Titre : Le Miroir des sports : publication hebdomadaire illustrée
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1927-09-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38728672j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 20 septembre 1927 20 septembre 1927
Description : 1927/09/20 (N392,A17). 1927/09/20 (N392,A17).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9796184w
Source : INSEP (Institut National du Sport de l'Expertise et de la Performance), 2013-54014
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
226 LE MIROIR DES SPORTS
LA DÉFAITE, A PLATE COUTURE, DE L'ÉQUIPE DE PARIS A BUDAPEST PROUVE
QUE LA CLASSE INTERNATIONALE DE NOTRE ATHLÉTISME EST MODESTE
La France se place en sixième position, derrière l'Angleterre, l'Allemagne, la Hongrie, la Suède et la Finlande.
HAJDU GAGNE LE 200 M. EN 22". A sa g.: THÉARD,
ONE équipe sélectionnée de Paris vient de se
rendre a Budapest . Elle a été battue à plate
couture. « Ce n'était pas la meilleure que
l'on pouvait former v, disent lès uns.
C( Quelques athlètes choisis avaient dû se rendre
directement de Rome jusqu'en la capitale de la
Hongrie », disent les autres. « Manque de prépara-
tion », ajouta-t-on. Pourquoi ne pas avoir le cou-
rage de dire : infériorité de rathlétisme français
sur le hongrois? Ceci serait autrement exact, car
les excuses présentées n'en sont pas. Ce ne sont
pas les mauvaises raisons qui atténueront en 9.uoi
que ce soit une défaite aussi décisive, qui se
résume par neuf défaites contre cinq victoires
seulement à notre actif. En effet, les premières
places que nous avons obtenues sur le stade du
F. T. C. sont dans le 100 mètres par Théard ; le
800 mètres, par Wiriath ; le 1.500 mètres, par Nor-
land ; le 110 mètres haies, par Viel, et le saut à la
perche, par Vintousky. Or, que ce serait-il produit
si Mourlon ou Degrelle, Baraton ou Martin avaient
été présents? Ils ne pouvaient faire mieux que
vaincre, comme le firent Théard, Wiriath et Nor-
land. Peut-être aurions-nous ajouté le 200 mètres
à notre nnlrnarès. mais cela est très incertain.
puisque le Hongrois
Hadju battit le record de
son pays en 22 secondes,
temps représentant la
meilleure performance
réalisée par un des nôtres,
cette saison. D'autre
part, qu'aurait pu faire
Duhour contre Daranyi,
lui qui n'arriva que péni-
blement, cette année, à
approcher les 14 mètres,
alors que le champion
hongrois lança le poids
à 14 m. 47 t Et Féger,
sur 400 mètres, pouvait-il
espérer mieux que49' 3/5,
temps réalisé par Barsi,
contre un Féry qui ne
peut plus espérer grand'-
" chose?
Quant au détour, par
Rome, de nos universi-
taires, il n'y a guère à s'en
plaindre, puisque Théard
et Wiriath, les princi-
paux intéressés, sortirent
vainqueurs de leur com-
pétition.
Enfin, en ce qui con-
cerne la préparation de
l'équipe pansienne, elle
ne pouvait être meilleure,
car, si nos athlètes
n'étaient pas en forme
à cette époque de l'an-
née, il faudrait désespé-
rer de les voir jamais y
parvenir.
Pour nier l'infériorité française, on pourrait, en
dernier ressort, objecter que Paris n'est pas la
France. Mais cette affirmation est vraie aussi bien
pour nos adversaires- que pour nous : Budapest
n'est pas toute la Hongrie. Je veux bien croire que,
là-bas, la principale force athlétique se trouve dans
la capitale, mais n'est-ce pas exactement notre
cas? Même si nous avions présenté, à Budapest,
notre équipe nationale, nous y aurions été battus,
car les Hongrois nous ont surclassés de telle façon
dans les concoure (Kermarki battit Lewden en
sautant 1 m. 86, et Somfai, notre' champion de
France Couillaud, avec 6 ln. 80 en longueur) et,
plus principalement dans les lancers (Szepes
réussit 61 m. 48 au javelot ; Karlovitz, 45 m. 50
au disque), que nous ne vovons pas par quels pro-
diges nous aurions pu faire tourner les événements
en notre faveur.
Cette défaite doit, non pas nous décourager, mais
- nous montrer toute l'étendue de notre travail.
