Titre : Les Ailes : journal hebdomadaire de la locomotion aérienne / directeur, rédacteur en chef, Georges Houard
Éditeur : [s.n. ?] (Paris)
Date d'édition : 1925-12-17
Contributeur : Houard, Georges (1893-1964). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326846379
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 17 décembre 1925 17 décembre 1925
Description : 1925/12/17 (A5,N235). 1925/12/17 (A5,N235).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k96071958
Source : Musée Air France, 2013-273367
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/08/2015
t ES AILES
par sa très large voie, voie qui atteint 2 ni. 20.
« La rigidité de la cellule a permis de disposer
les jambes de force avant à l'aplomb des pre-
miers mâts du haiibannage. Ces jambes de force
sont contrevent^es par un montant oblique.
L'essieu, brisé, vient s'articuler au centre du
ventre du fuselage.
CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES :
Envergure totale : 7 m. 60 ;
Profondeur des plans : 1 m. "22 ;
Longueur totale : 5 m. 65 ;
Surface portante : 17 mètres carrés ;
Charge militaire : 240 kgs ;
Poids en charge : 600 kgs ;
PERFORMANCES :
Vitesse d'atterrissage ; 80 kmsh. ;
Vitesse- à 3.000 mètres : 246 kmsh. ;
Montée à 1.000 mètres : 1 min. 30 sec. ;
Montée à 3.000 mètres : 7 min. 19 sec. ;
Montée à 4.500 mètres : 13 min. 45 sec. ;
Montée à 6.500 mètres ; 22 minutes ;
Plafond : 8.000 mètres.
J. SERRYER.
COUPS D'AILES.....
En quelques lignes :
0 Le pilote tchécoslovaque Lhoia, sur un
monoplan Avia B.II. 11, à moteur Wallcr 60 CV
vient d'accomplir le raid Prague-Bucarest dans
la journée.
0 Le lieutenant Gaulard est en bonne voie de
guérison. Il va quitter l'hôpital militaire de Ver-
sailles pour celui du Val-de- Grâce où il achèvera
de se rétablir.
0 Les pourparlers ont continué entre experts
français et allemands en vue d'arriver à Un record
concernant le survol de l'Allemagne. Une entente
serait prochaine. Mais Friedrichshafen... ? A-t-
on parlé de Friedrichshafen ?
0 Le navire porte-avions « Béarn » dont doit
être dotée la_Marine française est toujours en voie
d'achèvement. Ce bâtiment est « en voie d'achève-
ment » depuis plusieurs années.
0 Sur l'initiative de M. Ch. Julliot, une inté-
ressante réunion a eu lieu mardi pour jeler les
bases d'une organisation de l'aviation sanitaire
civile en France. MM. Maitrot et Tillemetz y
représentaient les constructeurs.
0 La Turquie a commandé 50 avions allemands
Rohrbach. Ces avions seront construits en Turquie
même dans une nouvelle usine.
0 1\1. Emile Carton, le constructeur de bal-
lons, a fait don d'une somme de 1.000 francs à
la Caisse de Secours de l'Aéronautique.
0 Au printemps prochain, un service aérien
Southampton- Guernesey serait organisé au moyen
d'hydravions Supermarine. Il y a deux ans, Les
Ailes en parlaient déjà !
0 Le capitaine Weiss a quitté Le Bourget
pour un temps indéfini, appelé à Nancy au chevet
de Mme Weiss, sa mèrè, très gravement malade.
Nous assurons l'actif pilote du 34° de toute notre
sympathie.
0 Mardi dernier, lU. Dewoitine a fait, à
Londres, une intéressante conférence sur la cons-
truction métallique.
0 Consolons-nous 1 Au pays des dollars, les
journaux d'aviation augmentent aussi leur prix.
« Aviation » coûte désormais"quinze sous améri-
cains au lieu de dix. ---> -
0 L'armée aérienne rouge, en U.R.S.S.
compte, paraît-il, 987 avions : 625 de reconnais-
sance, 296 de chasse et 66 de bombardement. Le
tout réparti en 96 escadrilles, avec 784 pilotes et
430 observateurs. Il faut ajouter à cet effectif les
avions d'école et les avions civils.
0 Lundi, l'Impérial Airways devait embar-
quer au Bourget des passagers de marque : le
dompteur Schneider, sa femme et... une magni-
fique lionne. La neige et le plafond extrêmement
bas ont-ils permis ce voyage ?
