massifs montagneux, pressent l'en-
nemi Sc,tns arrêt. L'aile gauche de nos trou-
pes Stans arrêt. L'aile gauche de nos trou-
et les vallées de la Putna et de
laSusita t' à quelques kilomètres de la plaine
et men le flanc russe au nord de Foc-
les au Nord, dans la vallée de l'Oituz,
che en sses essayèrent d'arrêter notre mar-
che en r2Slstant sur deux positions élevées
et fortifi sur deux positions élevées
ses f ortifiées. Ces deux positions furent pri-
Ses d'as*ut et toutes les furieuses contre-
Fr s repoussées. — Frankf. Ztg., 12.1.
Un jt égyptien. La prise de Rafa est
Ei a d armes. Notre progression jus-
sernent av et au delà, contraste curieu-
nos 0 é avc la <( prudence extrême » de
rnirabYeabons en 1915-16. Nous avons ad-
une for ent réussi à lancer rapidement
Urle force éd hoc capable de remporter un
Inlfent 15 biSIf. Les troupes britanniques
Ui sépa eures pour couvrir les 30 milles
tlm sénarVRafa de El Arish : elles at-
néantis t ar surprise, et les Turcs furent
l'ès bien. otre service de renseignements,
nuvrer ,Ulformé, nous a permis de ma-
n Ouvrer eilnerni fort habilement. — (Ed.)
aric h Guard., V2A.
MATERIEL
Dans une brochure parue à Berne sous
le titre : Maschinengewehre [« mitrailleu-
ses »], le colonel brigadier F. Gertsch, tirant
des enseignements de la guerre actuelle,
préconise la transformation de l'infanterie
en corps de mitrailleurs. Le fantassin,
exercé au maniement de la mitrailleuse,
serait débarrassé de son sac et armé d'une
carabine. — Volksrecht, 8.1
ORGANISATION
Allemagne. — » L'Office de guerre » pu.
blie l'avis suivant : « Des réclamations se
sont produites au sujet des ouvriers spé-
cialistes actuellement au front et demandés
dans les usines de guerre. Il importe de
donner très exactement le nom de ces
hommes et de fournir toutes les indications
qui permettront de les atteindre immédia-
tement. Beaucoup d'adresses sont inexac-
tes, ou se rapportent à des hommes tués
ou disparus. Il en résulte d'inutiles com-
plications d'écritures. D'une façon générale,
tout homme, dont le travail est absolument
nécessaire aux usines de guerre est rap-
pelé du front, pourvu que les opérations
militaires le permettent. » — Berlin.
Tag bl., 11.1.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
Angleterre. — Dans son discours de Gor-
ton, le 7.1, M. Hodge, ministre du Travail,
a dit deux choses importantes : Si les me-
sures pour améliorer la situation matérielle
des ouvriers sont bonnes en temps de guer-
re, elles ne sont pas moins bonnes en
temps de paix ; et si elles sont bonnes pour
les établissements placés sous le contrôle
de l'Etat, elles le sont aussi pour les autres.
Des progrès ont été réalisés, pour porter au
maximum l'effort national, qui auraient dif-
ficilement abouti dans des circonstances nor-
males. C'est un devoir, envers la postérité
comme envers les morts, de pousser ces
progrès toujours plus loin. Les améliora-
tions sociales ne sont pas un luxe ; la vé-
ritable économie nationale les exige.- (Ed.)
Manchest. Guard., 8.1.
BLOCUS
Angleterre. — M. Lloyd George a parlé
de nationaliser toute la marine marchande.
Cela signifie que, mis entièrement à la dis-
position de l'Etat, les navires seraient ar-
més et prendraient le caractère de flotte
auxiliaire ; c'est-à-dire cesseraient de navi-
guer sous le couvert des lois internationa-
les pour courir tous les risques des trans-
ports de guerre. Cela signifie aussi qu'une
partie notable des navires qui desservent
les ports américains passeront à l'Ami-
rauté. Il nous faudra donc compter exclusi-
vement sur nos propres ressources. Il s'agit
de les augmenter sans délai, si nous ne
voulons pas être pris à court. — (Ed.)
World, 21.12.
— Si l'Amirauté anglaise s'empare de la
flotte marchande, nous cessons d'y prendre
aucun intérêt du point de vue des lois inter-
nationales. Car tout alors devient navire de
guerre. — (Ed.) Springfield Republican, id.
Espagne. — M. Antonio Maura a dit
dans son discours de Beranga : « Les na-
tions ne succombent pas parce qu'elles sont
débiles, mais parce qu'elles sont viles ».
Allons-nous donc nous soumettre à la vo-
lonté de l'Allemagne et solliciter humble-
ment des sauf-conduits pour nos navires ?
Bientôt il nous faudra un sauf-conduit ger-
manique pour porter un nouveau-né sur les
fonts baptismaux. Il est facile de prévoir
la destruction prochaine de quelque navire,
pourvu pourtant du tutélaire sauf-conduit.
« Que n'en avait-il quatre ou cinq ? » diront
alors les germanophiles. Qu'ils aient ou non
une sanction officielle, ces sauf-conduits doi-
vent être regardés par tout Espagnol en-
core digne de ce nom comme un stigmate
de servitude appliqué sur le front de l'Es-
pagne. Solliciter et accepter des sanctions
et des permis injustifiés, c'est une vilenie
manifeste. Est-ce donc par la vilenie qu'on
prétend porter remède à la faiblesse de l'Es-
pagne ? Le résultat d'un tel système, c'est
que si les Espagnols ne se ressaisissent pas,
la nation ne mourra pas seulement de fai-
blesse, elle ne mourra pas seulement de vile-
nie. Au train dont vont les choses, elle
mourra des deux. — (Mariano de Caviá)
Imparcial, 9,1.
FINANCES
Brésil. — Les principaux journaux com-
mentent les déclarations du Dr Wenceslau
Braz, Président de la République, et le rap-
port du Dr Pandiá Calogeras, ministre des
Finances, sur l'état financier du Brésil et
le paiement du funding. La presse incite les
autorités de tous les Etats à persévérer
dans la voie des économies, afin de conso-
lider le crédit du Brésil à l'étranger et d'ai-
der à la renaissance économique du pays.
Les cercles financiers affirment que les ban-
ques anglaises et nord-américaines étudient
la conclusion d'un accord destiné à fournir
au Brésil les capitaux nécessaires à son dé-
veloppement agricole et industriel, en aidant
le gouvernement fédéral à réaliser ses pro-
jets financiers. — Seculo, 6.1.
ALIMENTATION, RAVITAILLEMENT
France et Angleterre. — La question de
l'alimentation devient sérieuse en Angle-
terre et en France. Ces deux puissances
pourront bientôt avoir à souffrir de la faim
comme l'Allemagne et surtout l'Autriche en
souffrent depuis un an. Il suffit, pour s'en
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