Il ne faut pas, en effet, déclarer que nos victoires
de Vienne atténuent en quoi que ce soit les résul-
tats de Budapest, puisque tous les succès obtenus
ici l'ont été avec des performances moindres que
celles qui, quelques jours plus tôt, causèrent nos
défaites. Seul, le jet de Degland, qui, à Vienne, au
javelot, dépasse 60 mètres, peut être considéré
comme sortant de l'ordinaire. Mais cette distance,
qui commence à être intéressante, ne devrait être
que le prélude de performances internationales.
Et celles-ci ne seront réalisées par Degland que
s'il est mis au point par un conseiller particulière-
ment compétent dans les lancers : Cambier, par
exemple, que l'on reverrait volontiers à Paris pour
s'occuper de notre préparation olympique.
A ce point de vue, nous devons nous féliciter
d'avoir accompli le voyage au centre de l'Europe.
Nous nous consolions trop rapidement de nos
défaites contre l'Angleterre et contre l'Allemagne.
« Mais, disions-nous, nos vainqueurs appartien-
nent à de grandes nations, qui ont des moyens très
supérieurs aux nôtres. Nous ne pouvons avoir la
prétention d'être toujours les premiers au monde.
Etre battus par de telles puissances ne peut être
considéré comme déshonorant. Continuons notre
petit bonhomme de chemin, nous avons progressé.
Cela est certain. Constatez, ces dernières années,
les chutes de nos records nationaux. 1)
Ce manque d'ambition pourrait nous être
néfaste, car nous oublions de dire que, si nous avons
fait quelques pas en avant, la plupart des nations
dans le monde en ont souvent fait le double.
Situant donc franchement les choses, le bilan
athlétique européen s'établit de telle sorte que
nous arrivons péniblement en sixième position,der-
rière l'Angleterre, l'Allemagne, la Hongrie, la
Suède, la Finlande, et il reste encore à prouver que
nous sommes supérieurs à la Norvège et à l'Italie.
Pourquoi en est-il ainsi? Sommes-nous vérita-
blement plus atteints par la guerre que ne 1'ont
été les Allemands, les Anglais et les Hongrois, par
exemple? Notre race est-elle sur la mauvaise pente?
A VIENNE, DEGLAND BAT LE RECORD DE FRANCE DU JAVELOT, AVEC UN JET DE 60 M. 52
f
BARSI (à g.) VA BATTRE FÉRY DANS LE 400 M.
Je ne le crois pas. Certains athlètes que nous
avons eus se sont montrés possesseurs de rares
ressources. N'oublions pas nos Saint-Yves, Siret,-
Gonder, Failliot, Manus Eynard, Paoli, Jean
Bouin, Guillemot, Séra Martin, Lewden, Sempé,
dont la grande classe s'est manifestée aussi bien
dans les sauts que dans les lancers, les courses de
fond qu'en vitesse ou en demi-fond. \
Une nation qui, à chaque moment de son exis-
tence, est parvenue à découvrir une telle variété
de champions, devrait obtenir de meilleurs résul-
tats qu'elle ne le fait actuellement. Si elle n'y par-
vient pas, c'est qu'elle est mal guidée. Son rende-
ment athlétique est déplorable, par suite de son
manque d'organisation. Jadis, lorsque la plupart
des pays européens procédaient au petit bonheur
la chance, comme c était notre cas et l'est encore
aujourd'hui, nous avions la possibilité de figurer
. au premier rang. Mais le jour oit l'étranger s'est mis
au travail avec méthode, où il a remarqué le rôle
prépondérant de l'entraîneur, ce jour-là, nous
avons commencé à rétrograder. La faiblesse de
notre organisation technique est une des causes
principales de notre infériorité présente. Laissés à
eux-mêmes, nos athlètes manquent de discipline.
Ils ne peuvent jouer à.
la fois le rôle d'élève et de
professeur. Tant que nous
n'aurons pas admis chez
nous les entraîneurs pro-
fessionnels, anciens athlè-
tes ayant acquis expé-
rience et considération,
nous n'aboutirons jamais
à rien de bon. C'est grâce
à une base solide d édu-
cation athlétique, compo-
sée d'une hiérarchie de
professeurs de sports et
d'éducation physique,
que l'Allemagne a pro-
gressé rapidement.
Malheureusement, le
moment semble encore
bien loin où nous adop-
terons semblable régime.
Beaucoup de nos diri-
geants de clubs, qui sont
plutôt des politiciens du
sport que des techniciens,
voient d'un assezmauvais
œil cette introduction,
dans les milieux qu'ils
gouvernent, de nouveaux ...
venus, qui s'interpose-
raient entre eux et les
athlètes et auraient sur
ces derniers une plus
grande influence que la
leur. Ils font donc tout
ce qu'ils peuvent pour
retarder l'avènement de
l'entraîneur sur nos tér-
rains. GÉo ANDRK.