O Le Musée de l'Aéronautique, 9, avenue de
Trévaux à Meudon vient de rouvrir ses portes.
Le public y a accès le dimanche et le jeudi de
14 heures à 16 h. 30.
O Sait-on qu'Abd-El-KriIp et ses Rifains ont
eu à subir les attaques répétées d'avions Fokker ?
Ces Fokker, au service de notre cause, faisaient
et font encore partie d'une escadrille espagnole
qui, ces temps derniers, fut particulièrement
active. La coopération militaire des Bréguel et
des Fokker, qui eût cru cela en 1918... !
0 Les centres d'Entraînement seront ouverts
le vendredi 25 décembre 1925 et le vendredi
1er janvier 1926 ; ils seront fermes le mercredi
30 décembre 1925 et le mercredi 6 janvier 1926.
0 La Chambre de Commerce de Marseille
veut créer un aérodrome à... Marseille même. Elle
vient, à ce sujet, d'entendre et d'adopter un rap-
port présenté par M. Georges Oppermann.
0 Et Lille, nous l'avons déjà dit, sur l'insti-
gation de l'Association Aéronautique du Nord,
veut en faire autant.
■ a En Allemagne, on vient d'expérimenter
avec succès l'avionnettc Daimler équipée en hydra-
vion. Deux places avec... 20 CV I
0 Descamps, pilote de la maison de Monge,
vient de procéder aux premiers essais de l'avion
de chasse marin Georges Lévy, dessiné par
M. Jean Biche.
L'ancien constructeur Vendôme et Bosano,
ex-pilote de guerre, ex-pilote de la C.A.F. et de
Latécoère, se sont, paraît-il, associés.
Une nouvelle firme aéronautique ? — Non.
La firme Vendôme-Bosano s'occuperait, nous
dit-on, de « l'élevage » des perles par un procédé
qui rappellerait celui, fameux, des Japonais.
Les résultats seraient magnifiques.
Comme quoi, la construction et le pilotage
des avions mènent à tout...
Voici encore un moteur de petite puissance —
il n'y en a pas trop — susceptible d'être avanta-
geusement utilisé sur un avion léger.
C'est le moteur Archer de 1.500 cmc. qui, à
2.400 tours, peut donner une puissance d'en-
viron 25 CV.
Ce moteur pèse près de 60 kgs, tout équipé,
ce qui, évidemment, est un peu élevé. Par contre;
la durée et la régularité de marche de cet engin
sont, au dire de ceux qui l'ont utilisé, absolu-
ment parfaites. Et puis, son prix le rend très
abordable aux bourses modestes des petits cons-
tructeurs.
Si on le réalisait spécialement pour l'aviation,
on arriverait, très certainement, à l'alléger sans
altérer ses qualités. Il serait alors d'un emploi
sûr et économique sans surcharger inutilement
les appareils qu'il équiperait.
Les parachutistes ont toujours eu, en nous,
des amis. Mais nous nous refusons à être les
amis- de certaines entreprises louches qui, sous le
couvert d'une association à buts apparemment
louables, ne constituent qu'une honteuse exploi-
tation.
Il faut bien que l'on sache qu'aujourd'hui les
descentes'en parachute ne « paient » pins ; que
le fait, de verser a un monsieur quelconque, 200,
300 ou 400 francs pour qu'il assuré votre appren-
tissage est, pour le moins, une plaisanterie de
mauvais goût ; que cette dépensé n'est pas récu-
pérable, étant, par ailleurs, parfaitement inu-
tile, puisque, en l'occurrence, il n'y a aucune-
ment lieu à apprentissage.
Que les jeunes personnes se méfient donc de
certaines petites annonces, émanant d'un soi-
disant club de parachutistes... Elles cachent
l'entreprise de gens peu scrupuleux et... parfois
même davantage.
Nous avons signalé, dans notre dernier nu-
méro, l'intéressant perfectionnement apporté
aux démarreurs d'avions, par les établissements
Luchard. Le fait de pouvoir remplir les bouteilles
d'air comprimé au moyen d'une simplè pompe
à pneumatiques constitue une solution telle-
ment heureuse du problème que beaucoup de
pilotes croyaient à une « exagération » de notre
part. Le dispositif, nous pouvons les en assurer,
a été consacré par une performance retentis-
sante et bientôt nous pourrons, à ce sujet, leur
donner des précisions intéressantes.
