- Aller à la page de la table des matières261
- TABLE DES MATIÈRES
- ARACHIDE
- Pages
- I. - L'ARACHIDE.
- a) Extension des cultures;
- b) Augmentation du rendement des cultures.
- II. - PROGRAMME DE PRODUCTION. - SERVICE D'AGRICULTURE. - ECOLES. - INSTITUT DE BINGERVILLE.
- .......... Page(s) .......... 17
- Membres du Comité pour l'Arachide;
- Questions étudiés;
- Note du Rapporteur;
- Résumé de la discussion sur les arachides.
- .......... Page(s) .......... 24
- Variétés et culture;
- Préparation de l'huile;
- Emploi et Commerce.
- .......... Page(s) .......... 84
- .......... Page(s) .......... 106
- .......... Page(s) .......... 115
- .......... Page(s) .......... 153
- .......... Page(s) .......... 256
- COCOTIER
- .......... Page(s) .......... 38
- .......... Page(s) .......... 89
- .......... Page(s) .......... 95
- .......... Page(s) .......... 100
- .......... Page(s) .......... 104
- .......... Page(s) .......... 107
- .......... Page(s) .......... 153
- .......... Page(s) .......... 242
- Concurrence avec l'huile de palme et l'huile de palmiste. - Objections à l'exportation du coprah. - Fabrication de l'huile à partir de la pulpe fraîche. - Fabrication de l'huile pure de coco. - Fabrication de l'huile à partir de la chair râpée sèche. - Rancidité de l'huile de noix de coco.
- .......... Page(s) .......... 253
- .......... Page(s) .......... 255
- PALMIER A HUILE
- .......... Page(s) .......... 37
- I. - FABRICATION DE L'HUILE DANS LES USINES.
- a) Usine d'Impérie à la C. G. A. F.;
- b) Usine d'Ana à la société "Péricarp";
- c) Usine Blachon, système Poisson. (Avantages et inconvénients de ces divers systèmes)
- II. - FABRICATION DE L'HUILE DE PALME PAR LES INDIGENES.
- a) Fabrication de l'huile dans la région de Dabou.
- b) Application de ces procédés au Gabon. - Expériences de fabrication effectuées à Louna;
- c) Règlementation. - Rendement;
- d) Qualité de l'huile fabriquée;
- e) Dosage des acides gras libres.
- .......... Page(s) .......... 51
- I. - L'INDUSTRIE DES AMANDES DE PALME AVANT LA GUERRE EN ANGLETERRE ET EN ALLEMAGNE.
- II. - LA SITUATION ACTUELLE DE L'INDUSTRIE DES MATIERES GRASSES EN ANGLETERRE ET EN FRANCE.
- III. - MESURES A PRENDRE POUR AMELIORER ET DEVELOPPER L'EXPLOITATIONDU PALMIER A HUILE.
- .......... Page(s) .......... 153
- .......... Page(s) .......... 173
- I. - APERÇU SUR LA CAPACITE THEORIQUE DU DAHOMEY EN HUILE ET AMANDES DE PALME. Importance économique du palmier à huile. - Répartition du palmier à huile. - Importance du peuplement. - Densité à l'hectare. - Total du peuplement industriel. - Rendement moyen du palmier à huile. - Composition du fruit. - Produits que l'on pourrait obtenir théoriquement à partir de 100 kilos de fruits. - Produits obtenus par le traitement des fruits par le procédé indigène. - Capacité théorique du Dahomey en huile et amandes de palme. - Exportations théoriques. - Exportations actuelles et proportion de palmiers récoltés. - Mise en culture du palmier à huile, la culture actuelle, ses inconvénients. - Améliorations à apporter à la culture actuelle; accroissement de la population. - Rotation rapide des cultures. - Sélection et multiplication des meilleures variétés. - Récolte du palmier à huile.
- II. - INDUSTRIALISATION DE LA PRODUCTION.: Recherche du type d'usine à adopter. - Renseignements techniques sur quelques huileries de la Côte d'Ivoire et du Togo. - Machinerie. - Prix de revient d'une installation traitant en moyenne 10 t. par jour. - Frais journaliers d'une usine traitant en moyenne 10 t. par jour. - Recettes journalières d'une usine traitant en moyenne 10 t. par jour. - Conclusion.