LA DÉFAITE, A PLATE COUTURE, DE L'ÉQUIPE DE PARIS A BUDAPEST PROUVE
QUE LA CLASSE INTERNATIONALE DE NOTRE ATHLÉTISME EST MODESTE
La France se place en sixième position, derrière l'Angleterre, l'Allemagne, la Hongrie, la Suède et la Finlande.
HAJDU GAGNE LE 200 M. EN 22". A sa g.: THÉARD,
ONE équipe sélectionnée de Paris vient de se
rendre a Budapest . Elle a été battue à plate
couture. « Ce n'était pas la meilleure que
l'on pouvait former v, disent lès uns.
C( Quelques athlètes choisis avaient dû se rendre
directement de Rome jusqu'en la capitale de la
Hongrie », disent les autres. « Manque de prépara-
tion », ajouta-t-on. Pourquoi ne pas avoir le cou-
rage de dire : infériorité de rathlétisme français
sur le hongrois? Ceci serait autrement exact, car
les excuses présentées n'en sont pas. Ce ne sont
pas les mauvaises raisons qui atténueront en 9.uoi
que ce soit une défaite aussi décisive, qui se
résume par neuf défaites contre cinq victoires
seulement à notre actif. En effet, les premières
places que nous avons obtenues sur le stade du
F. T. C. sont dans le 100 mètres par Théard ; le
800 mètres, par Wiriath ; le 1.500 mètres, par Nor-
land ; le 110 mètres haies, par Viel, et le saut à la
perche, par Vintousky. Or, que ce serait-il produit
si Mourlon ou Degrelle, Baraton ou Martin avaient
été présents? Ils ne pouvaient faire mieux que
vaincre, comme le firent Théard, Wiriath et Nor-
land. Peut-être aurions-nous ajouté le 200 mètres
à notre nnlrnarès. mais cela est très incertain.
puisque le Hongrois
Hadju battit le record de
son pays en 22 secondes,
temps représentant la
meilleure performance
réalisée par un des nôtres,
cette saison. D'autre
part, qu'aurait pu faire
Duhour contre Daranyi,
lui qui n'arriva que péni-
blement, cette année, à
approcher les 14 mètres,
alors que le champion
hongrois lança le poids
à 14 m. 47 t Et Féger,
sur 400 mètres, pouvait-il
espérer mieux que49' 3/5,
temps réalisé par Barsi,
contre un Féry qui ne
peut plus espérer grand'-
" chose?
Quant au détour, par
Rome, de nos universi-
taires, il n'y a guère à s'en
plaindre, puisque Théard
et Wiriath, les princi-
paux intéressés, sortirent
vainqueurs de leur com-
pétition.
Enfin, en ce qui con-
cerne la préparation de
l'équipe pansienne, elle
ne pouvait être meilleure,
car, si nos athlètes
n'étaient pas en forme
à cette époque de l'an-
née, il faudrait désespé-
rer de les voir jamais y
parvenir.
Pour nier l'infériorité française, on pourrait, en
dernier ressort, objecter que Paris n'est pas la
France. Mais cette affirmation est vraie aussi bien
pour nos adversaires- que pour nous : Budapest
n'est pas toute la Hongrie. Je veux bien croire que,
là-bas, la principale force athlétique se trouve dans
la capitale, mais n'est-ce pas exactement notre
cas? Même si nous avions présenté, à Budapest,
notre équipe nationale, nous y aurions été battus,
car les Hongrois nous ont surclassés de telle façon
dans les concoure (Kermarki battit Lewden en
sautant 1 m. 86, et Somfai, notre' champion de
France Couillaud, avec 6 ln. 80 en longueur) et,
plus principalement dans les lancers (Szepes
réussit 61 m. 48 au javelot ; Karlovitz, 45 m. 50
au disque), que nous ne vovons pas par quels pro-
diges nous aurions pu faire tourner les événements
en notre faveur.
Cette défaite doit, non pas nous décourager, mais
- nous montrer toute l'étendue de notre travail.
Il ne faut pas, en effet, déclarer que nos victoires
de Vienne atténuent en quoi que ce soit les résul-
tats de Budapest, puisque tous les succès obtenus
ici l'ont été avec des performances moindres que
celles qui, quelques jours plus tôt, causèrent nos
défaites. Seul, le jet de Degland, qui, à Vienne, au
javelot, dépasse 60 mètres, peut être considéré
comme sortant de l'ordinaire. Mais cette distance,
qui commence à être intéressante, ne devrait être
que le prélude de performances internationales.