En attendant qu'elle nous envoie la docu-
mentation qu'elle nous a annoncée slir.,cet ingé-
nieux dispositif, la maison Luchard nous signale
que le record récent de Paumier constitue, pour
elle, un nouveau succès puisque le moteur
Hispano du recordman était équipé avec un
démarreur Luchard-Letombe.
Nous sommes toujours heureux de rendre
hommage à ceux qui l'ont mérité.
Un modeste industriel aurait conçu puis
réalisé, nous dit-on, un extraordinaire carbura-
teur d'un modèle très spécial, qui aurait cette
particularité . singulièrement intéressante de
permettre l'emploi du pétrole, en lieu et place
de l'essence... ^
Ce carburateur fonctionnerait, depuis un an®
sur un moteur Ballot avec du pétrole comme
carburant. Non seulement, il en résulterait une
économie appréciable inèis... la puissance nor-
male du moteur serait sensiblement accrue.
Le seul point noir de l'histoire est que ces
résultats ont été jusqu'ici obtenus au point fixe.
L'adaptation de ce carburateur magique aux
moteurs des véhicules terrestres et aériens sou-
lèverait quelques difficultés. L'inventeur ne
doute pas qu'il les surmontera avec le temps...
Souhaitons que cet optimisme se justifie
Essayez de pénétrer sur le terrain d'essais de
Villacoublay. Si vous êtes habillé en vulgaire
« pékin » — serait-ce avec l'élégance de M. de
Fouquières — de vigilants sbires, coiffés d'une
imposante casquette, non galonnée mais sur
laquelle sont brodées de belles initiales, vous
donneront impitoyablement la chasse.
Mais, revêtu d'un uniforme — de la Marine
plus séduisant encore — vous pourrez aller et
venir bien tranquillement. C'est ainsi que
l'espion (?...), qui prétendait se nommer Sarda,
pouvait librement évoluer sur notre champ
d'expériences. Pour le démasquer, il a fallu la
perspicacité d'un pilote.
Constatons simplement que l'actuel service
de garde — combien tracassier — n'a servi à
rien 1
La lecture des « faits-divers », lecture si ins-
tructive dans sa brièveté, nous a appris le cam-
briolage dont Mlle Adrienne Bolland, a été la
victime.
Un malfaiteur s'est introduit dans le hangar
ou est; remisé son avion et a dérobé « tout ce
qui pouvait tenter la cupidité d'un monte-en-
l'air »... disent les quotidiens.
L'expression est amusante, mais l'aventure
n'en est pas moins désagréable pour la victime...
au prix auquel on paie actuellement toutes
choses.
On pourrait ironiquement qualifier « d'anti-
quités..., modernes » bon nombre de nos avions
encore en service...
Certains constructeurs se préoccupent donc
de rajeunir leurs appareils avec lesquels, cepen-
dant, on fait toujours de la bonne besogne.
C'est ainsi que la voilure du fameux Morane
A R 35, l'ancêtre des parasols, vient d'être
modifiée. Son aile classique a été remplacée
par une aile, également monoplane, mais dotée
d'une importante flèche longitudinale. Son
atterrisseur a été aussi modernisé.
Ainsi transformé, cet appareil a donné aux
essais, à Villacoublay, de très bons résultats.
Le moniteur d'une imporlante école civile
nous a confirmé le fait.
Les jeunes pilotes, partis au service pleins
d'enthousiasme, ne volent plus suffisamment
dès qu'ils sont affectés. à une escadrille.
Tant qu'ils restent à Istres, iis volent encore.
Istres ne peut les lâcher que lorsqu'ils ont -effec-
tué un nombre d'heures de vol déterminé. Alors,
on les leur fait accomplir le plus vite possible
Mais au régiment, cela change. L'essence est
chère et rare ; les avions en consomment beau-
coup. Ils ne volent presque plus.
Et c'est ainsi que de jeunes pilotes parvien-
nent péniblement à totaliser 50 heures de vol
dans une année 1 Moins d'une heure par se-
maine !
Pendant ce temps, on discute à n'en plus
finir pour savoir si, oui ou non, le petit avion
d'entraînement à faible consommation répond
à une nécessité...
De différents côtés, on nous a demandé des
nouvelles du lieutenant Robin.