- Augmentation de la production par simple industrialisation des procédés d'extraction. - Le ravitaillement de l'usine basé sur l'exploitation des palmeraies aménagées. - Plantations régulières de l'Elaeis en Afrique. - La sélection du palmier à huile. - La machinerie d'usine et la préparation de l'huile de palme. - Les possibilités de mise au point d'une nouvelle culture en Afrique. - Conclusion.
- L'OLIVIER
- LE RICIN
- TRAITEMENT INDUSTRIEL des Matières Grasses
- .......... Page(s) .......... 26
- .......... Page(s) .......... 32
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 104
- .......... Page(s) .......... 114
- .......... Page(s) .......... 115
- .......... Page(s) .......... 115
- .......... Page(s) .......... 119
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 211
- .......... Page(s) .......... 214
- .......... Page(s) .......... 216
- .......... Page(s) .......... 216
- .......... Page(s) .......... 253
- STATISTIQUES ET RÉGLEMENTATION du Commerce des Matières Grasses
- DIVERS
- .......... Page(s) .......... 84
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 88
- .......... Page(s) .......... 88
- .......... Page(s) .......... 106
- .......... Page(s) .......... 116
- .......... Page(s) .......... 117
- .......... Page(s) .......... 118
- .......... Page(s) .......... 118
- .......... Page(s) .......... 119
- .......... Page(s) .......... 120
- .......... Page(s) .......... 213
- .......... Page(s) .......... 258
- .......... Page(s) .......... 258
- .......... Page(s) .......... 259
- .......... Page(s) .......... 259
— 16 —
Doté de la personnalité civile, subventionné par les Colonies intéressées,
A. 0. F. et A. E. F., pouvant recevoir des dons et des subventions des particu-
liers, de l'industrie et du commerce, pouvant de son propre domaine tirer un
revenu important et croissant chaque année, il semble que cet établissement,
placé sous le patronage de l'Institut de France ou de l'Université de Paris,
puisse rendre des services précieux à la science et aider singulièrement au déve-
loppement économique de l'Afrique Française.
L'exposé que je viens de faire, des mesures propres à augmenter la production
des oléagineux en A. 0. F., montre par l'ampleur que j'ai dû lui donner et par
les détails dans lesquels j'ai dû entrer, combien cette question est ardue et com-
plexe et quels efforts, consciencieux et tenaces, patients et ordonnés, elle néces-
sitera de la part de l'Administration.
Je ne pense pas que l'application d'aucune des mesures que j'ai proposées —
même si à l'usage certaines étaient reconnues inopérantes dans leur objet pro-
pre — doive conduire à des résultats mauvais au point de vue du perfection-
nement général des conditions d'existence de la Colonie.
Parmi elles, il en est qui n'aboutiront qu'à longue échéance, et pour autant
qu'elles seront appliquées judicieusement et suivies dans leurs incidences par
des agents de l'Administration : personnel des cercles et des services de l'Agri-
culture et de l'Enseignement, ayant une haute idée de leurs devoirs, une claire
notion du rôle de premier plan qu'ils ont à jouer dans la formation des masses
indigènes et dans leurs relations avec le commerce.
D'autres mesures, notamment les directrices, les impulsives, celles qui action-
nent et composent les efforts subordonnés et qui doivent émaner des hautes
Administrations du Gouvernement Général et de chacune des Colonies du
groupe, n'auront chance de donner des résultats prochains et durables que par
une continuité de vues et un choix de saines méthodes qui ont peut-être manqué
quelquefois en A. O. F. Le haut personnel, aux divers degrés de la hiérarchie,
doit avoir la préoccupation de rechercher dans les cas particuliers des solutions
opportunes et promptes, de réaliser avant tout, fût-ce en sacrifiant, parmi les
parties composantes d'un ensemble, celles qui ne sont pas immédiatement essen,
tielles : créer d'abord, perfectionner ensuite.