Et celles-ci ne seront réalisées par Degland que
s'il est mis au point par un conseiller particulière-
ment compétent dans les lancers : Cambier, par
exemple, que l'on reverrait volontiers à Paris pour
s'occuper de notre préparation olympique.
A ce point de vue, nous devons nous féliciter
d'avoir accompli le voyage au centre de l'Europe.
Nous nous consolions trop rapidement de nos
défaites contre l'Angleterre et contre l'Allemagne.
« Mais, disions-nous, nos vainqueurs appartien-
nent à de grandes nations, qui ont des moyens très
supérieurs aux nôtres. Nous ne pouvons avoir la
prétention d'être toujours les premiers au monde.
Etre battus par de telles puissances ne peut être
considéré comme déshonorant. Continuons notre
petit bonhomme de chemin, nous avons progressé.
Cela est certain. Constatez, ces dernières années,
les chutes de nos records nationaux. 1)
Ce manque d'ambition pourrait nous être
néfaste, car nous oublions de dire que, si nous avons
fait quelques pas en avant, la plupart des nations
dans le monde en ont souvent fait le double.
Situant donc franchement les choses, le bilan
athlétique européen s'établit de telle sorte que
nous arrivons péniblement en sixième position,der-
rière l'Angleterre, l'Allemagne, la Hongrie, la
Suède, la Finlande, et il reste encore à prouver que
nous sommes supérieurs à la Norvège et à l'Italie.
Pourquoi en est-il ainsi? Sommes-nous vérita-
blement plus atteints par la guerre que ne 1'ont
été les Allemands, les Anglais et les Hongrois, par
exemple? Notre race est-elle sur la mauvaise pente?
A VIENNE, DEGLAND BAT LE RECORD DE FRANCE DU JAVELOT, AVEC UN JET DE 60 M. 52
f
BARSI (à g.) VA BATTRE FÉRY DANS LE 400 M.
Je ne le crois pas. Certains athlètes que nous
avons eus se sont montrés possesseurs de rares
ressources. N'oublions pas nos Saint-Yves, Siret,-
Gonder, Failliot, Manus Eynard, Paoli, Jean
Bouin, Guillemot, Séra Martin, Lewden, Sempé,
dont la grande classe s'est manifestée aussi bien
dans les sauts que dans les lancers, les courses de
fond qu'en vitesse ou en demi-fond. \
Une nation qui, à chaque moment de son exis-
tence, est parvenue à découvrir une telle variété
de champions, devrait obtenir de meilleurs résul-
tats qu'elle ne le fait actuellement. Si elle n'y par-
vient pas, c'est qu'elle est mal guidée. Son rende-
ment athlétique est déplorable, par suite de son
manque d'organisation. Jadis, lorsque la plupart
des pays européens procédaient au petit bonheur
la chance, comme c était notre cas et l'est encore
aujourd'hui, nous avions la possibilité de figurer
. au premier rang. Mais le jour oit l'étranger s'est mis
au travail avec méthode, où il a remarqué le rôle
prépondérant de l'entraîneur, ce jour-là, nous
avons commencé à rétrograder. La faiblesse de
notre organisation technique est une des causes
principales de notre infériorité présente. Laissés à
eux-mêmes, nos athlètes manquent de discipline.
Ils ne peuvent jouer à.
la fois le rôle d'élève et de
professeur. Tant que nous
n'aurons pas admis chez
nous les entraîneurs pro-
fessionnels, anciens athlè-
tes ayant acquis expé-
rience et considération,
nous n'aboutirons jamais
à rien de bon. C'est grâce
à une base solide d édu-
cation athlétique, compo-
sée d'une hiérarchie de
professeurs de sports et
d'éducation physique,
que l'Allemagne a pro-
gressé rapidement.
Malheureusement, le
moment semble encore
bien loin où nous adop-
terons semblable régime.
Beaucoup de nos diri-
geants de clubs, qui sont
plutôt des politiciens du
sport que des techniciens,
voient d'un assezmauvais
œil cette introduction,
dans les milieux qu'ils
gouvernent, de nouveaux ...
venus, qui s'interpose-
raient entre eux et les
athlètes et auraient sur
ces derniers une plus
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leur. Ils font donc tout
ce qu'ils peuvent pour
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