Le brillant rival de Prouvai est, depuis plu-
sieurs mois déjà, complètement remis de sa ter-
rible chute. Vaillamment, avec des moyens
extrêmement réduits, il a repris une tournée
d'exhibitions.
Accompagné de son fidèle mécanicien, il va,
de provinces en provinces, exécutant sur un
Spad 34, des prouesses trop hardies, trop auda-
cieuses.
Le lieutenant Robin a — comme l'on dit —
l'aviation « dans le sang ». Malgré sa jambe
invalide, il ne peut se passer de voler : il continue
à organiser des meetings en dépit des déboires
qu'il a éprouvés !
C'est vraiment une belle figure do pilote
qu'il faut admirer.
Nous l'avons annoncé en son temps. La
maison Bouillon, qui construit des extincteurs
de tous genres, et de tous modèles, pour toutes
catégories d'incendies, a bel et bien réalisé un
extincteur automatique pour l'aéronautique.
_r II y a d'ailleurs de nombreux mois que cet
appareil est en gestation car sa mise au point
fut forcément longue et délicate.
On sait que les extincteurs de cette marque
utilisent un fusible comme « témoin » de l'in-
cendie. Alors — paraît-il — tantôt le fusible était
trop sensible tantôt il était trop loin des points
dangereux du moteur. -
Maintenant, le système, complètement au
point, serait prochainement essayé en vol par
Vanlaère, le pilote de la maison Caudron.
Pour un pilote
dans la misère
Il n'est pas Français. Il est Suisse. La
guerre éclate : il s'engage dans la légion
Etrangère. part au front, est blessé. On le
réforme. Réforme n° 2, c'est-à-dire sans
pension aucune.
Il est guéri, ou semble guéri. Il s'en-
gage de nouveau cette fois dans l'avia-
tion. Il obtient le 4 octohre 1917, son
brevet militaire sous le n° 7038. Il part
au front
La guerre se termine. Il y a gagné la
Croix de Guerre et la Médaille Mili-
taire Il y a gagné aussi d'être « gazé »
et irrémédiablement atteint de tuber-
culose. Comme dans beaucoup de cas
analogues, ça ne s'est déclaré que plus
tard. Entre temps, il s'est marié, a eu
deux enfants.....
Et c'est à ce moment que le malheur
arrive...... Il perd sa femme, reste seul
avec deux tout petits bébés. Son état de
santé s'aggrave; il traîne lamentable-
ment les conséquences de la guerre.
Malade, privé du droit de piloter en rai- ■
son deses.blessures, il travaille courageu-
sement comme employé de bureau dans
une petite ville de province, né pouvant
réussir tout juste, a yecson maigre salaire,
qu'à empêcher ses enfants de mourir de
faim. C'est la misère, la misère navrante
des pauvres honteux qui méritent qu'on
les secourent, mais qui n'osent le deman-
der.
L'histoire est désolante quand elle
s'applique à un Français qui a fait admi-
rablement son devoir pendan t la guerre ;
mais elle l'est bien davantage encore
quand elle concerne un étranger, qui,
spontanémet a offert sa vie à la France.
Quand un étranger vous dit : « J'avais
fait le sacrifice de ma vie pour la Fr ance »
et qu'il le prouve, cet étranger a plus de
droits encore qu'un Français à demander
que le pays ne l'oublie pas
Nous demandons pour le pilote suisse
Seidier que la France et l'Aviation ne le
laissent pas mourir de faim, lui et ses
petits enfants.-Nous demandons qu'on
2« 81 0 kilomètres
avec 14 atterrissages
à 187 kilomètres 597 de il
moyenne commerciale
Sur 7 classés 6 concurrents
utilisant l'avion strictement de série
NIEUPORT-DELAGE
équipé du moteur
HISPANOSUIZA
300 CV
En service depuis la guerre dans l'Aviation de chasse.
Tel est le bilan du Military-Zénith 1924-1925
Le Miljtary-Zénith 1925-1926, réservé aux avions de
chasse munis de tout leur armement, a pour premier
détenteur le Sergent Latapie, sur Nieuport-Delage 29
Hlof^tsr HISPA O-SUIZA 300 CV
avec 185 kms. 657 de moyenne commerciale
La pins grandi fabriqué
ds 78mis 411 mouds satin
IBERRY Brothers^
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POIDS: 99 kgs
PUISSANCE :
60 eV
à 1.400 tours
(
SES SU C C È S EN 1924 E T 1925 :
L'essai d'endurance de 100 heures pour son homologation
Le vol d'endurance de 1.200 kms, sans atterrissage en 9 h. 45 min.