La collaboration du commerce et de l'industrie, tant de la Colonie que de la
Métropole, dont l'effet se fera sentir par des associations dégagées de tout inté-
rêt particulier, aux vues larges, cherchant à appliquer des méthodes nouvelles,
sera, féconde si elle est confiante, si elle s'efforce d'établir une liaison plus
intime que par le passé avec l'indigène producteur. Commercer n'est pas seule-
ment tirer du bénéfice immédiat par un jeu d'achats et de ventes au cours
duquel on ne s'intéresse aux produits ou marchandises qu'autant qu'on en a
au passage la responsabilité. C'est aussi se préoccuper d'en s-uivre la produc-
tion ou l'emploi et, justement, pour augmenter le champ des achats ou ventes
futurs et par cela même créer en puissance de prochains bénéfices ; c'est encore
savoir consacrer opportunément quelques sommes à l'amélioration des installa-
tions locales, au développement des villes, au perfectionnement des races indi-
gènes et de leur mentalité, pour mieux achalander dans l'avenir les opérations
et accroître le chiffre des affaires. C'est, en somme, aider l'Administration à
coloniser au moins autant que s'employer exclusivement à produire de la
richesse pour soi.
De toutes les mesures que j'ai proposées, celles qui exigent le concours d'inté-
rêts divers, d'hommes nombreux, blancs ou noirs, avec leur faiblesses et leurs
imperfections, peuvent ne conduire au but que lentement et par une série de
fluctuations. Mais heureusement, il en est d'autres qui sont susceptibles, une
fois admises, d'entraîner tout le système malgré les résistances passives qu'on
pourra rencontrer. Par exemple, construire des ports bien outillés et des che-
mins de fer, sur un programme qui, je crois, n'est pas discutable, ce sera ouvrir
de nouvelles régions et solliciter de nouvelles populations qui instinctivement,
pour la satisfaction de leurs besoins, créeront nécessairement du trafic nouveau.
Nous aurons là un accroissement certain de la production pourvu que nos com-
pagnies de navigation prennent les ,mesures voulues pour augmenter leurs flot-
tes et les moderniser.
Je m'efforcerai en ce qui me concerne — et dans les limites qu'une situation
provisoire à la tête du Gouvernement Général me trace — de continuer à réa-
liser les conceptions que je viens d'exposer, sans intransigeance et en adoptant
leur esprit aux circonstances de fait qui pourraient conduire à les mettre en
œuvre sous une forme différente de celle que j'aperçois maintenant.
Dakar, le 20 juillet 1918.
Le Gouverneur General,
G. ANGOULVANT.
Doté de la personnalité civile, subventionné par les Colonies intéressées,
A. 0. F. et A. E. F., pouvant recevoir des dons et des subventions des particu-
liers, de l'industrie et du commerce, pouvant de son propre domaine tirer un
revenu important et croissant chaque année, il semble que cet établissement,
placé sous le patronage de l'Institut de France ou de l'Université de Paris,
puisse rendre des services précieux à la science et aider singulièrement au déve-
loppement économique de l'Afrique Française.
L'exposé que je viens de faire, des mesures propres à augmenter la production
des oléagineux en A. 0. F., montre par l'ampleur que j'ai dû lui donner et par
les détails dans lesquels j'ai dû entrer, combien cette question est ardue et com-
plexe et quels efforts, consciencieux et tenaces, patients et ordonnés, elle néces-
sitera de la part de l'Administration.
Je ne pense pas que l'application d'aucune des mesures que j'ai proposées —
même si à l'usage certaines étaient reconnues inopérantes dans leur objet pro-
pre — doive conduire à des résultats mauvais au point de vue du perfection-
nement général des conditions d'existence de la Colonie.
Parmi elles, il en est qui n'aboutiront qu'à longue échéance, et pour autant
qu'elles seront appliquées judicieusement et suivies dans leurs incidences par
des agents de l'Administration : personnel des cercles et des services de l'Agri-
culture et de l'Enseignement, ayant une haute idée de leurs devoirs, une claire
notion du rôle de premier plan qu'ils ont à jouer dans la formation des masses
indigènes et dans leurs relations avec le commerce.