Le raid FRA&U E-BRUZELLES-LQiï DR ES et retour
Le raid PRA&UE-VIENNE-BUBAPEST-BELGRADE et retour
Les vols en école de 140 à 150 heures sans révision
Le raid PRA&UE-BQLQ&ME, 1.200 kms en 10 heures
Le raid PRA&UE-RBME et retour
VAINQUEUR DANS LES COURSES OE L& COPRA D'ITALIA 1925
J. ""V\T -A.. L T IES & cie. Société Anonyme
Fabrique d'Automobiles, à PRAGUE-JINONICE (Tchécoslovaquie)
par sa très large voie, voie qui atteint 2 ni. 20.
« La rigidité de la cellule a permis de disposer
les jambes de force avant à l'aplomb des pre-
miers mâts du haiibannage. Ces jambes de force
sont contrevent^es par un montant oblique.
L'essieu, brisé, vient s'articuler au centre du
ventre du fuselage.
CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES :
Envergure totale : 7 m. 60 ;
Profondeur des plans : 1 m. "22 ;
Longueur totale : 5 m. 65 ;
Surface portante : 17 mètres carrés ;
Charge militaire : 240 kgs ;
Poids en charge : 600 kgs ;
PERFORMANCES :
Vitesse d'atterrissage ; 80 kmsh. ;
Vitesse- à 3.000 mètres : 246 kmsh. ;
Montée à 1.000 mètres : 1 min. 30 sec. ;
Montée à 3.000 mètres : 7 min. 19 sec. ;
Montée à 4.500 mètres : 13 min. 45 sec. ;
Montée à 6.500 mètres ; 22 minutes ;
Plafond : 8.000 mètres.
J. SERRYER.
COUPS D'AILES.....
En quelques lignes :
0 Le pilote tchécoslovaque Lhoia, sur un
monoplan Avia B.II. 11, à moteur Wallcr 60 CV
vient d'accomplir le raid Prague-Bucarest dans
la journée.
0 Le lieutenant Gaulard est en bonne voie de
guérison. Il va quitter l'hôpital militaire de Ver-
sailles pour celui du Val-de- Grâce où il achèvera
de se rétablir.
0 Les pourparlers ont continué entre experts
français et allemands en vue d'arriver à Un record
concernant le survol de l'Allemagne. Une entente
serait prochaine. Mais Friedrichshafen... ? A-t-
on parlé de Friedrichshafen ?
0 Le navire porte-avions « Béarn » dont doit
être dotée la_Marine française est toujours en voie
d'achèvement. Ce bâtiment est « en voie d'achève-
ment » depuis plusieurs années.
0 Sur l'initiative de M. Ch. Julliot, une inté-
ressante réunion a eu lieu mardi pour jeler les
bases d'une organisation de l'aviation sanitaire
civile en France. MM. Maitrot et Tillemetz y
représentaient les constructeurs.
0 La Turquie a commandé 50 avions allemands
Rohrbach. Ces avions seront construits en Turquie
même dans une nouvelle usine.
0 1\1. Emile Carton, le constructeur de bal-
lons, a fait don d'une somme de 1.000 francs à
la Caisse de Secours de l'Aéronautique.
0 Au printemps prochain, un service aérien
Southampton- Guernesey serait organisé au moyen
d'hydravions Supermarine. Il y a deux ans, Les
Ailes en parlaient déjà !
0 Le capitaine Weiss a quitté Le Bourget
pour un temps indéfini, appelé à Nancy au chevet
de Mme Weiss, sa mèrè, très gravement malade.
Nous assurons l'actif pilote du 34° de toute notre
sympathie.
0 Mardi dernier, lU. Dewoitine a fait, à
Londres, une intéressante conférence sur la cons-
truction métallique.
0 Consolons-nous 1 Au pays des dollars, les
journaux d'aviation augmentent aussi leur prix.
« Aviation » coûte désormais"quinze sous améri-
cains au lieu de dix. ---> -
0 L'armée aérienne rouge, en U.R.S.S.
compte, paraît-il, 987 avions : 625 de reconnais-
sance, 296 de chasse et 66 de bombardement. Le
tout réparti en 96 escadrilles, avec 784 pilotes et
430 observateurs. Il faut ajouter à cet effectif les
avions d'école et les avions civils.
0 Lundi, l'Impérial Airways devait embar-
quer au Bourget des passagers de marque : le
dompteur Schneider, sa femme et... une magni-
fique lionne. La neige et le plafond extrêmement
bas ont-ils permis ce voyage ?
O Le Musée de l'Aéronautique, 9, avenue de
Trévaux à Meudon vient de rouvrir ses portes.
Le public y a accès le dimanche et le jeudi de
14 heures à 16 h. 30.
O Sait-on qu'Abd-El-KriIp et ses Rifains ont
eu à subir les attaques répétées d'avions Fokker ?
Ces Fokker, au service de notre cause, faisaient
et font encore partie d'une escadrille espagnole
qui, ces temps derniers, fut particulièrement
active. La coopération militaire des Bréguel et
des Fokker, qui eût cru cela en 1918... !
0 Les centres d'Entraînement seront ouverts
le vendredi 25 décembre 1925 et le vendredi
1er janvier 1926 ; ils seront fermes le mercredi
30 décembre 1925 et le mercredi 6 janvier 1926.
0 La Chambre de Commerce de Marseille
veut créer un aérodrome à... Marseille même. Elle
vient, à ce sujet, d'entendre et d'adopter un rap-
port présenté par M. Georges Oppermann.
0 Et Lille, nous l'avons déjà dit, sur l'insti-
gation de l'Association Aéronautique du Nord,
veut en faire autant.
■ a En Allemagne, on vient d'expérimenter
avec succès l'avionnettc Daimler équipée en hydra-
vion. Deux places avec... 20 CV I
0 Descamps, pilote de la maison de Monge,
vient de procéder aux premiers essais de l'avion
de chasse marin Georges Lévy, dessiné par
M. Jean Biche.
L'ancien constructeur Vendôme et Bosano,
ex-pilote de guerre, ex-pilote de la C.A.F. et de
Latécoère, se sont, paraît-il, associés.
Une nouvelle firme aéronautique ? — Non.
La firme Vendôme-Bosano s'occuperait, nous
dit-on, de « l'élevage » des perles par un procédé
qui rappellerait celui, fameux, des Japonais.
Les résultats seraient magnifiques.
Comme quoi, la construction et le pilotage
des avions mènent à tout...
Voici encore un moteur de petite puissance —
il n'y en a pas trop — susceptible d'être avanta-
geusement utilisé sur un avion léger.
C'est le moteur Archer de 1.500 cmc. qui, à
2.400 tours, peut donner une puissance d'en-
viron 25 CV.
Ce moteur pèse près de 60 kgs, tout équipé,
ce qui, évidemment, est un peu élevé. Par contre;
la durée et la régularité de marche de cet engin
sont, au dire de ceux qui l'ont utilisé, absolu-
ment parfaites. Et puis, son prix le rend très
abordable aux bourses modestes des petits cons-
tructeurs.
Si on le réalisait spécialement pour l'aviation,
on arriverait, très certainement, à l'alléger sans
altérer ses qualités. Il serait alors d'un emploi
sûr et économique sans surcharger inutilement
les appareils qu'il équiperait.
Les parachutistes ont toujours eu, en nous,
des amis. Mais nous nous refusons à être les
amis- de certaines entreprises louches qui, sous le
couvert d'une association à buts apparemment
louables, ne constituent qu'une honteuse exploi-
tation.
Il faut bien que l'on sache qu'aujourd'hui les
descentes'en parachute ne « paient » pins ; que
le fait, de verser a un monsieur quelconque, 200,
300 ou 400 francs pour qu'il assuré votre appren-
tissage est, pour le moins, une plaisanterie de
mauvais goût ; que cette dépensé n'est pas récu-
pérable, étant, par ailleurs, parfaitement inu-
tile, puisque, en l'occurrence, il n'y a aucune-
ment lieu à apprentissage.
Que les jeunes personnes se méfient donc de
certaines petites annonces, émanant d'un soi-
disant club de parachutistes... Elles cachent
l'entreprise de gens peu scrupuleux et... parfois
même davantage.