D'autres mesures, notamment les directrices, les impulsives, celles qui action-
nent et composent les efforts subordonnés et qui doivent émaner des hautes
Administrations du Gouvernement Général et de chacune des Colonies du
groupe, n'auront chance de donner des résultats prochains et durables que par
une continuité de vues et un choix de saines méthodes qui ont peut-être manqué
quelquefois en A. O. F. Le haut personnel, aux divers degrés de la hiérarchie,
doit avoir la préoccupation de rechercher dans les cas particuliers des solutions
opportunes et promptes, de réaliser avant tout, fût-ce en sacrifiant, parmi les
parties composantes d'un ensemble, celles qui ne sont pas immédiatement essen,
tielles : créer d'abord, perfectionner ensuite.
La collaboration du commerce et de l'industrie, tant de la Colonie que de la
Métropole, dont l'effet se fera sentir par des associations dégagées de tout inté-
rêt particulier, aux vues larges, cherchant à appliquer des méthodes nouvelles,
sera, féconde si elle est confiante, si elle s'efforce d'établir une liaison plus
intime que par le passé avec l'indigène producteur. Commercer n'est pas seule-
ment tirer du bénéfice immédiat par un jeu d'achats et de ventes au cours
duquel on ne s'intéresse aux produits ou marchandises qu'autant qu'on en a
au passage la responsabilité. C'est aussi se préoccuper d'en s-uivre la produc-
tion ou l'emploi et, justement, pour augmenter le champ des achats ou ventes
futurs et par cela même créer en puissance de prochains bénéfices ; c'est encore
savoir consacrer opportunément quelques sommes à l'amélioration des installa-
tions locales, au développement des villes, au perfectionnement des races indi-
gènes et de leur mentalité, pour mieux achalander dans l'avenir les opérations
et accroître le chiffre des affaires. C'est, en somme, aider l'Administration à
coloniser au moins autant que s'employer exclusivement à produire de la
richesse pour soi.
De toutes les mesures que j'ai proposées, celles qui exigent le concours d'inté-
rêts divers, d'hommes nombreux, blancs ou noirs, avec leur faiblesses et leurs
imperfections, peuvent ne conduire au but que lentement et par une série de
fluctuations. Mais heureusement, il en est d'autres qui sont susceptibles, une
fois admises, d'entraîner tout le système malgré les résistances passives qu'on
pourra rencontrer. Par exemple, construire des ports bien outillés et des che-
mins de fer, sur un programme qui, je crois, n'est pas discutable, ce sera ouvrir
de nouvelles régions et solliciter de nouvelles populations qui instinctivement,
pour la satisfaction de leurs besoins, créeront nécessairement du trafic nouveau.
Nous aurons là un accroissement certain de la production pourvu que nos com-
pagnies de navigation prennent les ,mesures voulues pour augmenter leurs flot-
tes et les moderniser.
Je m'efforcerai en ce qui me concerne — et dans les limites qu'une situation
provisoire à la tête du Gouvernement Général me trace — de continuer à réa-
liser les conceptions que je viens d'exposer, sans intransigeance et en adoptant
leur esprit aux circonstances de fait qui pourraient conduire à les mettre en
œuvre sous une forme différente de celle que j'aperçois maintenant.
Dakar, le 20 juillet 1918.
Le Gouverneur General,
G. ANGOULVANT.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
- Collections numériques similaires Arts de la marionnette Arts de la marionnette /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Pam1"The Romanic review : a quarterly journal devoted to research, the publications of texts and documents, critical discussions, notes, news and comment, in the field of the romance languages and literatures / edited by Henry Alfred Todd and Raymond Weeks /ark:/12148/bpt6k119586.highres Bibliothèque de l'École des Chartes /ark:/12148/bpt6k12501c.highresFonds régional : Rhône-Alpes Fonds régional : Rhône-Alpes /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "RhoneAlp1"
- Auteurs similaires Arts de la marionnette Arts de la marionnette /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Pam1"The Romanic review : a quarterly journal devoted to research, the publications of texts and documents, critical discussions, notes, news and comment, in the field of the romance languages and literatures / edited by Henry Alfred Todd and Raymond Weeks /ark:/12148/bpt6k119586.highres Bibliothèque de l'École des Chartes /ark:/12148/bpt6k12501c.highresFonds régional : Rhône-Alpes Fonds régional : Rhône-Alpes /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "RhoneAlp1"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 20/267
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9744109x/f20.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9744109x/f20.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9744109x/f20.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k9744109x/f20.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9744109x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9744109x
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k9744109x/f20.image × Aide