Nous avons signalé, dans notre dernier nu-
méro, l'intéressant perfectionnement apporté
aux démarreurs d'avions, par les établissements
Luchard. Le fait de pouvoir remplir les bouteilles
d'air comprimé au moyen d'une simplè pompe
à pneumatiques constitue une solution telle-
ment heureuse du problème que beaucoup de
pilotes croyaient à une « exagération » de notre
part. Le dispositif, nous pouvons les en assurer,
a été consacré par une performance retentis-
sante et bientôt nous pourrons, à ce sujet, leur
donner des précisions intéressantes.
En attendant qu'elle nous envoie la docu-
mentation qu'elle nous a annoncée slir.,cet ingé-
nieux dispositif, la maison Luchard nous signale
que le record récent de Paumier constitue, pour
elle, un nouveau succès puisque le moteur
Hispano du recordman était équipé avec un
démarreur Luchard-Letombe.
Nous sommes toujours heureux de rendre
hommage à ceux qui l'ont mérité.
Un modeste industriel aurait conçu puis
réalisé, nous dit-on, un extraordinaire carbura-
teur d'un modèle très spécial, qui aurait cette
particularité . singulièrement intéressante de
permettre l'emploi du pétrole, en lieu et place
de l'essence... ^
Ce carburateur fonctionnerait, depuis un an®
sur un moteur Ballot avec du pétrole comme
carburant. Non seulement, il en résulterait une
économie appréciable inèis... la puissance nor-
male du moteur serait sensiblement accrue.
Le seul point noir de l'histoire est que ces
résultats ont été jusqu'ici obtenus au point fixe.
L'adaptation de ce carburateur magique aux
moteurs des véhicules terrestres et aériens sou-
lèverait quelques difficultés. L'inventeur ne
doute pas qu'il les surmontera avec le temps...
Souhaitons que cet optimisme se justifie
Essayez de pénétrer sur le terrain d'essais de
Villacoublay. Si vous êtes habillé en vulgaire
« pékin » — serait-ce avec l'élégance de M. de
Fouquières — de vigilants sbires, coiffés d'une
imposante casquette, non galonnée mais sur
laquelle sont brodées de belles initiales, vous
donneront impitoyablement la chasse.
Mais, revêtu d'un uniforme — de la Marine
plus séduisant encore — vous pourrez aller et
venir bien tranquillement. C'est ainsi que
l'espion (?...), qui prétendait se nommer Sarda,
pouvait librement évoluer sur notre champ
d'expériences. Pour le démasquer, il a fallu la
perspicacité d'un pilote.
Constatons simplement que l'actuel service
de garde — combien tracassier — n'a servi à
rien 1
La lecture des « faits-divers », lecture si ins-
tructive dans sa brièveté, nous a appris le cam-
briolage dont Mlle Adrienne Bolland, a été la
victime.
Un malfaiteur s'est introduit dans le hangar
ou est; remisé son avion et a dérobé « tout ce
qui pouvait tenter la cupidité d'un monte-en-
l'air »... disent les quotidiens.
L'expression est amusante, mais l'aventure
n'en est pas moins désagréable pour la victime...
au prix auquel on paie actuellement toutes
choses.
On pourrait ironiquement qualifier « d'anti-
quités..., modernes » bon nombre de nos avions
encore en service...
Certains constructeurs se préoccupent donc
de rajeunir leurs appareils avec lesquels, cepen-
dant, on fait toujours de la bonne besogne.
C'est ainsi que la voilure du fameux Morane
A R 35, l'ancêtre des parasols, vient d'être
modifiée. Son aile classique a été remplacée
par une aile, également monoplane, mais dotée
d'une importante flèche longitudinale. Son
atterrisseur a été aussi modernisé.
Ainsi transformé, cet appareil a donné aux
essais, à Villacoublay, de très bons résultats.
Le moniteur d'une imporlante école civile
nous a confirmé le fait.
Les jeunes pilotes, partis au service pleins
d'enthousiasme, ne volent plus suffisamment
dès qu'ils sont affectés. à une escadrille.
Tant qu'ils restent à Istres, iis volent encore.
Istres ne peut les lâcher que lorsqu'ils ont -effec-
tué un nombre d'heures de vol déterminé. Alors,
on les leur fait accomplir le plus vite possible
Mais au régiment, cela change. L'essence est
chère et rare ; les avions en consomment beau-
coup. Ils ne volent presque plus.
Et c'est ainsi que de jeunes pilotes parvien-
nent péniblement à totaliser 50 heures de vol
dans une année 1 Moins d'une heure par se-
maine !
Pendant ce temps, on discute à n'en plus
finir pour savoir si, oui ou non, le petit avion
d'entraînement à faible consommation répond
à une nécessité...
De différents côtés, on nous a demandé des
nouvelles du lieutenant Robin.
Le brillant rival de Prouvai est, depuis plu-
sieurs mois déjà, complètement remis de sa ter-
rible chute. Vaillamment, avec des moyens
extrêmement réduits, il a repris une tournée
d'exhibitions.
Accompagné de son fidèle mécanicien, il va,
de provinces en provinces, exécutant sur un
Spad 34, des prouesses trop hardies, trop auda-
cieuses.
Le lieutenant Robin a — comme l'on dit —
l'aviation « dans le sang ». Malgré sa jambe
invalide, il ne peut se passer de voler : il continue
à organiser des meetings en dépit des déboires
qu'il a éprouvés !
C'est vraiment une belle figure do pilote
qu'il faut admirer.
Nous l'avons annoncé en son temps. La
maison Bouillon, qui construit des extincteurs
de tous genres, et de tous modèles, pour toutes
catégories d'incendies, a bel et bien réalisé un
extincteur automatique pour l'aéronautique.
_r II y a d'ailleurs de nombreux mois que cet
appareil est en gestation car sa mise au point
fut forcément longue et délicate.
On sait que les extincteurs de cette marque
utilisent un fusible comme « témoin » de l'in-
cendie. Alors — paraît-il — tantôt le fusible était
trop sensible tantôt il était trop loin des points
dangereux du moteur. -
Maintenant, le système, complètement au
point, serait prochainement essayé en vol par
Vanlaère, le pilote de la maison Caudron.
Pour un pilote
dans la misère
Il n'est pas Français. Il est Suisse. La
guerre éclate : il s'engage dans la légion
Etrangère. part au front, est blessé. On le
réforme. Réforme n° 2, c'est-à-dire sans
pension aucune.
Il est guéri, ou semble guéri. Il s'en-
gage de nouveau cette fois dans l'avia-
tion. Il obtient le 4 octohre 1917, son
brevet militaire sous le n° 7038. Il part
au front
La guerre se termine. Il y a gagné la
Croix de Guerre et la Médaille Mili-
taire Il y a gagné aussi d'être « gazé »
et irrémédiablement atteint de tuber-
culose. Comme dans beaucoup de cas
analogues, ça ne s'est déclaré que plus
tard. Entre temps, il s'est marié, a eu
deux enfants.....
Et c'est à ce moment que le malheur
arrive...... Il perd sa femme, reste seul
avec deux tout petits bébés. Son état de
santé s'aggrave; il traîne lamentable-
ment les conséquences de la guerre.
Malade, privé du droit de piloter en rai- ■
son deses.blessures, il travaille courageu-
sement comme employé de bureau dans
une petite ville de province, né pouvant
réussir tout juste, a yecson maigre salaire,
qu'à empêcher ses enfants de mourir de
faim. C'est la misère, la misère navrante
des pauvres honteux qui méritent qu'on
les secourent, mais qui n'osent le deman-
der.
L'histoire est désolante quand elle
s'applique à un Français qui a fait admi-
rablement son devoir pendan t la guerre ;
mais elle l'est bien davantage encore
quand elle concerne un étranger, qui,
spontanémet a offert sa vie à la France.
Quand un étranger vous dit : « J'avais
fait le sacrifice de ma vie pour la Fr ance »
et qu'il le prouve, cet étranger a plus de
droits encore qu'un Français à demander
que le pays ne l'oublie pas
Nous demandons pour le pilote suisse
Seidier que la France et l'Aviation ne le
laissent pas mourir de faim, lui et ses
petits enfants.-Nous demandons qu'on
2« 81 0 kilomètres
avec 14 atterrissages
à 187 kilomètres 597 de il
moyenne commerciale
Sur 7 classés 6 concurrents
utilisant l'avion strictement de série
NIEUPORT-DELAGE
équipé du moteur
HISPANOSUIZA
300 CV
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Tel est le bilan du Military-Zénith 1924-1925
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chasse munis de tout leur armement, a pour premier
détenteur le Sergent Latapie, sur Nieuport-Delage 29
Hlof^tsr HISPA O-SUIZA 300 CV
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Le raid PRA&UE-RBME et retour
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